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Les portes de l'interdit

Chapitre 6

Inceste
Marie et moi nous rendîmes donc à la chambre d’Anaïs, la peur de la réaction de ma fille à ce que nous nous apprêtions à lui dévoiler me glaçait le sang. Surtout après ce que nous venions d’apprendre sur ce qu’elle avait vécue avec son prétendu père. J’étais pétrie de remords et de regrets, je n’avais qu’une envie fuir. Heureusement que Marie était avec moi sinon je ne sais pas si j’y serais parvenue. Je doutais fortement du bienfondé de notre démarche mais mon père l’avait décidé et je me pliais a sa volonté, je devais lui faire confiance. C’est avec une horrible boule au ventre que je pénétrais dans la chambre d’Anaïs. Dés qu’elle nous vit elle se précipita vers moi.
« -Maman pardon ! Pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je suis folle excuse moi. » Elle avait deviné que sa sœur m’avait tout raconté, je la pris dans mes bras et la serrais très fort contre moi. Je la laisser vider les larmes de ses yeux et attendais qu’elle reprenne ses esprits.
Nous nous assîmes toutes trois sur son lit et j’entamais la discussion la plus difficile de ma vie.
« -Ta sœur m’a tout raconté ma puce. »« -Elle a bien fait, c’était trop lourd de garder ça secret. Maman je suis désolé. Avec papa je, je ne sais pas ce qui c’est passé… tu dois me détester. »« -Pas du tout ma chérie. Sache que je ne t’en veux absolument pas pour ce qui est arrivé entre vous. Par contre je lui en veux beaucoup a lui pour la manière dont il t’a traitée ensuite. »« -Je sais que vous allez vous séparer et c’est à cause de moi. » déclama Anaïs en sanglots.« -Calme toi ma belle. Je ne vais pas quitter ton pèr… Jean à cause de toi. » Après une grimace de dégoût je poursuivais. « -Je vais le quitter parce que je ne l’aime plus et que c’est une larve immonde et un porc ! » lâchais-je la voie pleine de haine.« -Maman ne dit pas ça, papa a des problèmes et il n’a jamais été fort pour les gérer alors il perd les pédales c’est tout. » « -Arrête de lui trouver des excuses, il t’a traitée comme la dernière des putes, comme un bout de viande. J’aurais compris votre relation charnelle si elle avait été accomplie dans l’amour. Crois moi je l’aurais parfaitement acceptée, mais lui, il c’est juste servis de toi. »« -Oui, je sais oui. Mais moi je l’aimais, j’étais jalouse de toi et, et… et je t’en voulais de le traiter si durement. Alors j’étais contente de le retrouver là-bas et d’être que tout les deux, c’était merveilleux. Il m’a aimé et je lui ai tout donné, tout. »« -Si tu savais a quel point je peux comprendre ça Anaïs. »« -Oh maman je t’ai trahie et pourtant tu ne m’en veux pas, tu aurais vraiment accepté ça entre nous ? »« -Oui. » Anaïs pleura un long moment contre moi, je la laissais s’abandonner.« -Quelle ironie maman, je pensais que c’était toi la méchante qui nous avait fait quitter Paris pour venir s’enterrer ici, toi qui humiliait papa en le forçant à aller travailler pendant qu’on se la coulait douce ici. Et en fait c’était lui le monstre qui n’a aucune âme, aucun amour pour nous. Pardon maman. »« -Anaïs je, moi aussi je dois t’avouer une chose et te demander pardon, parce que… Jean n’est pas ton père. » Le visage de ma fille se décomposa.« -Quoi ? Mais non, mais pourquoi tu dis ça ? »« -Parce que c’est la vérité et qu’il est primordial que tu sache ça aujourd’hui. »« -Mais, non ce n’est pas possible. »« -Je te le jure Anaïs. »« -Mais, mais il le sait lui que je ne suis pas sa fille ? »
« -Oui. »« -Ah oui ? Dit elle éberluée, c’est alors que son regard se posa sur sa sœur. Et Marie ? »« -Hé bien évidemment ta sœur était déjà née et j’étais enceinte de toi quand j’ai rencontré Jean. » Anaïs avait les yeux hagards, après un long silence elle demanda :« -Tu le savais Marie ? »« -Je l’ai appris pendant que tu étais avec pa… avec Jean. »« -Putain, mais alors c’est qui notre père ? »« -Votre père c’est mon père, c’est Guy. »« -Quoi grand-père est notre vrai père ? Marie ? » Questionna t’elle incrédule en se tournant vers sa sœur.« -C’est vrai. »« -Comme toi je suis tombée amoureuse de mon père, mais lui il partageais cet amour. » confiais-je a ma fille.« -Sauf que Jean n’est pas mon père! Et pourquoi si vous vous aimiez tu es partie alors maman? »« -A cause d’une personne qui avait tout découvert et qui m’a fait peur afin de m’éloigner de lui. »« -Je comprends pourquoi tu étais si compréhensive de ma relation avec papa maintenant ! »Cria Anaïs en colère.« -J’étais, je suis comme toi. »« -Non tu n’es pas comme moi, Jean n’est pas mon putain de père, je suis donc pas une salope incestueuse comme toi. »« -Pourtant tu as clairement dit à ta sœur que c’est le fait de coucher avec ton papa qui t’excitait le plus. »« -Elle t’a dit ça… »« -Oui. »« -Eh bien oui c’est vrai ! »« -Et c’est heureux parce que Jean n’a jamais fait d’étincelle avec sa petite bite molle. »« -Maman ! » s’écria Anaïs offusquée, mais cette remarque salace lui décrocha un sourire.« -Quoi, c’est pas vrai ? »« -Si, il n’était pas très performent. » Répondit-elle à peine gênée. « -Hé oui, rien à voir avec le chibre de ton grand-père, crois moi ! D’ailleurs c’est aussi pour ça que je suis revenue ici, pour retrouver une vraie queue bien dure et endurante. »« -Mais maman, j’hallucine, comment tu parle ! »« -Oh ne fais pas ta mijaurée, je t’ai déjà entendue discuter avec tes copines. »« -Oui bon, mais toi ce n’est pas pareil… Et alors tu recouche avec lui et il est si en forme que ça papy ? »« -Oh oui, demande a ta sœur.»« -… Comment ça, pourquoi je dois demander a Marie ? »« -D’après toi ? »« -Elle vous a surpris ? C’est ça Marie ? »« -Heu… pas vraiment. »« -Ce qu’on veut te dire, c’est que Marie fait l’amour avec Guy, elle aussi a goûté a l’inceste. »« -Quoi ? Mais comment ? »« -Il m’a tout simplement séduite Anaïs. Et tout comme toi je trouve ça si excitant de savoir que c’est… mon père quand on fait l’amour. Quand il me prend je suis heureuse, comblée. Quand je sens son sexe en moi et que je sais que c’est celui qui m’a faite j’en retire un immense plaisir. C’est pervers je sais, mais j’adore ça, rien que d’y penser j’ai envie de me caresser et de jouir. »« -Mais ce n’est pas possible, pas toi Marie ! Toi qui est si réservée et si sage. Je, je ne te crois pas, vous me faites marcher. »« -Pourquoi on ferait ça ? »« -Pour, pour me déculpabiliser de ce que j’ai fais. »« -Ah oui, tu crois ! Alors dis moi ce que c’est ça. » Lui demandais-je en ouvrant la nuisette de Marie pour dévoiler son sein maculé du sperme de son grand-père. » Anaïs resta si interloquée par mon geste qu’elle remarqua à peine la tache encore poisseuse sur la peau de sa sœur.« -Oh, un peu de sperme de papy, il a dû tomber de ma bouche après la pipe de tout à l’heure. »« -Non vous déconnez, ce n’est pas du sperme. » s’entêta a nier Anaïs.« -Goûte pour vérifier dans ce cas ! » Dis-je en capturant une portion avec mon ongle pour le déguster sous les yeux éberlués d’Anaïs. « -Humm délicieux ! »« -Oui goûte sœurette. » approuva Marie en posant sa main délicate sur la nuque d’Anaïs. Puis elle l’attira vers l’endroit ou sa poitrine était souillée. Anaïs hypnotisée opposa une résistance à peine perceptible et se laissa entrainer vers la poitrine de sa sœur. Elle s’immobilisa à quelques centimètres et huma discrètement. Elle eut un léger froncement de sourcil, ce qui était ravissant cela dit, puis avec hésitation sortit le bout de sa langue pour goûter la substance. « -Putain, c’est bien du sperme… Alors toi et maman vous couchez avec papy ! »« -Oui, on ne te mentais pas. Comment tu as trouvé le goût ? Tu as aimé ? » Questionnais-je.« -Je sais pas, j’ai juste testé pour voir ce que c’était. »« -Lèche le reste si tu en as envie. » dis-je en lui tendant le sein de sa sœur. Anaïs me regarda d’un air bizarre et interrogateur. « -Vous avez l’air d’avoir une relation pas du tout normale toute les deux non plus. Depuis quand tu te laisse tripoter les nichons par maman comme ça, Marie? »« -Oh, et bien… »« -J’ai aidé ton grand-père à la séduire et prise au jeu nous avons eu une relation… a trois. »« -Bordel, je m’en doutais, vous êtes devenues lesbiennes, des lesbiennes incestueuses. »« -Tu dis ça mais ça n’a pas l’air de te choquer. Tu n’arrête pas de regarder ma main caresser le sein de ta sœur. »« -Je, heu… »
Profitant de son trouble, je dirigeais de mon autre main le visage de Marie vers le mien et l’embrassais à pleine bouche. Ce fut un baiser très sensuel et extrêmement excitant. Quand on sépara nos lèvres Anaïs nous regardait comme si elle venait d’entrer dans un magasin de sacs de luxe. Elle avait une envie folle d’acheter mais ignorait qu’elle avait la carte de crédit pour le faire. Il ne me restait plus qu’a lui dévoiler qu’elle avait désormais une platinium pour s’offrir la luxure.« -Je t’aime autant que ta sœur, et ce que je partage avec elle je veux le partager avec toi. »« -Mais maman, c’est, c’est de l’inceste. »« -Oui, mais c’est surtout de l’amour. Et l’inceste ne ta pas freinée quand tu as cru coucher avec ton père. »« -Mais et toi Marie ? Et papy ? »« -Je t’aime comme maman. Et papa ne désire rien d’autre que notre bonheur et nous aimer toutes les trois. » Les yeux d’Anaïs brillaient et de petites larmes apparurent aux coins de ses jolis yeux bleus. Elle qui croyait être rejetée après ce qu’elle avait avouée se retrouvait dans une spirale d’amour familial, un amour charnel, un amour incestueux et total. J’approchais ma bouche de la sienne et comme je l’avais fait quelques instants auparavant avec sa sœur, j’échangeais avec elle un baiser langoureux. Puis Marie l’embrassa à son tour. Elles partagèrent leur premier baiser avec une fougue qui me surprit, elles étaient vraiment beaucoup plus proches que je ne le pensais. Je dirigeais de nouveaux le visage d’Anaïs vers le sein de Marie et cette fois-ci elle le téta sans aucune retenue ne laissant aucune trace de la semence de papa.« -Tu as aimé le goût de la crème de papy ? »« -Oui, mais j’en voudrais encore maman. »« -Ce n’était qu’une mise en bouche, tu en auras beaucoup plus et de la toute fraiche quand tu la prendras directement a la source. En attendant que dirais tu de goûter autre chose ?»Toujours assise sur son lit je défaisais la ceinture de mon peignoir. J’avais une jambe repliée contre ma cuisse et l’autre posée au sol. Mon action eut pour effet de laisser filer les pans de tissus de chaque côté de mes cuisses, dévoilant mon sexe. Je pouvais deviner qu’il luisait d’excitation en humant les effluves qui s’en dégageaient.
Sans dire un mot Anaïs baissa son buste pour approcher son visage de mon pubis, je dépliais ma jambe pour lui en donner un accès total. Bien moins timide qu’au début de sa sœur, elle inhala fortement à quelques millimètres de ma chatte pour en apprécier pleinement l’odeur puis sans hésiter elle me donna un très doux coup de langue sur toute l’étendue de ma fente.Elle prit le temps de savourer mes sécrétions qu’elle avait récolté avant de déglutir puis elle se remit à me lécher longuement. Je voyais ses cheveux blonds onduler entre mes cuisses au rythme de ses lapements. J’étais très excitée, Anaïs me dévorais littéralement la motte. Je posais ma main sur sa nuque pour accentuer la pression de sa bouche. Marie avait finit d’ôter mon peignoir et avait posée ses lèvres délicate sur mon téton gauche. La fraicheur de sa langue me procura un petit choc électrique. Je poussais mon bassin coutre la bouche d’Anaïs espérant enfoncer encore plus sa langue dans mon vagin. Je ruisselais comme une source au printemps emplissant sa bouche de mes jus qui débordaient sur ses joues et son menton.Anaïs avait la croupe dressé, elle portait une chemise de nuit blanche avec de minuscule fleurs violettes, les bordures de son vêtement étaient violet eux aussi, une vraie chemise de nuit de petite fille. Je tirais sur le tissu au niveau de son dos découvrant ses adorables fesses. Cette vision m’enflamma d’avantage et je murmurais à sa sœur de lui caresser la minette.Marie s’exécuta aussitôt, bientôt un clapotis m’indiqua qu’Anaïs était aussi trempée que moi car sa sœur avait introduit un ou plusieurs doigts dans son intimité. Cela amplifia l’euphorie d’Anaïs qui redoubla d’ardeur sur ma chatte, elle s’hasarda même à descendre de quelques centimètres pour explorer ma rondelle. Je ne la décourageais pas et bien au contraire exprimais ma satisfaction par quelques gémissements explicites. Elle accentua alors mon exploration anale en poussant sa langue dans l’interstice de mon rectum. C’était délicieux d’autant plus qu’elle eut la bonne idée d’insérer simultanément deux doigts dans ma chatte.
« -Oh oui, c’est bon Anaïs, bouffe moi le cul, branle moi la chatte ! Continue, plus fort ! Oui c’est bon ma chérie ! »« -C’est bon maman, tu aime ma langue dans ton cul ? »« -C’est délicieux mon bébé, continu à me bouffer le fion j’aime ça ! » Anaïs obtempéra et prolongea sa cajolerie buccale un long moment. Puis j’eu très envie de jouir.« -Remet ta langue sur mon clito et continu à branler mon vagin avec tes doigts. Oui, Voila comme ça ! Je vais jouir, je vais jouir dans ta bouche Anaïs ! »
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