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Les portes de l'interdit

Chapitre 2

Inceste
2 Nouveaux départs
Quatre jours plus tard, Guy avait envoyé Jean travaillé comme manutentionnaire dans une de ses sociétés situées à 250 kilomètres du manoir. Il lui avait trouvé un appartement situé à proximité et il ne pourrait revenir qu’une fois par mois. Je l’avais convaincu qu’on ne pouvait pas tous rester à la charge complète de mon père. Il fallait que l’un de nous gagne de l’argent et c’était à son tour après les cinq ans qu’il avait passé à ne rien faire. Jean fût très contrarié de ne pouvoir vivre la vie de château, il c’était imaginé continuer à se la couler douce en version luxe. Mais je lui avais fermement expliqué qu’il était hors de questions qu’on vive au crochet de mon père. J’avais repris contact avec lui pour une aide momentané afin qu’on se remette sur les rails. Je lui menti en disant que quand il aurait remboursé les dettes du foyer et gagné assez d’argent, on s’installerait de nouveau tous ensemble. Jean argumenta que mon père avait les moyens de tout payer pour nous, Je l’abusais en lui expliquant que mon père était un grippe-sou, et que pour moi il avait déjà été difficile de lui demander de l’aide. Alors il était hors de question de lui demander de l’argent. Résigné, Jean accepta de partir là ou son beau-père l’expédiait.
Ma chambre jouxtait celle de mon père et une porte permettait de communiquer entre les deux. Celles des filles étaient situées à un étage inférieur et à l’autre extrémité de la bâtisse. Ainsi comme tous les soirs, quand je rejoignais mon père dans sa couche, nous pouvions faire autant de bruits qu’on le souhaitait. Et ce soir là justement, nos ébats étaient intenses. Papa était allongé, je le chevauchais. Les cuisses écartées, mon sexe empalé se mouvait autour de la bite bien raide de mon père. Le torse droit mes seins se muaient au rythme saccadé de mes hanches. Ma peau pale frissonnait, mes tétons dur pointaient, mes poils pubiens suintaient, tout mon corps illustrait la satisfaction. Sous moi mon père, mon objet du désir, je le trouvais magnifique. Sa peau légèrement ridée et chaude, son ventre bombé, ses poils grisonnants me faisait mouiller abondamment. Il promenait ses mains sur tout mon corps, s’attardait sur mes hanches, mon ventre et mes seins. Ces deux belles poires bien fermes, il les titillait, les pinçaient, les malaxaient avec délectation. Je m’adonnais à cet accouplement sans aucune retenue, vivant et appréciant pleinement notre union interdite.Mon père saisit mes fesses et les attira fortement contre lui pour s’enfoncer le plus profondément en moi ou il éjacula sa copieuse semence. Je le rejoignis aussitôt dans la jouissance en sentant ce fluide chaud me garnir les entrailles. Après quelques minutes où nous réprimes notre souffle, il me questionna.
« -Flo . »« - Oui ? »« -Tu as déjà eu envie d’essayer avec une femme ? »« -Oh papa, aurais tu encore quelques fantasmes inassouvis ? »« -Ce serait bien possible, mais tu n’as pas répondu à ma question. »« -Je n’ai jamais eu ce genre… d’inclinaison, mais cela ne me dégoûterai pas d’essayer. »« -Si je te le demandais, tu le feras ? »« -Comme je te l’ai dis papa je ferai tout ce que tu voudras, si tu désire me voir faire l’amour avec une femme, je le ferai. » « -Je ne veux pas te contraindre à des choses qui te dégoûtent. » « -Ne t’inquiète pas, cela me plais que tu me soumettes a tous tes fantasmes. Je veux te servir et assouvir toutes tes pulsions, même les plus perverses, comme avant. » « -Je me suis longtemps demandé si c’était a cause de mes perversions que tu étais partie, alors tu es sure de ce que tu me dis ? »« -Absolument, j’adorais partager et me soumettre a tes dépravations. Je t’ai dis pourquoi j’étais partie et ce n’est vraiment pas a cause de ça, j’étais une gamine idiote qui a eut peur d’être dénoncée par une vielle folle. Te servir me rend heureuse, mon bonheur est de contenter le moindre de tes désirs. Tu peux tout me demander, rien ne me rebutera, je suis à toi et tu peux faire ce que tu veux de moi. »
Cette déclaration rendait Guy perplexe, mais il en était également grandement réjoui. Cela raviva aussi son regret de toutes ses années perdues.
Papa m’annonça qu’il couchait occasionnellement avec Sabrina sa jeune domestique. A 22 ans cette belle plante n’avait pas froid aux yeux et appréciait beaucoup et de multiples façons son patron, la partie a trois se ferai avec elle.
Une après midi ou Marie et Anaïs étaient partie en ville faire du shopping avec la carte de grand père, nous saisîmes l’occasion de passer à l’acte. Papa appela Sabrina dans le salon pour qu’elle nous serve un café. Elle arriva dans sa tenue de soubrette en portant le plateau. Une fois servis il lui demanda de venir s’asseoir sur ses genoux, elle hésita un bref instant en raison de ma présence mais s’exécuta tout de même. Elle savait que son patron ne faisait rien au hasard et que sa dépravation n’avait pas de limite. Une fois sur ses genoux il commença à lui caresser les cuisses et à lui embrasser le cou. Elle lui caressa la nuque tout en jetant de temps en temps des regards vers moi, cette situation la troublait visiblement. Puis les choses s’accélérèrent, il glissa sa main sous sa jupe et commença à la masturber au travers de sa culotte. Il l’embrassa a pleine bouche et de son autre main, lui cajola les seins. Sabrina était franchement allumé par cette situation, elle remarqua que Florence avait commencé à se toucher en les regardants. Elle se dit que ses deux là jouaient à des jeux dangereux mais diablement excitant. Guy lui murmura a l’oreille un ordre inattendu, elle le regarda puis acquiesça. Elle se leva, se dirigea vers moi, puis s’agenouilla. J’avais relevé ma robe, poussé ma culotte sur un coté et utilisait intimement deux doigts sur mon sexe. Sabrina porta son visage entre mes cuisses et se mis à me lécher la chatte. Je trouvais cette sensation exquise, différente de celle qu’un homme pouvait prodiguer. J’écartais mes lèvres vaginales de mes deux doigts pour offrir mon clitoris à la soubrette et m’abandonnais à sa langue experte. Sabrina léchait, lapait délicatement puis plus intensément, enfonçait sa langue dans ma fente, aspirait mon jus, mordillait mon clito, enfouissait ses jolis doits dans ma chatte. C’était un délice de se faire brouter le minou par une telle experte, si bien que j’en eus une forte jouissance. Mon père c’était approché pour apprécier le spectacle, il avait ouvert son pantalon et se frottait la bite.Sabrina passa de la fille au père et absorba le sexe de Guy. Sa bouche pleine des sécrétions de Florence, elle suça avidement la queue de son patron.J’avais repris mes esprits et m’’agenouillais à coté de la servante, je me mis à lécher les couilles de mon père. Après quelques instants Sabrina fut prise d’une envie immorale et elle me présenta le pénis de papa. Je la regardais dans les yeux comme si un défit était lancé. Guy jubilait d’assister à une telle situation. J’ouvris ma bouche, sortis ma langue et léchais le dessous de la bite de mon père, les yeux toujours rivés a ceux de Sabrina. Puis j’engouffrais la pine dans ma bouche et me mis à la sucer. La domestique n’en revenait pas d’assister à une telle chose, mais cela l’émoustillait franchement et elle se caressa devant ce spectacle. Guy ordonna à Sabrina de se déshabiller et de s’allonger sur le divan. Une fois fait, il délivra sa queue de ma bouche et me désigna la fente lisse de notre complice. L’envie d’y goutter c’était fortement développée en moi depuis le début de nos jeux et je ne me fis pas prier. J’essayais de rendre la pareille à cette jeune garce, et j’y parvins puisque Sabrina gémissait sous mes coups de langues. Ma salive et la mouille de la soubrette souillaient mon visage et l’entrecuisse de celle-ci. Guy n’en pouvait plus, il saisit une jambe de Sabrina, la fit pivoter et planta sa bite dans sa chatte. Intoxiquée par la saveur de cette femelle, je suivis le mouvement et continuais à lui lécher le clito alors que mon père la pilonnait. Puis prise d’un instinct vicieux je me mis derrière papa, lui caressais les couilles pendant qu’il besognait son employée et enfin je me mis à lui lécher le cul, puis l’anus, enfonçant même ma langue dans son rectum. Cette sensation fit éjaculer papa dans un râle sauvage. Quand il se retira, son sperme s’écoula de la fente de Sabrina, j’eus envie d’y goûter et collais de nouveau ma bouche sur cette chatte baveuse. Je léchais et avalais tout le sperme qui s’échappait et finis d’aller le recueillir au creux de sa fente. Sous mes coups de langues enfiévrés Sabrina fini par jouir a son tour. Alors que je finissais de lécher le pourtour lisse du sexe de la soubrette, papa s’approcha de mon oreille et me dit une chose prodigieusement perverse.
« - Imagine que cette chatte soit celle de Marie. »
Cette suggestion me figea, instantanément je me vis en train de lécher le sperme de mon père s’écoulant de la chatte de ma fille. Cette vision me submergea et me plongea dans l’abîme du vice. Même si une telle idée était totalement nauséabonde, je voulais que cela se produise, je voulais que mon père baise ma fille et même mes filles devant moi. Cette image me rendit folle de désir, pourtant je savais que c’était extrêmement mal et pervers.J’étais simplement revenue pour être de nouveau la femme de mon père, mais jamais je n’avais escompté y joindre mes filles.Mon père était un grand pervers, je l’avais toujours su, et depuis le début j’adorais le suivre dans ses dérives sexuelles. Pourtant je ne m’étais jamais considérée comme active, comme responsable de ses actes éhontés. C’étais mon père, c’étais lui l’adulte et je faisais ce qu’il me demandait en fille obéissante. Bien sûr, il ne m’avait jamais forcée a quoi que ce soit, j’avais toujours été consentante car comme je vous le disais j’y prenais également un immense plaisir. Et puis il y avait eut les paroles d’Aurore et tout c’était inversé dans ma tête, j’avais crue que j’étais la seule responsable, j’avais crue que c’étais moi qui rendait mon père comme ça. Il m’avait fallut un temps interminable pour comprendre que ce n’étais pas vrai, ce n’étais pas uniquement moi ou lui, c’était les deux.
J’avais cette terrible tendance à apprécier le vice alors j’avais tenté de vivre une vie normale, d’enfouir et d’oublier ces penchants immoraux. J’y étais parvenue longtemps et puis… Maintenant j’étais face à mes choix, je compris que si je franchissais ce pas, je sombrais définitivement dans la dépravation. Moi aussi je serais coupable si je le laissais faire, je serais partie prenante d’un nouvel acte d’inceste. Mais ce choix je l’avais déjà fais depuis c’est appel vers les frontières du passé. La morale et les lois je m’en fichais totalement désormais, mon père était ma seule référence, il était ma loi. J’étais aussi perverse et dépravée que lui, j’étais sa fille et ce que me suggérait mon père a cet instant je le trouvais extrêmement attrayant alors pour toute réponse, je l’embrassais a pleine bouche tout en saisissant son pénis et le masturbais. Bien vite il rebanda et je le fis pénétrer en moi. Unis dans un langoureux accouplement, je lui chuchotais :« - Papa, il me tarde de te voir baiser mes filles, je vais te les offrir et tu pourras tout leurs faire. »Papa qui avait déjà deviné que j’acceptais de joindre Marie a nos débauches sexuelles fut ravi que j’envisage d’y inclure également Anaïs. Il exultait, je l’accompagnais dans toutes ses pulsions obscènes et incestueuses. « - Tu participeras, je veux que tu sois là quand je les prendrais. » « - Bien sur, il est hors de question que je n’y assiste pas. Je ferais tout ce que tu voudras. Je leur lècherais la chatte, je leurs ferais boire ton foutre, je leur dilaterais le cul pour que tu les encules. »Toutes ses paroles ignobles nous portèrent à l’orgasme. Sabrina, subjuguée par notre coït incestueux, s’agenouilla devant nous et nettoya nos parties génitales de sa bouche.
Cela faisait maintenant quelques semaines que nous habitions au manoir et Anaïs exprima l’envie de voir son père plus souvent, Guy y vit une opportunité. Il paya le billet de train pour qu’elle aille rendre visite à son père pendant quelques temps. Ils voulaient profiter de cette occasion pour séduire Marie. Dés le départ d’Anaïs, nous emmenèrent sa sœur faire du shopping dans de prestigieux magasins, vêtements, bijoux, sacs, papy la gâta sans compter. Marie était éblouie par la générosité de son grand-père et heureuse de partager ce moment avec sa mère. Elle était également soulagée de ne plus être avec son père, contrairement a Anaïs, elle ne c’était jamais biens entendue avec lui. A midi nous mangèrent au restaurant et firent de nouveaux quelques boutiques dont une de lingerie. Papa nous laissa seule dans ce magasin ou nous essayâmes toutes deux de nombreux et affriolants dessous, et comme il nous l’avait permis, nous achetâmes tout ce qui nous plut. En fin d’après midi nous rentrèrent pour nous préparer à la soirée que Guy avait concocté, nous nous parèrent de nos nouvelles tenues.
Marie se croyait dans un rêve, après la longue période de vache maigre, aujourd’hui c’était le faste et la richesse. Elle se demandait ce qui avait retenue sa mère de reprendre contact avec son père si longtemps. Cette question la taraudait depuis un bon moment et elle tirerait ça très prochainement au clair. En tout cas elle, elle trouvait Guy charment, généreux et attentionné, son futur mari devrais être comme lui pensa t’elle. Guy les invita dans un très grand restaurant, les mets étaient très fins et pour la plupart inconnus a Marie. Elle se grisa légèrement avec les grands crus qui les accompagnaient, le tout servis avec élégance dans un merveilleux décor raffiné. Puis se fut le théâtre où ils rirent de bon cœur en assistant à une pièce de boulevard. De retour au manoir ils se servirent une liqueur pour clôturer cette mémorable journée. Ils étaient dans un petit salon intime à l’étage, la lumière était sensiblement tamisée, l’ambiance donnée par l’ameublement était confortable, feutré et chaleureuse. Alors que Guy s’était momentanément absenté pour se mettre plus à son aise en se glissant dans son pyjama, je demandais malicieusement à ma fille.
« - Tu ne pense pas que l’on devrait remercier ton grand-père pour cette merveilleuse journée ? »« -Je lui aie déjà dit au moins cinquante fois merci mais je veux bien le faire encore. »« -On pourrait peut être lui faire part de notre reconnaissance d’une manière plus originale. »« -Bien sur, mais a quoi pense tu exactement maman? »« -Hé bien, on pourrait profiter des achats de cette après-midi pour lui faire un défilé en petite tenue. Il sera content de voir que l’on apprécie les cadeaux qu’il nous fait. »« -Tu délire maman, tu ne pense pas que ça pourrait le choquer de nous voir à moitié nues ? »« -Au contraire, ça doit faire un moment qu’il n’a pas vu de belles jeunes femmes de cette manière, ça lui fera immanquablement plaisir. » « -Tout de même, c’est ton père et mon grand-père je ne suis pas sure que ce soit convenable, surtout qu’il doit avoir des principes sur pleins de choses. »« -Ne t’en fais pas pour ça, je le connais mieux que toi et je t’assure qu’il apprécie beaucoup ce genre de chose. »« -Quand même ça me gène un peu de faire ça devant lui. »« -Tu es pudique, tu n’ose pas montrer ton corps ? »« -Non, mais c’est un peu étrange, un peu troublant, non ? » « -Ne t’inquiète pas, on est justement en famille et je trouve normal qu’on puisse faire ce genre de choses entre nous. Mais si c’est trop difficile pour toi de faire ce petit cadeau a ton grand-père, tant pis. »« -Non, non je vais le faire, si tu es sure que ça lui fera plaisir, je veux vraiment le remercier pour tout ce qu’il fait pour nous. Il est tellement gentil et adorable, je vais faire ça avec plaisir pour lui. »
Après que papa fut revenu, on lui suggéra de bien se caler dans un fauteuil pour apprécier le spectacle que nous allions accomplir en son honneur. Au bout de quelques minutes nous revîmes uniquement parées de nos lingeries et les mains chargées de celles que nous allions utiliser pour le show. Papa c’était servit un cognac hors d’âge et ses yeux pétillèrent a notre apparition. Nous avons défilé devant lui, portant nos nouveaux ensembles, ils étaient tous très sexy, à dentelles ou en satin.
Visiblement sa mère avait raison, se dit Marie, Guy appréciait beaucoup leurs prestations tant il les félicitait de leurs choix, les complimentait, faisant l’éloge de leurs charmes.
On se mouvait avec grâces et nous prenions des poses de plus en plus aguicheuses au fil de notre exhibition. Nous avions débuté avec les plus sages, mais maintenant certaines devenaient très coquines. Papa nous dévorait du regard, pour le final je portais un string noir assorti à un bustier et Marie avait des dessous et un porte-jarretelle rouge.
Sous l’effet de l’alcool et par une étrange excitation Marie c’était pris au jeu et voulait rivaliser avec sa mère pour recevoir les approbations et les compliments de son grand-père. Elle voulait lui plaire, qu’il la trouve jolie et digne de louanges.
Je sentais que ma fille c’était prise au jeu et il était temps de battre le fer tant qu’il était chaud. Soudain je m’assis sur les genoux de papa et l’embrassais sur la bouche, puis je le regardais en disant :« - C’est pour te remercier de tout ce que tu as fait pour moi, papa. »
Marie ne sembla pas choquée et s’assit à coté de lui et alors qu’il tournait la tête vers elle, elle l’embrassa également d’un petit baiser suave sur la bouche. « -Merci papy. » dit-elle simplement.Mais l’ambiance avait changée, une tension électrique c’était répandue dans l’atmosphère. Nous étions collées à lui, en tenue légère et provocante, le souffle de Marie c’était accéléré et sa peau frissonnait.
Elle adorait son tout nouveau grand-père, il lui offrait une vie de rêve, la comblait de cadeaux et de compliments, elle était séduite et peut être même un peu amoureuse. Alors quand il se pencha vers elle pour l’embrasser de nouveau, elle le laissa faire parce qu’elle en avait envie. Leurs lèvres se collèrent échangeant un doux baiser. Marie était dans une sorte de troublante allégresse, il lui semblait qu’elle ne réagissait plus de manière réfléchie, elle répondait plutôt a des pulsions. Ils échangèrent plusieurs baisers tout aussi tendres, son trouble s’accentua, des barrières mentales qu’elle croyait bien établie s’effondraient comme un château de cartes. Enfin quand elle senti sa langue effleurer ses lèvres, elle entrouvrit sa bouche acceptant un baiser bien plus charnel. Leurs langues se mêlaient, ce baiser était délicieux et enivrant. La main de Guy c’était posée sur sa joue, elle sut qu’elle l’aimait et que des choses totalement inconcevables étaient désormais possibles. Le baiser s’arrêta, Marie perçut le regard de sa mère, un regard approbateur et complice, elle comprit qu’elle ressentait la même chose pour Guy.
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