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Les 5 petits cochons

Chapitre 7

Cochon qui s'en dédie

Divers
J’eu beaucoup de mal à me remettre de cet après-midi horrible. Je passais la fin de la journée et le début de soirée prostrée, recroquevillée sur le canapé, engoncée dans une couverture. J’avais mal au ventre, des nausées. Je n’arrivais pas à envisager une solution pour me sortir de ce piège, et surtout, j’imaginais avec terreur les prochains épisodes du chantage.Dans mon délire, j’avais même rêvé d’attenter aux jours de mon tortionnaire, mais je me voyais mal chercher sur Internet « Comment empoisonner son beau-père sans risque ».Je n’osais pas en parler à mon mari, car je craignais un désastre pour notre couple.A bout de nerf, désespérée, je décidais d’appeler à mon secours mon ami/amant Jeff et de lui demander conseil. Il était tard ce vendredi soir, il devait être en famille, mais j’étais dans un tel état de désespoir que j’appelais son portable professionnel.Je fus brève
— Jeff, je t’en supplie, appelle moi dès que tu peu, je suis désespérée.
Tard le soir je reçus un SMS : « Demain matin 8 heures, on se retrouve au marché couvert »Je savais, c’était là son côté « Bobo », qu’il aimait faire les courses le samedi « que des produits bios évidemment !!» et que nous aurions un moment pour parler (surtout moi pour me confier) et trouver ou plutôt envisager une solution. Cette perspective d’espoir me permit de m’endormir plus facilement que je ne l’aurais cru.Le lendemain, levée aux aurores, c’est à grands coups de « crèmes anti-âge » que je tentais de ravaler une façade passablement dévastée par une soirée de désespoir et une nuit particulièrement agitée par les insomnies et les crises de larmes.
C’est dans un petit bar, jouxtant le marché couvert, à l’enseigne du « Cochon souriant» (ça ne s’invente pas) que nous nous retrouvâmes. Je vis dans ses yeux, quand il découvrit mon visage ravagée, qu’il s’attendait au pire. Après avoir commandé deux cafés, je me confiais.
Je lui racontais toute l’histoire : Mon beau père (qu’il connaissait un peu pour l’avoir rencontré en compagnie de mon mari) et son espionite aigue : les photos volées au bord de la piscine, les trous dans la cabine de douche, notre relation qu’il avait découvert, et surtout mes frasques avec mon neveu (Il apprécia, d’ailleurs, moyennement, découvrant ainsi mon « infidélité » à son égard).
Je lui parlais ensuite des photos qu’il avait amassées, du chantage par rapport à mon travail, de mon exhibition forcée devant lui et enfin de ma déchéance avec le copain Paulo. Je lui racontais aussi les menaces proférées et son intention de lui servir de monnaie d’échange, pour assouvir toutes ses envies et ses caprices. Je terminais en pleurant, au grand étonnement des consommateurs, racontant mon angoisse au quotidien et la perspective, dès la semaine prochaine, d’être baisée à la chaîne, dans une cabane sordide par une dizaine de chasseurs avinés.
Il était effaré, mais après avoir compatis, son tempérament cartésien reprit le dessus. Ca commença par une bonne engueulade :
— Franchement ma pauvre, tu l’as bien cherché, tu es d’une naïveté confondante.— Tu n’aurais pas dû céder la première fois !!!!!!— Et puis franchement, te faire sauter par ton neveu, chez toi, alors que tu sais qu’il débarque souvent à l’improviste.— Je le sais bien, tout ça, mais je suis là pour que tu m’aides, par pour que tu me cries dessus.
Après, avoir commandé deux autres cafés, me tenant par la main pour me rassurer, me regardant dans les yeux en réfléchissant.
— Je ne vois qu’une solution : Il faut tout raconter à ton mari, et qu’il prenne les choses en mains avec son père.
C’était effectivement la seule solution viable. Et je l’admis sans difficulté (non sans lui préciser, histoire de sourire un peu, que dans un premier temps, j’avais envisagé d’introduire une dose massive de Taupicine dans sa canette de bière).Je m’inquiétais quand même auprès de lui
— Mais comment va-t-il réagir ? tu es quand même son meilleur ami !et mon neveu ? et les photos ? et Paulo ?— Pour « ton Paulo », et les photos tu n’y pouvais rien, pour ton neveu tu n’as qu’à minimiser les choses : parler d’un coup de folie, d’une soirée trop arrosée, que tu avais fumé…..je ne sais pas, essaie de trouver quelque chose de crédible.— Mais avec toi ?— Avec moi, je ne suis pas sûr que ça pose un réel problème.
Estomaquée, et choquée, je l’interrogeais.
— Pourquoi dis-tu cela.— Eh bien, je vais t’avouer un secret : Tu ne le sais sans doute pas, mais ton mari a une réelle envie de te partager. Il m’a d’ailleurs proposé plusieurs fois de faire l’amour tous les trois chez vous.— Je tombais des nues, je n’avais jamais rien remarqué, rien soupçonné.— Alors si tu sais bien t’y prendre, je suis sûr que ce sera une bonne nouvelle pour lui et peut-être la porte ouverte à de nouvelles relations. Pourquoi pas, pour essayer l’échangisme, a deux couples ? avec Caro (son épouse).ajouta ‘il en souriant.— Par contre sur le fond, je te répète que la seule chose à faire et de confier « l’affaire » à Philippe et qu’il règle ça avec son père.
En début d’après-midi, quand j’entendis la voiture, je sortis sur le perron accueillir mon mari. Chargé comme un baudet, avec sa valise, son attaché case, son portable, il ne remarqua pas mon air contrarié, mais dès qu’il eut déposé son barda, il me fixa et m’interpella.
— Qu’est ce qui ne va pas ?— Va poser tes affaires, change toi, je t’attends au salon.
D’un seul coup, en pleurant à chaudes larmes, je lui racontais tout (Je reconnais avoir minimisé ce qui s’était passé avec mon neveu)... Au fur et à mesure du récit, je voyais ses lèvres blanchirent, la jointure de ses mâchoires trembler, signe que je connaissais bien quand il contenait sa fureur.Quand j’eus terminé, il se leva, me prit dans ses bras et me dit :
— Demain à midi, c’est une affaire réglée, maintenant va te changer, fait toi belle, je t’emmène au resto.
La soirée m’avait redonnée, le moral, j’avais confiance en mon mari et j’eu envie de le remercier de son soutien.Quand il sortit de la salle de bain, il me trouva entièrement nue, au pied du lit. Je m’approchais, langoureuse, baissais son pyjama ….
— Laisse toi faire mon chéri, tu ne vas pas le regretter.
Je commençais par lui lécher les couilles, lui caressant les fesses et dès qu’il fut en érection, j’avalais littéralement sa queue, allant et venant sur sa verge, sans l’aide de mes mains, réservées à peloter ses fesses et caresser son anus. Après dix bonnes minutes de ce traitement, je le conduisis vers le lit, le fis allonger, dos calé par des oreillers.
— Regarde-moi, je suis toute à toi, je vais t’offrir un beau spectacle.
Debout au pied du lit, j’entrepris à me masturber, essayant d’accompagner mes gestes des mots les plus crus car je savais qu’il aimait. Je commençais par me caresser les seins, les prenant à pleine mains, les malaxant, tirant sur les tétons.
— Tu as vu ces gros nichons, de vrais mamelles de bonne femelle, tu pourras en faire ce que tu veux, regarde mes tétons comme ils s’allongent bien. Tu me masseras avec ton foutre mon chéri.
La bite de Philippe était à la verticale, il se masturbait doucement, tirant fort sur la peau pour bien décalotter son gland turgescent, de son autre main, il se caressait la poitrine, le ventre, les testicules. Il semblait apprécier et cela m’excitait encore plus. Ecartant encore plus les cuisses, attrapant mes grandes lèvres, offrant à sa vue l’entrée de mon vagin, je continuais sur le même registre.
— Tu as vu ce garage à bite comme il s’ouvre bien ? Dorénavant il n’y aura que toi qui y gareras sa grosse queue.
Cette exhibition n’était pas sans effet sur moi non plus et je sentais une douce chaleur envahir mon ventre. Je continuais, introduisant deux doigts dans ma bouche, mimant une pipe en le regardant droit dans les yeux
— Je vais me branler pour toi, après tu me baiseras comme tu en as envie, tu pourras même me punir pour toutes mes bêtises.
Deux doigts dans la chatte, le majeur de la main droite caressant mon anus, accompagnant mes gestes de mouvements simulant une saillie. Je me retournais et penchée en avant, je l’excitais un peu plus
— Regarde comme mon trou du cul s’ouvre bien, il attend ta bite mon amour.
Au moment où je redressais face à lui, le premier jet de cyprine me surprit, il jaillit de mon vagin comme une véritable éjaculation. Je me savais, parfois, femme fontaine, mais il y avait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. J’attrapais ma chemise de nuit, la plaquant sur mon ventre pour limiter les dégâts des jets suivants.Mon mari était ravi. A son tour, il cracha un puissant jet de foutre qui monta à la verticale avant de retomber sur son ventre. Se branlant furieusement, il m’interpella— Vient mettre ta moule de salope sur ma bouche et nettoie bien tout mon sperme. Apres tu me raconteras toutes les cochonneries que tu as faites pendant mes absences et rassure toi, je tiens toujours mes promesses, demain à midi tout sera réglé, mais ce soir je vais te baiser !!!!!!!
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