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Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel

Chapitre 6

En couple avec une jolie coquine et les débuts d'Internet...

Orgie / Partouze
Rappel du chapitre précédent : Je suis désormais en couple avec Sarah, une superbe coquine rencontrée dans le cadre d’un trio candauliste qui a quelque peu dérapé... Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.---------------En couple avec une jolie coquine et les débuts d’Internet...---------------Vivre avec une femme libertine, c’était pour moi un peu comme mettre un enfant dans un magasin de jouets avec une Visa Infinite. Comme nos rencontres avaient commencé sur le mode photo et vidéo, nos ébats de couple l’étaient très souvent ; et j’avais envie de fixer sur pixels toutes les positions et pratiques perverses que je voulais faire avec Sarah. Comme je l’ai dit, elle avait un sexe assez large, sans doute en raison de ses grossesses. Le fist faisait donc partie de nos pratiques courantes. C’était un délice de se mettre côte à côte, tête bêche, sur le dos ; moi avec ma main dans son sexe, son vagin comme une moufle humide, et elle s’occupant de mon petit trou ou de ma queue. Si je léchais son clitoris en même temps, elle jouissait presque immédiatement. Elle n’était gênée par aucune situation : l’amour pendant les règles, les jeux uro, l’exhibition et l’amour à plusieurs à la maison ou en club... je pouvais donner libre cours à mes fantasmes et en collectionner les images.
Comme le temps passait, les technologies aussi : rapidement, le Minitel avait cédé la place aux premiers frissons d’internet, y compris en matière de rencontres ou de sexe. Et très rapidement, un logiciel initialement conçu pour le travail allait être adopté par les coquins de tous les pays : Netmeeting. Il permettait, comme bien d’autres maintenant, de se connecter avec des gens n’importe où sur la planète et de converser avec audio et vidéo. Les amateurs de sexe trouvèrent bien vite le moyen de s’y donner rendez-vous. Avec Sarah, nous en devinrent rapidement adeptes : le soir, nous recherchions des personnes si possible francophones, désireuses d’exhibitions mutuelles. Notre caméra était braquée sur nous, nus, et devant elle et donc devant nos correspondants du jour, nous montrions nos corps et nos jeux. J’aimais par-dessus montrer le sexe de Sarah en gros plan ; elle l’écartait largement, elle qui avait une chatte large dont il était facile d’exhiber l’intérieur avec tous ses détails. Bien sûr, nous faisions l’amour devant la caméra aussi. Aujourd’hui ces pratiques sont classiques et parfois même monnayées...
Il m’arrivait aussi de me connecter seul. Un soir, je rencontrais sur Netmeeting un couple de québecois très sympathique, débutant. L’épouse me fit une magnifique exhibition, me dévoilant tout de son corps, suçant son homme devant moi, se faisant prendre... nous avons sympathisé, et il m’arrivait de discuter seul à seul avec madame. Par un hasard qui comme souvent fait bien les choses, il fallut pour le travail que je me rende à Montreal, où ils résidaient. J’en informai mes amis canadiens, qui aussitôt me proposèrent de venir passer une soirée chez eux, après un restaurant. Une rencontre coquine de l’autre côté de l’atlantique, programmée entre un français et des québecois : voici un miracle qui n’avait été rendu possible que par la magie du net !
La rencontre se fit bel et bien. Je faussai compagnie, un soir, au collègue qui m’avait accompagné au pays de Céline (Dion, pas celui du bout de la nuit), et rejoins le couple dans un restaurant - découvrant, au passage, la coutume locale qui veut qu’on puisse amener sa bouteille de vin moyennant un "droit de bouchon", une pratique désuète chez nous. Nous fîmes connaissance et après ce repas dont je ne me souviens guère, nous nous rendîmes à leur domicile pour une partie de jambes en l’air donc hélas je n’ai pas gardé de trace en images (je me souviens pourtant que Monsieur prit quelques photos qu’il m’envoya. Perdues). Ce couple en était à sa première fois libertine ; Madame était assez timide au début, plus gourmande ensuite. Je me souviens en particulier d’une fellation où nos deux bites se frottaient l’une à l’autre dans la bouche de la coquine - une certaine tension bisexuelle régnait, mais c’en est resté là. Le reste fut assez classique - si l’on peut considérer comme classique le fait de baiser une québecoise avec son mari au détour d’un voyage professionnel.
Peut-être vous souvenez-vous de ce couple, Corinne et Jean-Marc, le premier de mes aventures, qui n’avait pas souhaité me revoir car notre trio avait fait naître chez Corinne des sentiments inattendus et qu’ils ne voulaient pas perdre le contrôle. Eh bien, il faut croire que j’avais quelque talent de séduction car quelque temps plus tard, alors que je préparais un nouveau séjour à Montréal, ils déclinèrent la proposition d’une nouvelle rencontre - pourtant prévue lors de la première - pour la même raison. Madame était obnubilée par cette soirée, et par ce qu’elle avait découvert avec ce "maudit français" ! A vrai dire, et pour avoir ensuite observé tant de mes congénères durant des soirées libertines, je crois pouvoir mettre cet effet sur le compte d’une propension à délivrer davantage de caresses, câlins et tendresse que de sexe brut. Finalement, l’expérience aidant, j’apprendrai à doser les choses différemment afin de ne pas mélanger les genres...
Parmi les premières expériences que je dus à l’arrivée d’Internet, figure une rencontre avec un couple également croisé sur Netmeeting et qui m’invita à les rejoindre chez eux lors d’un déplacement en région parisienne. J’arrivai ainsi, en soirée, chez ce couple avec lequel nous entrions assez vite dans le vif du sujet. Ils me proposèrent de les regarder faire l’amour dans un premier temps, puis de me joindre à eux. Je les regardai se déshabiller en me masturbant. J’aimais beaucoup montrer mon sexe, le côté exhibition était tout de même assez nouveau pour moi. Je me tenais jambes bien écartées et la queue bien droite pour montrer comme elle était raide et grosse devant leurs ébats. Sur un signe de madame, je m’approchai et elle suça mon sexe déjà bien humide tandis que son homme s’occupait de sa chatte qu’il pénétrait assidûment. Puis il se coucha sur le dos ; c’était un homme au physique assez enrobé, alors qu’à cette époque ma propre brioche était encore discrète. Il se masturbait en nous regardant ; sa bite était non loin de moi. Là, son épouse sortit ma queue de sa bouche et me demanda très naturellement : tu veux bien t’occuper de mon mari ?
Je ne m’attendais pas spécialement à cela ; la bisexualité masculine n’était pas un sujet que nous avions abordé, et de mon côté, je n’avais aucune expérience - je peux même dire que je n’avais aucune attirance pour le corps des hommes. Pourtant, docile, et je m’approchai de la queue encore humide du vagin de madame, et commençait à le masturber, tandis que sa femme me suçait. Je fus étonné par le contact de ce sexe d’homme. Quand on branle son propre sexe, il semble très dur ; on imagine que si on pouvait le sucer, on sentirait quelque chose de rigide entre ses lèvres. Là, je touchais quelque chose qui, malgré une bandaison indiscutable, était assez souple sous les doigts. La sensation la plus étonnante était de tenir un sexe mâle, sans ressentir soi-même la pression de sa propre main sur ce sexe - comme si une moitié de la sensation manquait. Il me demanda de le sucer ; je pris le sexe dans ma bouche, lécha le gland, prit les couilles dans ma bouche aussi, tout en continuant à le branler. Je n’étais pas prêt à recevoir du sperme sur moi ; je le fis venir avec ma bouche et ma main, et quand la jouissance s’annonca, je dirigeai le jet dru sur son ventre. Il l’inonda de foutre. Pendant ce temps, trop concentré sur cette nouvelle tâche, je n’avais pas joui dans la bouche de l’épouse. Je me mis donc sur le dos pour me branler. Pour m’aider à éjaculer, mes deux comparses d’un soir m’étonnèrent : chacun prit un de mes pieds et les suça. Je me masturbai avec force en sentant leur langues s’agiter entre mes doigts de pieds - c’était, ça aussi, inédit. Je me vidai les couilles sur le ventre et ce fut ainsi la fin de la soirée. Je ne les revis jamais plus.
A suivre...
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