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Les récits crus et véridiques d'un photographe libertin bisexuel

Chapitre 7

En couple avec une libertine : à nous les clubs et le Cap d’Agde !

Orgie / Partouze
Rappel du chapitre précédent : J’ai faussé compagnie à Sarah pour quelques rencontres en trio, au Québec et à Paris. Il est temps de raconter mes premières sorties avec ma nouvelle chérie... Les histoires de cette série racontent mes vraies expériences, sans aucun ajout, aucune invention, sauf les identités, modifiées ou omises.---------------En couple avec une libertine : à nous les clubs et le Cap d’Agde !---------------Notre couple s’était formé sous l’autel du libertinage, et je ne désirai rien d’autre que continuer, d’autant plus facilement que ma moitié était une belle, mince et grande femme désirable. Sans tomber dans la routine des couples pour que le samedi, c’est orgie, j’étais gourmand de sorties et de rencontres. Nous élûmes domicile dans un petit nombre de clubs de notre région où nous nous sentions à l’aise. J’aimais que Sarah danse dans les cages ou sur les podiums, en montrant le plus possible de son corps. J’ai le souvenir d’un soir où elle dansa nue et longuement en hauteur, regardée par toute l’assistance. Elle plutôt poilue au niveau de la chatte, était désormais rasée ou épilée intégralement. J’aimais sentir les regards des gens sur ma chérie, et j’étais fier d’être son mec.
Les sorties en club, sur Lyon, furent relativement nombreuses et il n’est pas simple de se remémorer de toutes les séquences de sexe qui s’ensuivirent. Je me souviens de moments plus ou moins réussis - comme la fois où alors que j’étais en train d’enculer une blonde extatique, je vis Sarah me lancer des regards qui signifiaient « il me fait mal » en parlant du mari de la blonde qui lui pilonnait le sexe. Dans ces cas-là, timide, elle attendait que j’intervienne et je demandai alors au monsieur de se retirer. Cela mettait évidemment fin à l’échange et le plus souvent, on se « finissait » ensemble et en public. Quoi qu’il arrive dans le club, de toute façon, on refaisait l’amour à la maison, et c’était le flot de sperme dans sa chatte qui mettait le vrai point final de la soirée.
Quelques séquences me marquèrent davantage dans cette période et dans les clubs de la région : alors que nous nous étions enfermés dans un coin câlin avec un couple, Sarah s’activait sur le nœud de l’homme et son amie me suçait tandis que j’était debout, face à elle. Elle me dit : « - ce que j’aime quand je suce une bite, c’est mettre mon doigt dans le cul... je peux ? »J’acquiesçai, et c’était la première fois que ça m’arrivait d’une manière aussi directe et en club. Elle enfonça tout son index dans mon trou et je la sentais fouiller le plus profond possible et masser ma prostate. C’était délicieux - et je commençais à sentir de plus en plus d’intérêt pour cette zone de mon anatomie que j’avais un peu négligé jusque-là. Je déchargeai violemment dans sa bouche, et elle alla partager le sperme avec Sarah lors d’un long baiser lesbien. Ensuite Sarah continua à pomper le dard du mari, qui ne tarda pas à éjaculer, mélangeant son foutre au mien dans la bouche de ma douce. Naturellement, elle rendit la politesse à l’amie, en allant l’embrasser à son tour et déversant un peu du mélange de foutre dans sa gorge.
Une autre fois, nous étions au Cléo, un club situé à une centaine de kilomètres. Ce club a la particularité de disposer d’une mezzanine, qui domine la piste de danse. Nous étions tous deux montés sur cette mezzanine et nous étions accoudés à la rambarde, observant avec d’autres les danseurs en contrebas. A ma droite, il y avait une jolie femme blonde, la quarantaine, en jupe très courte. A ma gauche, Sarah, et à la sienne, personne encore. Je sentis la femme à mes côtés se rapprocher assez ostensiblement, jusqu’à faire frotter son bras nu contre le mien. Je la regardai et elle me fit un sourire. Encouragé, je passai mon bras derrière elle et, tout en continuant à regarder les danseurs en dessous, fit glisser ma main le long de sa cuisse en remontant sous la micro-jupe. Elle n’avait pas de collants (mon péché mignon), ni bas, ni culotte. Ma main arriva directement au sexe, et elle avait suffisamment écarté les jambes pour que je puisse sentir la moiteur de sa vulve. Je la branlai doucement, et sentais la salope mouiller et couler sur mes doigts. Elle avait fermé les yeux.
A ses côtés, le compagnon de la blonde n’avait rien perdu de notre manège et lorsque sa femme avait fermé les yeux, il était passé derrière moi pour aller se mettre derrière Sarah qui était également en petite jupe courte. Il s’accroupit, et je le vis remonter la jupette légère. Je vis Sarah se retourner pour voir de qui il s’agissait. Après avoir vu l’homme, elle lui dit « enlève moi ma culotte », ce qui me fit redoubler de bandaison. L’homme fit coulisser la petit culotte humide le long des jambes de ma belle, puis me donna le morceau d’étoffe que je glissai dans mon jean. Je vis le mâle écarter les fesses de Sarah et lui lécher l’entrejambe. Sarah me regarda et sollicita ma bouche ; je lui donnai un long baiser. « - j’espère qu’il va bien te faire jouir », lui dis-je.« - ca ne va pas tarder il est juste au bon endroit sur le clitoris... va baiser cette salope », me répondit-elle.
Je n’avais pas besoin d’un feu vert mais le conseil m’électrisa. « Je peux te prendre ? » demandai-je à la blonde. Elle me demanda si j’avais un préservatif ; je pris ça pour un « oui », sortit une capote de mon jean et le baissait ainsi que mon slip. Elle me prit la capote des mains et me l’enfila après m’avoir sucé un peu à nu. Elle se retourna et me tendit son cul, se réaccoudant à la balustrade. J’ai adoré prendre cette fille en empoignant moi-même la balustrade avec les mains ; ça me donnait un appui qui me permettait de la défoncer avec une grande vigueur. J’adorais l’idée que les danseurs, en dessus, me voyaient par-dessous prendre cette fille - je savais, car elle écartait bien les cuisses, que tous voyaient distinctement ma queue entrer et sortir du con dilaté. A côté, Sarah se faisait maintenant baiser aussi, dans la même position, et je la vis jouir. L’homme se vidait aussi dans son préservatif, et je lui emboîtait le pas. Je n’ai, hélas, pas revécu une scène de cette intensité au Cléo par la suite.
C’est au Cap d’Agde que je vis d’autres séquences sexuelles mémorables. Dès le premier été de ma vie de couple avec ma salope, il était évident pour moi que nous irions au Cap, ce temple de la baise à plusieurs. La première fois, nous avions réservé une chambre à l’Hôtel Eve, à l’entrée de la zone naturiste. Comme tout le domaine, le rapport qualité-prix était fort moyen, mais c’est le lot de l’endroit qui monnaie cher son exclusivité. Je n’avais de cesse, dès notre arrivée, d’inaugurer le concept : je voulais aller me promener bite au vent devant tout le monde, marcher dans les rues du village nu, avec à mes côtés ma belle Sarah nue aussi, son sexe épilé bien en évidence. C’était un vrai bonheur, même si ni l’architecture, ni parfois le public ne sont en harmonie avec l’érotisme désiré... J’avais une peur évidemment : bander bêtement au milieu du village, alors qu’il est censé être familial hors clubs ou sur la partie « sage » de la plage. En réalité, ça n’arrive pas : on regarde autour de soi, on prend plaisir à l’instant, mais il n’est pas si compliqué de s’abstenir d’avoir une gaule indécente en public. Heureusement, car nombre d’enfants et d’ados sont présents. Je suis d’ailleurs assez surpris que des familles emmènent ici des petits ou des jeunes : non que le naturisme me choque pour eux, mais parce que le Cap est recouvert de publicités, panneaux, boutiques qui sont autant d’appels ostensibles au sexe dépravé. Le soir, alors que des enfants sont encore dans les petites allées du village, on voit sortir des couples extravagants, hommes cloutés et tenus en laisse, fesses découvertes dans un pantalon de cuir ; femmes habillées mais avec les seins sortis... un défilé de sex-breaks qui ne peuvent manquer d’étonner les plus jeunes. Aujourd’hui, on se dit qu’ils ont déjà vu tout ça sur internet. Mais il y a vingt ans...
La journée, nous partagions notre temps entre la plage naturiste sage, la partie appelée moins sage (appelée la « baie des cochons » et qui était, d’après ce que je vois sur certaines vidéos, plus sage que maintenant), et la petite zone privative du club le Glamour. J’aimais bien cette terrasse (sage) du club, qui permettait d’être nu, de regarder les autres, de s’exhiber discrètement (je demandais souvent à Sarah de rester cuisses écartées quand elle lisait), de repérer des gens que l’on retrouverait ensuite le soir, en club. Sur la plage, nous n’avons rien fait de spécial. Le premier jour de notre arrivée, nous nous sommes posés sur la partie « sage ». Non loin de nous, un homme s’est installé, en tournant sa serviette de manière à voir Sarah, et de manière qu’elle voit son sexe. Je demandai à Sarah ce qu’elle en pensait ; elle en pensait du bien. Elle s’assit et se mit face à lui ; il était à une dizaine de mètres. Elle écarta légèrement les jambes pour lui montrer sa fente. L’homme se leva mais ne vint pas vers nous - il alla se baigner. « Vas-y », lui proposai-je sans détour. Elle se leva à son tour, et alla se baigner a quelque distance de l’homme. Je restai sur le sable et regardai la progression de Sarah. Je les vis se rapprocher, l’air de rien. Puis discuter. Puis, je vis l’homme prendre ma chérie dans ses bras ; ils s’embrassaient. Je devinai le mouvement de leur mains : elle le masturbait, il lui caressait la moule, ce qu’elle me confirmerait ensuite.
Ils sortirent de l’eau. Elle le tenait par la main et le ramena vers moi. Je sentis un picotement de jalousie devant ce duo, comme à chaque fois que Sarah aurait une attitude tendre avec un autre homme - mais cela fait partie du jeu. Nous lui proposâmes d’aller dans notre chambre d’hôtel. Peu après, nous débutions notre première partie de jambes en l’air au Cap. Je les regardai faire l’amour en me masturbant. Puis je demandai à Sarah de venir s’empâler sur ma queue, et proposai à notre amant du jour de venir l’enculer : ce serait le premier sandwich que je vivrai avec elle. Il vint placer sa bite sur l’anneau cuiller, bien humecté de salive et un peu de mouille, et la pénétra. Nous avons joui tous les trois, dans un bel ensemble ; moi dans sa chatte, lui sur le dos de ma jolie salope.
Au Cap, nous n’avons pas vécu tant de soirées ou rencontres si positives ; mais j’ai le souvenir d’au moins deux rencontres remarquables que je vous raconterai bientôt...
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