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Les récits d'un puceau

Chapitre 10

Erotique
Dimanche douze juillet mil neuf cent quatorze, Sabine était partie depuis un peu plus d’une semaine. Les jours avaient été interminables. Je me languissais.Je m’étais bien occupé en me plongeant dans l’écriture, et un quatrième carnet avait vu le jour sur lequel je livrais, sans détour, ma véritable première expérience sexuelle, même si cette dernière n’avait pas été complète.
Ce fut plaisant de relater celle-ci en plusieurs étapes. Cela me permit de belles et longues séances de plaisirs solitaires en me la remémorant.Je ne me posais même plus la question de savoir si cela était normal ou non. Je remerciais même le ciel de m’avoir donné un sexe répondant si rapidement aux appels de mes besoins physiques.Je pensais souvent que l’évier de pierre de la cuisine n’avait jamais vu autant d’eau couler simplement pour laver une queue.À côté de ces pages d’écriture, je lisais presque au quotidien le journal du jour.Les choses ne s’arrangeaient pas, loin de là. Et cela m’inquiétait.Ainsi, au fil des jours, la presse annonçait que l’Empereur d’Autriche-Hongrie, François-Joseph premier, avait dépêché un émissaire auprès de Guillaume II d’Allemagne près duquel il avait obtenu un soutien immédiat pour réduire la Serbie.
Le sept juillet, c’est à Vienne que le problème Serbe était abordé. Pour les dirigeants, il était évident que la guerre était préférable à une action diplomatique.Je savais que si cela arrivait, la France et nous autres, les conscrits, nous serions systématiquement appelés à combattre. La guerre était à notre porte, cela me désolait.Pour ne pas me ruiner le moral, je prenais souvent le chemin de Wissant. Il était bon de se promener à travers les dunes, sages, silencieuses, indifférentes aux heures troubles qui se préparaient.Repassant par la plage où Sabine m’avait donné tant d’espoirs, tant de plaisirs visuels, il n’était pas rare que je m’y attarde, et nu comme lors de cette magnifique matinée, je me baignais et me masturbais dans les vagues.
Il m’était souvent arrivé aussi de repasser devant la fenêtre par laquelle j’avais observé cette jeune fille dénudée en train de se laver. Non pas que j’espérais la revoir, mon esprit était trop occupé par Sabine, mais parce que j’aimais à me promener parmi les "flobarts". Selon l’heure de la journée, un peu comme sur les quais du port de Boulogne, je pouvais rencontrer de jeunes garçons reprenant les mailles d’un filet de pêche.
Ils m’étonnaient toujours par leur dextérité, leur habileté à passer l’aiguille de ramendage
Acte qui consiste à réparer les filets de pêche.
et la souplesse de leurs doigts.
Ayant pris un peu d’assurance, il m’arrivait de discuter avec un vieux pêcheur, c’est ainsi que j’appris que le "flobart" pouvait pêcher avec moins de trente centimètres de fond. Son gréement était une grande voile dite bourcet
Une voile au tiers, ou bourcet est une voile aurique en forme de quadrilatère. Le bord supérieur ou têtière, est transfilé sur une vergue dont le point de drisse est situé environ au tiers avant de sa longueur.
ou voile au tiers.

L’embarcation était elle en bois d’orme et la quille en chêne. Après chaque sortie en mer, le "flobart" était remonté sur le sable et conduit dans le quartier des pêcheurs.J’avais rajouté ces éléments sur le carnet où je relatais mon expérience sur la Côte d’Opale. J’y avais mis force de détails pour plaire à mon maître, lequel, depuis sa dernière lettre, ne m’avait donné aucune nouvelle. J’osais espérer qu’il avait bien reçu la mienne.
Sabine devait arriver au train de quinze heures trente. Elle était donc certainement en route et j’attendais avec impatience dix-huit heures pour me rendre à l’estaminet et la revoir après cette séparation qui m’avait paru interminablement longue.
Assis à l’ombre, sur la vieille chaise en bois, celle où je m’étais fait jouir deux fois sous un orage furieux, j’entendis la porte de devant claquer, et de petits pas sur le carrelage vieillissant.En un instant, Sabine fut à mes côtés et, une fois de plus, j’étais nu, mais le sexe au repos.
— Bonjour mon amour !
Elle était éclatante de beauté. Son regard baissa sur ma queue.
— Tiens ! C’est la première fois que je te vois nu sans être en érection.
Je ne répondis pas à ses constatations, mais à son bonjour.
— Bonjour toi ! Tu m’as tellement manqué !— Toi aussi tu m’as manqué, et elle aussi !
Toujours son sourire coquin, toujours ses yeux pétillants d’un bleu si pur qu’ils me faisaient un effet fou.Elle m’embrassa avec fougue. Nos langues jouèrent ensemble, frénétiquement et, longuement, sensuellement, amoureusement.Sa main descendit sur mon ventre, elle y rencontra ma bite dressée.
— Déjà, tu ne perds pas de temps pour bander gros cochon.— Oui, mais en même temps c’est de ta faute, comment veux-tu que je reste insensible. D’ailleurs, que fais-tu ici à cette heure ? Ton train avait une sacrée avance !— Non j’en ai pris un autre qui partait plus tôt. Je voulais passer te voir avant de rentrer chez mon père, et j’avoue que je ne le regrette pas. Je vois l’effet que ça a sur toi.
Nous parlions enlacés l’un à l’autre, mon sexe se frottant contre la robe rose de ma bien-aimée et mon torse se collant à sa poitrine que je pouvais sentir libre sous le tissu.
— Tu n’as pas mis de soutien-gorge ?— Non, il est dans mon sac, je le mettrai en partant.— Ton père sait que tu es là ?— Bien sûr que non, tu es drôle toi. Je n’allais pas lui dire, il m’aurait interdit de venir.
Sa main s’aventura et saisit ma queue. Que c’était bon de la sentir ainsi me caresser, mais je pris la décision de ne pas la laisser faire. Elle m’avait donné tant de plaisirs, tant de jouissance la nuit avant son départ que je voulus lui rendre la pareille.
— Arrête... viens !
La prenant par la main, je la fis se tourner. Tendrement, je lui mis la main sur la poitrine, et je déposai un baiser derrière son oreille. Descendant vers le cou, je lui donnai de petits coups de langue tout en sentant sous ma main son téton durcir.
— Qu’est-ce que tu fais ?— C’est à moi de te dire de te laisser faire. Ne t’inquiète pas, je ne ferai rien de ce que tu ne voudras pas.— Oui, mais là, dehors chez toi, on peut nous voir.— Non, y a pas de danger, je me suis déjà masturbé ici, personne ne peut nous voir et puis laisse-toi faire. Je veux à mon tour tout connaître de toi.
En parlant, je dégrafai de l’autre main sa robe, laissant apparaître le haut de son dos et là encore, un fin duvet blond recouvrait sa peau dorée. J’adorais ça. Je lui baisai la nuque, et de la langue je suivis ce petit filet de poils qui se dressait sous le plaisir. Je ne doutais pas qu’elle mouillait probablement déjà.Je décidai d’aller plus loin. Il ne restait que deux agrafes, elles sautèrent et la raie de ses fesses apparut, me faisant découvrir de plus près le haut d’un cul qui devait être ferme et magnifique. Il était évident qu’elle connaîtrait avec moi la sodomie, mais déjà j’avais envie de lui faire découvrir l’intense volupté qu’on peut éprouver en sentant un doigt pénétrer la rondelle. Cela viendrait après, je voulais la faire jouir plusieurs fois mon tour.Je fis glisser sa robe. Elle se retrouva nue en quelques secondes.Lui prenant la main, je la fis asseoir sur la chaise que j’occupais à son arrivée.
— Qu’est-ce que tu vas me faire ?— Je vais te donner du plaisir, du moins je l’espère. Comme toi, je veux goûter ta peau, partout, je veux te caresser tes endroits les plus intimes. Je ne forcerai rien, si tu veux que j’arrête, j’arrêterai. Fais-moi confiance.— J’ai confiance mon amour !
Elle avait des jambes magnifiques et des cuisses musclées. Une fois assise, j’écartai ses genoux pour mieux regarder son abricot, il luisait déjà beaucoup.M’agenouillant, je lui baisai les seins, suçant les tétons l’un après l’autre tandis que mes doigts passaient dans ses cheveux. Je lui tirai tendrement la tête en arrière et je léchai le creux de son cou, puis descendis vers les seins, les prenant à nouveau à pleine bouche.
— Tu es merveilleuse mon amour, et tellement belle. Je suis un homme comblé.
Elle ne répondit pas, trop prise par le bien-être qui la faisait frissonner.Ma bite, raide comme la justice, n’avait qu’une envie, la pénétrer et lui voler sa virginité, mais j’avais promis, et j’étais honnête. Je glissai donc ma main sur son ventre, plat, doux, jusqu’à atteindre le début de sa jolie toison.Elle gémissait et me faisait bander encore plus. Sabine était vraiment une déesse, une déesse ouverte à l’amour.
— Dis-moi si tu veux que j’arrête !
Elle ne répondit toujours pas, mais un signe de la tête me fit comprendre qu’elle ne le souhaitait pas.Mes doigts glissèrent encore un peu plus bas. Les poils de sa chatte étaient soyeux et en arrivant au-dessus des grandes lèvres, je sentis qu’elle frémissait vraiment. J’ignorais si c’était l’effet de mes caresses ou une certaine crainte.
Je quittai ses seins, ma langue glissa jusqu’à son nombril que je léchai avec un féroce appétit. Mes doigts jouaient toujours avec le poil de son pubis, je sentis qu’il était temps d’aller un peu plus loin.
Mon nez glissa, ma bouche atteignit à son tour la vulve de ma bien-aimée. Par petits coups de langue, j’écartai ses lèvres, arrivant à son intimité rose, mouillée, tellement mouillée même que cela commençait à couler. Le spectacle dont j’étais le principal acteur fut jouissif.
Pour mémoriser cet instant, je retirai ma tête, je vis alors sa chatte ouverte, son clitoris était sorti, petit, rose tirant sur le rouge. L’envie de le sucer ne tarda pas, je replongeai entre ses cuisses pour la lécher goulûment, absorbant son nectar, fouettant de ma langue son bouton.
Elle poussa un cri.
— Ah... Mon Dieu... ne t’arrête pas, c’est si bon.
Je n’avais nullement l’intention de m’arrêter en si bon chemin. Un chemin mouillé qui réclamait plus que ma langue.J’introduisis doucement le majeur dans cette fente luisante. De la main gauche, je branlai ma queue sur le point d’exploser elle aussi.
— Tu aimes ?— Oh oui... c’est vraiment autre chose que quand je me caresse seule.— Tu veux aller plus loin ?— Fais-moi jouir oui, mais sans me prendre.
De deux doigts, j’écartai ses grandes lèvres, je plongeai à nouveau ma langue dans son intimité, mes doigts glissèrent vers son petit trou.
— Qu’est-ce que tu fais ? haleta Sabine.
— Ce que tu m’as fait !
Et sans prévenir, j’enfonçai mon doigt à l’entrée de son cul.
— Ah... humm... c’est bon.— Je sais, tais-toi, laisse-moi faire.
De plus en plus vite, ma langue joua avec son clitoris complètement sorti de sa cachette cette fois. Je le suçai et l’aspirai tellement que je le sentis tout excité sur ma langue. Des jets de sa jouissance arrivèrent à grand renfort pour faciliter l’introduction... elle avait un orgasme.
Elle poussa un gémissement beaucoup plus fort que les premiers. J’étais heureux de la satisfaire.Tandis que mon doigt s’enfonçait plus encore dans son petit trou, je lâchai ma bite pour lui caresser les seins.Ce n’étaient plus des gémissements... elle criait de plaisir.Écartant plus encore ses cuisses, ma langue vint lécher son cul et s’enfoncer dans l’étoile qu’il formait. Laissant ses seins, continuant à lui lécher le trou, j’introduisis trois doigts dans sa chatte et fis des va-et-vient rapides sans jamais les enfoncer trop profondément.Je reçus à nouveau un jet surprenant de sa part. Elle était au bout et dans un long cri, elle eut une autre jouissance plus forte encore qui la laissa complètement anéantie.
— Oh Clément... j’aime ça. Tu es un Dieu !— Non mon cœur... Je suis vierge, débutant et sans doute bien maladroit, mais tu es si belle que j’ai envie de toi tout le temps. Ce que je viens de te faire, j’en ai rêvé des milliers de fois durant ton absence.— Tu veux que je te suce ?— Ah non !!! Chacun son tour. Tu m’as fait le coup l’autre fois, là toi non plus tu n’as pas le droit de toucher.— Mais je vois bien que tu en as envie...— Oui, mais je le ferai moi même, de toute façon, ça ira vite, tu m’as fait tellement bander que dès que je vais commencer, ça partira.— Fais-le devant moi s’il te plaît, et caresse-moi encore en même temps. — Non ma belle. D’ailleurs, si on continue, on perdra notre virginité aujourd’hui, j’ai tellement envie de te prendre qu’il vaut mieux ne pas insister.— Tu crois que c’est normal d’être encore vierges tous les deux à notre âge ?— J’en sais bien rien. Mes copains d’université ont des copines, mais on ne parle pas de nos relations.— Oui, mes copines ont des camarades aussi, mais je ne crois pas qu’elles aient franchi le pas. En plus, elles ont déjà toutes un promis.— Et toi ?— Ah non, mon père le sait, je choisirai moi-même mon époux et mon futur est là, tout nu, tout beau, devant moi.— Pourquoi ? Ce sera moi ton mari ?— Pourquoi pas ? Je t’aime, je n’ai jamais connu les sentiments que j’ai pour toi avant. Moi aussi je pense à toi tout le temps, je pense à ce que j’ai vu de toi, et c’est gênant, surtout que je crois que mon père se doute de quelque chose.— Comment pourrait-il se douter de quelque chose ? On ne s’est pas vu beaucoup.— C’est mon père, il me connaît par cœur.— En parlant de ton père, l’heure tourne... tu devrais bien te mettre en route.— Tu as raison mon amour.
Elle dit cela en regardant ma verge toujours dressée.
— Tu es sûr que tu ne veux pas que...— Chut, n’y pense même pas.— J’en avais pourtant bien envie.— Demain, si tu veux, nous le ferons. J’ai repéré du foin dans les champs pas loin de Wissant. On pourra s’éclipser sans se faire voir.— Demain dis-tu... Demain tu me prendras, tu me feras l’amour et je te donnerai ma virginité. Mais... on m’a dit... enfin...
De toute évidence, elle était mal à l’aise.
— Ben dis-moi, on t’a dit quoi ?— Ma mère, le soir où elle est venue me trouver... Elle m’a dit d’aller doucement la première fois, que ça peut faire mal.— J’irai doucement mon amour, et c’est toi qui te placeras sur moi, comme ça tu iras à ton rythme et je ne forcerai pas. N’oublie pas que je suis puceau aussi, alors il vaut mieux que ce soit toi qui guides nos premiers rapports.— Alors, demain soir treize juillet mil neuf cent quatorze sera le grand jour. Il faudra que ce soit merveilleux, inoubliable. Je me sauve, pense à moi en t’occupant d’elle.
Elle regarda à nouveau mon sexe puis nous échangeâmes un long et profond baiser.La séparation fut difficile. Il nous fallait attendre le lendemain pour nous revoir et réaliser notre projet.Sabine gagna le chemin et repartit chez elle. Vu l’heure, je pus me mettre de nouveau à l’écriture et transposer sur le papier la douce expérience de ce bel après-midi.
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