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les retrouvailles

Chapitre 3

Inceste
-Oui mon père, la chasteté me pèse un peu.-Tu crois que je ne t’ai pas vue durant l’office, ton frère te touchant, dans la maison du Seigneur qui plus est.-Oui mon père, je n’ai rien pu faire, je ne voulais pas attirer l’attention et créer de scandales.-Est-ce que cela arrive souvent qu’il te touche et a-t-il déjà été plus loin, y prends- tu du plaisir ?-Ho mon père, j’essaye de ne rien ressentir mais parfois c’est plus fort que moi et alors, je sens mon corps qui réagit à ses caresses et il n’a jamais été plus loin.En es-tu sûre ma fille, quelque chose me dit que tu as perdu ta virginité voila bien longtemps.-Oui mon père je suis toujours vierge est pure.-tu sais que le mensonge est un pêché capital, il faudrait que tu puisses le prouver.-Mais comment mon père ?-Et bien allonge toi sur le canapé, je vais le vérifier par moi-même et je pourrais ainsi être sûr de tes paroles.Ma sœur s’allongea, jambes parallèles et je vis le curé s’asseoir à côté. Il remonta sa jupe haut sur ses cuisses, puis saisit ses chevilles et écarta ses jambes. Par reflexe ma sœur mit ses mains sur sa petite culotte, mains qui furent vite retirées par le curé.
Il descendit sa petite culotte, dévoilant sa belle toison noire, je le voyais saliver. Il finit de la lui enlever, il lui demanda de fermer les yeux et approcha ses doigts de sa vulve, prit tout son temps, et commença à introduire son majeur. Ma sœur sursauta mais garda les yeux toujours bien fermés.-Il me semble que ta virginité soit compromise ma fille, il serait sans doute temps que tu te confesses réellement et que tu me parles de tes honteux penchants.Tout en disant cela, il avait glissé son autre main dans son pantalon, et commença des mouvements sans équivoque.J’entendis alors ma sœur parler de ces goûts et de ces pulsions, les doigts du prêtre toujours enfoncés en elle, il finit par ouvrir son pantalon et prit sa main pour qu’elle le branle tout en continuant à parler de ses vices. Plus elle en disait, plus le prêtre semblait excité, il finit par jouir entre ses doigts, je regardais effaré par la scène qui venait de se dérouler.
La suite s’avéra également très intéressante. Une fois le calme revenu et le curé soulagé de sa très grosse envie, il parla de moi et d’elle, de ses fantasmes et pulsions et bizarrement lui demanda d’accéder à mes avances et de lui en relater chaque détail ensuite.
C’est ainsi que le lendemain, j’emmenais ma sœur en ville, nous flânions sur les trottoirs, regardant les vitrines, lorsque j’aperçu un cinéma où il passait de vieux film X. Je l’attirais à l’intérieur et nous rejoignirent nos places dans la pénombre.
Ma sœur pas à l’aise du tout se collait contre moi, elle scrutait les environs, il devait y avoir une dizaine de personnes tout au plus.
Je passais mon bras autour de ses épaules et elle me chuchota à l’oreille son envie de repartir vite, visiblement pas du tout à l’aise.
Je caressais négligemment du bout des doigts sa chemise, les rapprochant toujours un peu plus de ses seins, elle, toujours à l’affut, ne faisait pas trop attention à mes gestes. Je déboutonnais quelque boutons et écartais un peu les pans de sa chemise, dévoilant son soutien-gorge, la couleur claire de ses dessous tranchait avec la couleur sombre de sa peau, une merveille.
Je bandais évidemment déjà bien fort et défis ma ceinture pour me mettre déjà plus à l’aise pour la suite. Et si on nous reconnaissait et si quelqu’un nous voyait ici, qu’allait-on dire au village me chuchota ma sœur, pour toute réponse, je lui caressais le haut de son sein, quelle douceur.
Nous restions un moment comme cela, puis je décidais d’accélérer les choses et caressais ses cuisses. Elle portait des collants et cela m’excitait d’autant plus, je les sentais crisser sous mes doigts, remontant de l’extérieur vers l’intérieur. Je lui ordonnais de les écarter sans succès alors je forçais un peu et mis ma main entre les deux, puis la collais contre son entrejambe que je palpais ensuite lentement. Je la sentis se détendre un peu. Pendant que je la caressais, je lui demandai de m’ouvrir mon pantalon et de me caresser à son tour, jetant un dernier regard aux alentours, je sentis ses doigts fébriles ouvrir un à un les boutons de mon jeans, elle marqua un temps d’arrêt et enfin glissa sa main dans mon caleçon à la rencontre de ma queue bien dure. Sa main à nouveau marqua un arrêt lorsqu’elle toucha ma queue puis timidement l’effleura, enfin elle l’emprisonna la serrant ni trop fort, ni trop peu, quelque minutes s’écoulèrent jusqu’à ce qu’elle amorce un mouvement de va-et-vient, me branlant délicatement, prenant soin de bien décalotter mon gland.
Pour ma part je la caressais toujours par-dessus son collant et sa petite culotte que je sentais toujours plus chaude et légèrement humide, je sortis un petit couteau suisse et fis une entaille dans son collant, mes doigts venant rencontrer la soie de sa petite culotte moulant sa petite chatte, je sentais ses lèvres s’ouvrir sous la pression laissant s’échapper quelques gouttes de son précieux nectar.
Je n’avais à présent plus besoin de lui maintenir écartées ses jambes, je lui posais une de ses cuisses sur la mienne, les ouvrants en grand. Je glissais mes doigts sous le tissu, alors trempé à souhait, je l’entendais haleter, dans l’attente de l’inévitable. Je remontais ma main derrière sa nuque puis appuyant dessus, je luis fis comprendre ce que je voulais et j’accompagnais sa descente vers mon gland.
Je sentis les lèvres de sa bouche buter dessus, puis s’entrouvrir, j’augmentais mon appui et glissais ma queue, faisant frotter mon gland sur sa langue.
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