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Les pilules de sexe

Chapitre 14

Hétéro
J’avais bien fait de prendre un cachet la veille, en me réveillant, les douleurs assaillirent mon corps, me faisant grimacer. Je me levai bien cinq minutes après que mon réveil ait sonné.
En allumant mon téléphone, je vis que j’avais reçu plusieurs messages. Je n’avais pas vraiment eu le temps de l’utiliser. Dès que j’étais rentré, j’avais mangé puis je m’étais allongé dans mon lit en regardant quelques vidéos avant de m’endormir.
Je souris en voyant que Sarah me demandait de mes nouvelles, elle devait s’inquiéter un peu. J’espérais qu’on continue à se parler malgré ce secret, mais bon, il n’y avait aucune raison d’arrêter.
[SMS, Sarah, Sam]< Salut ! Je voulais savoir comment ça allait ? J’ai encore un peu mal alors, j’imagine pas ce que ce doit être pour toi...
Je préférai lui mentir et lui dire que je n’avais plus trop mal même si je souffrais toujours un peu. Apparemment, elle aussi allait mieux (ou elle mentait, je n’en avais aucune idée) et ses parents rentraient tard du coup, ils n’ont rien remarqué.
J’eus également reçu un message de la part de Juliette, je l’avais complètement oubliée elle. C’était aujourd’hui que je devais la voir. Son corps me manquait légèrement ; ses petits seins, son sexe finement épilé aux lèvres roses, sa façon de me sucer et ses cris jouissifs.
J’avais envie de la voir, mais je pensais que c’était une mauvaise idée, j’avais encore trop mal et c’était risqué. Je lui répondis sur le chemin du bus, l’air froid me faisait trembler, ce qui me fit un peu mal. J’espérais avoir une place, rester debout n’était pas une bonne idée.
[SMS, Juliette, Sam]< Oublie pas de venir aujourd’hui chez moi et de ne rien dire à personne ! Je suis en manque et je veux ta queue ! Si tu la fermes pas, je m’occupe de toi !> Salut ! Je suis pas trop dans mon assiette aujourd’hui, je pense pas pouvoir venir. Désolé !
J’appréciais son air autoritaire, ça me faisait sourire (et légèrement peur). Je ne doutais pas de son efficacité pour me faire chier jusqu’à la fin de mes jours si notre relation s’apprenait, ce qui me mettait sur mes gardes. Je soupirai en voyant sa réponse presque instantanée.
[SMS, Juliette, Sam]< Oublie pas de venir aujourd’hui chez moi et de ne rien dire à personne ! Je suis en manque et je veux ta queue ! Si tu la fermes pas, je m’occupe de toi !> Salut ! Je suis pas trop dans mon assiette aujourd’hui, je pense pas pouvoir venir. Désolé !< Eh bah t’iras mieux ce soir pour me prendre ! Je sais que mon cul te plaît alors tu diras pas non !

Comment était-ce possible de vouloir autant baiser, elle n’attendrait même pas un jour ou deux ? Elle n’avait pas tort non plus, j’aimais coucher avec elle. J’eus un message plus plaisant qu’une pseudo-agression aussi.
Anna m’avait envoyé hier soir une photo d’elle en lingerie en dentelle blanche qu’elle venait d’acheter d’après ce qu’elle disait. Je sus lui répondre une fois assis, il ne fallait pas me faire voir dans le bus. Il y avait encore peu de monde dans ce lieu chaud, mais bientôt, il allait être bondé et la masse de personnes allait rendre l’atmosphère étouffante.
[SMS, Anna, Sam]> Salut petite coquine ! Ta tenue est très plaisante ! Excuse-moi, je n’ai pas eu le temps de te répondre.
Tim m’avait également envoyé un message où il réclamait encore des pilules. Je pris alors la décision de lui raconter ce qu’il s’était passé, peut-être qu’il changera d’avis. Le dernier message venait de Jade, son message me fit sourire.
[SMS, Jade, Sam]< Salut beau gosse ! Est-ce qu’une petite ballade le week-end, ça te dirait ? Il y a un coin où il n’y a pas trop de monde, si tu vois à quoi je pense.> Salut ! Je pense que je saurai, je l’espère. Je te recontacte ce soir !
Il fallait que ça aille moins vite ces rapports, mon ego allait augmenter. Je passai ma main sur mon visage en repensant aux entraînements. Judith m’attendrait également, personne n’était au courant pour les pilules à part Anna qui n’était toujours pas prête. J’aurais préféré que ce soient les autres qui décident de coucher plus tard.
Les vibrations de mon téléphone me sortirent de mes pensées, j’allais pouvoir discuter un peu avec Anna.
[SMS, Anna, Sam]> Salut petite coquine ! Ta tenue est très plaisante ! Excuse-moi, je n’ai pas eu le temps de te répondre.< C’est rien, t’inquiète. Je suis contente que ça te plaise ! J’ai bien envie de le montrer de plus près ! > Mmh... ça m’intéresse, j’ai bien envie de te voir comme ça.< Tu me fais rougir là, tu sais que je me touche souvent en pensant à ce que tu pourrais me faire ?> Un jour je te montrerai tout ça !< Oh tu vas m’exciter, arrête ! On se reparlera au soir ? On pourrait s’appeler un peu, t’en penses quoi ?> Ce soir je serai occupé, demain ?< Va pour demain ! à toute, chéri !
Celle-là était vraiment folle de moi, en même temps, moi aussi je serais fou d’une fille qui avait des pilules qui faisaient d’elle une déesse du sexe. On termina notre discussion quand le freinage du bus m’indiqua que j’étais arrivé face à l’école.
Je descendis et avançai vers l’entrée, chaque pas était douloureux et je sentis une sensation de brûlure parcourir mon corps. Je grimaçai en montant les marches jusqu’au deuxième étage. Les murs bruns me rassurèrent, je me sentais en sécurité près de ma classe.
Je m’assis directement près de Tim et entrepris de tout lui raconter. Il me dévisagea ensuite, écarquillant les yeux. Bien vite, c’est un sourire qui s’afficha sur son visage.
— Tu es un héros ! Un héros du cul ! rit-il.— Il y a rien de drôle, j’ai failli y laisser la vie, soufflai-je.— Et comment tu vas faire maintenant ? Au fait, t’as baisé Sarah ? Elle est comment ?
Je soupirai en entendant la fin, il était parfois désespérant. Je commençais à en avoir marre de lui, mais je fis avec.
— J’ai rien fait avec elle, on a failli crever je te rappelle !
J’aurais bien crié, mais je devais parler à voix basse sinon tout le monde m’aurait entendu.
— Je vais devoir m’entraîner, il faut que je sois capable de me défendre, avouai-je.— Toi, te battre ? demanda-t-il en me dévisageant, étonné.— Oui, ça m’étonne moi-même, soupirai-je. Je n’ai pas vraiment le choix, je risque ma vie.— Ces types, tu les connais tous ? s’intéressa-t-il.— Non, je n’ai vu que celui que j’ai tué.— C’est tellement dur à croire, avoua-t-il.
Je lui pardonnai, c’est vrai que moi tuant quelqu’un était l’une des choses les plus improbables. Je n’avais pas un physique avantageux pour me battre et niveau caractère, c’était mieux, mais pas encore ça. Je préférais la fuite au conflit.
— Pourtant, c’est ce qu’il s’est passé.
On se tourna vers la voix qui avait dit ça. Sarah se tenait face à nous, devant notre banc. Elle avait tressé ses cheveux et portait une jupe noire et un haut blanc.
— Tim, tu devrais prendre ça au sérieux, dit-elle.— Oui, je vous crois, avoua-t-il.— Sam, j’ai quelque chose à te demander, commença Sarah.
Je ne sus pourquoi, mais en voyant son regard sérieux, j’eus un mauvais pressentiment.
— Je veux m’entraîner aussi.
Je la regardai un instant sans bien comprendre. Elle n’était pas en danger alors ça n’aurait servi à rien.
— Mais pourquoi ? demandai-je.— Avec ce qu’il s’est passé... Elle eut les larmes aux yeux quand elle dit ça, l’état de choc était encore présent. Je me sens concernée, continua-t-elle. Je pense aussi que tu auras besoin d’aide, on ne les connaît pas...— J’ai pas envie que tu sois en danger, alors je préfère pas.— Alors, écoute-moi bien, commença-t-elle d’un air autoritaire. De un, tu es aussi en danger seul et je m’en voudrais de ne rien faire alors que je suis au courant. De deux, ils s’en sont pris à moi alors je me sens en danger également. Et dernièrement, t’as pas le choix.
A cet instant, je compris une chose : ne pas contrarier Sarah.
Dès qu’elle fut partie, je vis que Tim me lança un regard lourd de sens. Il m’imaginait déjà coucher avec Sarah, je fis non de la tête et soupirai. Même si Sarah était plutôt plaisante à regarder, d’ailleurs je me souvins que je l’avais vue en culotte avant l’attaque. Elle était sans doute au courant, mais n’avait rien dit.
Tim ne m’accompagnerait pas, je le savais. Non qu’il refuse de m’aider, mais il me faisait confiance et me laissait choisir de le protéger en le mettant à l’écart.
Le reste de la journée passa normalement, sans soucis. Vint vite le soir où comme je m’y attendais, Juliette vint vers moi. C’était la première fois qu’elle venait près de moi en public, Tim se posait même des questions.
— Bon le nul je t’emprunte ton pote intello, il doit m’aider en anglais.
Elle était intelligente, j’avais de très bonnes notes en anglais alors ça semblait normal que j’aide. Tim n’imaginait pas que j’allais coucher avec elle d’ici quelques heures.
Je la suivis donc Juliette en la reluquant, son jean était quelque peu moulant, ce qui rendait la manière dont elle bougeait les fesses très agréable à regarder. Juliette avait déjà son permis, ce qui fit qu’on prit sa voiture. Dès qu’elle ouvrit la porte en bois donnant sur le salon, elle me sauta dessus et me colla au mur.
— Ta queue m’a trop manqué ! s’écria-t-elle en me caressant et m’embrassant.
Woaw ! Je ne l’avais jamais vue aussi chaude. Je me dépêchai de prendre la pilule jaune pendant qu’elle déboutonnait mon pantalon. Elle sourit et écarquilla les yeux avant de me branler.
— Elle est vraiment grosse... T’as couché avec quelqu’un d’autre ? me demanda-t-elle.
J’ignorais pourquoi, mais je préférai lui mentir.
— Non, elle est juste pour toi, cochonne.
Elle engloutit ma bite en me regardant de ses yeux bleus. Je frémis en sentant sa langue passer sur mon membre et en entendant les bruits de succion. Elle suçait moins bien qu’Ambre, mais bon sang, qu’est-ce que c’était bien !
Je mis mes mains sur sa tête et enfonçai ma queue dans sa gorge, elle toussota avec mon membre dans la bouche. Elle continua de me sucer les yeux fermés et passa bien cinq minutes à me faire une gorge profonde. Elle souffla en ressortant ma bite, un filet de bave coulant le long de sa bouche. Dès qu’elle eut soufflé, elle me branla et lécha mon gland avant d’enfourner ma verge à nouveau. Elle fit des va-et-vient de plus en plus rapides et caressa mon membre de sa langue jusqu’à ce que j’éjacule. Elle sourit après avoir avalé une grande quantité de sperme, se releva et se déshabilla.
Je rougis en voyant ses seins, ses tétons qui pointaient. Elle avait une petite poitrine, un 85B je pensai, mais était incroyablement séduisante. Je glissai mes mains dans sa culotte et agrippai ses fesses et léchai ses seins. Elle sursauta et bien vite, elle gémit légèrement.
— Mmh... Tu prends les devants cette fois, rit-elle.— T’es si bonne aussi, répondis-je en malaxant ses seins.
Elle rougit à cette remarque et me sourit, c’était bien la première fois qu’elle avait l’air amicale. J’ignorais que ma queue pouvait la rendre plus gentille.
Je n’en pouvais plus, je voulais coucher avec elle, la prendre et vite. J’abaissai son pantalon et sa culotte et la poussai vers le canapé vert. Elle lâcha un cri de surprise alors que je la poussai sur le dos.
— Fais attention ! cria-t-elle en poussant la table basse.
Je plongeai vers son sexe et entrepris de la lécher. Elle plaça ses mains sur ma tête alors que ma langue parcourait sa chatte.
— Mmh... T’es bon ! Mmhhh ! Je pensais pas que t’étais aussi bon ! gémit-elle.
J’étais assez fier de moi, je la tins par les hanches et continuai de lécher ses lèvres, son clitoris et la pénétrai de ma langue. Elle écarta les jambes et se recolla contre le canapé, haletante. Elle gémissait de plus belle et caressait ses seins.
— Tu vas me faire jouir si tu continues ! cria-t-elle en haletant.
Elle se cambra quand je me mis à sucer son clitoris et que je la doigtai en même temps. J’allais de plus en plus vite, elle mouillait de partout et poussait de plus en plus de cris.
— Stop ! s’écria-t-elle.
Je me relevai intrigué, elle me repoussa et se mit dos à moi, les mains sur le dossier.
— C’est ta bite qui va me faire jouir ! J’aurai plus de forces après sinon. Défonce-moi la chatte ! m’ordonna-t-elle.
Elle était vraiment sexy et son air autoritaire en devenait presque séduisant. Je la pris par les hanches et glissai ma queue dans son sexe mouillé, lui arrachant un cri.
L’entendre gémir et crier à chaque coup de reins me rappela Ambre m’excitant encore plus. Me souvenir des courbes de cette séduisante sorcière me chauffait : ses gros seins, son cul bombé, sa sauvagerie et sa douceur.
— Oh putain ! Ouiii ! hurla Juliette en tremblant de plaisir.
Elle se cambrait et bougeait pour rentrer ma queue encore plus profondément dans son sexe. J’entrepris de malaxer ses fesses et de lui claquer le cul lui arrachant un gémissement plus long.
— C’est encore mieux qu’avant ! Oh bordel !
Ses cris d’excitation me poussaient à la pénétrer encore plus vite et plus fort, sa mouille commençait à tacher le canapé vert. J’en pouvais plus, je sentais que j’allais jouir d’une minute à l’autre : sa chatte serrée et trempée, son corps tremblant et frémissant, ses cris et halètements, tout me poussait à bout.
Je jouis d’un coup dans son sexe en poussant un long gémissement.
— T’arrête pas ! cria-t-elle.
J’attrapai ses seins tout en la pénétrant de plus en plus vite, bientôt elle lâcha un cri bien plus fort avant de s’effondrer sur les coussins. Elle reprit son souffle, fermant les yeux.
— Ça va ? demandai-je.
Elle commença à rire en se redressant.
— Je vais avoir mal quelque temps mais oui ! Tu vas devenir un excellent baiseur, me dit-elle. — T’as pas baisé depuis combien de temps ? — Depuis la dernière fois avec toi.— T’es vachement chaude pourtant, dis-je en la prenant par les fesses.
Elle me repoussa gentiment.
— C’est bon, on a fini, me dit-elle sèchement.
J’acceptai ce qu’elle me disait, elle en avait visiblement eu assez. Je m’éloignai et pris mes vêtements.
— Ma sœur va pas tarder alors dégage, vite, ordonna-t-elle en se rhabillant.— Je suis là depuis une heure...
On sursauta tous les deux avant de se tourner honteux vers l’escalier à quelques mètres.
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