Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 161 J'aime
  • 13 Commentaires

Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel

Chapitre 1

Premières sorties en club avec ma femme, premiers trios

Orgie / Partouze
J’avais ce projet depuis longtemps en tête. Ecrire l’histoire vraie de mes expériences libertines et sexuelles, sans filtre, sans réserve. Mon goût pour le porno, mes sorties en club, mes rencontres en groupe, mes sessions photo et vidéo, et aussi le sexe avec mes compagnes, lorsqu’il est « sans tabous » car j’aime certaines pratiques décalées comme l’uro, le fist... et plus. Mon but est de vous donner envie de vous toucher, de vous branler en me lisant, en gardant à l’esprit les règles que je me suis imposées : ne rien inventer, et ne changer que les noms des personnes pour leur garantir l’anonymat. J’espère, mesdames et messieurs, que vous pourrez abondamment jouir de ces lectures et serai heureux d’échanger sur tous ces sujets...
----------------Les premières sorties en club avec ma femme (devenue mon ex), les premiers trios----------------
Nous avions la trentaine, et étions sur le point de nous séparer. Après un repas de nouvel an dans un restaurant chic, celle qui était encore ma femme eu à mon grand étonnement l’idée subite de finir la soirée dans un club échangiste - alors même que ni elle ni moi n’avions eu de contact avec ce milieu et que le sexe avait déserté notre vie de couple depuis longtemps. Ne me faisant pas prier, nous nous sommes retrouvés dans un club assez « historique » de notre bonne ville de Lyon, accueillis par une femme assez vulgaire, d’un certain âge, tétons à l’air mais seins sanglés de cuir.
Cette expérience n’a pas été concluante pour ma femme, qui après une courte visite des lieux est restée vissée sur un tabouret au bar sans oser bouger. Il faut dire que l’atmosphère était perturbante pour deux novices. Sur la piste de danse, des couples pas forcément de la dernière pluie se trémoussaient, dont quelques hommes nus en chaussettes, le tout formant quelque chose d’assez peu érotique. C’était à la fin des années 90, à une époque où le sexe dans les clubs était assez débridé et sans fards : il n’y avait pas les « curieux » d’aujourd’hui, les gens ne venaient pas pour se montrer, mais clairement pour baiser. Moi, j’étais à la fois ennuyé par la réaction de ma femme, et excité comme un dingue. Grand amateur de porno, frustré par une relation conjugale privée de sexe depuis presque trois ans, je voyais à travers quelque rideau de billes, dans un coin câlin (je ne savais pas encore que ça portait ce nom...), trois couples en train de s’enfiler en poussant des cris de jouissance. Je n’avais encore jamais vu des gens baiser devant moi « en vrai », ailleurs que sur un écran de télé ou dans un magazine porno.
La seule expérience vaguement coquine que j’avais connue, c’était quelques années plus tôt, avec cette même femme qui n’était pas encore mon épouse, lors d’un strip-poker à quatre, qui n’avait pas été à son terme. Nous étions tous nus, mais après un peu de touche-pipi avec ma voisine de banquette, ma femme avait décidé que c’en était assez et nous en étions restés là ; j’avais la queue dure à m’en faire mal et j’en ai ressenti une grande frustration ! Une fois de plus et quelques années plus tard, dans ce club échangiste, ma femme ne voulut pas aller plus loin et nous repartîmes, sans que ma queue ait vécu autre chose qu’une belle émission de lubrifiant au bout du gland. Mais le ver était dans le fruit : elle me proposerait, quelques jours plus tard, de réessayer dans un autre club et moi, je ne quitterai plus jamais l’esprit libertin, qui est encore le mien vingt ans plus tard.
Je ne saurai dire si c’était le samedi suivant, ou quinze jours plus tard, ou plus encore, mais nous sommes bel et bien retournés en club pour retenter l’expérience. Je ne sais plus non plus quel était mon état d’esprit : espérai-je avant tout renouer une relation sexuelle avec elle, ou étais-je déjà dans l’idée de baiser avec d’autres filles (je m’intéresserai aussi aux mecs, beaucoup plus tard...) et de vivre comme dans un film porno ? Ce qui est sûr, c’est que pousser la porte du premier club avait été comme une révélation : derrière certains murs, il y avait une vie, une ambiance, qui était complètement différente du « reste du monde ». J’avais l’impression qu’on m’avait donné de nouvelles clefs, que j’étais devenu initié à quelque chose que je ne soupçonnais pas. Nous avons donc pénétré dans cet autre club, à l’ambiance plus intime et chaleureuse, conçu sur deux niveaux : au rez-de-chaussée, un accueil sous forme de bar, avec un ou deux coins câlins, et au sous-sol, la pire de danse et plusieurs coins câlins de diverses tailles.
Lors de cette seconde visite, nous n’avons rien fait ensemble. Nous ne referions d’ailleurs plus jamais rien tous les deux : pour moi, cette irruption dans le monde libertin signifierait le retour à une vie sexuelle épanouie, mais pas avec elle. J’ignore si pendant nos années de disette érotique, elle m’avait trompé (j’aurais tendance à penser que oui) et donc si cette expérience en club allait être pour elle aussi un retour à l’activité charnelle ou juste une activité différente. En tout cas, elle s’est faite sauter dans un coin câlin, sans même que j’ai vu par qui. Je me souviens d’une sensation assez dure dans mon cœur, la voir disparaître dans une salle fermée, imaginer son corps livré à d’autres alors qu’il s’interdisait au mien depuis si longtemps. Heureusement, je trouvai assez rapidement le moyen d’oublier cette souffrance.
Je réussis à capter l’attention d’une belle femme, légèrement plus âgée que moi, accompagnée de son mari, un colosse de près de mètres. Sans que je me souvienne des détails de mon approche, je me retrouvai moi aussi convié à entrer dans un coin câlin où officiaient déjà un ou deux couples. Celui qui m’avait convié se retrouva rapidement nu, lui allongé sur le skaï rouge, et elle lui suçant la queue en tendant son magnifique cul vers le ciel. Je n’en revenais pas ; si ma bite avait eu le don de parole, je pense qu’elle aurait hurlé pour obtenir sa libération tant je bandais comme un âne en regardant tous ces sexes offerts, ces bites sucées, ces chattes ouvertes. Je me déshabillai - pour la première fois de ma vie d’adulte, à l’exception de cette fameuse soirée strip poker, je me trouvai nu devant d’autres personnes qu’une petite amie - nu avec une bite au garde-à-vous, en plus.
Dans l’état où j’étais, il n’était sans doute plus l’heure de faire dans le détail. M’adressant au colosse (tous deux deviendraient ensuite des amis, et le sont restés), je posai la question sans ambages, presque surpris de ma propre hardiesse : « - Je peux la lécher ? » « - Bien sûr » m’entendis-je répondre.
Je m’agenouillai et lui écartai doucement la chatte pour y glisser ma langue. Je n’en revenais pas : j’étais en train de bouffer le con de la femme d’un autre, alors que cet « autre » était juste là, heureux que sa chérie offre son sexe à un inconnu. J’étais au paradis. De ma main droite, je commençai à me branler, mais avec suffisamment de retenue pour ne pas me vider de mon sperme trop vite. C’est qu’à l’époque, tout neuf dans le libertinage, la situation m’excitait tellement que le risque était bien l’éjaculation précoce. Longtemps, d’ailleurs, il me faudrait être attentif à ne pas jouir trop vite dans ces situations hyper-érotiques. Ce point donnera l’occasion d’un chapitre ultérieur...
La bouche barbouillée de mouille de la belle salope, je me redressai et demandai au géant si je pouvais la pénétrer. Il acquiesce et je m’enquis donc d’un préservatif dans la poche de mon jean. Je l’enfilai et présentai mon dard raide comme un sous-marin nucléaire devant l’entrée du vagin tempé. Ma queue entra sans soucis, mes deux mains solidement agrippées au fessier de cette magnifique femme, que je défonçai, la tête dans les étoiles, le gland dans la mouille.
Ce dont je me souviens ensuite, c’est de longs et lents câlins que cette déesse et moi-même nous fîmes dans l’obscurité des banquettes, près de la piste de danse. Nous étions rhabillés, je lui caressai simplement la chatte au travers de sa culotte, sa jupe relevée, et nous nous perdions dans de longs baisers. Elle me gratifia de commentaires inoubliables sur ma tendresse - je garderai ses mots exacts pour moi, car ils sont gravés dans ma mémoire.
Nous nous promîmes de nous revoir tous les trois et prime un rendez-vous de principe, chez eux, à une centaine de kilomètres ; elle en avait fait, du chemin, pour gouter à mon sexe... Mais peu de temps après, son immense mari me téléphona et m’expliqua, très gentiment, qu’ils ne souhaitaient plus honorer leur promesse : elle ne parlait plus que de moi, j’occupais toutes ses pensées et tout cela prenait un tour qui posait évidemment problème. J’en fus évidemment déçu, mais comme je l’ai déjà dit, ils sont toujours des amis : on en resterait donc finalement pas là... Ce qui est drôle, c’est que ce scénario du couple qui ne désire plus me revoir pour cause de sentiments envahissants s’est reproduit quelque temps plus tard - l‘occasion d’une prochaine histoire !
Cette première partie est terminée. C’était le tout début : l’aspect sexuel était encore assez classique... il le resterait encore quelque temps pour mes premières aventures, mais de nouvelles rencontres allaient bientôt me donner l’occasion de vivre des choses que je n’avais, jusque-là, vu que dans les plus décalés des films français de l’époque, ceux avec Piotr Stanislas notamment, ce gros cochon polonais avide de jeux pervers...
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live