Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 35 J'aime
  • 0 Commentaire

les retrouvailles

Chapitre 1

Inceste
Des années s’écoulèrent depuis nos derniers ébats avec ma sœur, les choses s’étaient terminéeq comment elles avaient commencées. Sans Heurt.
Nous étions à présent de jeunes adultes, la vingtaine, pour ma part toujours en études dans une ville proche, ma sœur, indépendante avait choisi de quitter la maison familiale afin de vivre sa vie de son côté et travaillait donc. J’avais très peu de contact avec elle, je savais juste qu’elle galérait un peu, sans formation particulière les opportunités de travail se faisaient rares.
Elle sortait relativement peu et les hommes qui ont traversé sa vie se comptaient sur les doigts d’une main, toujours de courtes histoires.
C’est pourquoi, nous, la famille et moi-même furent très surpris lorsqu’elle nous annonça ses fiançailles et son futur mariage avec un certain Lionel que personnes ne connaissait, débarquant de nulle part.Il tenait vraiment à connaitre toute la famille et organisa donc un dîner afin que tout le monde le rencontre.
2 semaines plus tard, nous nous retrouvâmes tous dans un restaurant isolé, à part 3 couples, nous étions les seuls, mes parents, Lionel, ma frangine et moi-même. Je ne m’étais pas vraiment imaginé le Lionel en question, mais l’homme que je vis ne ressemblait pas vraiment à l’image du beau-frère que je me faisais
Il devait avoir environs 15 ans voir 20 ans de plus que ma sœur, un peu dégarni, corpulence normal, il portait des lunettes en plastique, genre en écailles, plutôt dépassées mais qui s’accordaient à merveille avec le reste de sa tenue vestimentaire. Pantalon en velours côtelé, chemise sous un gilet de la même étoffe, une allure de vieux garçon et un air presque naïf.
Il nous parla donc de lui, de sa vie, il avait hérité d’une maison de ses parents ainsi que d’un pécule qui lui permettait de vivre de manière autonome et de se consacrer à ses passions…Qui était, la religion et les livres anciens. Le repas se continua donc avec Lionel qui nous parla de la bible, des règles édictées et du respect de celles-ci tout en regardant ma sœur, il loua son esprit pieu (je crus m’étouffer) et qu’il admirait le fait qu’elle se soit préservée pour le mariage pas comme toutes ces jeunes femmes de petite vertu (re étouffement).L’accouplement était strictement réservé à la procréation, vous imaginez le genre.
Ma sœur n’osait pas trop me regarder mais acquiesçait aux propos de son futur mari. Décidément le monde est plein de surprise et pour le coup ma frangine me laissait vraiment songeur quant à leur couple, les bases sur lesquelles il partait.
La soirée se déroula dans le calme, l’heure avançait et mes parents, devant tôt décidèrent de prendre congé, nous laissant les 3 attablés, il n’était pas si tard pourtant, 22h30 à peine, je décidais de me commander un café, et visiblement mon futur beau-frère que je tutoyais à présent voulait poursuivre son « sermon ».
Je l’écoutais mi-amusé mi-terrifié, pensait-il réellement ce qu’il disait et était-il aussi pieu que cela, tout ceci relevait presque de l’irréel, de mon point de vue et comme je connaissais ma sœur, tellement impossible.
Certes ma sœur ne s’était jamais habillée de manière excentrique ou de manière voyante, pendant que Lionel parlait, je la regardais et remarquais certains détails, comme son col de chemise fermé très haut, jupe ample et longue, pas vraiment de son âge, et un petit pull sur ses épaules, elle ressemblait ç une parfaite dame de catéchisme.En parlant de catéchisme justement, il semblerait que Lionel veuille qu’elle fasse partie de la paroisse de leur village, village qui d’ailleurs se situe non loin de chez moi, ceci dans le but d’être en communion avec elle-même et se préparer ainsi mieux au mariage.

Il se leva pour aller aux toilettes, je profitais de cette absence momentanée pour questionner ma sœur.
-Tu es sûre que tu veux te marier avec ce gars, sérieusement il te correspond pas vraiment et cette histoire de virginité, j’avoue ça m’a bien fait rire. Et tu vas vraiment aller dans cette paroisse et tout ?-Bah, je crois que je n’ai pas trop le choix et franchement je ne suis pas amoureuse mais disons que je mise sur un peu de sécurité et puis pour le reste… (Dit-elle en rougissant) je verrais bien….Mouais surtout que tu aimes bien ça hein, dis-je en souriant. J’eus comme seule réponse un coup dans le tibia.
Il commença à se faire vraiment tard et nous n’étions plus que les trois dans le restaurant, ainsi nous nous décidâmes à rentrer, arrivé aux voitures, je m’aperçu qu’il me manquait mes clés que j’avais laissées ma mère, quelques secondes de flottement passèrent et Lionel m’invita à coucher chez lui, bientôt chez eux.
Je découvris donc cette maison aux milieux du village, vielles pierres et poutres, ça ne manquait pas de charme. Je ne fus pas plus surpris que ça lorsque je vis qu’il faisait chambre à part afin de se « préserver », lui dormait à l’étage alors que m sœur dormait dans la chambre à coucher en bas.
Nous laissâmes ma sœur aller dans la salle de bain en premier pendant que Lionel me tenait compagnie. Il me dit toute la sympathie qu’il avait eue en nous rencontrant et m’assura de prendre bien soin de ma sœur, qu’elle ne manquerait jamais de rien. Le brave homme.
Ma sœur revint et ce fût mon tour, la salle de bain était de taille moyenne, baignoire, douche, mais ce n’est pas tellement tout cela que je remarquais, je regardais le panier à linge, avec son couvercle mal remis, je l’ouvris et découvris ce qui des années plus tôt m’avait fait tant fantasmer, une petite culotte à ma sœur, je la pris et la senti, avec l’âge son odeur était devenue plus forte, plus suggestive et même si cette culotte là, n’avais rien de spécialement sexy en soi, elle me faisait de l’effet, traduit par le soudain manque de place dans mon pantalon.
Je finis de me préparer et ne manquai pas d’embarquer la petite culotte avec moi afin de me soulager dedans.
Lorsque je sortis de la salle de bain, je croisais Lionel qui me dit bonne nuit et disparut à l’étage, ma sœur, elle se préparait quelque chose à boire dans la cuisine, je la rejoins.
J’étais très excité par cette découverte et me demandais si ma frangine ne l’avait pas fait exprès, la petite culotte n’était pas enfouie sous la pile mais bien en évidence dessus. Toujours est-il que j’étais plus qu’excité et cela devait se voir. Je m’approchais derrière ma sœur et l’entourais de mes bras, fraternellement, enfin fraternellement jusqu’à ce que le bas de mon corps se colle à elle, impossible de ne pas sentir mon trouble à travers sa robe de chambre. Elle ne fit rien pour se dérober, se contentant de siroter son verre d’eau.
Sans un mot, je posais mes mains sur ses hanches, l’attirant et la pressant encore plus contre moi.-Je vais me marier, et ces jeux d’avant ne devraient plus qu’exister et encore dans nos pensées…Je ne l’écoutais qu’à moitié, l’esprit embué par mon désir, ainsi donc je continuais à l’attirer contre moi et frottais mon bassin contre ses reins.-Vraiment je ne peux pas, tu te rends compte, dans la maison de mon futur mari et aussi, j’ai changé tu sais, ce sont des mauvaises choses en dehors du mariage et pire encore entre frère et sœur, tu devrais me laisser.
Elle disait tout cela d’un naturel désarmant mais elle ne bougeait toujours pas et j’avais glissé une main sous son peignoir. Je remontais vers sa poitrine qui se soulevait à un rythme très lent, sa peau chaude et douce, ça faisait des années que je n’avais pas parcouru cette peau et le seul toucher me rappela instantanément nos perversions d’ado.
Elle se dégagea et me pria de la laisser, elle me pardonnait cette écart à condition de ne plus tenter quoi que ce soit. Sur le coup, je n’avais que faire de ce pardon, ce que je désirais c’était la prendre, là tout de suite. J’étais vraiment déterminé et elle le savait.
Je la reteins d’une main pendant que de l’autre je me débarrassais de mon bas de pyjama faisant alors bondir ma queue au gland violacé et tendu, son regard se posa dessus puis s’en détourna, la tenant fermement, je l’obligeais à s’agenouiller devant moi, elle n’osait élever la voix de peur d’attirer l’attention, ma queue cognait contre son visage, je lâchais son poignet pour la saisir par les cheveux et lui ordonnais de me sucer. Voyant que rien n’y ferais, elle entrouvrit la bouche que je pénétrais alors.
Une vrai folie, ça m’électrisa, je faillis éjaculer de suite, la situation, la pose, tout était fort et enivrant. Elle me suçait pendant que je pinçais ses tétons, les faisant rouler, elle reprenait de temps en temps sa respiration et accordait du répit à sa mâchoire pour continuer, je pouvais difficilement me retenir et lorsque je sentis que j’allais jouir, je pressai sur sa nuque pour envoyer ma semence au fond de sa gorge, elle avala avec peine mais avala tout.
Je me détendis et elle me gifla et me traita de salaud tout en s’essuyant la bouche…
Diffuse en direct !
Regarder son live