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Les pilules de sexe

Chapitre 19

Hétéro
Ce chapitre sera le dernier de cette histoire, j’ai cru que je pouvais continuer pour vous offrir la fin, alors que je ne prends plus plaisir à écrire cette histoire, mais je m’étais trompé. Je ne sais pas si je reprendrai un jour ou si je recommencerai, mais je n’arrête pas d’écrire, j’ai d’autres projets que je juge mieux et qui arriveront bientôt !
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Précédemment, Sam reprit les cours après son premier entraînement. Juliette devint son plan cul et lui promit qu’il coucherait avec son fantasme s’il humiliait sa sœur.
Récapitulatif des filles présentes dans ce chapitre qu’on voit peu :
Elena : voisine de Sam chez qui il s’était rendu en invisible.
Jade : fille que Sam a rencontrée chez Tim, une amie de sa sœur.
Angel : sœur de Juliette.
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De retour chez Juliette. Il me fallait avouer que j’étais un peu inquiet à l’idée de ce plan ; j’ignorais si sa sœur allait accepter de coucher avec moi. Juliette eut la brillante idée de me faire passer pour son copain ; chose qui ne me déplaisait pas du tout.
Angel était là, on le savait, la musique gueulait depuis sa chambre. On regardait un film dans le canapé. Tout semblait trop normal, on ne couchait même pas ensemble.
— Si tu veux, on peut s’envoyer en l’air en attendant ? proposai-je.
Je grimaçai du coup de coude que je me pris dans les hanches. Elle se leva ensuite, les marches grincèrent ; Angel descendait. Elle nous sourit.
— Bon, je vais aux toilettes, dit-elle.

J’espérais qu’Angel vienne, je voulais que ça marche ; pas spécialement pour coucher avec elle, mais aussi pour aider Juliette. Comme prévu, elle arriva ; elle portait un décolleté blanc laissant lui arrivant au nombril ainsi qu’un minishort moulant.
— Alors, comment ça va avec ma sœur ? me demanda-t-elle en s’installant près de moi.— Oh ça va, répondis-je.— Tu es fidèle ? m’interrogea-t-elle.
Je rougis en sentant sa main caresser ma cuisse jusqu’à mon entrejambe. Je compris tout de suite ce qu’elle voulait ; elle n’attendait même pas, Juliette ne m’avait pas menti.
— Détends-toi, me souffla-t-elle. Tu as l’air perturbé.
Je rougis encore plus quand elle se mit à caresser mon sexe délicatement à travers mon pantalon ; je commençais à me sentir serré dans mon pantalon ; une vague de chaleur m’inonda, l’excitation commençait à prendre le dessus.
Je posai mes mains sur ses seins, elle sourit et gémit ; je caressai ses seins si gros, si fermes. Elle se mordit la lèvre inférieure et me fit un suçon dans le cou avant de se redresser.
— Viens, allons dans ma chambre !— Et Juliette ? demandais-je.— Tu vas briser son petit cœur comme mon cul, sourit-elle.
Elle était vraiment chaude et horrible avec sa sœur. J’acceptai de la suivre et avalai la pilule blanche dès qu’elle eut le dos tourné ; avec ça, le plan allait fonctionner à merveille. Je rougis quand elle enleva son haut ainsi que son soutien-gorge révélant sa grosse poitrine. Je m’empressai de les malaxer et de sucer ses tétons durcis par l’excitation ; bien vite, elle gémit.
— Ouh ! Tu perds pas ton temps ! sourit-elle.
Elle me repoussa gentiment et s’empressa d’abaisser mon pantalon ; l’excitation monta en moi de plus en plus. Je m’assis sur le lit alors qu’elle empoigna ma queue, un sourire de malice aux lèvres.
— Oh putain, elle est énorme, souffla-t-elle. Je comprends pourquoi elle y tient tant ! Mais maintenant, elle est à moi !
Elle sourit en me masturbant délicatement puis de plus en plus vite ; elle alternait la vitesse et me caressait le gland de sa main et de sa langue qui me léchait. J’étais de plus en plus excité et je devais me retenir de ne pas jouir, ce qui fut plus compliqué quand elle se mit à me sucer. Elle exerçait une pression jouissive avec ses lèvres et le contact de sa langue sur mon gland me procurait beaucoup de plaisir ; il n’y avait pas plus douée qu’Ambre, mais Angel n’était pas loin du tout.
Je parvins à me retenir le plus longtemps possible ; heureusement, elle sortit ma queue de sa bouche à temps.
— Maintenant, tu vas me défoncer mes trous ! ronronna-t-elle en m’embrassant.
Nous nous déshabillions de tous nos vêtements et elle s’avança vers moi, entièrement nue ; je bandai tellement elle était sexy. Je pris en main son cul bombé bien ferme et me frottai à sa chatte duveteuse.
— Mets-la-moi dans la chatte ! m’ordonna-t-elle.
Enfin, notre plan allait être mis à exécution ; je n’avais pas besoin de me retenir bien longtemps. Dès que j’aurais éjaculé, elle serait recouverte par ma semence et Juliette n’aurait qu’à la prendre en photo.
Je la poussai sur le lit, soulevai ses cuisses et rentrai brutalement dans sa chatte serrée, lui arrachant un cri mêlant douleur et plaisir.
— Aah ! Vas-y ! Défonce-moi avec ta grosse bite !
Sa chatte était serrée, mais elle mouillait tellement que j’y rentrais sans problème ; chaque va-et-vient lui fit pousser des cris de plaisir.
Je passai mes mains de ses hanches à ses seins et la pénétrai toujours plus ; elle haletait, gémissait et sourit. Je compris que je la rendais folle ; la voir excitée comme ça me donnait chaud. Je sentis que j’allais exploser ; alors qu’elle poussa un long râle de plaisir, j’explosai : elle fut projetée de l’autre côté du lit et fut tapissée de sperme, de même pour ses draps. Elle fit une mine de dégoût et quand elle vit sa sœur la prendre en photo, elle explosa de rage.
— Sale pute ! gueula-t-elle en tentant de se relever de ces litres de sperme.
Je sortis avec Juliette qui riait aux grands éclats : nous avions réussi.
— Magnifique ! rit-elle. Comme promis, je t’arrangerai le coup avec Lola ! — Parfait !
Je la dévisageai quand elle se mordit la lèvre inférieure et fixa mon sexe encore dur.
— Je vais régler ça ! me dit-elle.
Je lâchai un cri de surprise quand elle s’agenouilla et me suça ; c’était toujours aussi bon. Elle me branlait et fit des va-et-vient avec sa bouche sans oublier de me lécher, un vrai délice. J’avais bien trop été excité pour me retenir plus longtemps ; je jouis dans sa bouche, elle avala et se releva.
— On remettra ça, allez vas-y.

*
Quand j’arrivai chez moi, je vis qu’Ambre était là, le sourire aux lèvres, et vêtue d’une très belle robe blanche.— Tout va bien ? lui demandai-je.
— Oui ! s’écria-t-elle en sautillant. Regarde !
Elle me tendit une feuille ressemblant à un brevet : "Ambre Spencer, vous êtes nommée grande gagnante du concours par le jury." Un sourire se dessina sur mon visage. J’aurais préféré assister à cette remise de prix, mais j’étais tout de même content pour elle.
— C’est génial !— Oui ! Merci pour tout Sam. Je te laisse les pilules. On se reverra peut-être un jour.
Elle m’enlaça. Je n’en revenais pas, c’était fini. Cette folle aventure touchait à sa fin et maintenant, j’étais seul. Je ne lui montrai pas qu’elle allait me manquer et la saluai en souriant alors qu’elle franchit le portail...
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