Hello, ça fait longtemps ! Un chapitre plus court pour ne pas trop vous faire attendre, l’inspi m’avait quittée et je n’eus le temps d’écrire. MAIS ! Je vais m’occuper de cette histoire et il n’y aura plus des mois d’attente ! Je pense qu’un petit rappel des noms s’impose, après tant de temps, je crains que beaucoup aient oublié quelques persos : Julia : c’est la sœur de Sam. Marie : c’est la sœur de Tim. Jade : c’est l’amie de Marie que Sam a rencontrée chez Tim et aussi dans la piscine. Elena : c’est la voisine de Sam, il s’était incrusté chez elle avec la pilule d’invisibilité. Anna : c’est l’amie d’Elena qui a contacté Sam, il ne l’a pas encore rencontrée. Juliette : c’est la première fille avec qui Sam a couché. Et celle qu’il revoit de temps en temps pour coucher. Angel : c’est la sœur de Juliette. Judith : sorcière et amie d’Ambre. Ambre : sorcière. Sarah : une nouvelle amie de Sam qui va revenir souvent, c’est elle qui s’est fait attaquer en même temps que Sam. Pour le coup, les persos qui vont revenir le plus souvent sont : Judith, Ambre et Sarah.
Celles qui vont revenir souvent, mais moins : Jade, Juliette, Julia et Anna. Les autres reviendront, mais vous pouvez attendre quelques chapitres pour ça. Sur ce, bonne lecture.
Résumé du précédent chapitre : après avoir passé un vendredi plus que torride avec Juliette et Ambre, Sam passa son samedi avec Jade. L’entraînement allait également débuter le lendemain, afin de mieux se protéger lui et Sarah face aux mercenaires recherchant les pilules. —----------------------------------------------------------------------------------- Aujourd’hui, c’était sortie. J’espérais que cette journée allait être paisible et excitante. J’avais envie de retrouver Jade, je me rappelais de la façon dont on s’était chauffés à la piscine. J’étais parti en bus jusqu’à chez elle dans l’après-midi. Elle avait noué ses cheveux bruns en queue-de-cheval et était vêtue d’un minishort et d’un haut mettant en valeur sa poitrine. — On irait bien chez moi, mais mes parents sont là alors vaut mieux pas, me dit-elle.— T’as une idée derrière la tête ? souris-je. Elle me sourit, ses lèvres étaient recouvertes d’un rouge à lèvres et j’avais bien envie de les embrasser. — Peut-être, viens et tu verras. Il y a un coin sympa isolé dans les bois. J’avais bien compris ce qu’elle voulait faire et je décidai de la suivre, la baise en pleine nature, c’était un truc complètement nouveau pour moi. Avec une fille comme elle, ça allait être super, j’en étais convaincu. Nous marchions, longeant la lisière des bois jusqu’à nous engouffrer dans cette forêt. Le temps était parfait pour coucher en pleine nature ; chaud, un vent doux qui sifflotait dans les feuilles des arbres. Seul le frottement des feuilles se fit entendre en ce lieu. Une fois que nous étions assez loin, elle me colla contre un arbre et me fit un suçon dans le cou. — Il n’y a jamais personne dans ces coins, murmura-t-elle. Elle commença à se frotter à moi, une érection pointa le bout de son nez. Je rougis et souris, je me doutais bien qu’elle avait une chose en tête. Je posai mes mains sur ses fesses rebondies et me frottai à elle. Ses lèvres se posèrent sur les miennes et nous nous embrassions langoureusement. — Cap de me mettre deux doigts dans le cul, me susurra-t-elle avant de mordiller mon cou. Le rouge me montait aux joues, je ne dis rien, pris par l’excitation. Elle était déjà bien excitée, ça se voyait ; elle haletait et se frottait plus vite à moi. Je glissai ma main sur ses fesses froides et caressai son anus la faisant frémir. Elle lâcha un petit cri en sursautant quand mes doigts entrèrent dans son petit trou serré et chaud. — Oui... Hmm... Doigte-moi... Je n’avais jamais doigté de cul avant et je devais avouer que ce n’était pas désagréable ; j’allais doucement au début pour ne pas lui faire mal et bien vite je compris qu’elle aimait la vitesse. Je fis des va-et-vient de plus en plus profonds, plus rapides ; elle se colla à moi en gesticulant et gémissant. Ses yeux étaient fermés et je sentais son souffle chaud dans mon cou. — Oui... Aaah... Aaahh. Je l’embrassais et allai encore plus vite ; la voir rouge comme ça m’excitait. Elle se débattait et gémit de plus belle sous mon doigté. Soudainement, elle prit ma main et la retira en m’ordonnant d’arrêter. — Déjà ? râlais-je.— Tu as bien mérité une récompense, souffla-t-elle en passant sa main dans mon pantalon. Le contact de ses doigts sur mon sexe me fit frémir et sursauter ; elle saisit ma verge et me branla, de son autre main elle déboutonna mon pantalon. Elle s’agenouilla face à mon sexe durci, au contact de ses lèvres sur mon gland, je gémis. Elle exerça une faible pression des lèvres et lécha mon gland en tournant sa langue. — Oh que c’est bon, gémis-je en fermant les yeux. Elle enfourna ma queue petit à petit dans sa bouche et fit des va-et-vient. Quand elle s’amusa à jouer avec sa langue, la glisser contre mon membre, j’étais encore plus excité. Elle finit d’y aller en douceur ; tout en caressant mes couilles, elle exécuta des mouvements plus longs et profonds, elle enfournait l’entièreté de ma bite dans sa bouche et me lécha partout. Ses lèvres pressèrent mon membre et ses bruits de succion m’excitèrent. L’excitation est beaucoup trop grande, sans pilules, mon endurance baisse énormément ; je jouis dans sa bouche dans un long râle de plaisir. — Ton sperme a bon goût, sourit-elle. Maintenant, et si tu me broutais la chatte ? Hors de question de refuser. Elle abaisse son pantalon et sa culotte et se couche dans l’herbe fraiche, attendant que je m’occupe de son sexe. Je passai mes mains sous ses cuisses et attrapai ses hanches ; ses petites lèvres serrées étaient déjà bien humides quand je passai ma langue dessus. J’écartai ses poils bruns et léchai son sexe, lui arrachant un petit sursaut. J’y allai doucement au début, la faisant juste frémir et puis bien vite, je passai à la vitesse supérieure. — Bouffe-moi ! cria-t-elle. Je mis toute mon énergie à lécher chaque recoin de sa chatte, de ses lèvres et je rentrai même ma langue à l’intérieur. — OH PUTAIN ! Je fondis sur l’intérieur de sa chatte, agitant ma langue dans tous les sens. Je partis ensuite à la recherche de son clitoris et le léchai aussi. Elle haletait et se cambrait, excitée comme jamais. Quand elle sentit mes deux doigts venir en aide à ma langue, elle poussa un énième cri. Mes doigts s’agitèrent dans sa chatte, allant la caresser au plus profond d’elle tandis que ma langue léchait son clitoris. — Woaaaaaw ! Elle fut prise d’un violent spasme dans un cri aigu alors qu’un jet de mouille aspergea mon visage. Elle retomba, tremblante, haletante. Une fois son souffle récupéré, elle se redressa et se rhabilla. — C’est tout ? me plaignais-je.— Mmhh... réfléchit-elle. Oui ! On verra si on va plus loin une autre fois. Je soupirai et me rhabillai. Je commençais à bien m’amuser avec elle, je dois dire. — On fait quoi alors maintenant ? demandai-je.— Que dis-tu d’une sortie ciné ? — Normalement le ciné c’est au début du rencard et la baise à la fin, dis-je. Mais oui. Ma remarque la fit rire et ainsi, nous partions en direction du cinéma. Le film qui passait n’était pas terrible, mais j’aimais bien passer cette journée avec elle. Surtout que même si on n’avait plus couché, elle continua de me chauffer ; elle me caressait la cuisse jusqu’à mon sexe me faisant bander. Je passai également mes mains sur ses jambes nues. Ce petit jeu dura jusqu’au soir où je rentrai chez moi. Et dire que demain, j’allais passer une journée à m’entraîner. J’ignorais encore ce qu’allait être cet entraînement me permettant de stopper les mercenaires, mais j’étais prêt.
