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Les portes de l'interdit

Chapitre 7

Inceste
Je m’effondrais dans un orgasme ravageur, parcourue de spasmes violents. Il me fallut quelques minutes pour émerger de cette extase. Je constatais que Marie avait délaissé ma poitrine pour passer son visage sous la croupe d’Anaïs, elle lui léchait la moule avec autant d’enthousiasme que sa sœur me l’avait fait quelques instants plus tôt. Anaïs avait le visage enfouis dans ses draps, se mordant la lèvre inférieure pour ne pas hurler de plaisir. En ne positionnant au dessus de Marie, je décidais de l’aider a donner du plaisir à Anaïs. Je lui enfonçais ma langue dans le fion comme elle me l’avait prodigué un peut plus tôt. Mon acte eut un effet immédiat en extirpant une plainte de plaisir d’Anaïs. Je me délectais de son anus en l’enduisant d’une salive abondante qui ruisselait sur son scrotum s’insinuait entres les lèvres de son vagin et finissait par s’égoutter dans la bouche de sa sœur. D’ailleurs de temps en temps je descendais un peu ma tête pour que ma langue rencontre celle de Marie et nous nous embrassions lubriquement sur la fente d’Anaïs. Je réalisais alors que nos corps se frôlaient, se touchaient, se berçaient dans nos sueurs mêlées. J’abaissais mon bassin vers celui de ma fille et collais ma chatte à la sienne. Nous entreprîmes de masturber nos clitoris l’un contre l’autre. J’étais entre les jambes de Marie ma fente collée à la sienne et nos mouilles se mélangeaient dans un chuintement obscène. Je replantais ma langue dans le cul de mon autre fille tandis que mon ainée lui lapait la minette. Il me sembla que la jouissance nous submergea presque simultanément, ce fût long, ce fût délicieux.
Mais nous étions insatiables et dans un spectacle que papa appréciait du coin de la porte, nous formâmes un triangle parfait ou chacune léchait la chatte d’une autre. Nous nous emmenâmes ainsi à une autre extase.
On se laissa alors aller dans une légère somnolence qui nous permit de reprendre notre souffle et nos esprits. Je m’agenouillais ensuite sur le lit et enjoignais d’un petit geste mes filles à me rejoindre dans cette position. Les unes face aux autres, nous communièrent interminablement dans un baiser à trois langues ou s’exprima notre nouvel amour incestueux.
Papa nous laissa tout le temps nécessaire pour profiter pleinement de cet instant unique entre femmes, entre mère et filles, entres amantes. Quand il fût temps, alors que nous nous tenions les mais dans cet extraordinaire trio saphico-incestueux, papa entra dans la chambre. Il était temps d’ouvrir notre triangle, de passer à une autre forme géométrique.
« -Anaïs, permet moi de te présenter à nouveau celui que tu sais être ton grand-père et qui est donc aussi ton père. »« -Bonjour Guy. » Dit simplement Anaïs. Je m’inquiétais soudain, peut-être était-il trop tôt pour qu’elle ait de nouveau envie d’approcher un homme après sa déconvenue avec Jean. Mais elle me rassura aussitôt en lui tendant la main pour l’inviter à nous rejoindre, il s’agenouilla avec nous.« -Grand-père, maman m’a tout raconté et je suis heureuse de tout savoir après ce qui m’est arrivé avec pa… avec Jean. Je crois que si je l’avais su avant ça je l’aurais mal pris mais maintenant au contraire ça me soulage. »« -Je me suis déjà occuper de régler son compte a ce pathétique personnage ma princesse. Il ne te causera plus jamais de problème. » Dit papa en lui prenant la main.« -Tan mieux, je ne veux plus jamais le voir ni entendre parler de lui. »« -Il en sera ainsi Anaïs. »« -Merci papy, c’est bon de savoir qu’un homme prends vraiment soins de nous. »« -C’est parce que je vous aime toutes les trois, vous êtes mon sang et plus encore. »« -Je sais papy… Viens avec nous, viens nous aimer. »« -C’est ce que tu veux Anaïs, que je t’aime de la même façon que ta mère et ta sœur ? »« -Oui, c’est ce que je veux. Je veux que mon vrai papa m’aime totalement et sans retenue. » Souffla t’elle en lui tendant ses lèvres. Ils échangèrent un baiser qui fut d’abord très tendre puis qui se transforma peu à peu en un échange passionné. Je me positionnais derrière papa et embrassais son cou ridé, je léchais amoureusement sa peau fripée et empoignait son sexe déjà tendu d’excitation. Je le caressais délicatement, mes doigts glissant sur sa verge palpitante. Je passais mon autre main entre les cuisses de ma fille et lui titillais le clito avant d’enfoncer deux doigts dans son vagin.
« -Ta troisième fille a envie de toi elle aussi, elle est déjà trempée a l’idée de faire l’amour avec son papa, son vrai papa. » Je sortais mes doigts poisseux du sexe d’Anaïs et les portait a la bouche de mon père.
« -Goutte ce nouveau cru papa, il est jeune et plein de promesse. Il est fruité et mielleux, il régénérera ton sang en ébullition. » Lui susurrais-je.Papa se mit aussitôt à me téter les doigts. Quand il eut fini j’agrippais les fesses de ma fille et l’attirais vers lui. J’actionnais mon autre main toujours pleine de sa verge pour la passer entre les lèvres tuméfiées d’Anaïs. La pine de papa fut rapidement maculée de son jus.
« -Tu sens comme ma salope de fille a envie de se faire troncher ? Tu sens comme elle désire la bite de son père ? »« -Elle en a autant envie que toi a l’époque. »« -Oui, elle est comme moi, son incestueuse de mère. Elle a envie de s’accoupler avec son papa, de tout lui permettre, de se soumettre à lui. »« -C’est ça que tu veux Anaïs ? Etre une des mes filles dévouées, corps et âmes ? »« -Oui papa, comme maman et ma sœur, je veux être a toi, totalement ! » Papa l’embrassa alors avec la ferveur que je lui connais quand il était dans un grand état d’excitation.« -Allonge toi et écarte les cuisse pour recevoir ton adoubement. » Anaïs s’exécuta fiévreuse a l’idée d’être unie charnellement a son père.Je tenais toujours la bite de papa et la guidais vers l’antre ruisselant de ma fille. Juste a son entée alors que le prépuce de papa pouvait déjà savourer la suave chaleur fiévreuse de sa petite fille, je le retenais.« -Anaïs, ma fille tu vas communier avec ton père dans l’inceste, la plus sublime et merveilleuse façon de s’accoupler. Je suis ta mère et aussi ta sœur, je t’offre a ton père et ton grand-père pour que toi aussi tu connaisses l’extase de l’amour parfais et véritable. »« -Merci maman, je t’aime. »« -Moi aussi chérie. Vas y papa, prend là elle est a toi désormais. » Je relâchais son membre et il s’enfonça dans ses chairs intimes. Anaïs poussa un râle si bruyant que je me demandais si elle n’avait pas déjà retiré un orgasme de cette simple pénétration. Mon père s’activa en elle et Anaïs exprima son plaisir pas de longues et retentissantes plaintes qui étaient très excitantes. Je passais ma main dans ses cheveux et elle portât un regard hagard vers moi. « -Oui ma chérie, ça c’est le plaisir qu’on ressent quand une vraie bite nous prend. Ca n’a rien à voir avec celle de l’autre pouilleux n’est-ce pas ? »« -Oh non maman, rien à voir avec le vermicelle de Jean, ni celle des autres, d’aucun autre. Ahhhhh ! »« -Et aucune autre ne lui sera jamais égale. C’est la meilleure et la seule dont tu as besoin, maintenant et pour toute ta vie. Elle te comblera au delà de toutes tes espérances. Jouis de ton père, jouis avec ton père, prend et donne lui du plaisir. Baise avec lui sans retenue, partout et autant de fois que tu le désire. »« -Oui maman, je veux cette bite encore et encore, ah, ah, je la veux pour toujours. »Je l’embrassais sur la bouche avec la langue, longuement, puis lui embrassais les lèvres.« -Tu es ma sœur, maintenant, ma sœur de l’inceste. »« -Oui maman, je suis comme toi, ta sœur et la fille de papy. » Je la couvrais de baisers jusqu’aux seins ou je m’attardais pour mordiller ses tétons. Je descendais ensuite le long de son ventre plat à la peau irisée de plaisir, vibrant aux coups de butoir de notre père. J’aboutissais à sa vulve aux fins poils blonds collée de ses sécrétions sexuelles. Je les parcourais d’un lent coup de langue pour atteindre son clitoris contre lequel glissait le chibre de papa. Je m’appliquais alors à lécher et à me délecter de ce contact, de cette union, de cet inceste. Au bout d’un moment je remarquais que les gémissements d’Anaïs c’étaient atténué et en me détournant de ma tâche je constatais que Marie avais offert sa chatte a la bouche de sa sœur. Papa poussa un râle puissant en dégorgeant son sperme abondant dans le vagin de sa fille. Quand il se retira je recueillais avec douceur le maximum de semence de sa fente prolongeant la jouissance qu’elle avait connu un instant après son grand-père. Quand ma bouche fût bien remplie je la portais aux lèvres d’Anaïs qui m’embrassa pour goutter à ma récolte. Marie se joignit rapidement à nous pour butiner ensemble le foutre de notre père. Quand il ne resta presque plus rien et que seul un reflet visqueux subsistait sur nos lèvres et nos dents, Anaïs se confia a moi.
« -Maman, papy n’avait pas de capote et il a jouis en moi. »« -Tu n’as pas aimé ? » demandais-je ingénument.« -Si bien au contraire, j’ai adoré sentir son sperme en moi. Mais… »« -Mais ? »« -Je ne prends pas la pilule maman et je risque »« -Et bien c’est merveilleux, toute cette bonne semence qui se répand dans ton utérus fertile. Quelle formidable nouvelle ça serais si papa te fécondait. »«- Oh, mais… Oh maman oui, comme cette idée est fantastique. Je veux être enceinte de papa. »« -J’étais sure que tu en aurais envie. »« -Mais maman, ce n’est pas pervers et abject de vouloir mettre tes filles enceinte de leur père ? » Questionna Marie d’un air faussement offusqué.« -Oui je suis perverse et infâme. Je veux que mes filles suivent mes traces et sombrent dans l’inceste. Je veux que vous vous vautriez dans l’indignité sexuelle et que vous buviez cette ignominie jusqu’à la lie en étant engrossé par votre géniteur, tout comme je l’ai été. » « -On pourrait croire que tu es la pire des mères, mais en fait tu es la meilleure maman. »« -Je ne veux que votre bien et votre bonheur. J’étais si heureuse avant de partir d’ici. Je veux que vous connaissiez ça vous aussi. »« -On le connaitra, en fait on le connait déjà et c’est si merveilleux qu’on ne partira jamais d’ici. N’est-ce pas Anaïs ? »« -Oui Marie. Je vous aime tous et je veux vivre ça tous les jours. Et j’ai hâte de porter le bébé de papa, je veux être enceinte de lui, être enceinte d’un inceste. »« -Ca arrivera vite, comme nous, tes deux sœurs, tu seras sans doute bientôt pleine de notre papa et avec un peu de chance l’une d’entre nous aura un garçon pour perpétrer notre belle tradition… »
Un an plus tard…
Anaïs feulait de plaisir sous les assauts de la queue de son père. Il la prenait en levrette, c’était la position la plus pratique désormais. A huit mois de grossesse elle avait du mal à tenir d’autres positions pour baiser. Papa lui caressait alternativement sa bedaine protubérante et ses seins qui devenaient de véritables mamelles. Ses vieux doigts racornis éraflaient d’avidité la peau tendue de son ventre et les chairs molles de ses nichons. Je me rappelais que papa n’avait jamais été autant vorace de sexe que quand j’étais dans les derniers mois de grossesse. Je ne sais pas si c’était la transformation anatomique ou l’idée d’avoir inséminé sa propre progéniture qui l’excitait tant. Peut-être les deux, en tous cas je m’étais régalé de cette exubérance sexuelle tout comme le faisait Anaïs en ce moment.
Marie revint de la salle de bain, il est vrai qu’enceinte de sept mois sa vessie a moins d’espace et elle doit la vider plus souvent. Elle vint aussitôt embrasser son grand-père, leurs langues s’unirent un long moment puis elle se mit derrière lui. Elle l’embrassa du cou en descendant vers son derche ou elle enfonça sa langue. Papa adorait qu’on lui lèche le trou du cul pendant qu’il baisait.
C’est un merveilleux spectacle que de voir mes deux filles enceinte copuler avec mon père qui est aussi le leur et bientôt celui de leurs enfants.
Anaïs suintait abondamment de la chatte, ça ruisselait de partout et notamment sur les couilles fripée aux poils grisâtres de papa. La salive de Marie venait s’y mêler tant elle mettait d’enthousiasme à lui bouffer le fion. Ses gros seins de future mère ballotaient au rythme des vas et viens du bassin de notre géniteur.
Papa éjacula soudain dans un râle bruyant, déversant son sperme dans les entrailles déjà fécondé par ses soins de sa petite-fille. Il se retira rapidement et Marie se précipita pour le prendre en bouche finissant de récolter ses derniers jets de foutre. Puis elle posa ses lèvres sur la fente dégoulinante de sa sœur pour boire avec gloutonnerie la mixture poisseuse qui en dégoulinait.
Je m’approchais d’Anaïs et lui caressai le ventre à mon tour.« -Ta fille profite de ton plaisir, elle ressent les ondes de jouissances que tu éprouves. »« -Tu crois maman ? »« -Bien sur ma chérie. » « -Hummm, tant mieux alors parce que ce que papa me fait c’est tout simplement sublime. »« - Je suis sure qu’elle aime déjà son papy pour toute les bonnes choses qui lui prodigue. »« -C’est sur maman, tout comme sa cousine qui grandit dans le ventre de Marie. » Me dit-elle en contemplant sa sœur qui profitait déjà d’un regain de vitalité de son père en le chevauchant.
Je plongeais deux doigts dans sa moule béante pour savourer les petits restes que Marie avait délaissé. Puis j’enjambais le corps affalé d’Anaïs et empoignais sa tête pour la plonger entre mes cuisses. Sa petite langue vicieuse se mit aussitôt à l’ouvrage ouvrant les vannes de mon immonde excitation. Elle eut aussitôt la bouche remplie de mes sécrétions sexuelles et l’orgasme incestueux explosa en moi et se déversa en elle.
Je pensais alors, profite mon fils toi qui te développe depuis deux mois dans mes entrailles, ressent le plaisir de ta mère, tu me le rendras un jour, quand tu seras assez grand. Car tôt ou tard ton père ne sera plus là et ta mère, tes sœurs et toutes tes cousines auront besoin de toi !
Alors, a ton tour, tu franchiras les portes de l’interdit !
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