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Les révélations d'Alyssa

Chapitre 5

Amour et libertinage

Travesti / Trans
Après les joutes sexuelles torrides entre Lise et moi, nous nous douchâmes ensemble. Je pus savonner délicatement le corps somptueux de Lise et elle m’aida délicieusement aussi dans mes ablutions. La douceur et la sensualité de ses instants resteraient indélébiles dans ma mémoire. Chaque moment que je passai avec Lise était un plaisir des sens et construisait petit à petit une intimité émotionnelle qui nous attachait l’une à l’autre.Lise m’entraîna ensuite dans l’essayage de ses vêtements pour parfaire mon allure féminine et mettre en valeur mes atouts anatomiques. Nous avions presque le même gabarit puisqu’elle mesure 1m73 pour 56 kilos, soit à peine 2 centimètres de plus pour un poids identique. Elle me proposa d’essayer un legging pour mettre en valeur mes fesses qu’elle trouvait sublimes. J’enfilai un legging très élégant en pied-de-poule noir et blanc qui laissa mes fines chevilles découvertes. Lise me tendit un pull court en coton gaufré noir laissant une épaule dénudée. Je remis mes sandales à talon et défilai devant elle. Elle se leva et me serra dans ses bras, visiblement émue.
— Tu es vraiment trop mimi dans cette tenue... Ton petit cul est à mourir moulé dans ce legging... et cette épaule nue paraît fine et délicate, mais elle est pourtant bien galbée et appétissante... je ne résiste pas à goûter à ces friandises. Dit-elle alors que ses mains me pelotèrent délicieusement les fesses, et ses lèvres couvraient de bisous la base de mon cou et mon épaule.— Merci Lise pour tes compliments... mais ce qui me rend vraiment très heureuse... c’est d’être parvenue à t’émouvoir et à te plaire en tant que fille. Ta beauté et ta sensualité m’ont profondément troublée, je suis déjà complètement envoûtée. J’accepte donc sans hésitation ta proposition de cohabitation dans ton appartement. Répondis-je, déposant un doux baiser sur ses lèvres. — Tu peux rester dès ce soir ? Je mouille d’avance de t’avoir dès ce soir dans mon lit, dit-elle en attrapant ma main pour la glisser dans son tanga et la frotter sur son minou glabre et tout humide d’excitation.— Quel couple de petites cochonnes nous allons être ! J’en frissonne de plaisir à l’avance, approuvai-je en retirant ma main engluée de cyprine de la culotte de Lise pour la lécher comme une petite chatte.
Lise m’embrassa à son tour pour quémander un peu de sa liqueur de femme sur mes lèvres avec une gourmandise sensuelle. Puis, elle m’interrogea, toute frémissante d’espoir :
— Tu restes avec moi dès ce soir... ma petite chatte ?— J’en meurs d’envie, ma belle princesse, mais j’ai un impératif pire que celui de Cendrillon, le règlement intérieur de l’internat m’impose de rentrer avant 18h. Tu sais bien que le règlement de l’internat s’applique à tous les élèves quel que soit leur âge. Tu sais bien que le fait que j’ai eu dix-huit ans en janvier dernier ne me permet pas d’avoir une dérogation, je suppose d’ailleurs ma belle coquine que tu as obtenu de tes parents d’avoir un appartement à ta majorité dans la perspective d’être libérée de ces contraintes... Non ?— Oui tu as raison... Pour ma part, j’ai eu dix-huit ans en avril dernier et j’en avais marre effectivement des contraintes de l’internat. Mes parents ont accepté que pour cette année de louer ce petit logement pour moi.— Nous devrons donc attendre un peu pour cohabiter, mais je te propose d’en parler à mes parents dès ce week-end. Si tu pouvais m’accompagner chez eux, je te présenterais comme ma copine. En te voyant, ils seront forcément soulagés et je suppose qu’alors, ils accepteront que nous vivions ensemble dans ton appartement.— Soulagés pour quelles raisons ? me demanda Lise, intriguée.— Ma mère m’a interrogé, l’air de rien, plusieurs fois pour en savoir plus sur mon orientation sexuelle. Mon manque de virilité et mon look androgyne ne lui plaisent pas et l’inquiètent beaucoup... Les termes qu’elle emploie régulièrement à ce sujet montrent qu’elle méprise l’homosexualité masculine et particulièrement le côté féminin de certains hommes.— Waouh !... Si elle savait quelle petite salope accro au sexe mâle tu es en réalité !— Je ne mesure pas complètement l’ampleur de sa réaction et de ses conséquences si elle l’apprenait. Pourtant, je suis certaine que ce serait très difficile pour elle de l’accepter.— Tu n’es donc pas encore prête à afficher officiellement devant elle ta nature de transgenre ?— Je le ferai certainement lorsque je pourrai m’assumer financièrement et être complètement indépendante dans mes décisions, car je suis consciente que je ne peux pas mentir indéfiniment sur ce que je suis réellement... mais je ne suis pas assez folle pour le faire dès maintenant !— Quelles sont tes craintes ? Me demanda Lise, perplexe et émue.— Je pense que... découvrir que je me travestis sera encore pire pour elle, car à la sempiternelle question méprisante que certains formulent à propos des homosexuels : « qui fait l’homme, qui fait la femme ? », j’apporterais la mauvaise réponse. De plus, je serais alors perçu comme un « travelo » c’est-à-dire le summum du ridicule et de la dépravation aux yeux de beaucoup... Donc, si j’avoue ma nature de transgenre dès maintenant... cela nous obligerait à coup sûr à renoncer à notre projet de cohabitation. Dis-je, les larmes aux yeux et m’accrochant à Lise comme à une bouée à la mer.— Tu en es sûre ? s’enquerra mon amie dont les magnifiques yeux verts me fixèrent plein de sollicitude.— Absolument... elle ne contribuera en rien à une décision qui favoriserait l’émergence d’Alyssa, car... il sera assez évident que tu es a minima complice de mon travestissement. Ce serait trop douloureux pour moi, car je vivrais mal la mise à l’index d’Alyssa... loin de toi de surcroît !— Sois tranquille ma chérie... je veux bien que tu me présentes à tes parents comme la copine de Théo. Pour moi, Théo et Alyssa sont les deux facettes d’une même personne... et c’est cette personne dans son ambiguïté que j’aime. Ajouta Lise en me caressant tendrement la joue et en posant un doux baiser sur ma bouche.
— Merci Lise... même en rêve, je n’ai jamais imaginé que je puisse un jour rencontrer une fille qui m’aime avec mon ambiguïté. Tu es sans aucun doute mon idéal féminin... mais au-delà de ce constat... le plus important est qu’Alyssa et Théo soient tombés amoureux de toi... de la belle personne que tu es.— Tu sais... je vois en Alyssa une future compagne sexuelle et aussi une sœur de fantasme... les mecs auront donc deux sacrées salopes à baiser !... Théo sera dans l’immédiat mon chevalier servant... en attendant mieux peut-être... je serais donc perçue donc comme aussi perverse que toi le transgenre. J’espère que nous ferons un long bout de chemin ensemble... dans l’immédiat... je t’adore ! murmura Lise à mon oreille en me serrant fort dans ses bras.
Le samedi suivant vers 11h30, je montai dans le TER en gare de Valence, Lise à mes côtés, pour rejoindre le domicile de mes parents. Théo, le garçon que je suis aux yeux de mon entourage familial, allait connaître son heure de gloire, car j’allais leur présenter ma petite amie... et quelle fille ?... La magnifique Lise ! Pour la circonstance, Lise arborait une tenue de lycéenne élégante. Elle avait mis son Legging pied-de-poule, un caraco blanc assez ajusté et une petite veste cintrée noire et elle avait chaussé des sages mocassins noirs et vernis. Elle était divine, je rêvassai, délicieusement serré contre elle, pendant tout le trajet en m’imaginant dans une tenue similaire.Une heure plus tard, nous sonnions à la porte de la maison de mes parents. Ma mère nous accueillit rayonnante et visiblement surprise par le charme et la classe de Lise, ma première copine officielle. Mon père plus en retrait comme à son habitude fut très chaleureux et accueillant et me fit un clin d’œil de connivence qui me confirma que Lise faisait grande impression.Pendant le repas, mes parents cherchèrent à connaître Lise et lui posèrent quelques questions. Les réponses de Lise m’apprirent que son père était cadre à la SNCF et sa mère était décoratrice d’intérieur. En effet, la très récente complicité sexuelle avec Lise et le lien émotionnel fort qui en avait résulté ne nous avaient pas laissé le temps d’évoquer nos familles respectives. De plus, il fallait bien l’avouer, cela n’avait clairement pas été notre préoccupation principale. Mon père gérant d’un magasin de bricolage et ma mère technicienne chez France Télécom se sentirent en terrain connu et rassurés de constater que Lise était issue d’un milieu social « classe moyenne » assez comparable au mien.Le conformisme social de la conversation m’apparut comme très décalé avec la tendance clairement transgressive de ma relation avec Lise et de ma vie sexuelle en général, mais je décidai de ne rien leur dévoiler de cette réalité malheureusement inacceptable pour eux et qui aurait donc fait l’effet d’une bombe. Le temps du coming-out n’était pas encore venu, ne sachant pas encore ce que j’allais faire de ma vie et notamment jusqu’où allait m’entraîner mon parcours de transgenre. Ma démarche de présenter Lise à mes parents était pleinement sincère, car cette officialisation en apparence rapide reflétait pourtant mes vrais sentiments et mes intentions réelles à long terme à l’égard de Lise.En effet, j’étais déjà parvenu clairement à la certitude que Lise pourrait être la femme de ma vie et que je ne devais pas laisser ma chance. Je pressentis donc de manière encore ténue que probablement cette relation amoureuse naissante avec une fille qui m’appréciait en tant que transgenre pourrait faire basculer ma vie du bon côté. Je savais pour m’être informé sur les sites internet des associations dédiés aux problématiques des transgenres que beaucoup n’avaient pas une vie facile. Le taux de tentative de suicide assez élevé parmi nous et le fait que malheureusement un bon nombre se perdaient dans la prostitution étaient des indices indéniables des obstacles importants à surmonter, des frustrations et de l’isolement social vécus par la plupart des transgenres.
Le week-end se passa de manière assez idyllique. Pendant la nuit que nous passâmes dans ma chambre d’adolescent, je voulus combler Lise de caresses saphiques et de douceurs érotiques, je parvins à l’amener à la jouissance plusieurs fois grâce à mes sortilèges de fille. Elle souhaita cependant que je la prenne en missionnaire, je ne parvins pas à la faire jouir de cette manière en raison des dimensions trop modestes de mon sexe. En revanche, ma petite verge connut pour la première fois l’éjaculation dans la fournaise du vagin de Lise. Je pus quelques années plus tard remonter à cet instant pour situer quand commença à germer l’idée au fond de moi que nous pouvions, peut-être, former durablement un couple.Le dimanche, nous pûmes présenter à mes parents notre projet de cohabiter dans le petit appartement de Lise dès la rentrée scolaire qui suivait les vacances de Toussaint. Mes parents accueillirent favorablement cette proposition, mais ils posèrent une condition qui était de ne pas perdre de vue notre réussite au bac et de consacrer donc suffisamment de temps à notre travail scolaire. Ma mère m’annonça qu’elle prendrait contact avec l’administration du lycée dans la semaine pour résilier mon inscription à l’internat à partir du mois de novembre. Au retour des vacances de Toussaint, j’allais partager mon intimité émotionnelle avec Lise et réciproquement dans son petit appartement de Valence et nous deviendrons partenaires sexuels au quotidien.Le mercredi suivant, j’avais prévu de longue date un rendez-vous coquin chez Andy. Lise me proposa lundi matin dans le train lors de notre retour à Valence de le contacter pour lui proposer de venir chez elle pour un plan à trois. Je fus immédiatement séduite par l’idée que nous allions pouvoir partager nos conquêtes masculines, mais je n’étais pas du tout certaine de l’adhésion d’Andy. Je l’appelai au téléphone et décidai de lui expliquer de manière très directe que mon amie tout aussi coquine que moi souhaitait le connaître. Il parut aussitôt enchanté à l’idée de rencontrer Lise et d’avoir à disposition deux filles libertines déterminées à le satisfaire sexuellement.Deux jours plus tard, j’arrivai tôt en début d’après-midi chez Lise pour que nous puissions nous préparer avant l’arrivée d’Andy. Lise m’aida à parfaire ma féminité, elle me donna des conseils judicieux et chercha clairement à sublimer ma séduction. Lorsqu’en milieu d’après-midi, Andy sonna à la porte, Lise me demanda d’aller l’accueillir seule pendant qu’elle guetterait un peu en retrait les réactions d’Andy lorsqu’il me verrait.J’eus droit à un grand sourire et un regard bien appuyé qui confirma bien ce que Lise disait sur ma propension à aguicher les mecs dès qu’Alyssa sortait de sa chrysalide. On s’embrassa et je l’attirai vers l’intérieur de l’appartement.
— Tu es magnifique Alyssa ! J’adore. Me dit-il manifestement bluffé par mon allure.
Lise s’était surpassée, elle m’avait de nouveau prêté son legging pied-de-poule qui mettait en valeur mes fesses et mes jambes fuselées. Elle avait complété ma tenue par un bustier en cuir noir à bretelle sublimant ma taille de guêpe et mes épaules graciles. J’avais remis aussi ma paire de sandales noires lacées à talons qui correspondaient si bien à ma nature de soumise. Pour la circonstance, Lise m’avait acheté un vernis à ongles blanc pour l’assortir à ma tenue. Elle m’avait aussi guidée pour composer un maquillage élégant, complété par un rouge à lèvres de couleur cerise noire pour rester dans le ton de la tenue.
— Andy, tu es un amour ! Mais je dois cette belle apparence à mon amie Lise. J’aimerais que tous les deux nous la remerciions. Proposai-je en faisant signe à Lise pour qu’elle se rapproche.— Oui, dis-moi ce qui lui ferait plaisir.— Lise est une coquine comme moi, et je crois que nous pourrions assouvir quelques-uns de ses désirs inavouables en lui apportant beaucoup de plaisir. Comment la trouves-tu ? Dis-je en entourant tendrement les épaules de Lise avec mon bras et en posant un doux baiser sur ses lèvres.
Lise avait revêtu une minijupe noire accompagnée d’une petite veste cintrée noire, sous sa veste, elle portait un haut moulant en voile transparent blanc. Elle avait chaussé des bottes en cuir noir à talons aiguilles de 10 centimètres. Elle gratifia Andy d’un sourire angélique d’adolescente timide alors qu’elle s’était habillée comme une salope soumise. J’entrouvris légèrement sa veste pour qu’Andy devine les magnifiques seins de ma copine.
— Elle est à croquer et j’aimerais bien goûter aux jolies formes juvéniles que ta copine dévoile avec indécence.— Allons dans la chambre déshabiller cette petite salope qui aime aguicher les mecs avec des tenues de pute. Ça ne t’embête pas que je la mette toute nue ? demandai-je à Andy avec un sourire en coin.— Non, au contraire, j’ai hâte d’en découvrir plus de cette petite coquine qui est manifestement une allumeuse impudique et semble adorer faire bander les mecs.— Tu vas t’en régaler et pas qu’avec les yeux. Promis-je à Andy.
J’entraînai Lise dans la chambre en la tenant par les épaules, je la sentis frissonner de plaisir tellement elle était immergée dans son fantasme de soumise. Andy nous suivit, près du lit, je la tournai vers Andy et au passage, je déposai un tendre baiser sur les lèvres enfiévrées de Lise. Je commençai par déboutonner la veste et écartai lentement les deux pans pour dévoiler les tétons de Lise qui dardaient, créant un relief sensuel à travers le voile blanc de sa brassière. Je caressai ses seins à travers le voile et effleurai les tétons érigés et ne pus résister à les pincer entre deux doigts.
— Tu vois Andy comme cette petite cochonne est excitée lorsqu’elle s’exhibe devant toi. Je crois qu’elle aime jouer les putes. Dis-le-lui que tu aimes enjôler les mecs comme une catin !— Oui... je suis une petite salope... une vraie catin assoiffée de sexe ! avoua-t-elle elle en fixant Andy avec une concupiscence éhontée.
Après avoir poursuivi le strip-tease lascif de Lise, je l’installe confortablement sur le lit. Je me positionne du côté gauche de Lise sur le lit et fais signe à Andy de venir se placer de l’autre côté.
— Tu es prêt Andy, nous allons l’exciter un peu plus. Tu vas voir qu’avant peu, elle te suppliera de la baiser, cette chaudasse. Fais comme moi de ton côté.
Nous commençâmes par la caresser depuis l’épaule jusqu’à la poitrine, et petit à petit, nous descendîmes vers la pointe de ses seins. Ses mamelons réagirent aussitôt en durcissant progressivement. Nous pinçâmes doucement les tétons pour les faire rouler entre nos doigts et les exciter. Lise commença à gémir et à onduler du bassin. Puis nous titillâmes les aréoles avec le bout de la langue, mordîmes légèrement les pointes, enfin, nous tordîmes vicieusement le téton. Lise se cambra comme électrisée et poussa un soupir de plaisir.
— Tu vois Andy... cette vilaine petite cochonne aime qu’on la punisse. Dis-je en déposant un doux baiser sur son téton gauche.
Je fis ensuite plier les genoux de Lise et posai ses pieds à plat sur le lit pour détendre la zone des hanches et du ventre. Je me mis à chatouiller délicieusement son aine et le bas de son ventre à gauche, en restant au-dessus du pubis. Andy observa et fit de même de l’autre côté. Nous poursuivîmes nos effleurements en remontant jusque sous les côtes, en pelotant au passage le bas de ses seins, Lise soupira de nouveau. Puis nous reprîmes nos attouchements érotiques en descendant sur le pubis et le mont de Vénus. Chaque caresse eut pour effet de tirailler les lèvres de son sexe et donc de découvrir le clitoris déjà passablement excité et luisant. Je posai fermement ma main sur sa vulve et serrai fortement. Elle couina littéralement de plaisir suite à cette exquise punition.
— Tu vois Andy, cette petite pute soumise adore être un peu maltraitée, dis-je en déposant un doux baiser sur son minou.
Ensuite, nous reprîmes en parallèle nos délicieuses caresses en descendant par l’intérieur de ses cuisses impudiquement écartées depuis le genou jusqu’à son sexe, en l’effleurant pour l’exciter à chaque passage. Nous pûmes percevoir une humidification importante au niveau de ses grandes lèvres. Je la retournai sur le ventre et écartai les lèvres de sa vulve, nous offrant une vue imprenable sur l’intérieur nacré et luisant de cyprine, magnifique ! Nous soufflâmes ensemble sur sa vulve offerte, Lise réagit immédiatement par un frémissement. Puis nous joignons nos langues, un vrai plaisir à trois, surtout lorsque nos langues se rejoignent au niveau de son clitoris, elle cria de plaisir, et son plaisir inonda ma bouche de sa mouille coulant comme une fontaine de son utérus. J’échangeai un baiser avec Andy avec délice pour partager avec lui l’élixir d’amour de Lise. Je la remis sur le dos et Andy se plaça au-dessus de sa tête, et l’embrassa goulûment à l’envers pour lui faire goûter à sa propre mouille, pendant ce temps, je ne pus résister à de nouveau butiner ses sublimes petits nichons fièrement dressés et lui flattai activement le clitoris avec mon pouce. Je descendis ensuite lui sucer le clitoris et introduire deux doigts dans son minou dégoulinant. Ayant retiré ses vêtements, Andy en profita pour présenter son sexe devant la bouche gourmande de Lise. Elle lui caressa d’abord les bourses puis elle les engloutit dans sa bouche l’une après l’autre.Je retirai mes vêtements à mon tour, ne conservant que mes sandales à talon. Je remontai sur le lit et m’installai en 69 pour un cunnilingus et Lise fut donc en position pour me sucer. Andy fut aussi bien placé pour me lécher le sillon fessier et venir titiller mon anus avec sa langue. Il introduisit un doigt puis deux dans mon petit puits d’amour pour bien le lubrifier. Rapidement, Andy mit un préservatif et vint présenter sa belle bite devant ma rosette qui palpitait, excitée par la feuille de rose qu’il venait de me faire et aussi sous l’effet de la fellation de reine que Lise me faisait. Il enfonça son pieu dans ma chatte de travesti et commença à me baiser activement, le plaisir monta rapidement. De mon côté, je m’activai avec mes petits sortilèges de fille pour faire jouir Lise une deuxième fois avec ma bouche et mes doigts. La volupté procurée par notre fornication provoqua en moi une très forte jouissance et j’éjaculai dans la bouche de Lise et quasi simultanément, elle eut aussi sa deuxième jouissance.Andy s’installa à la place de Lise sur le lit. Mon amie se précipita pour sucer son dard puissant et viril, je me mis de l’autre côté et caressai son torse musclé et excitai ses tétons avec ma langue. Lise me passa généreusement le relais et je pus montrer mes talents de suceuse. Pendant ce temps, chacune des mains d’Andy était occupée, deux de ses doigts défloraient mon anus, tandis que deux doigts de son autre main pénétraient le minou de Lise. Lise frotta délicieusement ses petits seins dardés sur le torse d’Andy pendant que je m’essayai avidement à la gorge profonde. Nos caresses et sortilèges conjugués devinrent ingérables pour Andy. Il se retira donc du lit pour laisser retomber la pression.
Je m’allongeai sur le lit à mon tour, Lise se jeta sur mes tétons avec un désir de délicieuse vengeance, elle me caressa ma petite poitrine de transgenre et me titilla les pointes avec sa langue puis me pinça les tétons et enfin les tordit sans pitié. Je poussai un râle de plaisir. Un de ses doigts s’insinua en moi, elle trouva vite la petite protubérance de ma prostate et la massa très agréablement. Le plaisir monta de nouveau en moi sous l’effet des caresses expertes de ma petite sorcière. De son autre main, Lise saisit la verge d’Andy et l’approcha de son sexe aussi mouillé de l’intérieur que de l’extérieur suite à deux jouissances successives.
— Vas-y... prends-moi comme une catin ! Supplia-t-elle.
Brutalement, elle s’empala sur le gourdin puissant d’Andy en poussant un cri mélange de plaisir et de plénitude. Andy, subjugué par l’érotisme dévastateur de Lise, donna de grands coups de boutoir pour assouvir les ardeurs de ma petite débauchée. Simultanément, je lui assénai une claque retentissante sur une fesse et lui pinçais douloureusement un de ses petits tétons en le tordant.
— Défonce cette petite cochonne dépravée... elle a besoin d’apprendre qui est le maître. Dis-je à Andy pour le stimuler.
Il travailla frénétiquement le vagin de Lise en accélérant les va-et-vient, la faisant crier de plaisir en cadence. Je recherchai les lèvres de Lise et l’embrassai fébrilement, nos langues se trouvèrent et s’enroulèrent dans un mouvement lent et langoureux. Elle eut assez rapidement une jouissance spectaculaire qui provoqua en retour l’orgasme puissant et quasi sauvage d’Andy qui inonda le préservatif. De mon côté, ma petite bite pourtant assez molle coula abondamment, sous l’effet d’une jouissance anale procurée par le doigt de Lise et par les ébats torrides auxquels je venais de participer.
— Eh bien les filles... vous êtes des sacrées salopes... aussi cochonnes et vicieuses l’une que l’autre ! s’exclama Andy en riant.
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