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Les retrouvailles avec papa

Chapitre 14

Markus

Gay
Ma vie continue mais sans Steve ! Une drôle d’existence entre mon boulot, les restrictions dues au Covid et ma colocation avec Andrek. Je suis tributaire de toutes ces dépendances et deviens à la longue limite asocial.
Pour la 1ére fois depuis des mois, j’ai besoin de savoir où est Steve. Je débute mon enquête auprès de son entourage professionnel, de ses proches et des administrations mais aucun n’est capable ou refuse de me fournir une piste. Son portable reste toujours muet et son domicile fermé. Personne ne semble inquiet de cette disparition.
L’espoir de le revoir s’amenuise. Très fatigué, je décide de stopper toutes recherches et de m’en remettre à la vie et à la providence. Malgré tout, je ne comprends toujours pas cette absence.
Avec l’aide des fédérations dont je dépends, je quitte le Sud-Ouest pour m’installer dans la région parisienne. Je laisse derrière moi une histoire faite d’amour et de blessures. Petit à petit et à ma grande surprise, je me détache de Steve. L’alcool est le tabac ne sont plus qu’un très mauvais souvenir et je me sens vraiment mieux. Je me reprends en mains !
Ma nouvelle vie est usante mais excitante. Mes fonctions de kiné préparateur physique me portent même au delà des frontières malgré le Covid et les galas de catch à huit clos. Rapidement, je deviens le confident de certains lutteurs dont Markus un Apollon franco-allemand de 38 ans. C’est un mec vraiment sympa et d’un calme «reposant».
Une grande complicité et une belle confiance se nouent avec Markus. Je suis son kiné mais aussi son ami et suivant mon emploi du temps je l’accompagne dans tous ses combats dont celui de ce soir. Il affronte «le barbare», lutteur vieillissant mais talentueux malgré tout. Je ne le connais pas mais je pr »pare Markus au mieux pour ce match.
C’est le moment ! J’investis les tribunes où seulement une dizaine de personnes sont présentes (Covid oblige...). Markus apparaît rayonnant et sexy suivi d’un colosse masqué, pieds nus arborant une tenue très osée pour un match de catch.
Au bout d’un combat acharné Markus est battu. L’ogre du ring lève le point en signe de victoire. A cet instant, mon passé ressurgit en voyant ce geste bien spécifique des fins de combats de Steve. Mais je n’y prête guère attention. Markus me fait signe de le rejoindre aux vestiaires. J’obtempère !
Malgré sa déception, Markus est heureux de son combat et c’est le principal. On frappe à la porte :
— Votre adversaire souhaite vous féliciter. Vous venez ? dit le Directeur du tournoi.— Pourquoi ? Il m’a battu ! Tu m’accompagnes Dick ?— Avec plaisir !
On arrive dans sa loge et immédiatement, je sens une certaine gêne du «barbare». Toujours masqué et en slip, il me fait signe de sortir. Très surpris, je lui en demande la raison. Il ne me réponds pas et insiste en me montrant la porte. Je suis vexé mais je n’ai pas le choix.Avant de me retirer, je désigne son entrecuisse et avec ironie lui dit :
— Depuis notre arrivée, ta bite est au garde-à-vous ! Qui t’excite autant ? Markus ou moi ?

Je sors et claque la porte. En attendant le retour de Markus, je réfléchis à l’accueil si froid du colosse. C’est fatigant de ne pas savoir. Toutefois, avec le recul, quelques images passés inaperçues lors du combat me reviennent en mémoire. Le poing levé victorieux, les deux cœurs au dos du slip noir et sa démarche spéciale due à des fortes cuisses sont des signes représentatifs de Steve. Mais oui, où avais-je la tête bon dieu ?
Je cours vers la loge et entre comme un forcené. Markus est en pleine discussion avec le Directeur mais aucune trace du colosse. Totalement essoufflé, je n’arrive pas à prononcer un seul mot. Je m’assoie ! Markus me dit :
— J’ai à te parler Dick ! (le patron du tournoi s’éclipse...).— C’était Steve, c’est ça ? — Oui mais ne m’interrompt pas ! Bizarrement, outre le combat, nous avons parlé de notre vie privée. Comme tu le sais, mon divorce m’a profondément marqué. Lui n’était pas marié mais il a pris une décision afin de sauver son compagnon. Il idolâtrait son ami et cela tournait à l’obsession. Un jour ou l’autre, tout pouvait basculer dans le drame. Donc il a préféré mentir et rompre afin de le protéger. Il est bouffé par cette rupture. Il a tiré un trait sur toute sa vie d’avant. Il souffrait trop. — C’est un lâche ! Il m’a renié sans explications. Et lui, a t-il pensé à ma souffrance ? J’ai failli crever de cet amour et maintenant je veux vivre pour moi. — C’est dommage ! Il était vraiment malheureux. — Je m’en fous ! Il a choisi son destin. — Non Dick ! Tu ne t’en sortiras jamais si tu ne le revoies pas. — Fiche-moi la paix !
La tension monte entre nous. D’ordinaire si apaisant, le regard de Markus est dur. Il me dit :— Pas de massage ce soir ! Je prends mas douche et je te ramène chez toi.Il revient, la serviette sur l’épaule, à poil, la bite vigoureuse mais la mine toujours aussi fermée. Sensuel, érotique, athlétique, son corps frise la perfection. Il déambule devant moi la dégaine machiste. Les cuisses bien écartées, Markus me fixe. Le regard est insistant et provocant.
Il s’avance et me projette au sol. La puissance de Markus est terrible et je suis dans l’impossibilité de réagir malgré ma belle constitution. Il force sa queue sur mon entrecuisse, m’embrasse avec brutalité en essayant de dégrafer mon futal.
— Arrête Markus !— Tu n’es plus avec Steve donc tu es libre de baiser avec n’importe qui? — Mon Steve est un homme d’honneur et un gentlemen. Toi, tu es un grand malade !— Allez bouffe-moi la queue ! (Sa bite me frôle les lèvres)— Steve est mon homme. Jamais je ne toucherai un autre type. A coté, tu n’es rien !
A ces mots, il se redresse et m’aide à me relever. Il sourit et me dit d’un air victorieux :
— Ouf ! J’ai eu chaud mais je suis fier de moi !— C’est à dire ? (je suis très en colère car j’ai eu la trouille.)— Je n’ai trouvé que cette solution pour t’ouvrir les yeux sur Steve. Je suis désolé mon ami !— (je me calme...) Tu as pris un risque fou. Et si j’avais voulu te sucer ? — Je me serai dégonflé. L’amour gay n’est pas pour moi. Allez Dick, je te ramène ? (je prends Markus dans mes bras et m’excuse de toutes les saloperies dites à son encontre.)
Enfin chez moi ! Très fatigué, je me déshabille. A cet instant, un petit papier tombe de ma chemisette. Intrigué, je le déplie. A la lecture de ce petit mot, mon cœur s’emballe...
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