La petite Jessica se tenait debout, tête baissée devant les deux policiers. — Bon, suis-nous maintenant et sans faire d’histoire, lui lance la flic. On va devoir te passer les menottes, c’est la procédure ma belle ! Résignée, Jessica tend ses mains en avant, poignets joins. Les deux représentants de l’ordre se jettent un petit sourire complice, et la flic lui passe les menottes en les serrant bien. Jessica esquisse une petite grimace, mais ne dit pas un mot. Elle ressemble à une poupée de chiffon. Les deux flics la détaillent, satisfaits. Elle est debout, les cheveux ébouriffés, son leggins déchiré à l’entrejambe, ses baskets roses souillées du trop-plein de sperme qui a coulé de sa chatte et son top plein de bave, de foutre et de pisse. Elle est pitoyable, mais elle renvoie toujours image sexuelle étonnamment forte. Plus rien ne l’a gêne maintenant. Elle suit les ordres sans plus. — Avance maintenant, suis-nous…on va te rendre présentable ! Et la petite troupe s’enfonce dans les bois, direction la fameuse cabane. Au bout d’un quart d’heure de marche, ils arrivent devant une petite clairière avec au centre une maisonnette complètement délabrée. Le couple de flics ouvre la porte, ils ont vraisemblablement les clés. Le flic rentre à l’intérieur laissant les deux autres dehors. — Je vais brancher l’eau, va la préparer, lance-t-il. La flic acquiesce et pousse sa prisonnière vers l’arrière de la maison. Là il y a un jet d’eau ainsi qu’une longue chaine attachée a une poulie fixée à un bras en hauteur. La flic saisit la chaine qui pend de la poulie et l’attache aux menottes de Jessica. Celle-ci est un peu surprise, la marche l’a un peu réveillée et elle commence à se demander ce qu’il se passe. La flic tire d’un coup sur la chaine, et dans un cri, la petite Jessica est projetée vers le haut. Elle se retrouve sur la pointe des pieds, les bras tendus vers le ciel, suspendue pratiquement dans les airs. Elle gigote, mais elle ne peut se défaire ! — S’il vous plait, détachez-moi. Qu’est-ce que vous allez faire ? Je vous promets de ne plus le refaire… Pleurniche-t-elle.— Fallait y penser avant petite pute ! lui crie la femme. Maintenant ferme ta gueule et laisse-toi faire sinon tu iras au trou pour un bon moment !!! Sale trainée ! Résignée Jessica cesse de bouger et baisse encore une fois la tête, son regard perdu vers le sol. — Très bien, maintenant on va te foutre à poil pour mieux te laver, tu empestes la pisse et le foutre ! Elle veut protester, mais finalement à quoi bon… La flic s’approche avec un regard lubrique et lui déchire le reste de leggins, lui arrache littéralement son top et lui retire ses baskets. Tout cela dans une violence et une rage qui effraye un peu Jessica. Elle se rend bien compte qu’elle est à leur merci. Mais malgré la peur, elle sent une chaleur dans le creux de ses reins. Cette situation l’excite ! Cette femme qui la domine maintenant lui plait beaucoup. Elle est plutôt mignonne, mais surtout elle a des yeux qui laissent transparaitre une grande perversion !!! Et ça lui plait, elle veut être à sa botte tout d’un coup ! Se laisser faire ! Un plaisir nouveau la gagne. Elle frotte ses cuisses les unes contre les autres pour calmer son excitation. La femme le remarque : — Oh la petite salope ! ça te plait tout ça ? Tu mouilles petite putain ? Et ben on va un peu calmer tout cela
Sur ces mots, elle ouvre le tuyau d’arrosage à fond et envois le jet en pleine figure de Jessica ! Le nettoyage commence, elle étouffe sous le jet puissant du tuyau. Tout son corps y passe de la tête au pied. Au bout de 5 bonnes minutes, la femme réduit la puissance du jet. Jessica est pendante, trempée, épuisée par ce traitement. — Voilà, maintenant l’extérieur et propre, passons à l’intérieur, dit-elle avec un sourire pervers qui réveille l’excitation de Jessica !— Oui madame ! Merci Madame, répond-elle. La femme s’approche, satisfaite de sa réponse, et commence à caresser sa chatte avec le tuyau. Jessica gémit… d’un coup, elle lui plonge le tuyau dans la chatte ! La gamine pousse un cri de plaisir ! Le tube fin et l’eau qui s’en échappe la remplissent entièrement ! Ça gicle de tous les côtés ! La femme flic est aussi trempée qu’elle.Jessica aperçoit ses seins par transparence de sa chemise humide, et elle a les tétons qui pointent ! Elle doit prendre son pied elle aussi ! Sans la prévenir et à bout de force, un orgasme foudroie Jessica, qui ne se prive pas pour hurler son plaisir. La flic laisse tomber alors le tuyau et lui saisit les joues avec ses doigts pour lui rouler une grosse pelle ! Les deux femmes s’embrassent goulument en faisant bien tourner leur langue dans la bouche de l’autre! La flic s’écarte un peu de Jessica, et plonge son regard autoritaire dans le sien. Jessica sourit. La femme lui assène alors une grosse claque. — Ça te fait rire petite chienne ? Les yeux pleins de larmes Jessica répond « Non Madame » — Alors arrête de sourire comme ça ! Tu ne sais pas ce qui t’attend ! — Bien Madame ! répondit-elle résignée. Jessica remarque alors que derrière la femme se trouve son acolyte qui n’a pas hésité à baisser son pantalon et à commencer à se masturber sans gêne. Il a une queue assez courte mais super large ! Elle se surprend à s’imaginer en train de la sucer pour voir si tout arriverait à rentrer dans sa bouche !Sans prévenir, la femme détache Jessica, qui s’effondre sur le sol. Elle reste par terre, avachie comme un sac de patates. — Arrête de te branler Paul! Passe-lui une serviette, qu’elle se sèche et emmène-la à l’intérieur. Lance-t-elle d’un ton autoritaire au flic, qui se dépêche de remonter son pantalon. — Ok Félicia ! Ok je vais le faire ! Ainsi la Maîtresse s’appelle Félicia ! Ce prénom plait beaucoup à Jessica… Maîtresse Félicia ça sonne bien à ses oreilles !Le flic lui passe une serviette. Elle se relève péniblement et se sèche avec toujours les mains menottées. Puis il lui saisit le bras et la pousse en avant pour la conduire à la maison. Tout en marchant, elle sent sa main courir sur ses fesses et un doigt glisser sur sa fente ! Il remonte lentement vers son anus. Il le frôle. Des frissons parcourent le dos de la petite Jessica. — T’es vraiment super bien foutu ma salope ! J’espère que j’aurai l’autorisation de te baiser après ! Elle n’ose rien répondre, mais elle aussi espère en secret pouvoir goutter à sa large bite. Ils arrivent à l’intérieur de la cabane. La déco est sommaire. Pas de meuble juste une table et quatre chaises, une vielle malle au fond et un matelas crade sur le sol. Ils assoient Jessica sur une des chaises près de la table. Maitresse Félicia lui tend un papier avec un stylo. — Voilà signe cette décharge qui nous autorise à employer tous les moyens pour te remettre dans le droit chemin ! Tu ne veux pas que tout le monde sache ce que tu as fait petite salope ? — Non Madame, répond Jessica, soumise.— Regarde toutes les photos que j’ai faites de toi avec tes deux copains… Et Félicia lui montre son téléphone portable. Les photos sont crues et sans équivoques. Jessica est rouge de honte. Elle n’a pas le choix et elle le sait. Mais bizarrement, elle le souhaitait presque…le sexe, la luxure tout cela l’attirait. Et elle allait s’y vautrer !Elle saisit le stylo et signe le papier sans même le lire. Maîtresse Félicia éclate de rire ! Satisfaite !Elle regarde Jessica comme une lionne guette sa proie. — Très bien nous allons soigner le mal par le mal !…Au travail petite salope de Jessica ! …
