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Les quadruplés, un garçon et trois filles.

Chapitre 1

Prologue.

Inceste
Faisons connaissance.
 Petite présentation des protagonistes :Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.Audrey, 26 ansBarbara, 24 ansLes quadruplés : 18 ans -Rose-Marguerite/Margo-Violette-NarcisseLa préparatrice en pharmacie.  
Prologue.
 
Cette histoire commence en 2020, en plein confinement du COVID, du 17 mars au 3 mai.Toute la famille se retrouve dans la maison dont a hérité Hervé SABRE, à la campagne avec des chambres d’hôtes désespérément vides. La demeure est en forme de U avec une grande piscine au centre. La partie centrale sert de partie commune ainsi que de logement aux hôtes, chaque aile a été aménagée en chambres avec commodités et une grande salle de bain commune avec un jacuzzi, une douche à l’italienne et un meuble avec deux vasques.Dans une dépendance, un Spa avec comme dans les pays nordiques, un bassin commun avec une eau brûlante où selon la coutume, tout le monde se retrouve dans le plus simple appareil, comme le pratiquent aussi les Japonais. Audrey et Barbara ont quitté chacune leur appartement en ville et leur petit copain pour venir passer le confinement à la campagne avec leur demi-frère et demi-sœurs, les quadruplés.Rose, Blanche et Violette qui vivent ensemble dans un appartement en ville ont fait de même et retrouvé leur frère Narcisse qui vit avec leurs parents.Parlons de Narcisse, ce n’est pas qu’il est simplet, bien au contraire, mais il est légèrement autiste et ne supporte pas qu’on le touche, à parts ses sœurs, ses demi-sœurs qui ont aussi bien secondé leur mère dans leurs premières années et ses parents. Des quadruplés, ça fait beaucoup de boulot et de biberons. Tatiana les a élevés à la mode finlandaise, sans tabou. Et en plus, les quadruplés sont si fusionnels que souvent, ils se retrouvent tous les quatre en même temps le matin dans la salle de bain, Narcisse sous la douche, deux des filles se lavant dans les vasques, seins nus et en string et la troisième dans le bain à remous. Les filles sont bien seules loin de leur petit copain et les ordis fonctionnent à « donf » pour des visios parfois assez crues. Tatiana est heureuse de retrouver tout son petit monde sous le même toit, se consolant de l’absence forcée de son mari bloqué en Chine. Elle a une peur bleue du COVID. Narcisse est souvent mis à contribution par ses sœurs car il a un don pour tout ce qui est de l’informatique et du petit bricolage. Ses sœurs en profitent éhontément pour la vie courante et il est presque leur esclave sans jamais se rebiffer, faisant leurs quatre volontés. Elles vont même jusqu’à se faire masser par lui, complètement nues, mais elles ne l’ont jamais vu bander. On dirait que le sexe ne le concerne pas. Est-ce un problème d’excitation ?Il faut savoir que tout commence chez l’homme par le cerveau. En effet, lors d’une stimulation sexuelle (physique et/ou mentale), il transmet des signaux vers les nerfs du pénis à travers la moelle épinière. Ceux-ci provoquent alors une décontraction des fibres musculaires entourant les cavités des corps caverneux érectiles. Pour Narcisse, le courant ne passe pas, ou plutôt l’étincelle de départ ne se produit pas et le moteur ne démarre pas. La tumescence du fait de ce relâchement ne peut fonctionner, les artères péniennes ne s’ouvrent pas et les corps caverneux ne se remplissent pas de sang. Le volume du pénis n’augmente pas. Donc chaque sœur se débrouillent, les grandes toute seule dans leur chambre et les trois autres reviennent à leurs premiers émois entre elles en regardant des vidéos pornos, rêvant d’être prises par ces hommes souvent très bien montés. Parfois la conversation dévie sur Narcisse, le seul coq du poulailler. Ça faisait plusieurs années qu’elles n’avaient plus eu l’occasion de prendre un bain commun au Spa avec lui et leur regard est attiré par le bas-ventre poilu de leur frère ou une queue bien que flasque descend pratiquement à mi-cuisses, mais ce qui les surprend le plus, c’est la grosseur de cette verge qui foutrait la honte à leurs petits copains qui arrivent à peine à le concurrencer même en pleine érection.Toute la troupe à part leur mère se retrouve au Spa. Margo s’est collé contre Narcisse dans le bain, caressant sa cuisse gauche, s’enhardissant même petit à petit pour arriver à l’entrejambe, mais sa main butte sur celle de Violette qui a eu la même idée. Elles se regardent un instant puis se saisissent de l’engin de leur envie qui malgré qu’il reste désespérément au repos est suffisamment conséquent pour accueillir les deux mains incestueuses. Mais rien n’y fait, elles n’arrivent pas à le faire bander, c’est à peine si un afflux sanguin dans ses vaisseaux fait frémir sa verge qui se gonfle peut-être un peu. Déçues et sous le regard réprobateur de leurs autres sœurs qui n’ont rien manqué du spectacle, elles relâchent l’objet de leur désir.Les jours passent, le manque de sexe devient de plus en plus exacerbé chez chacune des filles et même leur petit plaisir solitaire n’arrive plus à assouvir leur faim de queues, leurs rêves sont de plus en plus tournés vers le sexe. Mais en fait de sexe, c’est toujours ceinture…Pour les trois triplées, ne pouvant se servir de leur frère, elles retrouvent de vieilles habitudes datant de leurs premières découvertes du corps de l’autre pendant leur jeunesse.Et l’avantage d’être trois, c’est que ça donne beaucoup de possibilités et de positions multiples.  Comme on dit, faute de grives, on mange des merles et faute de chibres, il faut se contenter d’ersatz en silicone et même si on n’est pas lesbienne, des foufounes et des doudounes de ses sœurs. Pas de problèmes pour Rose et Margo, Violette la pudique est plutôt réticente. Dans les prochains épisodes, chaque protagoniste expliquera comment il ou elle a vécu cette période si bizarre, comment les tabous ont dû tomber pour assouvir des besoins de plus en plus pressants. Pas très catholiques ni très juridiquement acceptables, mais quand il n’y a pas d’autres moyens... A suivre… Audrey.
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