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Les retrouvailles avec papa

Chapitre 15

Dernière tentative!

Gay
Assis sur le lit totalement assommé, je lis et relis ce petit mot réveillant un passé autant heureux que douloureux. «Mon très cher Dick ! Voici quelques informations recueillies ça et là sur Steve. Je te communique son adresse ainsi que son agenda sportif des prochaines semaines. Tu es seul décisionnaire de ton avenir. Good luck ! Signé : Ton ami Markus».
Passé toute la nuit à réfléchir, je contacte dés le lendemain mes amis du Sud-Ouest et du Québec afin de leur exposer la situation. Chacun est unanime «Nous ne pouvons pas t’aider. C’est ta vie !» Finalement, je ne suis pas plus avancé.
Malgré tout cet amour abandonné depuis dix mois, je ne sais toujours pas où j’en suis. Je dois absolument réagir et prendre mon destin en mains. Dans une semaine, Steve participe à une compétition de culturisme vétéran.Y aller pour le voir ou lui parler ? Je ne sais pas encore ! Je demande à Markus de m’accompagner.
Installé en milieu de salle, j’attends patiemment le passage de Steve. La présence de mon ami me rassure. C’est parti ! Je fixe la scène où huit b culturistes défilent. Il est là portant le numéro 7, superbe dans son mini slip rouge. Son corps huilé me rend fou. Ma poitrine se serre, j’ai chaud, je ne suis pas bien du tout. Markus s’inquiète de mon état :
— N’attends pas va le voir ! Regarde dans l’état où tu es ?— Je n’en ai pas le courage. Tu viens avec moi ? (Markus refuse.)
La compétition terminée, «j’investis», le pas hésitant, la pièce réservée aux athlètes. J’aperçois Steve en discussion avec d’autres sportifs. Je me planque derrière un panneau et observe ses faits et gestes. Steve est heureux dans cet univers où je n’ai pas ma place. Je regarde une dernière fois ce «Dieu» magnifique.
je rejoins Markus et lui fais part de ma décision. Il s’emporte :
— Tu es une vraie girouette ! Tu le vénères puis le détestes ! C’est ton mec puis ta souffrance ! Tu me fais chier !— Trop de personnes sont encore présentes. J’irai chez lui !
Je suis soulagé de quitter cet endroit mais le plus dur reste à faire ! Je n’attends pas très longtemps pour me rendre chez Steve. Dix jours plus tard, je suis devant sa porte et malgré mon stress je suis prêt à l’affronter. Je sonne ! Pas de réponse ! J’essaie de nouveau. Une grosse voix retentit «entrez... !»..
Légèrement tendu, je me glisse à l’intérieur. Une forte odeur de peinture me pince le nez.
— Nous sommes dans la chambre d’amis! Qui que vous soyez, venez !
Mais c’est qui « nous »? J’avance et tombe sur deux mecs bodybuildés vêtus de façon très suggestive. avec un simple short trop court pour tout cacher. Steve se retourne. Je lui dit :

— Pourrais-tu me m’accorder cinq minutes s’il te plaît ? (on rejoint le salon et s’assoit face à moi. Il ne porte pas de slip sous son short d’où mon trouble à la vue de son érection et d’une partie de ses couilles)— Que veux-tu ? Je n’ai pas le temps. Mon pote Valery m’attend pour finir la piaule. — Quand je suis arrivé, vous vous tripotiez la bite. C’est ça un pote ? — Je baise avec qui je veux !
Je m’agenouille, lui retire son short et engloutis sa grosse bite. Steve ne réagit pas. Une main sur ses pectoraux et l’autre entre ses cuisses, je lui bouffe la queue comme un affamé. Je bave ant sa virilité m’exalte au plus profond de mon être. Steve frémit de désir. Il émet de petites plaintes. Je le sens heureux !
A cet instant, Valéry déboule dans le salon à poil. Excité ou jaloux, il me repousse brutalement. Je bascule lourdement tête la première sur l’accoudoir du canapé. Furieux hurle :
— Tu vas me le payer très cher ! Tu n’aurais pas dû le toucher !
L’affrontement entre ces deux balèzes est inévitable. Pour la première fois, je découvre la méchanceté et l’agressivité de Steve. Groggy, je ne peux rien faire ! La vision de ces colosses nus s’étripant me glace d’effroi. J’ai très peur pour Steve car Valéry est un véritable fou. Malgré tout, il réussit à canaliser la furie de ce crétin en l’immobilisant. Quel soulagement !
— Prends tes fringues et dégage de la baraque ! dit-il enragé à son «ex-pote» ! Sa carrière de catcheur l’a bien aidé sur ce coup-là ! Toutefois, Steve est très marqué dans sa chair. Il me relève et m’assoit sur le canapé mais je vois bien ses grimaces .Je lui demande :
— Tu souffres !— Je déguste crois-moi ! Et toi ça va ?— Vaseux et un peu mal de crâne mais ça va à peu près ! Tu as eu beaucoup de chance !— Oui c’est vrai ! Il frappe,fort ce con ! Il m’a pourri les couilles. Ma fierté en a pris un sacré coup ! — Tu ne devrais pas réagir de cette façon. Regarde-toi ? Vu ton age, un jour tu y laisseras ta peau.— Pas de respect, pas de cadeau ! Et puis, tu allais me faire l’amour ! J’attendais depuis si longtemps !— Je te rappelle que tu m’as jeté de ta vie comme un malpropre. Mais je ne veux pas en parler. Plus tard !Toutefois, mon excitation est incontrôlable !.J’effleure l’intérieur de ses monstrueuses cuisses tout en posant de petits bisous protecteurs sur sa virilité. L’envie de baiser ce corps si puissant est intense mais Steve ressent toujours de fortes douleurs et semble épuisé. Je calme mes pulsions comme je peux. Je me lève du canapé pour l’enlacer...
Subitement, une terrible douleur à la tête suivie de vertiges me précipitent dans le brouillard. Je m’écroule !
— Que se passe t-il Dick ? Tu es tout pâle !— Steve, je me sens pas bien du tout !
Steve me parle mais je n’entends presque rien ! Petit à petit, ma vision faiblit et une grosse fatigue m’envahit. Je suis léger, je vole puis tout s’éteint !

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