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Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel

Chapitre 4

Le tournant de ma vie de libertin : Sarah, un coeur et un cul à prendre...

Orgie / Partouze
Rappel du chapitre précédent : Leila est partie en Italie pour d’autres aventures, et je la laisse partir sans regrets car j’ai fait une rencontre ébouriffante qui occupe maintenant mon coeur et le reste, et que je n’ai pas encore narrée... c’est le moment !Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.---------------Le tournant de ma vie de libertin : Sarah, un coeur et un cul à prendre...---------------
Au chapitre précédent, j’ai eu l’occasion de raconter comment, en plein ébat sexuel avec Leila, je m’étais trompé de prénom... avec une belle gifle à la clef. J’avais des circonstances atténuantes : alors que ma vie à l’époque consistait surtout à rattraper le temps perdu en matière de sexe, suite à une vie conjugale au calme des plus plats, je ne m’attendais pas à rencontrer la combinaison parfaite... une fille avec qui je pourrai m’éclater au lit, tout en pansant mes plaies amoureuses - je n’étais, en effet, pas le moteur de ma séparation. Mais il me faut d’abord raconter les conditions peu communes de cette rencontre.
En cette fin des années 90, le Minitel restait le roi pour les rencontres "virtuelles". On ne commencerait en effet à pouvoir s’abonner à internet que quelques années plus tard. C’est sur un serveur minitel que je découvrai une petite annonce : un couple, sous le pseudo "Vénéneux", recherchait un homme pour des ébats à trois, à quelques kilomètres de chez moi. Après quelques échanges de messages, Michel, le mari, me donne son numéro. Je me souviens avoir appelé pendant une séance de shopping avec ma future ex-femme - à cette époque, nous vivions encore ensemble et partagions le quotidien. Elle avait un amant, avec qui ça tournerait court. J’appelai donc Michel en m’isolant, à quelques mètres derrière ma femme. Il m’explique son délire : voir sa femme faire l’amour avec d’autres hommes pendant qu’il filme. Je lui dis que l’expérience me plairait beaucoup - je n’avais encore pas goûté réellement à ce qui deviendrait ma propre marotte, faire des images de sexe avec des femmes, des couples, des hommes, et encore moins été le modèle d’une telle séance. " - OK, mais il faut que tu parles à Sarah, c’est elle qui décide."
Sur ce, il me passe le téléphone - je me demande ce que je vais raconter et pour être honnête, je ne sais plus ce que j’ai balbutié. Ca a dû être suffisant, car la jolie voix au téléphone me dit "ok" aussi et nous prenons rendez-vous pour le lendemain soir, assez tard, autour de 22h. Je propose d’amener mon appareil photo numérique - un des premiers sortis, assez gros, qui faisait des photos juste honnêtes mais idéal pour le sexe : il n’y avait plus besoin de développer des pellicules, ce qui est toujours gênant si la série de clichés montre des chattes ouvertes et des queues dressées. Ma femme ne s’étonna pas de ma sortie, sinon qu’elle soit tardive : comme nous avions un enfant encore jeune, nous évitions de placer nos sorties en soirée. Elle ne savait pas encore que Sarah prendrait une telle importance dans notre séparation effective.
J’arrive le lendemain soir aux abords d’une jolie villa et me gare. Michel me fait entrer. Sur le canapé, Sarah attend, vêtue d’une longue robe blanche, qui descend jusqu’au mollets, et des ballerines; pas une tenue de salope en tout cas... Elle a les bras nus, des cheveux longs, et quand je la vois, elle me rappelle une célèbre et belle actrice ! elle a autour de 28 ans, plus jeune que moi donc, elle est très mince avec une petite poitrine. Nous discutons un peu, je n’ose pas trop parler à Sarah, je montre mon appareil photo à Michel en sirotant une boisson. 
Alors que sous une apparence calme mon cerveau s’agite en se demandant comment la soirée allait basculer dans une ambiance plus caliente, les choses s’accélèrent : alors qu’elle n’avait quasiment pas pipé mot jusqu’ici, Sarah, aux côté de laquelle je suis assis, défait en quelques mouvements quelques boutons au bas de sa robe, et vient poser directement sa jambe sur la mienne, écartant largement la jambe opposée et découvrant ainsi sa chatte (très poilue - il y a vingt ans, la mode du tout épilé est encore très relative). " - Bon, et si tu t’occupais de moi ?" seront les premières paroles que Sarah m’adressera, en préambule à ce qui allait devenir, ni plus ni moins, une histoire conjugale de quatre ans.
A partir de là, tout s’accélère. Je suis capable de raconter cette séance avec bien plus d’acuité que pour les précédentes, car il s’agit de moments qui ont été filmés, et dont je conserve l’essentiel des images. J’étais plus excité que je ne l’avais jamais été, tant cette fille comme la situation me plaisaient. Michel filmait, prenait des photos avec mon appareil, et de temps en temps, laissait sa caméra tourner sur un trépied tandis qu’il allait se masturber dans une autre pièce, nous "laissant continuer tranquillement" comme il disait. Son plaisir, en réalité, était avant tout candauliste. Sarah m’embrassait à pleine bouche, allongée nue sur moi, nous alternions 69, léchage de chatte, fellation, et corps à corps sexe contre sexe. Sa fougue, la manière qu’elle avait de me faire l’amour, me perturbait : nous étions au delà d’un libertinage, il se passait quelque chose de plus. Au bout d’un moment, Michel revenu, déshabillé, elle se soulève légèrement et prend mon sexe en main, qu’elle guide près du sien. " - Vas-y, met la dedans", intime Michel, sans ambages ni aucune chance de gagner un concours d’élégance avec une telle phrase. 
Sarah pose mon gland contre son vagin et s’empale, sans difficulté tant elle était mouillée, et moi dur comme une baguette de la veille. Inquiet et surpris, Je questionne : " - Sans capote ? ». " - Tu la mettras après, c’est plus joli sans, je filme un peu..." évacue t-il. Je me laisse faire, preuve s’il en est que quand un homme bande, son cerveau se déconnecte lamentablement. Sarah a donc continué à s’agiter sur ma queue; c’était fabuleux de coulisser dans son vagin chaud sinon étroit (elle était plutôt large de la chatte). Michel me demanda de bien écarter les fesses de sa femme pour pouvoir photographier son anus en gros plan, avec ma bite qui tambourinait entre les poils drus de sa moitié." - Tu veux changer de position ?" me questionna la salope indiscutablement énamourée. 
Elle se place sur le côté, et moi derrière en cuillère. Elle me regarde dans les yeux et écarte ostensiblement ses fesses avec la main. Je n’ai toujours pas de préservatif, n’osant pas briser la dynamique du moment. Je l’encule très doucement, progressivement. Elle se retourne pour m’embrasser sur la bouche pendant que je vais et viens dans son anus. Lorsqu’aujourd’hui encore je regarde les images, il est évident qu’elle n’est pas seulement dans un amusement sexuel. Je suis, ce soir là, son homme. 
Après cette seconde pénétration, je reprends mes esprits et demande un préservatif - c’est un peu tard, mais mieux que rien, surtout vu la suite. Michel souhaite que je défonce le cul de Sarah, d’une manière bien plus vigoureuse, elle à quatre pattes, moi derrière elle. Il filme la queue entrant et sortant de l’anneau, tantôt en plaçant la caméra ou l’appareil photo sous mes fesses, tantôt en nous prenant de profil. Je lui baise énergiquement le cul, et n’y tenant plus, je sors, ôte la capote, et lui inonde littéralement le dos de foutre. Je m’en souviens comme d’une des meilleures jouissances de ma vie. Parmi les souvenirs tangibles qu’il me reste, les photos de michel du cul ouvert de Sarah, pas parfaitement clean après une telle bourrinade. 
La soirée n’est pourtant pas finie. Michel veut sa part; nous prenons un peu de temps pour recharger les batteries - pas celles de la caméra, qui est sur le secteur, mais les miennes. Je n’ai jamais eu de difficulté pour rebander assez rapidement, mais tout de même ! Nous papotons, buvons un coup, puis elle se remet à me sucer. Celle fois-ci, elle s’attarde aussi un peu sur mon anus, me lèche les couilles, et moi, qui ai glissé sous elle en 69, j’explore son anus avec mes doigts, essayant d’aller le plus loin possible, écartant le trou pour que Michel puisse le prendre en photo. Ensuite, elle se place au bord du lit, et lui donne sa croupe en continuant à me sucer. Il la baise; je ne peux m’empêcher de constater qu’elle n’y prend pas le même plaisir; son attention est sur moi, sur mon sexe, dans mes yeux. Cette nuit là, nous recommencerions encore, seuls, en abandonnant définitivement le préservatif : j’étais amoureux et à cette époque, la capote disparaissait très vite quand les sentiments apparaissaient. La chatte de Sarah accueillit finalement, dès cette première rencontre, le sperme que mes couilles avaient réussi à reconstituer depuis la première giclée sodomite.
La soirée toucha à sa fin. Et là, la dernière surprise est de taille. " - Tu as envie de revenir la baiser? " me demande Michel. J’acquiesce, je n’ai même qu’une envie, c’est celle-là. La revoir." - Viens mercredi. Je ne serai pas là. Tu peux venir quand tu veux la baiser, quand je ne suis pas là. Tout ce que je veux, c’est que tu mettes la caméra, pour que je la voie se faire baiser quand je rentre."
C’est ainsi que je dispose de plusieurs films de mes premiers ébats avec Sarah, témoignant de nos baises amoureuses. Car c’est bien là que le bât va blesser : amoureux, nous le sommes tous les deux, et la relation libertine ne va pas en rester à ce stade. 
La suite bientôt...
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