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Les révélations d'Alyssa

Chapitre 6

La sortie au club libertin.

Travesti / Trans
Andy devait reprendre son travail et il nous laissa donc blotties l’une contre l’autre sur le lit. Nous étions engourdies dans une douce et agréable torpeur suite à nos ébats charnels intenses. Lise se redressa légèrement et déposa un chaste et doux petit baiser sur mes lèvres et me dit avec un sourire enjôleur et un regard intense.
— Merci Alyssa, notre relation va très au-delà de toutes mes espérances... je t’aime mon ange.
Je caressai amoureusement sa joue puis l’embrassai fougueusement pour lui montrer à quel point ses mots m’avaient touchée. Mon cœur battait la chamade et j’étais comme enivrée d’un bonheur pur et intense. Les yeux embués de larmes sous le coup de l’émotion, je parvins à lui murmurer.
— Je veux tout te donner et tout partager avec toi, ma belle sorcière... C’est moi qui te remercie, car tu es la chance de ma vie... J’aurai toujours envie d’inventer l’amour pour toi au cœur de mes bras.— Sous tes airs de petite salope insatiable se cache une vraie midinette, Alyssa. J’aime autant l’une que l’autre. Susurra Lise en léchant tendrement les larmes qui roulaient sur mes joues.
Je vivais des moments d’une rare félicité avec Lise et notre dialogue amoureux se poursuivit toutes les deux alanguies l’une contre l’autre. Le moment vint cependant où je dus penser à mon retour à l’internat. Je quittai le lit pour aller à la douche où Lise me rejoignit, transformant aussitôt nos ablutions intimes en caresses sensuelles réciproques. Elle m’aida ensuite à retirer le vernis à ongles de mes mains pour retrouver l’apparence de Théo. Je m’apprêtai à faire de même pour les ongles de mes pieds quand Lise m’arrêta en disant.
— Attends Alyssa... A la fin de la semaine, ce sont les vacances de Toussaint... Je te propose de venir installer tes affaires chez moi dès samedi matin puisque nous allons cohabiter à la rentrée des vacances. Si tu es d’accord, j’aimerais que nous fassions une sortie coquine ce samedi soir, alors tu pourrais donc conserver ce beau vernis sur tes jolis pieds de minette, ma puce. De plus avec tes chaussettes de mec, personne ne verra au lycée que tu as du vernis aux ongles des pieds.— Waouh ! Superbe idée cette sortie entre filles samedi soir, j’ai trop envie d’y être !... Tu as raison pour le vernis et puis il me rappellera les super moments que nous venons de passer ensemble.
Comme tous les samedis matin en classe de terminale, nous avions un devoir surveillé. Je sortis de la salle au bout du délai limité de trois heures qui était autorisé pour un devoir d’histoire et géographie. J’attendis discrètement Lise à l’extérieur du lycée avec toutes les affaires que j’avais sorties de l’internat puisque je le quittais définitivement. Elle apparut au portail du lycée vers midi après une dissertation de philo de quatre heures.
Elle me chercha immédiatement des yeux et me vit sous une porte cochère sur le trottoir opposé avec ma valise et mes sacs rangés à côté de moi. Elle ne fut pas surprise de me voir habillée en garçon comme toujours au Lycée puisque c’est la seule identité sexuelle officielle qui m’était malheureusement dévolue. Cependant hors du contexte du lycée, Alyssa allait bientôt pouvoir sortir du placard.
En effet vers 22 heures, Lise à mes côtés, nous étions deux silhouettes ultra-sexy marchant sur un trottoir de valence. Juchée sur mes sandales lacées à talon piédestal, je portai des bas filets autofixants noirs sublimant mes jambes de gazelle, et j’avais revêtu la minirobe à col montant achetée avec Axelle. Lise avait mis ses bottes à talons aiguilles et des bas coutures autofixants, et portait une minijupe croisée en simili cuir moulant ses fesses, et un top gainant à bretelles noires avec de la dentelle au niveau de la poitrine qui accentuait sa taille de guêpe et mettait en valeur ses jolis seins.
— Nos tenues ne sont pas un peu trop osées... non ? demandai-je un peu inquiet à Lise.— Quelle vilaine petite hypocrite tu es, Alyssa ! N’oublie pas que je sais combien tu adores t’exhiber pour faire bander les beaux mâles.— Tu as raison, j’ai déjà comme une boule de plaisir au bas du ventre et je suis déjà émoustillée par l’adrénaline de la transgression. Pas toi ?— Si... bien sûr, Alyssa, tu sais bien que nous avons les mêmes fantasmes. Cette déambulation sur les trottoirs en tenue sexy est vraiment très excitante... J’espère tout de même qu’on ne va pas nous prendre pour des putes se rendant sur leur lieu de tapin !— Lise, je sais déjà que tu adores qu’on te traite de salope alors je parie qu’au fond, tu mouilles à l’idée de passer pour une pute... non ?
— Ouiii, j’avoue !... Mais, toi Alyssa la chaudasse, je parie qu’au premier mec qui t’aborde pour te faire une proposition indécente, tu vas t’empresser de lui dire oui.— Dès que je suis habillée en fille, je me comporte comme une soumise salope... je kiffe totalement cette sensation d’être une petite femelle soumise aux désirs sexuels des mâles... mais je n’aime pas la brutalité, car le sexe c’est juste du plaisir ! dis-je avec conviction. — Oui Alyssa... je partage totalement ton approche libertine et épicurienne du sexe. De plus, je ne vois pas d’indignité à être une vraie salope quitte à passer pour une traînée aux yeux de certains !— Lise, tu ne m’as toujours pas dit où tu m’emmènes. Un endroit assez coquin, je suppose vu nos tenues et le lavement anal que nous avons faits avant de sortir.— Nous allons dans un club libertin et d’après les informations que j’ai eues mercredi au téléphone, je crois bien que nos petits culs vont prendre cher. Est-ce que tu te sens prête, Alyssa ?— Waouh ! J’en frissonne de plaisir à l’avance ! m’exclamai-je en déposant un chaud baiser complice sur les lèvres de Lise.
Nous arrivâmes au club libertin peu après 22 heures. La patronne nous accueillit chaleureusement, mais intriguée par notre allure juvénile, elle demanda à voir nos cartes d’identité pour vérifier si nous étions majeures. Satisfaite de constater que nous avions plus de 18 ans, elle me rendit les deux cartes et m’adressa un sourire en coin en me disant.
— Eh bien ! Je dois reconnaître que pour un garçon, votre passing en fille est excellent, vous n’allez pas rester seule bien longtemps. Bon, l’entrée est gratuite pour les filles ce soir, votre copine ne paye donc pas, mais finalement vous non plus, car votre look mérite vraiment d’être récompensé. Amusez-vous bien, mesdemoiselles !
Nous traversâmes la piste de danse où pas mal de monde était déjà présent, des hommes seuls ou en couple de tous âges et des couples hétérosexuels d’âge mûr dans des tenues dénudées. Je tenais la main de Lise et me serrais contre elle, car nous fumes aussitôt entourés à la limite de la bousculade par des hommes et quelques femmes attirées comme des fauves par la chair fraîche. Pour retrouver un peu de tranquillité, Lise m’entraîna vers le bar où quelques hommes et femmes étaient assis et elle s’installa auprès d’un homme d’environ 35 ans qui dégageait un certain charme. Elle engagea la conversation avec lui sans me lâcher la main. Il se prénommait Samuel et en me tournant vers elle, je vis à l’inclinaison de son bras qu’il s’occupait déjà de la petite chatte de Lise. Elle lui tendit ses lèvres et commença à lui caresser le sexe au travers de son pantalon. J’abandonnai sa main pour m’asseoir à mon tour sur une chaise haute du bar qui était tournée vers la salle.
Je croisai les jambes d’une manière assez sensuelle et suggestive. Mon regard se posa sur un homme, la quarantaine, portant juste un boxer qui moulait son sexe imposant, il était torse nu avec des pectoraux et des abdominaux bien dessinés, je le trouvai sexy et tout à fait à mon goût. Je n’osai cependant pas l’aborder et me contentai de minauder un peu pour le séduire. Il s’approcha et me dit :
— Ecoute mignonne, ne te fatigue pas à essayer de me séduire, je suis bisexuel, mais je chasse plutôt le minet ce soir. Je suis bredouille pour le moment.— Je m’appelle Alyssa et je suis un travesti exclusivement passif, j’ai quelques atouts pour te satisfaire en attendant mieux... qu’en dis-tu ?— Un travesti à l’allure de gazelle, effectivement c’est très tentant ! Mon prénom est Arnaud. Soulève donc un peu ta robe que je vois ce qu’elle cache.
Je descendis du tabouret et relevai ma robe pour exhiber mon string en tulle noir qui dévoilait par transparence mon petit sexe déjà humide. Des sifflets et des exclamations de voyeurs dans la salle accompagnèrent mon petit strip-tease. Arnaud me fit fait faire prestement un demi-tour et je dus me retenir au bar pour ne pas tomber. Il releva un peu plus ma robe pour exposer mon cul au regard de tous, il claqua sensuellement mes petites fesses rebondies et les écarta pour découvrir ma rosette qui commençait à pulser sensuellement.
— Regardez-moi le cul de cette cochonne, il réclame déjà du plaisir !
Des sifflets et des exclamations retentirent de nouveau. Lise me reprit la main pour me murmurer à l’oreille de la suivre jusqu’au podium de pôle dance. Samuel, son partenaire du bar s’approcha du DJ pour lui parler. Elle m’entraîna au fond de la scène pour nous préparer, elle me demanda d’enlever ma robe pour danser en string et soutien-gorge et de son côté, elle fit de même. Déjà la musique s’arrêta et nous retournâmes vite au-devant de la scène chacune à une barre de pôle danse, le DJ prit la parole au micro.
— Mesdames et messieurs, Lise et Alyssa vont réaliser pour vous un strip-tease sur le podium de pôle dance. Encouragez-les !
Des cris et des applaudissements accompagnent la fin de cette annonce, je me tournai vers Lise qui me fit signe de calquer mes mouvements sur les siens. La lumière s’éteint dans la salle et bientôt, les premières notes de « walk on the wild side » de Lou Reed interprétée en duo par Dave Stewart et Vanessa Paradis satura l’espace, les projecteurs s’allumèrent, nous révélant au regard du public. Les deux mains sur la barre de pôle dance, nous ondulâmes lascivement et nous nous déhanchâmes avec lubricité en suivant le rythme lent et langoureux de la musique toutes deux tournées vers le public. Puis lâchant la main droite et continuant à onduler de profil, nous caressâmes notre cuisse droite en remontant jusqu’à la fesse puis le long du flanc jusqu’au sein de manière provocante. Le mouvement de la main se poursuivit sur le début du premier refrain après un basculement de la tête et de nos longs cheveux vers l’avant par un geste sensuel pour repousser nos cheveux en arrière.
Le public semblait conquis et dansait en nous regardant, certains se caressaient mutuellement, s’embrassaient goulûment, la soirée semblait s’être brusquement débridée et tournait à l’orgie. Nous pivotâmes, cambrées de dos au public, le bassin ondulant toujours et les fesses pointées en arrière de manière indécente. Sur un nouveau refrain de la chanson, nous lâchâmes la main droite et tournâmes la tête vers le public caressant l’arrière de la cuisse droite remontant jusqu’aux fesses pour la peloter de manière suggestive, pour finir par une claque sensuelle. Nous restâmes figées deux secondes, le regard lascif et provocateur fixé sur le public, la bouche sensuellement ouverte avec une caresse de la langue sur nos lèvres.
Les participants à la soirée semblaient de plus en plus électrisés, certains très excités proposaient leurs sexes à des bouches complaisantes ravies de les satisfaire. Nous nous adossâmes, cambrées contre la barre, continuant de nous déhancher en rythme, les bras en l’air accrochés à la barre, puis nos mains descendirent pour caresser nos flancs jusqu’à la taille et les fesses puis se glissèrent dans nos strings mouillés de nos liqueurs respectives et enfin remontèrent pour introduire nos doigts imprégnés de notre mouille dans nos bouches rouge cerise dans un geste suggestif et obscène simulant une fellation. Nous terminâmes cette troisième phase par des déhanchements plus forts et une caresse remontant de la taille vers les seins pour les peloter de manière charnelle et enfin par un hochement brusque de la tête basculant notre longue chevelure vers l’avant, et une remontée des deux mains pour remettre sensuellement nos cheveux vers l’arrière.
Des encouragements fusèrent de l’assistance, un cri nous traitant de petites salopes retentit, la ferveur et l’excitation montaient toujours. Toujours adossées à la barre et la main gauche accrochée au-dessus de nos têtes, nous montâmes le genou droit pour enclencher une volte autour de la barre et nous retrouver de profil, nous montâmes notre jambe gauche en grand écart, debout le long de la barre, puis léchant voluptueusement nos doigts de la main droite, nous allâmes caresser dans un geste torride notre entrejambe écartelé et exhibé. Puis de nouveau avec les deux pieds au sol, nous passâmes derrière la barre face au public la tête en arrière, le pubis collé à la barre, nous montons et descendons, simulant le chevauchement d’un sexe gigantesque.
A la fin d’une de nos descentes, nous nous assîmes de profil, cambrées dos à la barre, nous malaxâmes lubriquement nos seins en regardant fièrement le public puis avec un sourire enjôleur, nous détachâmes le soutien-gorge à l’arrière, le laissant glisser au sol en remontant dos à la barre. Nous achevâmes ce quatrième tableau de dos, nos poitrines invisibles pour le public, la tête en arrière, nous remontâmes à deux mains sensuellement nos cheveux.
L’assemblée exultait, certains nous incitaient à montrer nos seins, d’autres nous traitaient de petites allumeuses ou de garces, la tension montait encore d’un cran. Toujours de dos, les fesses offertes en arrière et ondulant langoureusement du bassin pour allumer le public, nous finîmes par nous retourner les bras croisés, protégeant pudiquement nos seins. Puis, toujours ondulant du bassin, nous massâmes voluptueusement nos seins en défiant le public avec un sourire provocant aux lèvres. Ensuite, nous relevâmes gracieusement les bras pour attraper la barre derrière nous offrant nos poitrines au regard concupiscent des personnes présentes. Ils purent se régaler à la vue du galbe délicat et voluptueux des seins de Lise, et apprécier la juvénilité émouvante de mes seins de lolita.
Nous continuâmes nos déhanchés lascifs, les bras accrochés en arrière puis après une rotation d’un quart de tour de profil faisant admirer la finesse de nos silhouettes et la rondeur appétissante de nos formes, nous nous penchâmes en avant pour retirer nos strings.
Pour terminer le spectacle, Lise alla chercher Samuel et de mon côté, je fis signe à Arnaud. Ils montèrent sur le podium, je m’accroupis en équilibre sur mes sandales à talons dans la position indécente d’une fille urinant dans la nature, je sortis la belle bite déjà bien érigée d’Arnaud de son boxer. Il retira complètement son sous-vêtement, je pus alors empoigner ses superbes fesses musclées pour commencer à lui pomper le dard avec gourmandise. J’étais dans un état de quasi-extase après ce strip-tease suite à l’exaltation de ma féminité qui en avait résulté. J’étais cette petite garce allumeuse et sexy soumise à la satisfaction des appétits sexuels des hommes, celle que j’avais toujours rêvé d’être...
La suite de la sortie coquine d’Alyssa et Lise dans un club libertin sera racontée dans le chapitre suivant.
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