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Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel

Chapitre 5

Un couple libertin se sépare, un autre se forme...

Orgie / Partouze
Rappel du chapitre précédent : Lors d’un trio libertin avec une superbe coquine et son mari candauliste, des sentiments se sont mêlé sans prévenir à la partie de sexe... Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.---------------Un couple libertin se sépare, un autre se forme...---------------
Le mari de Sarah, Michel, m’avait donc proposé à l’issue de notre première soirée de revenir "quand je voulais" pour baiser sa femme, du moment que je mettais en place son caméscope. Le mercredi suivant, j’étais donc de retour dans leur petit logement; le mari était absent, et j’allais essayer à peu près toutes les positions avec cette femme magnifique. Plutôt docile de nature, elle était de surcroît clairement tombée amoureuse dès la première rencontre : autant dire qu’elle ne se refusait, ni ne me refusait rien. Une fois la caméra du mari en place, quelques instants à peine après mon arrivée nous étions déjà nus et en train de nous lécher et nous sucer de partout. 
Il y avait un bon équilibre dans la manière de procéder avec elle : je ne goûte pas spécialement, comme je l’ai dit, le fait d’être "dirigiste", et parfois je suis frustré de ne pas oser demander à ma partenaire telle ou telle chose. Je rêve, comme beaucoup d’hommes sûrement, d’une femme avec des envies cochonnes et qui les demanderait, ce qui éviterait de tourner autour du pot ! Avec Sarah, j’avais l’impression de pouvoir tout lui demander très simplement, sans me sentir gêné ni trop insistant. Nous faisions des 69 très introspectifs, elle me suçant et s’occupant de mon anus sans chichis, moi lui dilatant largement les orifices, ouvrant son vagin largement, enfonçant doigts, langue et godemichés dans son petit trou... Au cours de cette première soirée, j’ai dû jouir trois ou quatre fois (j’étais encore dans la fleur de l’âge, dans la trentaine), et elle je n’aurais pas pu compter, elle jouissait de façon assez silencieuse, et je mettrai un peu de temps à en détecter les signes, sur son visage, sur sa manière de bouger. Mais j’ai pu constater par la suite, lors de parties à trois, quatre ou davantage, en l’observant, qu’elle jouissait vite et souvent, tant que son clitoris était sollicité, ne serait-ce qu’un peu au frottement d’une bite pénétrant son vagin. Lors d’une pénétration anale, elle devait en revanche se branler, ou alors qu’une langue tierce vienne lui brouter la chatte.
A cette époque, nous ne faisions pas encore de choses vraiment très cochonnes - la sodomie étant le sommet lors de ces premières rencontres - j’ai toutefois le souvenir ému de son anus restant bien dilaté après une enculade spécialement longue, sans même qu’elle ait besoin de s’écarter les fesses. Elle était sur les genoux, les épaules contre la couette, j’avais rempli son orifice de sperme, et elle était là, sans bouger, le cul restant ouvert comme une pièce de deux euros (à l’époque, c’étaient des francs, mais la salope en avait quand même eu pour son argent). J’ai pris une photo avec mon numérique, et j’ai toujours la photo, comme j’ai toutes les autres. Et bien sûr, le tout sans capote… c’était certainement irresponsable, car je restais un libertin et rien ne disait que d’autres hommes ne passaient pas dans la journée, ou les autres soirs, pour lui ramoner les conduits, peut-être sans capote aussi, la laissant comme moi avec quelques centilitres de semence au fond des organes. Mais j’étais clairement amoureux, ce qui n’immunise contre rien sinon contre la clairvoyance !
Puis ce fut le moment des vacances en famille, même si ma « famille » était en train de se déliter - nous partions quand même à trois, par égard pour la progéniture, tant que nous vivions encore sous le même toit. A vrai dire, pendant ces trois semaines à la mer, je rêvais que ma femme - celle qui l’était encore - ait des envies de baise sous l’effet des cocktails et du soleil. Mais rien… je trouvai quelques expédients en draguant une femme sur place, sous le soleil des Caraïbes; mais finalement, dans ces clubs familiaux, l’ambiance n’est pas autant à la baise que dans les célèbres films du Splendid : et c’est ma chère main qui s’occupera de faire gicler, chaque jour, mon sexe en jachère. Tant pis pour ma femme, je retournerai voir Sarah, qui de son côté, me dit-elle au téléphone (au prix où étaient les communications internationales à l’époque, ce furent de coûteuses déclarations), avait vraiment besoin de me revoir, et se masturbait chaque jour en utilisant les cassettes de nos ébats. 
À la rentrée, je revins donc deux ou trois fois m’occuper de l’entrejambe de ma dulcinée. Et puis, les choses se précipitèrent : Michel me fit comprendre qu’ils se séparaient, qu’elle n’avait plus d’yeux que pour moi. il me fit même passer les derniers montages. Peu après, je prenais un appartement, quittait ma propre femme; et Sarah et ses enfants vinrent emménager avec moi. Lui, allait vivre avec une "vague copine" - Sarah émit l’hypothèse que ça n’avait rien d’improvisé. Il n’est pas impossible que le candauliste ait orchestré ces rencontres en espérant qu’elle pourraient finir par lui rendre sa liberté, tout en mettant la situation sur le dos de cette traîtresse de mère indigne !
Notre histoire allait durer quatre ans. De son côté, ma femme prit aussi un appartement tout proche, alors que nous avions vendu notre maison. Je pouvais ainsi facilement voir mon fils, qui pour autant ne s’est jamais vraiment entendu ni avec Sarah, ni avec ses enfants. Au cours de ces quatre années, nous allions mener une vie libertine tambour battant, du moins pendant les deux premières. Les deux suivantes virent ma magnifique compagne se lasser quelque peu, et les sorties se raréfièrent pour finir par cesser tout à fait. Notre couple ne résisterait finalement pas à l’effritement de nos activités sexuelles : le libertinage nous avait réuni, et sans lui, ça ne fonctionnait plus vraiment. Mais il me reste beaucoup à vous raconter de cette période...
Bientôt la suite !
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