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Les pilules de sexe

Chapitre 15

Hétéro
Mon Dieu ! Juliette était une bonnasse, mais sa sœur était encore plus séduisante. Sa minijupe blanche mettait en valeur ses longues jambes fines et le décolleté de son débardeur rouge mettait en valeur sa poitrine généreuse : un 90C sans doute. Son visage était très mignon : gloss rouge sur ses lèvres, des yeux d’un bleu profond. Sa chevelure blonde tombait dans son dos.
Les engueulades me sortirent de mes pensées, c’était Juliette qui criait, très en colère visiblement.
— Angel, tu m’as espionnée ! Grosse conne !— Pas ma faute si les chiennes en chaleur font trop de bruit.— Connasse ! hurla Juliette avant de lui sauter dessus.
Je les séparai alors qu’elles se frappaient et se tiraient les cheveux.
— Hé ! Stop ! C’est pas grave si elle nous a surpris, dis-je à Juliette. Même si c’est très gênant, soufflai-je.— Tu comprends pas ! cria Juliette. C’est une pouffiasse et rien d’autre ! — J’y peux rien si t’es une salope, sourit Angel.
Je retins Juliette avant qu’elle ne lui donne un coup de poing en pleine tête.
— Tu veux pas te barrer !? me hurla Juliette.
Je ne savais pas ce qui me poussait à rester, après tout leur dispute ne me regardait pas. Mais j’avais envie de savoir ce qu’elle avait, ce qu’il s’était passé n’était en rien grave.
— Allez, pars chou, rit Angel.
Je soupirai et partis, mais je comptais bien savoir ce qu’elle avait. Je vis qu’Ambre m’avait envoyé un message, elle voulait accélérer l’entraînement. Normalement, j’avais quelques jours de repos, mais elle préférait que je m’endurcisse tout de suite. Je l’appelai comme elle me le demanda en fin de message.
— Coucou mon mignon, me salua-t-elle. Est-ce que ça te dérange de décaler l’entraînement ?

Je rougis à ce surnom. J’avais envie de la voir.
— Non, tu préfères quand ?— Dimanche ? proposa-t-elle.— D’accord... J’avais envie de te voir, lâchai-je.
Je rougis instinctivement. Pourquoi il a fallu que je dise ça ?
— Mmh... Il se peut que j’allais te proposer de venir me voir, dit-elle sensuellement.— Ouvre le portail coquine, dis-je.
Aussitôt le portail s’ouvrit face à moi. J’y entrai sans attendre. Une atmosphère sensuelle emplissait la chambre et dès que mon regard se posa sur elle, j’eus une érection. Elle était entièrement nue : ses cheveux tombaient sur sa poitrine généreuse, son sexe épilé était légèrement humide et elle avait croisé ses jambes.
Elle porta une pilule noire à ses lèvres et l’avala. Des ailes identiques à celles des chauves-souris poussèrent dans son dos. Ses seins et son cul semblèrent avoir grossi, une queue partit du haut de son cul et vint toucher le sol.
Elle me bondit dessus dans un élan de sauvagerie et m’arracha mes vêtements. Je n’eus le temps de dire quoi que ce soit qu’elle tenait ma bite entre ses mains.
— T’es chaude on dirait, souris-je.— Je vais être... Très vilaine, ricana-t-elle.
Elle ouvrit sa bouche dévoilant des crocs et engloutit ma verge avant de me sucer comme jamais. Je sentis de petits picotements parcourir mon corps, non douloureux, mais comme si une chaleur intense s’engouffrait en moi. Je posai mes mains sur les cornes noires qui étaient apparues sur sa tête : un ronronnement s’échappa de sa bouche occupée.
— Ces cornes t’excitent ? ris-je.— Elles me rendent encore plus sauvage, sourit-elle.
Sa langue s’enroula autour de ma queue et elle la pressa avec ses lèvres. Les va-et-vient qu’elle fit ensuite m’excitèrent au plus haut point.
— Oh putain ! gémis-je.
En un instant, je jouis dans sa bouche. Elle se releva et me plaqua au mur avec violence. Elle coinça ma queue entre ses jambes et s’y frotta : sa mouille dégoulina. Elle me mordit le cou et je plaçai mes mains sur ses fesses. Je décidai d’avaler une pilule brune alors qu’elle me fit des suçons dans le cou.
Elle cria quand mon clone enfouit sa queue dans son cul et qu’il lui empoigna ses seins. D’un coup, je la pénétrai lui arrachant un petit cri, je la pris par ses cornes comme elle semblait aimer. En la sodomisant, mon clone la poussa vers moi, ce qui me permit d’insérer ma queue encore plus loin en elle.
Elle gémit et grogna, elle devenait vraiment sauvage, ce qui m’excitait. LE truc le plus excitant était la sensation : je sentais à la fois son cul étroit s’élargir sous mes coups de reins et son sexe trempé et chaud.
— Alors la tigresse ?! souris-je en la pénétrant des deux côtés.— Tu vas voir... ricana-t-elle.
Elle repoussa mon clone avec ses fesses, une sensation agréable me parcourut. Elle s’envola vers le lit et d’un claquement de doigt, je fus soulevé du sol. Elle m’attira à elle et j’écarquillai les yeux quand elle me poussa sur le lit. Un sourire s’afficha sur mon visage quand elle sortit une paire de menottes. En une fraction de seconde je me retrouvai attaché au lit et elle me chevauchait. Mon clone s’approcha d’elle et lui empoigna les cornes, ses ongles se plantèrent dans mes épaules. Elle se frotta à ma verge sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, sa mouille s’écoulait sur mon corps alors qu’elle poussait des gémissements.
— Tu vas arrêter de jouer à ça ! gémit-elle.
Mon clone la tira par les fesses et l’encula. Elle lâcha un cri et haleta alors qu’il la baisait violemment. Son visage tomba contre le mien, je l’embrassai avec fougue. Tout en lâchant des petits cris, elle se redressa.
— Ah ! Ah ! Bordel ! cria-t-elle.
Elle se retourna, toujours en se frottant à ma queue. Elle se mit à sucer mon clone tout en se caressant à moi. Je pouvais encore sentir toutes ces sensations magiques : la pression exercée par ses lèvres, les picotements de chaleur, sa langue passant autour de mon sexe. Il n’en fallut pas plus à mon clone pour éjaculer dans sa bouche et disparaître. Elle se redressa et se lécha les lèvres.
— Tu n’as pas été très sage, admit-elle.
Elle s’assit sur mon visage et se pencha vers mon sexe. Elle se frotta à moi et me masturba avec une grande rapidité. J’agrippai ses fesses et léchai son cul et sa chatte, toute sa mouille coulait sur mon visage transpirant.
— Oh ouiii ! gémit-elle.
Elle frotta sa chatte à mon visage encore plus rapidement, je la léchai du mieux que je pouvais. Quand je manquais d’air, j’arrêtais et elle se redressait. Je me débattais, la sensation de cette branlette m’excitait, mais j’avais envie de jouir. Elle exerçait une pression m’empêchant d’envoyer la sauce et la sensation me gênait.
Elle se retourna à nouveau et s’empala sur ma verge. Elle fit des mouvements de va-et-vient et se caressa les seins de manière excitante. J’avais envie de la prendre par les hanches, de malaxer sa poitrine, de la baiser avec ardeur. Malheureusement, j’étais attaché.
— Aaah ! C’est si bon ! haleta-t-elle.— Tu m’excites ! détache-moi ! ordonnai-je.
Elle ricana et alla de plus en plus vite, la faisant gémir de plus belle.
— Putain ta bite est bonne ! cria-t-elle.
Elle n’en pouvait plus, elle jouit. Elle redevint normale et tout aussi sexy, les menottes disparurent. Je l’empoignai par les hanches et la pénétrai de plus en plus vite, je caressai ses seins en même temps. Elle cria et retomba sur moi, je passai une main dans son dos et l’autre sur sa tête et l’embrassai.
Elle jouit une nouvelle fois et moi aussi. Elle retomba sur le lit, essoufflée. Je la regardai et souris.
— T’es vraiment chaude... dis-je.— Tu me fais de l’effet, déclara-t-elle.— Toi aussi, soufflai-je.— Tu vas être en retard, sourit-elle en m’embrassant.
Je soupirai, elle n’avait pas tort. Il fallait déjà rentrer chez moi. Mes parents ne croiront pas toujours à mon excuse d’être chez Max. Je me relevai et déposai un baiser sur ses seins.
— Oh, quelle sensualité, rit-elle. A dimanche mon mignon, finit-elle en ouvrant le portail.— A dimanche ma coquine préférée, souris-je.
Je me rhabillai et passai le portail, pile à côté de chez moi, parfait. Je pus rentrer à temps pour que personne ne se doute de quoi que ce soit. Je m’empressai d’appeler Sarah, il fallait que je la mette au courant.
Elle me répondit directement, comme si elle m’attendait.
— Hey ! Ça va ? me demanda-t-elle.— Oui et toi ? Euh, Ambre a programmé l’entraînement à dimanche, est-ce que ça t’irait ?— Oui. Oh, j’ai rien de prévu du coup ça irait, tu passeras me prendre ?— Oui bien sûr !
N’y pensez pas trop, je parlais bien d’aller la chercher pour l’amener dans l’autre monde. Avec ce qu’il s’était passé l’autre jour, je préférais ne rien faire surtout qu’elle refuserait sûrement.
— D’accord ! Bah à dimanche du coup !— Ouais, à dimanche ! raccrochai-je.
Je n’oubliai pas non plus d’envoyer un message à Jade pour le lendemain. Je n’aurais jamais pensé qu’un jour je coucherais avec autant de filles et si souvent. Je m’y faisais à cette nouvelle vie bien qu’elle était légèrement dangereuse.
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