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Les 5 petits cochons

Chapitre 8

2 cochons et 1 cochonne

Divers
Malgré les dégâts causés au parquet de la chambre, j’étais particulièrement fière d’avoir « fait fontaine » comme disait mon mari. Lui, se fichant pas mal des conséquences et de la perspective de passer dès le lendemain la paille de fer, était enchanté.
— Viens vite sur moi que je goutte ton bon jus.
Je ne sais pas si c’était, l’accumulation de stress et d’inquiétude, brusquement relâchés par une perspective de solution, mais les effets étaient prodigieux.Il y avait longtemps que je n’avais pas eu un tel orgasme. Je dégoulinais littéralement. Mes cuisses, ma raie des fesses, ma chatte étaient trempées. Jeff léchait et aspirait bruyamment. De mon côté, je n’étais pas en reste, lapant chaque gouttes de son foutre, le pompant et engloutissant complètement sa verge telle une véritable spécialiste de la « deep throat ». J’aurais bien passé toute la nuit ainsi, à sucer et à me faire lécher, mais je sentais bien que Phil était épuisé. Compatissante, je roulais sur le côté. Je n’avais pas encore calé ma tête sur son épaule qu’il ronflait déjà.
Le lendemain matin, il se leva tôt. Alors que je somnolais et me prélassais. Je l’entendis prendre sa douche, puis descendre à la cuisine. Je me levais à mon tour pour partager le petit déjeuner avec lui, quand j’entendis la voiture démarrer.
Je savais bien où il allait Si ma confiance, la veille, était totale, maintenant, que les minutes décisives arrivaient, au fur et à mesure que le temps s’écoulait, l’angoisse revenait.Que se passait-il ?Ça fait longtemps qu’il est parti ! Qu’est-ce qu’il fait ?Je regardais ma montre sans cesse. La fonction cardio indiquait que j’approchais de ma fréquence maxi.Enfin, il arriva. Je me précipitais, scrutais son visage. Un grand sourire l’éclairait. Mon angoisse retomba d’un coup, je me jetais dans ses bras et à bout de nerfs (j’ai honte) je fis pipi dans ma culotte.
Je montais les marches du perron à son bras quand il me tendit quelque-chose.
— Tiens je crois que c’est ton portable. — Rassure moi mon chéri, raconte-moi s’il te plaît.
Et il me narra par le menu, ce qui s’était passé.
— D’abord, je dois te confier un secret. Celui que je nomme mon père, et toi ton beau-père, en fait, n’est pas mon père biologique. Celui-ci est mort d’un accident quand j’avais 6 mois. Ma mère s’est remariée vers mes 5 ans. J’ai toujours cru que c’était mon vrai père. Mais maman sur son lit de mort m’a tout avoué.
— Pour résumer, ma mère a toujours regretté de s’être mariée avec Georges (Le beau-père). Entre nous soi dit, je crois bien qu’il la frappait parfois et sans doute moi aussi, mais je n’en ai aucun souvenir, si ce n’est de son profond mépris à mon égard.— Je suis l’héritier de mon père, puis de ma mère à son décès. Elle s’est assurée de tout cela auprès de Maître B. avant sa mort. Donc, concrètement, Georges n’a rien ! Je lui prête la petite maison où il vit en échange de quelques travaux. Sa retraite est minable, ayant toujours vécu, plus ou moins au crochet de ma mère.— Je lui ai expliqué calmement la situation (ça sa m’étonnait), lui ai dit que tu m’avais tout raconté et que s’il mettait ses menaces à exécution, je le virais de la maison et portais plainte. Devant lui, j’ai téléphoné au capitaine M que je connais très bien, sans entrer dans les détails, j’ai expliqué que j’étais victime d’un chantage sur la base de photos volés et j’ai demandé conseil…. ……La réponse a été claire, il a compris………………….. J’ai récupéré ton téléphone et son ordi.et je suis parti.— Même s’il a planqué quelque chose sur Internet Il risque trop pour tenter quoi que ce soit, tu ne le verras plus.

D’un seul coup, j’éclatais en sanglots, mais cette fois, c’était de bonheur, accrochée au cou de mon mari. Malgré ses mots de réconfort, ses douces caresses je n’arrivais pas à me calmer. Puis enfin, je l’embrassais furieusement de passion, de tendresse et d’amour mêlés.
Après avoir déjeuné, je l’entraînais dans la chambre pour le remercier « plus concrètement ». Pendant près de deux heures, je déployais tout mon savoir-faire pour lui donner un maximum de plaisirMais en me baisant, plus avec douceur que fureur (comme il aurait été logique qu’il le fasse), il n’arrêtait pas de me questionner sur mes frasques. S’il attachait, peu d’intérêt, à mon neveu et à Paulo, mes relations avec Jeff l’intéressaient au plus haut point. Il n’arrêtait pas de m’interroger, visiblement il ne me reprochait rien, mais était curieux de tout.
— Comment est sa bite ?— tu le suçais à chaque fois ? — Il déchargeait dans sa bouche ?— Tu aimais ça ?
Souhaitant être honnête et me souvenant de ce qu’il avait dit à Jeff, sur son envie de me partager, je décidais de tout raconter, forçant même parfois le trait :
— Sa queue est moins grosse que la tienne, il dit que je suce bien et il a jouit plusieurs fois dans ma bouche.— Comme toi, il aime aussi se branler entre mes seins qu’il appelle « mes grosses mamelles »
Il n’arrêtait pas :
— Dans quelle position te fait-il mettre ?— Vous baisiez longtemps avant qu’il ne décharge ?— Montre-moi !!!!
Complice de ses fantasmes, je m’exécutais, essayant de lui offrir, ce qu’il attendait, en variant les positions les plus scabreuses. Dès que j’apportais des détails croustillants, je sentais sa queue grossir et sa cadence augmenter. Je ne trouvais pas cela très « sain » ni très excitant mais je voyais bien qu’il aimait et j’en rajoutais un peu
— Tu vois, quand il veut me sodomiser, il se met sur le dos et me fait asseoir sur sa queue, il trouve que ça rentre mieux et plus profond.— Après il me lève les jambes et me demande de me masturber et d’essayer de jouir en même temps que lui.— Hummmmmmm !!! Il décharge dans ton cul ?— Oui ça arrive souvent car c’est comme ça qu’on termine en général !!!!!
J’avoue qu’au final, je pris, malgré tout, un certain plaisir à cette sorte d’exhibition verbale, toute nouvelle pour moi.
Le mercredi de la semaine suivante, quand mon mari me téléphona comme tous les soirs, je ne fus pas surprise qu’il m’annonce :
— Caro est en stage à Paris, elle ne rentre pas du Week-end, j’ai invité Jeff samedi midi. Achète des trucs, on fera un barbecue au bord de la piscine.
Après une « bouffe » décontractée, un peu assommée par le rosé et le soleil (je n’étais visiblement pas la seule) Je partis m’allonger sur un des transats.J’hésitais un instant! Je le faisais ou pas ? Finalement je le fis !Je ne portais qu’une robe légère, par-dessus un simple string. Je fis passer la robe par-dessus mes épaules, retirais mon string et tranquillement, lentement je m’allongeais sur le transat. De l’autre côté de la piscine, les deux mecs qui nettoyaient le barbecue n’avaient rien perdu du spectacle.
— Arrêtez un peu, venez faire la sieste !!!
Quand ils s’approchèrent, mon ventre se contracta un peu. Je savais ce qui allait se passer, c’était le meilleur moment. Comme disait Audiard « quand on monte l’escalier »
— Philippe, s’il te plaît passe-moi de la crème solaire.
Il en mit une touche sur chaque cuisse et sur mon ventre et commença à l’étaler par des mouvements doux, plus proches de la caresse que du massage. J’écartais largement les jambes offrant ma vulve à leurs regards. Alors, je décidais de donner le feu vert aux réjouissances. Attrapant le flacon « d’ambre solaire » j’envoyais deux giclées sur mes seins et interpelait mon amant
— Rends toi utile Jeff aide le ! occupe-toi de mes mamelles !— Et puis les gars, enlevais ces fringues, vous serez mieux.
Assis sur leurs transats, à mes côté, l’un et l’autre s’occupait d’une partie de mon corps : mes seins pour Jeff, mon ventre et mes cuisses pour Philippe. Je tenais leurs bites dans chacune de mes mains, les branlant doucement pour qu’ils « tiennent ». Mon corps se crispait de plus en plus Comme la veille, une brusque contraction saisit bon bas ventre et le premier jet de cyprine incontrôlable jaillit vers le ciel. Ils accélèrent leurs mouvements, pendant que je gémissais et me tortillais sous les effets de l’orgasme.A peine calmée, mais en plein délire sexuel, je les interpellais
— Donner moi vos bites à sucer, j’ai envie de vos grosses queues, je ne vais pas vous laisser dans cet état.
A genoux, près de ma tête, me caressant chacun un nichon, impatients, ils m’offraient leurs sexes. Je passais de l’un à l’autre, branlant et suçant alternativement.Je compris bien que si je voulais aller plus loin, il fallait faire un break. « Vas-y mollo » me disait mon mari.
— Phil, va chercher le gel, je veux être prise par vous deux en même temps.
J’étais à genoux, je continuais de sucer Jeff pendant que Philippe, lubrifiait généreusement mon anus, rentrant un puis deux doigts, m’amenant à nouveau au bord de l’orgasme. A mon tour, j’enduisis la bite de Jeff et aidée de mon mari qui me retenait pour éviter que je ne m’empale, je m’enculais sur la queue dressée. Ils me relevèrent les jambes, Philippe commença à me prendre à son tour, mais mon vagin était resserré par la présence de l’autre queue. Enfin il réussit à forcer le passage et me pénétra d’un coup. Ce fut très rapide, je me mis à hurler quand la jouissance se déclencha, je remuais, gigotais comme une possédée, mais ils me cramponnaient. Je sentis le sperme chaud couler en moi, me remplir en se mélangeant à la mouille. Epuisés nous nous détachâmes les uns des autres. Quand je roulais sur le côté, je découvris, effarée :Mon neveu les yeux exorbités, son sac à la main, au bord de la piscine
FIN DE LA SAISON 1
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