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Les récits de Caroline - Un collègue

Chapitre 1

Trash
Je m’appelle Caroline et j’ai 31 ans, je vis en couple avec Guillaume depuis 18 mois. C’est un garçon sérieux, respectueux et peu inventif au lit mais d’une certaine manière cela fait partie de son charme. C’est le gendre idéal: il a un bon travail, de bonnes manières et fait preuve d’élégance en toute occasion; Mes parents l’adorent et j’imagine qu’il en était de même avec ceux de ses conquêtes précédentes.
Il y a quelques années, je ne me serais pourtant jamais imaginée avec un homme comme lui: J’avais découvert et accepté mes envies; Il me faut des partenaires capables de m’amener vers les plaisirs inavouables qui me font tant vibrer.
Malheureusement, je n’ai jamais rencontré de compagnon qui sache faire la part des choses: me faire l’amour avec tendresse la plupart du temps tout en étant capable de se lâcher quelque fois par mois. De la même manière, avoir parfois envie de me faire gifler pendant le sexe ne voulait pas dire que je n’attendais pas respect et attentions romantiques de la part de mes petits-amis dans la vie normale.Je n’ai pas trouvé d’homme qui sache réellement me comprendre et me combler alors j’ai fini par trouver mon équilibre dans ma relation avec Guillaume: Il est prévenant, il s’occupe de moi comme si j’étais une princesse mais régulièrement je m’autorise loin de ses bras les soirées de décadence qu’il ne peut m’offrir.
Est-ce le tromper ? Sûrement mais de toute façon, sexuellement, je suis incapable de me contenter de lui alors c’est aussi une façon d’œuvrer pour la pérennité de notre couple.Je crois que d’une certaine manière il sait que j’ai une sexualité annexe mais nous n’en avons jamais parlé. Tout juste a-t-il parfois ce sourire triste lorsque je lui débite un de mes mensonges habituels pour me libérer le temps d’une soirée ou d’un week-end. Quand nos regards se croisent, il s’en suit un échange non-dit qui me ferait presque renoncer... mais je suis la femme que je suis et j’ai choisi de l’accepter.
Depuis quelques temps, je ressens le besoin d’écrire cette double vie. Sans doute est-ce le fait de ne pouvoir en parler à personne qui me pousse à me livrer de cette manière.
Comme à chaque fois avant d’aller m’installer face au clavier de mon ordinateur, je passe à la salle de bain et je me déshabille devant la glace. Je regarde la jeune femme blonde face à moi, 1m58, les cheveux raides jusqu’aux épaules, une poitrine lourde mais qui commence à souffrir de la gravité, des fesses un peu plus larges que je ne le voudrais mais pas de ventre. Je suis mignonne et sexy mais je ne suis pas une bombe.
Le manque de maintien de mes seins me complexe un peu alors je remets vite un soutien-gorge avant d’enfiler une nuisette. Même dans cette tenue, mon regard est sage, on me donnerait "le bon dieu sans confession" comme aurait dit feue ma grand-mère.
Je sors de la salle de bain pour rejoindre mon bureau; Il est temps d’aller coucher un nouveau pan de ma vie sur le papier.
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C’était il y a un peu plus d’un an, plus précisément lorsqu’au bureau j’ai commencé à tisser des liens d’amitié avec Anne-Charlotte. Elle travaille pour Laurent Grigerbois, un quinqua bien sous tous rapports qui s’entend comme larrons en foire avec mon boss, à tel point qu’ils organisent régulièrement des activités communes pour nos deux services.
C’est d’ailleurs lors d’une sortie accrobranche que j’ai commencé à discuter avec Anne-Charlotte. Jusque-là, je l’avais toujours trouvée snobinarde et hyper coincée; Pourtant, une fois la carapace fendue, elle se révéla être une jeune femme vive d’esprit, assez drôle et capable de légèreté même si son éducation "hyper catho" ressort régulièrement.
Anne-Charlotte est devenue une amie mais elle restait une collègue, je n’ai donc jamais envisagé de lui dévoiler ma double vie. D’ailleurs, je ne me serai pas imaginé parler de sexe avec elle tant il me semblait qu’elle resterait toujours d’une totale discrétion sur ce sujet. C’est pour cela que je fus extrêmement surprise lorsqu’un soir alors que nous venions de descendre deux bouteilles de vin blanc en regardant l’émission "Danse avec les stars", elle me dit tout de go:
— "Et tu es déjà sortie avec un mec du bureau ?"
L’entendre utiliser le mot "mec" était déjà inhabituel, alors dans cette question c’était de la science-fiction. J’ai répondu "non" avec honnêteté et Anne-Charlotte a éclaté de rire en clamant :— "Moi je suis sortie avec Richard"
J’étais sur le cul !Richard est un ancien collègue qui avait démissionné deux ans plus tôt et qui était connu pour avoir eu un nombre conséquent de conquêtes dans la boîte. Je me serais d’ailleurs bien ajoutée à cette liste mais j’étais restée forte et fidèle à ma règle d’or: Ne jamais risquer que quelqu’un du travail comprenne que je suis détraquée pour tout ce qui touche au sexe.
Anne-Charlotte cachait bien son jeu, je ne l’aurais pas crue intéressée par ce type d’homme: coureur, un peu fêtard et sans doute très dégourdi sous la couette. J’avais toujours imaginé ma nouvelle amie dans les bras de garçons bien sages qui lui auraient récité des poèmes du 17eme siècle et caressé le dos de la main en guise de préliminaires.Elle pouffa de nouveau:— "Je crois que j’ai trop bu. J’aurais mieux fait de me taire".
Ma curiosité était piquée au vif alors contrairement à nos habitudes je me fis indiscrète.— "T’es une sacrée cachottière ! Et c’était comment ?"
Elle devint rouge pivoine et se resservit un grand faire de vin pour se donner du courage.— "Ce n’était pas un homme pour moi... Ma pauvre Caroline, si tu savais !"
Évidemment, elle en avait en trop dit pour s’arrêter là. Le beau Richard m’avait toujours plu, près d’1m90, 90 kilos, quarante ans et autant de charme que de charisme; il entrait parfaitement dans mes critères.Je tentais de tirer les vers du nez de ma collègue mais rien n’y fit. Je faisais choux blanc et de toute façon il était l’heure de rentrer chez moi.
C’est le lundi, après le week-end, que je revis Anne-Charlotte. Elle était toute gênée en me saluant, sans doute du fait de m’avoir avoué ses coucheries. Pour la détendre je lui proposais donc de l’emmener manger à l’extérieur plutôt qu’à la cantine, une invitation qu’elle accepta bien volontiers.
A table, elle me fit promettre de ne pas parler de son aventure à nos autres collègues; Je ne l’aurais pas fait mais j’en profitais pour la torturer un peu.— "D’accord, je ne dirais rien mais à une condition: tu me racontes quelques détails."
Elle était encore plus mal à l’aise mais à ma grande surprise elle se lança sans que je n’ai besoin d’insister davantage.— "C’est un malade ce type. Il m’a fait faire des trucs que je ne connaissais même pas ! Et puis en plus, tu vois comment il est, grand costaud avec un ton de directeur, c’était tout le temps comme s’il me donnait des ordres"....— "Je n’ose même pas te dire comment il m’a fait... enfin dans quelle position..."— "...dans quelle position il t’a baisée"
Elle m’a regardé surprise que je parle aussi crûment mais elle a tout de même poursuivi.— "Oui c’est ce que je voulais dire. Il m’a mise à quatre pattes et il m’a prise comme ça sur la moquette de son salon..."— "En levrette"— "Oui c’est ça, en levrette comme tu dis et en plus il n’arrêtait pas de me mettre des claques sur les fesses... mais fort, pas juste des petites tapes".
Il semblait évident que Richard était exactement le type d’homme que j’avais imaginé.— "A un moment, il m’a même tenu par les cheveux. Il tirait fort, ça me faisait mal alors je lui ai demandé d’arrêter mais il m’a mis des fessées encore plus soutenues jusqu’à ce que je me taise".
Elle avait l’air perturbée de me raconter cela mais je crois que cela lui faisait du bien de mettre des mots sur ce qu’elle avait vécu ce jour-là.— "Et puis à la fin, il a écarté mes fesses et il a regardé. J’ai eu l’impression que ça durait une éternité, il s’est masturbé et j’ai senti sa semence venir couler tout le long de ma raie des fesses. C’était horrible."
Richard semblait plein de potentiel et c’était bien dommage que ce ne soit pas sur moi que ses attentions se soient portées. Je m’y voyais: les yeux fermés, ballottée par des coups de reins puissants et enivrée par les sonorités des fessées tombant en rythme sur mon postérieur. Nous étions au restaurant, en plein milieu de la salle mais je mourrais d’envie de me masturber. C’est l’esprit embué qu’une remarque m’échappa:— "Mais ça t’a plu au final ?"
Anne-Charlotte piqua un fard et eu besoin de quelques secondes pour me répondre "Bien sûr que non". Sauf qu’on ne me la fait pas. Il était évident en voyant ses réactions que ce coït différent de tout ce qu’elle avait connu lui avait fait découvrir des sensations qui la mettaient bien plus en émoi qu’elle ne l’aurait souhaité. De mon côté, même si j’avais déjà fait bien pire que ce mon amie venait de me décrire, le séduisant Richard venait de faire irruption en première place de mes futurs fantasmes.
-------------------------------------------Je vais rapidement passer sur mon plan digne d’un agent secret pour reprendre contact avec mon bel ex-collègue et me retrouver à dîner quelques temps plus tard avec lui. Sachez juste qu’il m’a suffi de subtilement cuisiner un collègue que je savais toujours en contact avec lui puis d’une rencontre que Richard crut fortuite à la salle de sport qu’il fréquente tous les mardis et jeudis.-------------------------------------------
Je me retrouvais donc en sa compagnie un soir au Jardin de Shanghai, un restaurant asiatique plutôt à la mode. Arrivée au dessert et repue de banalités, je me lançais enfin:— "J’ai parlé de toi avec Anne-Charlotte, tu sais qu’elle est encore toute perturbée de ce que tu lui as fait".
Il fut comme arrêté net en comprenant que je parlais forcément de son expérience intime avec ma collègue. Mais c’était un homme vif d’esprit; Si j’étais là, en tête à tête avec lui, c’était très probablement que ce que j’avais entendu de ses goûts ne m’avait pas effrayée, bien au contraire.
Il m’a souri, il allait me répondre mais il s’est interrompu quelques secondes. Je pouvais presque entendre les rouages parfaitement huilés de son cerveau tourner à toute vitesse.— "On s’est vraiment croisés par hasard à la salle de sport ?"
Le saloupiot ! Il était encore plus brillant que je ne le pensais. Cette fois, c’était moi qui me retrouvais piégée. Il était trop intelligent pour que j’improvise une histoire alors j’ai joué franc jeu à partir de ce moment. En le regardant dans les yeux, j’ai défait deux boutons de mon chemisier pour lui offrir quelques centimètres carrés de ma peau blanche et bombée avant de me lancer dans des aveux:— "Je ne suis pas comme Anne-Charlotte; je sais apprécier à leur juste valeur les talents d’un homme comme toi".— "J’aime la tournure que prend cette soirée... même si je ne suis pas encore certain que tu n’es pas qu’une sale petite allumeuse".
Son ton avait changé pour cette dernière réplique. Sa voix était pleine d’assurance et d’envie, l’effet sur moi fut immédiat.— "Je peux te prouver que je ne triche pas si tu le souhaites".
Il souriait en me regardant comme un lion contemple une antilope. — "Tu as des bas ou des collants"— "Des collants"— "Dommage. Mais remonte tout de même ta jupe, histoire que l’on voit tes jolies jambes. Elles m’ont toujours beaucoup plu lorsque nous travaillions ensemble."
Je jetais quelques coups d’œil aux tables alentours avant de m’exécuter en me tortillant pour glisser le tissu de ma jupe sous mes fesses.— "C’est bien. Jusqu’en haut des cuisses".
J’avais chaud et j’étais gênée: j’avais beau ne pas être pudique, je n’en étais pas exhibitionniste pour autant. Richard se leva en me lançant un clin d’œil, il en a profita pour regarder mes jambes dénudées sans s’en cacher puis il se dirigea vers le comptoir pour échanger quelques mots avec le serveur. Sur le chemin du retour, il laissa de nouveau ses yeux glisser sur mon corps puis il me complimenta en s’asseyant.— "Et maintenant ?"— "Sois patiente"
Il me regardait toujours en souriant sans que je sache si je devais m’inquiéter.— "Tu aimes sucer ?"
La question tombait tellement de manière inappropriée que je faillis en rigoler.— "Je... oui... oui. J’aime beaucoup de choses"— "Et tu es douée ?"— "Je... je crois"— "Tu vas me montrer"
Je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire mais c’est à ce moment que le serveur déposa une assiette devant moi. Elle ne contenait qu’une banane non épluchée. J’étais tellement perturbée que je n’avais pas vu l’asiatique approcher. Il regarda le haut de mes cuisses en ayant l’air étonné que je sois dans cette tenue mais il est reparti comme il était venu.— "Dégrafe encore un bouton de ton chemisier et montre-moi, avec cette banane, comment tu te débrouilles".
Je sentis mes lèvres intimes s’ouvrir et s’imbiber. Richard était encore plus barré que je ne l’avais imaginé. Je n’aurais pas dû me laisser mener à la baguette sans résister un minimum... mais après tout, j’étais là pour cela, alors à quoi bon ménager les apparences ? J’ai cherché nerveusement le bouton de mon chemisier entre mes seins et j’ai libéré définitivement ma poitrine. Plusieurs fois j’ai regardé à droite et à gauche mais mon surprenant partenaire m’a rassuré.— "Ne t’inquiètes pas; Notre table est plutôt à l’écart et tout le monde s’en fout de ce que nous faisons".
Obéissante, j’ai saisi la banane dans mon assiette mais Richard m’a arrêté et avec son couteau il a taillé l’extrémité du fruit afin que je ne me blesse pas en le mettant dans ma bouche. Ensuite, il a mouillé sa serviette dans son verre d’eau pour nettoyer la peau.— "Tu peux y aller maintenant"
J’ai repris la banane en main pour l’amener à mes lèvres mais j’ai eu un mouvement de recul au moment fatidique.— "Ne te fais pas prier. Imagine que c’est ma queue"
Je n’arrivais pas à croire que tout cela aille aussi vite. C’était abusé de me faire faire un truc comme cela dans un lieu public mais j’avais tout fait pour me retrouver entre les mains de cet homme... Alors... J’ai fermé les yeux, retroussé mes lèvres et je me suis appliquée. J’ai glissé loin sur la tige arquée, doucement et avec sensualité, en soufflant langoureusement à chaque fois que je m’enfonçais.
Quand j’ai pensé en avoir fait assez, j’ai ouvert les yeux mais ce n’était pas du gout de mon futur amant. Les ordres sont tombés, péremptoires et non négociables:— "Encore"...— "Plus profond"...— "Encore"...— "Oui, reste comme ça, tout en bas"
Mon maquillage coulait, j’avais la bouche pleine de salive et en bas j’étais vraiment trempée. Une furieuse envie de glisser mes doigts sur mon clitoris me provoquait des fourmis dans les mains, j’avais besoin de me caresser mais je portais un shorty, des collants et avec ma jupe toujours accrochée autour de ma taille, l’accès était difficile.— "Tu peux arrêter. Effectivement, tu sembles avoir quelques talents.— "Tu me lécheras les couilles aussi tout à l’heure ?"
Même en connaissant la réputation de Richard, je n’aurais jamais imaginé que cette soirée parte en vrille à ce point et qu’il en soit déjà à me parler de la sorte avant même que nous ayons quitté le restaurant.En reposant le fruit dans mon assiette, j’ai compris que deux personnes avaient remarqué notre manège et me regardaient bizarrement. J’étais dans un état second, je m’en moquais. Maintenant, je n’avais plus qu’une envie: me faire baiser et tant pis si cela devait être devant tout le monde.— "Va aux toilettes pour femmes et attends-moi à l’intérieur".
J’ai dû avoir l’air conne ou indécise alors Richard a répété sur le même ton, ferme mais calme.— "Va aux toilettes pour femmes et attends-moi à l’intérieur".

J’ai redescendu ma jupe sur mes cuisses puis j’ai fait mine de reboutonner mon chemisier mais Richard voyait les choses autrement.— "Non. Reste comme ça".
C’est donc débrayée quasiment jusqu’au nombril que j’ai dû traverser la salle. Les toilettes pour femmes avaient été fraichement refaits, la partie lave-main comportait trois vasques en faïence gris clair alors que toute la pièce était carrelé dans les tons noirs brillants. Derrière moi, il y avait les portes de trois cabines WC qui heureusement étaient vides. L’attente fut brève, Richard me rejoignit une minute plus tard avec une clé qu’il utilisa pour privatiser notre improbable lit d’amour.
Il s’approcha de moi lentement et m’embrassa en me serrant contre lui. C’était bon et j’en mourrais d’envie. Il n’y avait pas un gramme d’hésitation en lui, il me prenait comme si j’avais été sa propriété et cela depuis toujours.J’ai senti qu’il faisait quelque chose avec mes cheveux mais ce n’est qu’en regardant nos reflets dans la glace que j’ai compris qu’il me faisait une queue de cheval avec un élastique. Il me retourna ensuite face au vasques et il me fit me pencher en avant jusqu’à ce que mes seins touchent le revêtement du plan de travail. Je ne suis pas très grande mais heureusement je parvenais à me tenir sur la pointe des pieds.— "Mains dans le dos"
Je ne tentais pas de résister mais pour la première fois de la soirée je me mis à avoir peur lorsque Richard releva ma jupe et abaissa mes dessous brutalement pour libérer ma croupe. — "Tu ne bouges pas"
Dans la glace, je le vis enlever sa ceinture puis je sentis le cuir glisser le long de mes fesses. Il leva le bras prêt à fouetter de toute ses forces. J’étais terrifiée: cette fois j’allais recevoir la correction que je méritais depuis des années. A force de me mettre dans des situations incontrôlables, il allait bien arriver un jour ou je m’en mordrais les doigts. Et apparemment c’était ce jour-là.
La ceinture émit un sifflement en fendant l’air au moment où je fermais les yeux. Il fut immédiatement suivi d’un bruit de fracas qui résonna dans tout la pièce. Il me fallut quelques secondes pour comprendre que le fouet improvisé ne s’était pas abattu sur ma peau mais sur la vasque à ma droite.— "C’est bien. Tu n’as pas bougé, tu étais prête à te laisser faire. Rien à voir avec ta copine".
Encore sous le choc, je n’avais pas compris ce qu’il faisait et c’est lorsqu’il serra que j’ai réalisé qu’il avait profité de mon instant d’absence pour nouer mes mains dans le dos avec sa ceinture.— "Mets-toi à genoux maintenant".
Il ne fallait me le dire deux fois. Jusqu’ici tout ce qu’il m’avait fait m’avait perturbé mais sucer c’était mon domaine et j’avais envie de retrouver des sensations familières. En deux secondes j’étais en place, à genoux à même le carrelage et prête à offrir ma bouche.
Richard déballa une verge aux dimensions respectables mais tout ce qu’il y a de plus normale. J’accueillis cette vision avec soulagement: vu le tempérament et l’inventivité de mon partenaire c’était largement suffisant. Mieux valait qu’il ne dispose pas d’un engin d’acteur porno.Ma queue de cheval dans sa main droite, il força mes lèvres pour commencer à baiser mon visage. C’était lui qui allait diriger cette fellation et je n’attendais pas autre chose.
Il ne me maltraita pas, il était même plutôt doux compte tenu des circonstances mais je savais que cela ne pouvait pas durer. J’étais à sa merci dans une position de grande soumission, les mains nouées dans le dos, cela allait forcément déraper. J’attendais ce moment, avec crainte et impatience à la fois.Mes lèvres intimes me donnaient l’impression de se serrer et de s’ouvrir par spasmes pour réclamer d’être pénétrée. J’étais prête à ce que Richard me fasse n’importe quoi.
Il fallut encore attendre quelques minutes puis lorsqu’il sortit sa verge de ma bouche pour l’appuyer sur ma joue je compris que le moment était venu.— "Laisse toi faire même si cela devient plus difficile"— "Tout ce que tu voudras"
Le gland revint sur ma langue puis je sentis une main se poser de chaque côté de mon visage. Richard avança lentement mais irrémédiablement son bassin et millimètre par millimètre il me fit avaler sa verge.De toute mes forces, je tentais de lutter contre le réflexe de déglutition qui voulait m’assaillir et ce n’est qu’une fois le nez au contact du ventre de mon amant que je cessais de retenir le spasme qui me parcouru gorge. Je bavais alors comme une cochonne sur le chibre de Richard qui en profita pour ressortir de ma bouche aussi lentement qu’il y était venu.Le va et vient profond et langoureux se répéta plusieurs fois. C’était une épreuve d’une sensualité folle tant Richard prenait de soin à me faire ressentir chaque parcelle de sa virilité.
Il me tenait fermement comme j’aime, à tel point que ce fut moi qui soufflait un "encore" lorsqu’il fit mine d’abandonner mes lèvres. De bonne grâce, Richard continua de baiser ma bouche en caressant ma joue. Les cuisses enduites de mon envie, je gémissais de plus belle à chaque pénétration, je pouvais difficilement me montrer plus conciliante que cela.
Lorsqu’enfin cette fellation cessa, mon amant m’aida à me relever et il se tint derrière moi. Ses mains firent jaillir mes lobes de leur écrin de dentelles puis elles les caressèrent en alternant douceur et férocité.Je me tortillais de plaisir et d’impatience; Mon corps se languissais tant d’être pénétré que j’en j’avais mal au ventre. Je voulais que Richard me prenne brutalement, qu’il me défonce comme la femelle que j’étais en cet instant.
J’en étais à hésiter à lui avouer cette envie honteuse lorsqu’il me balança entre les deux lavabos. Je me retrouvais le torse contre le plan de travail, face à la glace et mes mains toujours entravées derrière le dos. Mes collants et ma culotte descendus à mi-cuisse, la jupe enlevée, plus rien ne protégeait ma croupe de la verge qui s’apprêtait à me saillir. Richard présenta son gland à l’entrée de ma grotte, il s’insinua de quelques millimètres sans difficulté puis sa main cramponna de nouveau ma queue de cheval.
En même temps qu’il tractait mes cheveux pour me forcer à me cambrer, il me prit avec une violence inouïe et il fit résonner le claquement de nos peaux dans un fracas indescriptible. Mes yeux se révulsaient et je perdais les pédales l’espace d’un instant ne sachant pas si je ressentais douleur ou plaisir.Mon ex-collègue resta planté jusqu’à la garde quelques secondes avant de se mettre à me tringler brutalement en me tenant toujours aussi fermement par la crinière.
Je jouissais une première fois très vite mais cela ne calma pas mon matador qui continua à m’infliger cette correction monumentale sans coup férir. Son endurance semblait sans limite, je ne sais pas combien de temps cela dura mais ce fut suffisant pour qu’un second orgasme me ravage.Cette fois, Richard eut plus de mansuétude après que j’eu crié mon plaisir et il se planta en moi pour sentir les contractions coupables de mon vagin sur sa queue.— "C’est comme ça que tu préfères ? "
Je choisissais de ne pas mentir— "J’aime tout... mais là c’était vraiment bien".
Il ressortit de moi pour me pénétrer de nouveau puis s’échapper encore et il répéta ce jeu très masculin à plusieurs reprises; Je m’y prêtais de bonne grâce, miaulant à chaque introduction en en rajoutant un peu. Il m’avait tant fait vibrer que je pouvais bien faire cela.
Il continua ensuite à me faire l’amour toujours dans la même position mais en me tenant par la taille et beaucoup moins brutalement. Je n’eus pas de troisième orgasme mais j’étais tout de même sur un petit nuage et je tendais mes hanches autant que possible vers cet amant au talent indéniable. Le sourire qui barrait mon visage n’était pas feint, C’était sans doute ma meilleure baise depuis des semaines.
De nouveau le sexe de mon amant m’abandonna. Il n’avait pas encore joui, ce n’était pas fini, j’attendais avec gourmandise de découvrir ce qu’il allait exiger de moi.
Je ne le voyais pas mais je compris qu’il se plaçait à genoux derrière moi. Deux mains empoignèrent mes fesses fermement pour les écarter puis une langue glissa de mes petites lèvres jusqu’à mon œillet. Richard caressa longuement le pourtour de l’orifice qu’il ne s’était pas encore approprié; il s’y prenait merveilleusement et après ce qu’il m’avait déjà fait, il fallait que je me retienne pour ne pas lui dire à haute voix à quel point il me tardait de le sentir terminer la soirée entre mes reins.
Sa langue appuya doucement pour s’immiscer en moi, je m’ouvrais de mon mieux mais ce n’était pas difficile: Tout ce qu’il m’avait fait auparavant avait mis mon corps dans les meilleurs disposition.
Je soufflais de plaisir de nouveau sans tricher lorsqu’il mima une sodomie avec sa langue; Ma respiration hésitante accompagnait ce va et vient que seules les mauvaises filles ont le droit d’apprécier. Je crus défaillir lorsqu’il écarta d’avantage mes lobes pour forcer la pénétration encore plus loin. Lorsqu’il cessa, j’ondulais mes hanches pour réclamer que mon plaisir soit prolongé mais Richard claqua mes fesses pour seule réponse. Il fit quelques pas pour ramasser ses vestes et ainsi m’offrir la vue de son érection loin d’être insensible au jeu que nous venions de partager.
Il fut hors de mon champ de vision un court moment mais je compris ce qu’il était allé chercher lorsque qu’il ordonna : "Suce la comme tout à l’heure" en présentant devant ma bouche la banane que j’avais déjà couvert d’attention à la fin du repas.— "Bave dessus aussi".
J’y mettais tout mon cœur puis après que je me sois exécutée, il écarta le fruit de ma bouche et vint reprendre place derrière moi. Deux de ses doigts se placèrent au contact de mon clitoris et commencèrent un massage délicat. Richard s’y prenait encore une fois merveilleusement si bien que je réagissais rapidement à ce traitement. Il en profita pour augmenter l’intensité de ses caresses tout en posant l’extrémité de la banane à l’entrée luisante de mon petit trou.
Il ne fallait pas être une lumière pour comprendre ce qu’il avait en tête. Cela allait être une première pour moi qui n’avais jusqu’alors jamais rien introduit de comestible dans mes orifices intimes.— "Ouvre-toi bien".
Je respirais lentement en sentant le fruit écarter mes muscles mais après l’anulingus délicieux que j’avais subi, mon corps acceptait avec une honteuse facilité les quelques centimètres de pénétration que Richard m’imposa.
Il ne semblait pas vouloir trop en faire et il se contenta d’enfoncer la banane juste assez pour que ce sex-toy de fortune ne s’échappe pas de moi.Il faisait jouer la tige doucement d’avant en arrière avec une faible amplitude, c’était horriblement délicieux ce que mes gémissements ne cachaient en rien. A aucun moment il n’alla plus loin mais en revanche il amplifia les attentions sur mon bouton. Il était sur la bonne voie pour m’avoir de nouveau.
Je voulais résister. Même pour moi, jouir en ayant une banane dans le cul était difficile à assumer. Je luttais deux bonnes minutes contre la tension qui montait dans tout mon être jusqu’à ce que Richard embrasse ma hanche en me disant que j’étais belle. Cette attention eut raison de ma volonté et je m’abandonnais, laissant le troisième orgasme de la soirée crisper mon ventre et libérer mon jus intimes sur les doigts de mon amant.
Visiblement satisfait, le beau quadra se releva pour aller se placer du côté de mon flanc gauche à deux mètres de moi. Le visage tourné vers lui, je le vis empoigner sa verge et commencer à doucement se masturber en parcourant mon corps du regard.Cassée en deux, collants et culottes descendus jusqu’aux genoux, les mains attachées dans le dos, une banane toujours fichée entre les fesses et les yeux pleins de gratitude, je devais être ridicule.
Richard voyait cela différemment, il semblait ravi de la vue que je lui offrais et après le plaisir qu’il m’avait donné, c’était bien là le principal.
Il prit son temps mais ses mouvements finirent par devenir plus chaotiques et ses sourcils se froncèrent. Il éjacula juste après, laissant sa semence s’écraser sur le sol.Il me regarda ensuite avant de jeter un nouveau un coup d’œil aux tâches de sperme sur le carrelage. Ce fut seulement après une visible hésitation qu’il vint me libérer et délicatement extraire la banane de mon postérieur. Je crois qu’il avait eu dans l’idée de me faire laper son jus à même le sol mais qu’il avait renoncé en voyant le revêtement insuffisant impeccable.
Repue et comblée, je me serrais contre lui malgré mes lombaires rendus douloureux par l’inconfort de la position que j’avais gardé plusieurs dizaines de minutes. Il m’offrit un vrai baiser avant de m’aider à me rhabiller et de me ramener à table comme si de rien n’était.
Nous étions les derniers clients dans le restaurant mais le serveur revint tout de même nous demander si nous voulions des digestifs. Je demandais deux grands sodas pour me remettre de mes émotions, une commande que Richard complétait par des coupes de champagne.
Ce soir-là, il me raccompagna jusqu’en bas de chez moi mais nous nous séparâmes sagement devant mon immeuble. Par la suite, il y eut quelques autres rendez-vous tout aussi plaisants avec le beau Richard; Peut-être un jour en ferais-je également le récit.
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