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Les représentants

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Antoine vivait avec sa mère et sa sour dans un appartement situé en banlieue. Il allait au lycée, ainsi que sa sour. Mélanie était blonde avait de grands yeux bleus, mais était un peu petite, 1m60 avec de gros seins, comme sa mère. Denise était au chômage et avait du mal à subvenir aux besoins de la famille. A 57 ans, elle savait qu’à cet âge, trouver du travail allait se compliquer de plus en plus. Ses deux accouchements avaient alourdis sa silhouette. Des mèches de cheveux blancs étaient apparues ça et là dans sa chevelure brune.
Antoine était le chef de la famille, comme le lui rappelait sa mère puisque son père avait quitté le domicile il y a bientôt dix ans. A 17 ans, il prenait les décisions importantes avec sa mère.
En allant chercher le courrier un samedi matin, un courrier d’une société de courtage interpela Antoine. En ouvrant, il s’aperçut qu’il s’agissait d’une demande de rendez-vous. Il était stipulé qu’une augmentation de revenus était prévisible aux vues de l’observation des comptes.
Antoine ramena le courrier et en fit part à sa mère. Un numéro de téléphone y était indiqué et surtout que les personnes se déplaceraient à leur domicile. C’est Denise qui appela sur les conseils d’Antoine. Un rendez-vous fut pris pour le mardi de la semaine à venir. Les représentants, viendraient pour 20 heures. Antoine se chargea de réunir toute la documentation nécessaire.
Le soir arrivant, Antoine et toute la petite famille se préparèrent pour recevoir leurs bienfaiteurs. Dans leur trois pièces, seule la cuisine pouvait recevoir tous le monde. A vingt heures précises, la sonnette d’entrée tinta. Antoine se leva et alla répondre. Sur le pas de la porte, il vit deux personnes ayant environ 35 ans, vêtu de pardessus de couleur sombre. Ils se présentèrent et Antoine les invita à pénétrer dans la cuisine. Les présentations se firent dès que tout le monde fut assis :
- Je m’appelle Michel, dit le plus âgé, et nous représentons une société de communications qui cherche de nouveau capitaux par le biais de talent ou autre. Notre but, c’est d’étendre notre entreprise.
Michel poursuivait son discours et Antoine avait lâché prise au bout d’un moment. Il détailla les deux personnes qui étaient toutes les deux relativement propres sur elles. Michel et Pierre étaient costauds et avaient une bonne tête. De suite, Antoine se sentit à l’aise. Il jeta un coup d’oil à sa mère et sa sour assises toutes les deux à côté et qui écoutaient.
Au bout de vingt minutes de parlotes, Michel sortit une liasse de documentation et fit signer Denise. Tous les feuillets. Puis, Michel annonça tout de go :
- Voilà, je pense que vous avez fait le bon choix, il ne vous reste plus qu’à verser un montant initial de 3000 euros puis 200 euros par mois. Comment voulez-vous régler ? demanda Michel.
Denise fit de gros yeux :
— 3000 euros ? De suite ?— Bien sûr, madame, répondit Michel dans un sourire.— Mais nous n’avons pas cette somme.
Subitement, un doute s’empara de Antoine. Tout était trop lisse dans cette affaire.Michel poursuivait :

— Mais vous venez de signer le contrat.— Je ne savais pas ce que je signais, protesta-t-elle.— Le soucis, madame, c’est qu’on ne peut plus annuler ce contrat, il est numéroté ! mentit Pierre.— Que faire, alors ? demanda Antoine.— Nous on va se faire taper sur les doigts quoiqu’il arrive. On pourrait, éventuellement.dit Pierre en se tournant vers Michel.— On pourrait avoir une petite récompense.
Denise regarda les deux représentants puis son fils.— Je ne comprends pas, dit-elle, nous n’avons rien.— Ecoutez, on passe un marché, dit Pierre. Vous nous laissez faire, et on annule le contrat. Mais je crois que vous n’avez pas le choix.Qu’est-ce qu’on fait ?
Denise regarda son fils et sa fille.— D’accord, faîtes comme vous voulez.lâcha-t-elle.— Enlevez votre pull, madame, dit Pierre.
Denise comprit rapidement où ils voulaient en venir. Antoine regardait sa mère la bouche ouverte.— Hum.on pourrait aller dans ma chambre.souffla-t-elle.— D’accord ! firent Pierre et Michel en se levant.

La pauvre mère passa devant les deux hommes et remonta le couloir pour entrer dans sa chambre. Après les avoir fait entrer, elle ferma la porte. Elle se tourna vers eux et Pierre, s’approcha d’elle et posa sa main droite sur la poitrine de la malheureuse. Michel, également lui frotta les fesses. Elle était toute petite au milieu des deux. Pierre lui attrapa le pull par le bas et le lui ôta par les épaules, de ce temps, Michel lui baissa sa jupe. En un rien de temps, Denise se retrouva en sous-vêtements devant les deux hommes.
Mais Michel eut une idée un peu perverse.— Pourquoi vos enfants ne peuvent-ils pas assister au spectacle ? lui demanda-t-il.
Denise resta interdite, la bouche pincée.— Allez les chercher, brave dame, qu’ils assistent eux aussi. Peut-être apprécieront-ils ?— Ecoutez, faîtes vos saletés avec moi, mais laissez mes enfants tranquille ! leur dit-elle.— Madame, si vous ne voulez pas que j’encule votre fille, je pense que vous allez faire rapidement ce que je vous dis !— Ne faîtes rien à mes enfants ! Supplia-t-elle.
Elle avait pas bien compris le terme « encule » et ne voulait pas que sa fille soit contrainte à quoi que ce soit. Son mari, ne lui a fait l’amour que quelques fois, et elle avoue ne pas avoir souvent joui. La présence de ces deux hommes la faisait frémir.
Contrainte, elle voulut se rhabiller, mais Michel fut plus prompt.— Non, allez-y comme ça.
Elle sortit de la chambre et se dirigea vers la cuisine en sous-vêtements, complètement honteuse. A la vue de ses enfants, elle fondit en larmes, se cacha sa poitrine et son bas-ventre, elle leur demanda de la suivre dans la chambre. Mélanie fut complètement surprise, à mille lieux de se douter de ce qui se tramait. Voir sa mère nue avec deux autres hommes dans l’appartement, était tout simplement impensable. Antoine pour sa part était partagé entre l’humiliation et une soudaine montée de plaisir suite à la vue de sa mère en sous-vêtements dans le couloir. Ses vieux fantasmes de branleurs dans lesquels sa mère prenait une place importante, ressurgissaient. Il entra à la suite de sa sour dans la chambre pour voir les deux représentants allongés sur le dos dans le lit, avec des sexes relativement volumineux posés sur leurs cuisses. Hormis quelques photographies pornographiques, Antoine n’avait jamais vu en vrai un autre sexe en érection. Pas plus qu’une autre femme. Quand à sa sour, seules ses copines lui avaient parlé de l’acte sexuel. Elles en rigolaient entre elles, mais cela n’allait pas plus loin. Denise, se tenait au milieu de tout le monde, debout, toujours vêtue de ses sous-vêtements. Elle faisait face aux deux hommes et tournait le dos à ses enfants, comme d’un rempart. Antoine, lui, lorgnait les fesses grasses de sa mère et sentait son sexe se durcir. Il ne faudrait pas enlever son pantalon sans quoi, il serait démasqué. Pour le moment, il se demandait ce qui allait bien pouvoir se passer.
C’est Michel qui prit la parole :— Allez, Denise, venait me sucer, s’il vous plaît !
C’était un acte, qu’elle n’avait pas bien compris contrairement à Antoine. Elle resta debout, toute chose, attendant une autre directive. Michel dut réitérer son ordre :— Denise, venait vous mettre sur le lit entre nous deux.
Elle s’avança, monta sur le lit, et se mit à quatre pattes entre les deux hommes. Elle huma le parfum qui se dégageait d’eux, et elle fut un peu enivrée par cette odeur épicée. Ses grosses mamelles pendaient et manquaient de toucher l’édredon. Michel s’approcha d’elle, saisit son sexe et le lui présenta à son visage :— Allez-y, sucez, Denise !
Cette fois-ci elle compris ce qu’on attendait d’elle, et d’un profond dégoût approcha ses lèvres du gland. Elle l’embrassa sur le méat ne sachant que faire de plus. Michel s’en aperçut :— Vous ne savez pas sucer une queue, Denise ? Tenez, regardez, lui dit il. Ouvrez votre bouche, voilà.comme çà.attention.
Et Michel enfourna sa queue à demie bandée dans la bouche de Denise. La douce chaleur du fourreau provoqua une montée d’excitation en plus qui lui fit grossir sa queue. Denise, avec ce nouvel intrus dans sa bouche, manqua de s’étouffer, mais ce dernier lui tenant la tête, il commença à faire des allers et retours qui fit prendre de grandes dimensions à la bite. Elle calcula vite comment respirer entre les va et vient sous peine d’asphyxie, en poussant de petits gémissements. Dans son coin, Antoine avait son sexe bandé au maximum. Mélanie, attendait debout les bras ballants. Son regard allait de sa mère à son frère. Elle ne comprenait pas tous ce qui arrivait. Pierre s’approcha à son tour de Denise, et lui présenta son sexe durcit. La pauvre femme le prit dans son poignet droit, le branla un peu et l’enfourna à son tour. Pierre poussa un râle de bonheur :
— C’est bien Denise, vous sucez doucement comme une reine, pas vrai Michel ?— Pour sûr, dit-il son sexe toujours dans la main gauche de Denise, c’est une vraie suceuse, attendons la suite.
Denise poursuivait son travail sous les ravissements des deux hommes. Elle avait complètement oublié ses enfants, seulement concentrée par son activité du moment. Les deux sexes sentaient finalement bon et une légère pointe commençait à se faire sentir au fond de ses reins. Il faudrait pas qu’elle jouisse dans ce lit devant ses enfants.Se serait la honte suprême.Elle repris Michel en bouche, et commençait à astiquer ses bites royalement. Michel se retira et dit :
— Tiens le gosse, comment appelles-tu ?— Antoine.— Tu ne voudrais pas déshabiller ta mère, lui enlever ses sous-vêtements ? Je te vois dans ton coin, et il me semble que tu lorgnes cette activité avec plaisir. Viens enlever le soutien-gorge de ta mère.
Antoine ne bougea pas, emmuré dans une situation totalement incontrôlable. Il semblait immobile comme une statue de sel. Au fond de lui, ses fantasmes les plus fous se réalisaient alors qu’il était partagé entre la volonté de les vivre et l’humiliation. Il s’approcha du lit de sa mère, cette dernière à quatre pattes, lui tournant le dos. Il se mit à côté d’elle et dans des bouffées de chaleur saisit la bretelle dans le dos, et l’enleva au pris d’un effort important, sous les rires de Pierre et Michel. Mais le soutien-gorge était retenu par les mamelles de sa mère. Celle-ci se redressa et l’aida à l’ôter. Ses seins tombèrent sur le ventre. Ils étaient vraiment gros, blancs et avaient de grosses auréoles de couleur crème surmontées de mamelon foncé. Antoine se débarrassa du sous-vêtement et le posa au bout du lit. Denise regardait son fils en le rassurant d’un regard. Elle-même ne savait pas ce qu’il allait arriver du reste, mais dès que les deux intrus auraient pris leur plaisir, ils laisseraient la famille.
— Ca t’excite de voir ta mère comme ça, hein ? demanda Michel.
Antoine ne répondit rien. Mais Michel poursuivit :— Ils sont beaux les nénés de ta mère, hein ? Tiens, puisqu’ils te plaisent, suce-les !
Comme Antoine ne réagissait pas, Denise se tourna vers lui et les lui présenta avec ses mains dessous en formant un plateau.— Vas’y mon chéri, fais ce qu’ils veulent.
Denise se souvenait de l’avertissement de Michel au sujet de sa fille. Qu’il lui suce les seins, si ça les excite. Antoine s’approcha et téta goulûment le sein gauche de denise. Le mamelon, sous les coups de langue grossit dans sa bouche.— Et la fille ? demanda Pierre. Viens goûter au lait maternel, dit-il à Mélanie.
Elle s’approcha doucement et comme son frère téta le sein droit de sa mère. Des sensations bizarres se tramaient dans le sexe de Denise dont elle ne pouvait en définir l’origine. Au bout de cinq minutes de léchage, Pierre stoppa la parodie. Il fit lever la pauvre femme, en proie à de forts troubles et la plaça au pied du lit. Ses gros seins, brillant de salive remuaient dans tous les sens. Il mit Denise à quatre pattes parterre, son buste sur le lit. Il lui enleva sa culotte et des poils noirs jaillirent de cet antre. Il les écarta et massa doucement l’entrée du vagin. Michel se glissa sous le torse de Denise et planta son sexe dans sa bouche. Pierre se tourna vers les deux enfants :
— Approchez, venez être aux premières loges. Votre mère va se régaler quand je vais plonger mon dard dans son sexe. Regardez !
Denise était morte de honte. Elle priait intérieurement que cela finisse rapidement mais elle souhaitait également que son corps n’aille pas la trahir en jouissant. Surtout que ses enfants allaient la voir se faire pénétrer. Antoine et Mélanie étaient à genoux, collés aux cuisses de leur mère, à vingt centimètres du vagin exhibé. Le gland de Pierre farfouilla un instant dans la cramouille avant de se fixer et de s’enfoncer doucement. Le gland était rentré et le reste suivait doucement. Denise ne sentait plus rien que ce sexe qui la pourfendait. Quelle sensation bizarre qu’une bite bien bandée pouvait faire. Cet intrus ne la dérangeait presque plus. Elle savait que cela n’appartenait pas à son corps, mais elle commençait à le désirer. Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait plus baisé, et c’est à presque 60 ans qu’elle se faisait baiser par deux jeunes de trente balais. Intérieurement, elle se disait qu’elle aurait accepté qu’ils viennent lui faire l’amour mais sans la présence des enfants.
Antoine allait bientôt éjaculer dans son slip devant tant d’érotisme. La queue de Pierre était entièrement entrée dans le sexe de sa mère. Il ressortit doucement, et Antoine notait qu’il était bien luisant, emplit de mouille, comme lorsqu’il en parlait au lycée. Puis le sexe de Pierre replongea dans le vagin de sa mère, qui poussa un gémissement étouffé par le sexe de Michel. Ce dernier dit :— Elle commence à aimer !!!— C’est sûr ! dit Pierre. Je sens qu’elle va jouir d’un moment à l’autre !
Denise dès la pénétration compris qu’elle ne tiendrait pas le coup face à ses agresseurs. Elle allait jouir sous les assauts de Pierre, son vagin martyrisé par ce sexe n’en pouvait plus. Au moment où elle allait défaillir, Pierre sortit son sexe, et écarta les lèvres de sa moule de ses deux mains.— Allez-y ! Crachez dans le sexe de votre mère !
Antoine ne savait plus quoi faire, et Mélanie le regardait de ses grands yeux bleus sans comprendre.— Il faut mettre du lubrifiant ! Antoine approche ta tête de la chatte de ta mère !
Antoine approcha son visage et huma les saveurs qui s’échappaient du sexe maternel. Celui-ci était ouvert, rouge vif et l’intérieur était tout rose et humide. Entouré de poils bruns, l’ensemble de toutes ces couleurs faisait comme une vilaine blessure. Soudain, la main de Pierre lui colla son nez dans le sexe poilu. — Allez, lèche la chatte de ta mère !
Antoine darda sa langue et commença à toucher les lèvres poilues de sa mère que Pierre étirait largement. Puis, il descendit vers la jonction des lèvres et titilla cette boursouflure rose pointée au milieu d’une fine ouverture. Il pensa immédiatement au clitoris. Il en avait vu des plus gros dans les bouquins de cul. Encouragé par Pierre, il accentua cette caresse et sentit sa mère gigoter. Denise n’allait plus tenir longtemps. Maintenant, c’était son fils qui s’y mettait. Et visiblement il appuyait là où cela faisait du bien, se dit-elle. Même son père ne lui avait pas fait cette caresse. Elle branlait machinalement la bite de Michel mais se concentrait à présent sur son plaisir qui arrivait indubitablement.
Une nouvelle fois, au moment où elle atteignait son point de non retour, Pierre ôta son fils de la caresse qu’il lui prodiguait.— Tu veux essayer madame ? demanda Pierre à Michel.— Oui, moi aussi je veux la baiser.
Michel fit lever Denise et la coucha sur le dos dans le lit. Son visage était rouge comme une pivoine. Ses gros seins tombaient de chaque côté de son corps et les plis de son ventre formaient une digue entre le haut et le bas du corps. Michel toucha sa chatte et y enfonça brutalement deux doigts :— C’est marécageux ! Je risque de me noyer ! dit-il en rigolant. Tenez, les gosses, maintenez les jambes de votre mère bien écartées !
Antoine et Mélanie s’exécutèrent. Antoine vit que le visage de sa mère était barbouillé, ses lèvres et ses joues brillaient du plaisir de Michel. Son rimel avait coulé lui augmentant le volume de ses yeux. Ce dernier se tint debout, et planta son sexe dans le vagin de Denise. Elle fit un bond et poussa un petit cri. Michel prit une meilleur place et commença à faire de long va et vient. De nouveau, la morsure de Denise repris dans son bas-ventre. Cette fois-ci, se trouvant allongée sur le dos, elle pourra difficilement cacher son orgasme. Quelle honte ! se dit-elle. Antoine tenait le mollet de sa mère et regardait ses seins ballotter sous les assauts de Michel. Pierre se tourna vers lui :— Veux-tu que ta mère te suce ?
Antoine ne répondis rien et évita de croiser le regard de Pierre. Sa mère cette fois-ci ne le regardait plus. Elle semblait en proie à un déchirement intérieur qui l’empêchait de faire le point sérieusement. Sans compter que son orgasme arrivait comme un train lancé en pleine vitesse.
Pierre réitéra sa question :— Bon, Antoine, oui ou non, tu veux te faire sucer ?
Il baissa ses yeux et dit :— Oui.— Bon, enlève ton froc et va te faire sucer.lui dit Pierre dans un sourire.
Antoine ôta son pantalon et sa sour vit la bosse qui déformait son slip. Il l’enleva à son tour. Il se rapprocha du couple et attendit patiemment. Sa mère avait les yeux fermés et gigotait la tête de droite à gauche sous les coups de butoir de Michel. Son ventre formait de gros plis et tremblaient également comme ses seins.
— Allez Denise, on suce son fils ! dit Pierre.
Denise ouvrit les yeux, mais ne bougea pas. Pierre poussa Antoine et ouvrit la bouche de Denise. Antoine, vaincu par ses démons plongea son sexe dans la bouche maternelle. Il se concentra une seconde, sa mère tenait son gland dans la bouche. Cette chaleur lui fit perdre tous ses repères et il se lâcha en de longs jets, manquant d’étouffer sa mère, qui recracha tout sur sa poitrine. Antoine, son sexe en main finissait de se lâcher sur la poitrine maternelle.— Et bien, dit Pierre, finalement, on passe un bon moment, hein ? Allez madame, il faut faire regrossir cette verge, reprenez la bite de votre fils en bouche et faîtes nous le bander !
Michel voulut changer de position, et sortit son sexe du vagin de Denise.— Je stoppe car comme elle est mouillée, je ne sens plus rien. Une véritable fontaine.
Denise fut mise à genoux par terre, et pris le sexe de son fils un peu dégonflé dans sa bouche. Elle fermait les yeux pour ne pas voir ce qu’elle faisait. Elle le suçait comme si c’était un autre homme. Antoine était tourmenté, il ne savait plus s’il devait avoir du plaisir ou de la répulsion.
Sur le lit, Pierre et Michel s’essuyaient leurs sexes couverts de mouille. Antoine, sous les caresses de sa mère reprenait vigueur. Denise sortit le sexe de son fils pour le branler un peu et les deux hommes virent le sexe bandé. Pierre se tourna vers eux :— Bon, Antoine, maintenant, tu vas pouvoir la baiser ta mère ! Allez, madame allongez vous parterre.oui, sur le dos et écartez bien votre moule que le fiston il puisse se glisser sans problème dans votre chatte.voilà.Allez Antoine, ta mère t’aide, enfonce toi, tu vas voir comme c’est bon !
Antoine ne savait plus ce qu’il faisait. Sa mère avait ouvert les yeux et le regardait :— Vas’y mon chéri, installe-toi.
Elle eut une lueur d’espoir en se disant qu’il valait mieux qu’elle jouisse sous les assauts de son fils que d’un des autres. Et là, elle n’allait pas se retenir pour jouir, elle allait tout faire pour. Au diable l’humiliation, elle pensait à son fils. Elle le sentit tâtonner à l’entrée de son vagin et se cambra pour lui faciliter l’accès. Il glissa à deux reprises en raison de l’humidité mais elle sentit le gland lui écarter ses chairs intimes puis s’enfoncer. Elle eut un frisson de plaisir et entama une petite houle du ventre.Antoine, enfoncé dans ce fourreau brûlant et humide commença à bouger doucement. Pierre et Michel le félicitèrent :— Bravo, tu es un homme ! Continue comme ça, tu apprends vite, que diable !
Antoine n’avait que faire de ces remarques, il était enfermé dans son plaisir et prenait un pied royal à baiser. Il baisait sa mère, qui le regardait en souriant. Il malaxa son opulente poitrine et il sentit sa mère se tordre et commencer à gigoter sérieusement.
— Continue, mon chéri.oui.oui.c’est bon, tu me baises comme un homme.rabote-moi bien la chatte, oui.continue.
La pauvre femme ne savait plus ce qu’elle disait, elle sentait les rivages du plaisir arriver rapidement et soudain ce fut l’orage. Elle remua comme une possédée en hurlant, le membre de son fils toujours fiché dans son sexe brûlant. Elle gigotait sa tête de droite et de gauche et Antoine sentait des contractions démoniaques dans le sexe de sa mère. Il continuait à limer, à la recherche de son plaisir lui aussi. Il repris le malaxage de la poitrine maternelle, suçant et étirant les bouts. Seulement, le sexe de sa mère, mouillé à souhait et complètement distendu, il commençait à sentir de moins en moins, jusqu’à ce qu’il soit éjecté du vagin. Tout penaud, il voulut réintroduire son sexe dans le vagin de sa mère sans succès. Il se branla un peu et voulut une nouvelle fois essayer sans pouvoir conclure, une nouvelle fois.
Pierre s’approcha, mit Denise à quatre pattes parterre, glissa deux doigts dans le vagin humide et enfonça son sexe dans celui de Denise. La pauvre femme gémit, les dimensions de son fils et celles de Michel n’étant pas les mêmes, les chairs intimes devaient rapidement s’adapter. Michel dit à Antoine :— Va te faire sucer une nouvelle fois.
Antoine s’approcha de la tête de sa mère. Ses gros seins touchaient parterre et Pierre les malaxait tellement fort que Denise couina.— Doucement, s’il vous plaît !— Quelle grosse vache, hein Michel ?— C’est vrai, ils sont énormes ! On dirait des pis !— Je suis sûr qu’on pourrait en tirer du lait ! Et il éclata de rire.
Les deux compères malaxaient les seins de Denise, lui étirant méchamment les bouts. Des marques commençaient à apparaître. Denise saisit le sexe de son fils et l’enfourna. Le sexe qui la pourfendait la remplissait convenablement. Antoine voyait son cul bouger à chaque coup de boutoir. Son sexe restait désespérément flasque. Il vit Michel qui mordait violemment les mamelons de Denise. Ils étaient rouges vif et la pauvre femme gémissait de douleur :— Doucement, s’il vous plaît, vous me faîtes mal.Soyez gentil, s’il vous plaît, ne me faîtes pas mal.
Devant les suppliques de Denise, Michel laissa tomber ses seins. Seul Pierre y restait accroché et les serrait dans ses mains. Il donnait de violents coups de bite qui faisait bouger le corps de Denise. Il retira son sexe, et écarta sa chatte. Elle était tellement inondée, qu’elle s’ouvrait dans l’obscurité comme une poche.— Viens voir, la baleine. Michel s’approcha et vit le sexe de Denise étiré.— Bouh, cette chatte, je suis sûr qu’on peut y rentrer à deux.Attends, je vais lui demander la permission.Madame, est-ce qu’on peut vous baiser à deux ensemble ? demanda Michel sous les rires de Pierre.
Denise, occupée à sucer son fils, ne répondait pas. Michel lui tira les cheveux en arrière :— Est-ce qu’on peut vous baiser à deux, madame, s’il vous plaît ?
La pauvre femme ne savait pas quoi répondre.— Je.Ben.— Est-ce qu’on peut vous faire une double vaginale, madame, s’il vous plaît ?— Une double.quoi ?— Une double vaginale : deux bites dans votre chatte !— Deux.Non, çà va pas rentrer !!!! couina Denise.— Mais si, on essaiera tout à l’heure.
Michel relâcha la pression et Denise repris le sexe de son fils en bouche.
Puis, Michel se tourna vers Antoine :— Bon, et ta sour, elle ne veut pas participer ?
Antoine resta interdit. Michel s’approcha de la jeune fille et lui demanda :— Tu as déjà fait l’amour avec un garçon ?— Non, dit-elle.— Allez, viens, tu vas devenir une grosse cochonne, comme ta mère.— Non ! cria Denise en cessant la fellation, laissez ma fille ! Faîtes-moi ce que vous voulez à moi, je vous ai déjà demandé, mais laissez ma fille tranquille !
Pierre se pencha en avant et saisit Denise par le cou :— Ici, on fait ce qu’on veut, madame, vous nous devez 3 000 euros. Je doute que le montant ne suffise pour une seule soirée. Alors fermez-là ! Si on veut baiser votre fille, on va la baiser.— Oui, on fait ce dont on a envie. Mais rassurez-vous, madame, il faut que vous aimiez vous aussi, et il me semble que jusqu’à présent, on ne vous a pas trop forcée pour que vous jouissiez.— C’est mon fils qui m’a fait jouir, répondit-elle.
Mélanie fut amenée au centre de la chambre et Michel la déshabilla. Elle avait le même corps que sa mère, petit et dodue, sans les poils. Mise à genoux, Michel lui mit son sexe dans sa bouche malgré ses grimaces. Sa mère l’aida :— Respire entre les passages.ne panique pas.
Michel, son sexe enfoncé dans la bouche de l’adolescente grimaçait de bonheur :— Elle suce bien, cette cochonne. Mieux que sa mère en tout cas !— C’est vrai ? demanda Pierre.— Viens voir.
Pierre sortit son sexe de celui de Denise, brillant de sécrétions, et s’approcha de Mélanie. Antoine regardait sa sour : il ne l’avait plus vue nue depuis une dizaine d’années. Ses gros seins pendaient sur son ventre avec des auréoles tellement claires qu’on avait du mal à les distinguer de la peau blanche. Un ventre bombé mais moins proéminent que celui de sa mère et une chatte moins fournie. Elle fermait les yeux et s’appliquait à sucer ces sexes surdimensionnés qui lui distendaient la bouche. Pierre se tendit dans un cri sous la caresse et éjacula dans la gorge de la pauvre fille. Elle cracha tout sur sa poitrine. Ses gros seins brillaient englués de sperme. A son tour, Michel se vida sur son visage en de longs traits.
— Aaaah, quelles sont bonnes ces femmes ! Un régal, pas vrai Pierre ?— C’est vrai qu’elles sont bonnes. Va te laver, toi, dit Michel en désignant Mélanie, et revient nous vite !
Mélanie, couverte de sperme, sortit de la chambre et se dirigea vers la salle d’eau. Les deux représentants s’étaient allongés sur le lit, leurs sexes flasques et récupéraient. Denise poursuivait sans relâche la pipe à son fils. Celui-ci reprenait de bonnes dispositions. Sa mère le regardait dans les yeux tout en lui prodiguant cette caresse. Antoine comprenait tout l’amour qu’elle lui vouait. Mélanie revint, toute débarbouillée. Les deux compères reprirent les choses en main :— Allez, les filles on reprend ! A genoux toutes les deux. Je me reprends la mère, dit Pierre.— Si tu veux, dit Michel. Je vais me dépuceler la fille.
Denise, horrifiée, leur demanda :— Faîtes doucement, ne lui faîtes pas trop mal.— Mais non.dit Michel, je suis sûr qu’elle va apprécier.
Pierre avait déjà enfourné Denise, et s’agitait violemment dans son vagin. Pierre caressa la chatte de Mélanie, posa deux doigts à l’entrée du vagin et les rentra doucement. Il sentit une douce moiteur et fit coulisser ses doigts.— Ecarte tes lèvres.lui demanda Michel.
Mélanie s’exécuta, toute tremblante et s’écarta sa moule toute rose. Michel y colla son gros gland et poussa en avant. Il s’enfonça doucement d’un trait jusqu’au fond. Denise surveillait cette progression et fut surprise que sa fille n’ait pas mal au moment du passage de l’hymen. — Tu n’es plus pucelle à ce que je vois, dit Michel.— Non, je ne vous ferais pas ce plaisir !— Tu as déjà fais l’amour avec un garçon alors ?— Non, mais il existe tellement de chose à faire pour se faire dépuceler quand on est une grosse comme moi que les garçons fuient !
Malgré tout, le sexe puissant de Michel lui déchirait ses chairs intimes et lui brûlait douloureusement son sexe. Elle se tourna vers son amant :— Doucement, vous me déchirez.
Cela excita encore plus Michel, qui fit des allers et retour dans ce vagin étroit mais tellement chaud et humide. Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, Michel proposa à Pierre d’échanger. Ce qu’ils firent, Denise et sa fille, toujours à quatre pattes continuèrent à se faire baiser. Antoine avait cessé de se faire sucer. Il se branlait à présent. Pierre lui dit :— Mets-toi au milieu et vous les filles faîtes lui une pipe ensemble !
Antoine se positionna, sa mère poursuivit la fellation, et sa sour s’approcha doucement, puis suça à son tour dès que sa mère lui tendit la verge. Cette fois, sucé par deux femmes, Antoine reprenait vigueur. Denise sentit une nouvelle fois une petite pincée dans ses reins, signe annonciateur d’un nouvel orgasme, à son grand dam ! Mélanie semblait se contenter de ce sexe qui la ramonait. Point positif, elle pourrait faire râler ses copines en disant qu’elle avait fait l’amour avec un homme de trente ans. Mais ce sexe qui la taraudait augmentait ses sensations de plaisir. Michel et Pierre changèrent une nouvelle fois de partenaire, ce qui fit chuter une nouvelle fois la pression engendrée du côté de Denise. Puis au bout de dix minutes, Ils s’enlevèrent, et vinrent se placer devant les femmes. Elles stoppèrent la fellation à Antoine pour celle de leur bourreau.— Tiens, tu vas nous rendre service, dit Pierre à Antoine. Tu vas préparer le trou du cul de ta mère, avec les doigts ou ta bouche. Puis après, tu pourras l’enculer.
Antoine se leva et fit le tour de sa mère. Il s’agenouilla derrière son gros cul et constata les dégâts engendrés par la bite des agresseurs : la chatte maternelle ne se refermait plus, était poisseuse, distendue et rouge. Sa mère devait souffrir le martyr. Il repéra immédiatement l’anneau foncé. Il posa un doigt dessus et Denise bondit :— Non, pas ça !
Michel lui tira les cheveux en arrière :— Tu préfères qu’on le fasse à ta fille ?
Elle se souvenait de la douleur de cet acte la fois où elle l’avait fait avec son mari. Depuis elle ne l’avait plus pratiqué. Et c’est avec appréhension qu’elle laissa son fils lui toucher son anus. Décidément, ses agresseurs allaient profiter d’elle par tous les orifices. Antoine s’humecta son index et caressa la rondelle plissée et brune de sa mère. Des filets de salive déposés brillaient dans les petits monticules de chair brune. Puis il enfonça son doigt et sentit sa mère se contracter. Il le fit aller et venir avant d’y enfoncer le majeur. Denise sentait une curieuse sensation, une douce brûlure dans ses reins. Antoine retira ses doigts et écartant les deux fesses grasses, posa sa langue contre l’oeillet. Il l’inonda de salive et sa mère, appréciant cette caresse, tortilla involontairement des hanches.
-Tiens, elle aime se faire bouffer le cul ! dit Pierre à Michel.— Vous aimez quand votre fils vous bouffe le cul, madame ?
Denise ne répondait pas. Pierre réitéra sa question.— Oui.— Oui, quoi ?— Oui, j’aime quand mon fils me lèche le cul.— C’est une grosse nympho, ricana Michel. Allez, on passe à autre chose.
Il se rapprocha de Antoine, l’écarta et vit le travail accomplit. Le trou du cul de Denise était luisant de salive. Elle tremblait de tous ses membres en pensant à la suite. Michel posa son gland à l’entrée de ses sphincters et poussa. Antoine voyait le gland qui voulait pénétrer l’entrée étroite en gros plan. Michel écrasait littéralement son gland en rugissant :— Pousse, grosse conne ! Pousse comme aux chiottes, sinon, je ne vais pas pouvoir rentrer ! Allez ! Oui.continue.
Antoine entendait sa mère hurler et voyait ce gland se déformer et finalement entrer dans l’orifice. Denise s’agitait et Pierre vint à la rescousse pour la maintenir en place :— Arrêtez, j’ai trop mal ! Vous me déchirez ! Arrêtez ! disait-elle en pleurs.— Calmez-vous, et poussez comme aux chiottes, et ça va passer ! Allez’y !
Le sexe de Michel entra finalement tout doucement dans le cul de Denise accueillit par un râle de souffrance de cette dernière. Puis il continua à faire des allers et retours puissants dans le fondement de Denise. Antoine, voyant sa mère se faire enculer de la sorte et surtout manifester sa détresse, l’excita encore plus. Il voyait ses gros nichons ballotter sous les assauts de son agresseur. Il s’approcha un peu et vit l’anus martyrisé rouge violacé. La membrane recouvrant l’anneau était atrophiée, la peau rouge et distendue. Dès que le sexe de Michel ressortait, la peau s’étirait en restant accrochée à son sexe, avant de se libérer et de reprendre sa position initiale. Il eut peur que le sphincter ne soit déchiré par la violence des coups donnés par Michel. Il poussait comme un dingue malgré les hurlements de sa victime dans ce trou du cul, il sentait qu’il déchirait les chairs intimes de Denise, mais n’en avait cure. Ce qui compte, c’est son plaisir.
— Vous me déchirez ! Hurlait Denise. Vous me déchirez ! AAAAHH ! AAAAHHH !
Denise hurlait tellement la brûlure était atroce. Michel se tendit et lâcha la purée dans le fondement de la pauvre femme. Il se retira et laissa sa place à Pierre. Celui-ci s’enfonça avec délice dans ce cul asservit et bouillant en poussant un soupir de ravissement. Il s’activa vigoureusement, Denise ne sentait plus son trou du cul tellement la douleur était intense. Elle se dit qu’elle ne pourrait pas tenir longtemps à ce rythme. Il la faisait trembler de toute part avec ces coups de bite. Cela dura une bonne demi-heure avant que Pierre vaincu par les sphincters abîmés mais serrés de Denise se lâcha au fond de son cul. Il ressortit son sexe luisant, se tournant vers Antoine, il lui dit :— A toi, on te l’avait promis, régale-toi !
Antoine se rapprocha du cul de sa mère. Il vit l’oillet initialement brun, complètement cramoisi. Des filaments rouges sangs consécutifs aux blessures de Denise s’étalaient dans la rosette. Le trou du cul de sa mère n’était même pas refermé après les deux violents assauts. Quelques gouttes de sperme dégoulinaient doucement sur ses cuisses grasses. Antoine posa son gland sur la rosette de sa mère et poussa en avant enfonçant avec délice son gland dans l’antre brûlant. Sa mère fit une secousse, mais ne bougea plus. Il poursuivit sa pénétration jusqu’aux couilles. L’anneau de sa mère lui serrait son sexe au niveau de la base. Il s’agita doucement, mais fit hurler quand même sa mère. Il n’en avait cure, ce qui comptait à présent, pour lui aussi, c’était son plaisir. Il ne s’était même pas aperçu de la disparition de sa sour, qui ne supportait pas la violence exercée sur sa mère.
Antoine vit Michel se glisser sous les seins de Denise, puis il sentit sa bite à travers la fine paroi en chair, qui sépare le sexe du trou du cul. Michel n’en avait pas fini, il baisait sa mère par en dessous. Elle poussait des cris de cochons qu’on égorge. Pierre approcha sa queue flasque du visage de Denise, et celle-ci, malgré les larmes de douleur le prit en bouche. Les trois lascars s’activaient sur son corps, et changeaient régulièrement de position. Elle perdit la notion du temps et fut rattrapée par un orgasme qui secoua tous le monde. Elle se retrouva allongée sur le lit, couchée sur le côté, allongée parterre, mais toujours ses trois orifices remplis.
Michel et Pierre essayèrent de lui mettre leurs deux sexes dans le sien alors qu’elle se trouvait allongée sur son fils, et que ce dernier lui démontait son anus. A ce moment-là, elle comprit pourquoi sa bouche était libre, car sa chatte était distendue à mort.
Antoine, alors que tout le monde faisait une courte pose, s’approcha de sa mère allongée dans le lit sur le dos. Ses cuisses étaient ouvertes et il vit son vagin dont les lèvres étaient rouges et largement distendues. On aurait pu croire qu’elles pendaient tellement elles ont été étirées. Ses seins qui avaient été martyrisés durant la soirée, étirés, mordus, pincés avaient de belles marques rouges. Les mamelons encore énormes, mordus eux aussi, restaient dardés.
Denise accueillit au cours de la nuit deux autres orgasmes, mais elle ne savait plus où elle se trouvait.
Elle se réveilla au matin dans son lit, son corps la faisant atrocement souffrir. Elle se remémora la soirée de la veille, et se leva difficilement. En allant aux wc, elle pissa quelques gouttes de sang.
Son fils déjeunait tranquillement dans la cuisine. Il se leva pour l’embrasser, elle lui tendit la joue, mais il la prit par les épaules et l’embrassa sur les lèvres. Denise était interloquée.
— A présent, tu es ma femme. Je te baiserai comme je voudrai où je voudrai et avec qui je voudrai.
Denise s’y attendait un peu, après cette folle soirée, mais il aurait pu le lui dire autrement. Ce qui la rassura, c’est le fait que ses longues soirées sans homme semblaient finies. La douleur au fondement qu’elle gardera une semaine le lui rappelait.
Antoine appuya sur les épaules de sa mère :— Pour commencer la journée, une bonne pipe, maman, s’il te plaît.Après, je t’enculerai !
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