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Les révélations d'Alyssa

Chapitre 7

Deux Sissy complices

Travesti / Trans
Dans le chapitre précédent, Lise m’avait emmenée dans un club libertin, et entraînée dans un strip-tease improvisé à la barre de pole dance. Après avoir chauffé à blanc les ardeurs sexuelles de l’assistance, l’ambiance avait tourné au gang bang. Je me trouvai désormais accroupie sur la scène de pole dance, mon petit sexe pendant entre mes cuisses et le sexe érigé d’Arnaud dans la bouche, pour une fellation gourmande. J’appréciai en gourmet le goût du liquide séminal d’Arnaud où je détectai une pointe douce-amère de camomille, puis une plus intense de jasmin pour finir par une saveur boisée de cèdre. Beau bouquet qui me confirma aussitôt la pertinence de mon choix de partenaire d’un soir. Je vis ma copine Lise du coin de l’œil, à genoux en train de lécher avec délice le gland de Samuel enserrant avec sa main délicate et si gracieuse le gros mastard de son partenaire. Mon petit cœur amoureux battit plus fort de voir Lise déjà vibrante et soumise aux désirs de son partenaire d’un soir.
Lise se releva et appuya ses mains contre la barre de pole dance pointant ses fesses arrière pour offrir son cul à Samuel. Ce dernier s’assit entre ses jambes écartées pour lécher goulûment sa petite vulve déjà ruisselante de cyprine. Elle était belle et sensuelle et je voulus l’embrasser sur-le-champ pour lui témoigner de toute mon affection passionnée. Aussi, je me remis debout à mon tour et me positionnai une main en appui sur la barre de pole dance, face à Lise creusant les reins et écartant mes fesses de l’autre pour proposer ma petite chatte de travesti déjà très excitée à Arnaud. Je rapprochai mes lèvres de celle de Lise et lui volai un doux baiser, puis nos lèvres se rejoignirent sensuellement, nos langues s’entrelacèrent éperdument. Arnaud s’approcha derrière moi, son désir attisé par notre baiser quasi lesbien et il ne put retenir une remarque salace.
— Deux petites salopes insatiables et lubriques amoureuses l’une de l’autre ! Quel tableau, je rêve !... Toi ma petite lopette aguicheuse tu vas vite comprendre ce que c’est qu’un vrai mâle !
Il vint titiller mon petit œillet brun avec sa langue, l’enduisit copieusement de salive et introduisit un doigt puis deux dans mon puits d’amour pour bien ouvrir et lubrifier mon anus. Après avoir rapidement enfilé un préservatif, il présenta son gros gland sur mon petit trou qui céda sans trop de résistance, tellement il était avide d’être défloré. Il me pénétra lentement et mon sphincter se distendit progressivement, provoquant une douleur assez forte. Il passa une main sous mon ventre, comprenant son intention, je me cambrai un peu plus, enfonçant du même coup un peu plus son sexe en moi, m’arrachant un cri d’extase et de douleur mêlée et lui donnai accès à ma petite bite qu’il commença à branler. Cependant, je réalisai mon inconscience, car Arnaud possédait un membre impressionnant, long et très gros, un vrai pieu capable de casser la plupart des petits culs.
Sa taille devait dissuader bon nombre de partenaires féminines potentielles, et je compris que pour assouvir ses désirs, il devait se rabattre sur des minets efféminés ou des travestis trop fascinés par sa belle virilité pour être effrayés par le calibre de son engin.
Ce gabarit hors norme était tout nouveau pour moi et mon anus souffrait le martyre, mais je me sentis aussi pleinement remplie et honorée comme une petite femme soumise heureuse de satisfaire les désirs de son mec.Lise de son côté continuait à se faire sucer l’abricot, elle agitait son petit cul pour profiter un peu plus des caresses buccales expertes de Samuel, elle se mit alors à pousser des petits cris d’extase sensuels que notre baiser langoureux ne parvint pas à étouffer. Entre deux gémissements, elle abandonna brièvement mes lèvres brûlantes de désir pour interpeller Samuel.
— Défonce-moi le minou maintenant Samuel... Prends-moi s’il te plaît !
Pendant que Samuel enfilait un préservatif sur sa verge à peine moins imposante que celle d’Arnaud, je repris possession de ses lèvres et de sa bouche. J’introduisis ma langue repliée en deux comme une petite bite qu’elle suça avec avidité. Mon cœur battait la chamade sous le coup de mes sentiments très forts pour ma belle Lise, je pris conscience que je l’aimais très fort, j’espérais la voir jouir, la sentir submergée par le plaisir et me repaître de sa volupté.
Les fesses en arrière appuyées à une barre de pole-dance, je me faisais enculer dans un club libertin et j’adorai être cette salope, l’alter ego de ma petite chérie. Arnaud me souleva comme si je n’étais qu’une plume dans ses bras puissants son énorme mandrin encore enfoncé dans mon cul, mes sandales talons claquèrent sur le sol un peu plus loin. Sa bite sortit brusquement de ma chatte de travesti et je me sentis comme abandonnée, je vis qu’il s’allongeait sur le sol et qu’il m’invitait à venir m’empaler sur son magnifique pieu dressé. Je m’accroupis face à lui et au public, je me cambrai lascivement et alignai mon œillet sur le gland et je redescendis lentement, m’embrochant avec douleurs et délices, comblée d’être à nouveau remplie. Je pris appui vers l’arrière sur mes mains, et je me mis à monter et descendre lentement comme un joli mousse accouplé à un mât de misaine, ma petite bite battait la mesure en cadence.
Trois hommes de l’assistance grimpèrent sur la scène et s’approchèrent de moi, la bite à la main en se masturbant, excités par ma chevauchée obscène.
Je n’avais cessé de suivre du regard ma belle Lise dans ses jolis émois sensuels. Samuel avait adossé Lise contre la barre de pole dance et il avait profité de mon éloignement temporaire pour prendre possession de ses lèvres en rajoutant la langue, ses mains caressaient ses magnifiques seins assez volumineux et pourtant juvéniles dans leur fermeté et surtout leur port haut et fier presque provoquant. Il ne put résister à l’envie de passer doucement ses doigts sur ses tétons pour faire durcir les pointes puis toujours du bout des doigts, il accéléra sa caresse sur ses aréoles rosées et délicates pour stimuler cette petite zone fortement érogène, elle ne tarda pas à gémir de désir et de plaisir. Samuel enchaîna par des caresses buccales. Il joua avec sa langue, d’abord en la passant lentement sur tout le mamelon, puis en accélérant comme il l’avait fait avec ses doigts, titillant ses tétons avec la pointe de sa langue. Les gémissements de Lise redoublèrent.
Samuel sut jouer avec l’attente et la frustration suscitées par ce type de caresse, provoquant un puissant plaisir qui irradiait les seins et le sexe de Lise, et en même temps une envie non assouvie d’être pénétrée.
Puis, il prit ses fesses à pleine main, les câlinant sensuellement, il l’embrassa délicatement dans le cou et lui souffla doucement sur l’échine, Lise fut envahie de frissons et se blottit contre le torse de son amant.
Je me régalais à regarder le spectacle de Lise dans les bras de Samuel. Tandis que l’énorme sexe de mon amant me labourait le cul et que ses couilles claquaient contre mes fesses, je voyais Lise trembler sous la tension du plaisir, presque frêle, son corps tout juste sorti de l’adolescence. Elle me regardait fascinée me faire prendre sauvagement par Arnaud, elle s’agenouilla pour sucer de nouveau Samuel qui ne demanda pas mieux que de se laisser faire. Elle commença à lécher le gland arborant un air à la fois timide et vicieux qui donnait envie de la câliner. Elle se pencha un peu plus en avant, accroupie sur ses bottes à talons aiguilles pour engloutir la bite épaisse de Johanna si bien que j’aperçus son délicat petit sexe nubile comme un fruit délicieux à déguster. Samuel remarqua mon regard et m’envoya un sourire complice, il releva Lise et la serra fort contre lui, comme s’il avait peur qu’elle s’échappe de ses bras.
Je poussais un cri lorsque Arnaud me claqua les fesses en me disant :
— Hé Alyssa ! Tu n’es vraiment qu’une salle petite vicieuse qui jouit de voir sa copine baisée sous ses yeux.
Samuel se glissa derrière Lise, emprisonna sa poitrine dans ses deux mains et se colla contre elle, son sexe raide se logea dans sa raie. Il continua à lui prodiguer des caresses brûlantes et érotiques sur tout le corps qui l’amenèrent au bord de la jouissance. L’un des hommes qui se masturbaient en me regardant approcha sa verge en érection près de mon visage. Avide d’être baisée aussi par la bouche, j’approchai mon visage et sortis ma langue pour accueillir ce sexe mâle par une délicieuse caresse autour du gland. Il me gifla avec son membre dur où coulait déjà un filet de sperme qu’il essuya sur ma joue. Il m’interpella avec des mots très crus :
— Hé la petite chienne en chaleur !... C’est de mâle dont tu as besoin comme ta copine d’ailleurs !... Tout ton corps te trahit, tu vas découvrir que tu es faite pour assouvir le plaisir des mâles... une vraie Sissy !
Sa bite à la main, il força le passage de mes lèvres pour me la fourrer sans ménagement dans la bouche. Le goût puissant de son sperme m’ensorcela aussitôt, je détectai une pointe de malt, d’algues marines et de café torréfié, la signature du macho. Je fus immédiatement ensorcelée comme une petite femelle lubrique irrésistiblement attirée par les phéromones mâles et pleinement comblée lorsqu’elle était possédée par deux phallus vigoureux. J’étais prise et ramonée virilement des deux côtés, double réceptacle de plaisirs masculins, après quelques minutes de ces délicieux et frénétiques accouplements, je fus parcourue de frissons annonciateurs de jouissance féminine. Totalement sous l’emprise d’un impérieux désir de jouir, je m’activai alors en ondulant des fesses et contractant mon sphincter rectal, et en pompant encore plus goulûment le pénis qui remplissait ma bouche.
L’orgasme anal survint fort et voluptueux, provoquant un écoulement de sperme de ma petite bite, je sentis au même moment un violent flot de foutre inonder le préservatif dans mon anus suite à la jouissance quasi simultanée d’Arnaud, mon deuxième amant aux tendances dominatrices se sentit sur le point d’éjaculer et se retira de ma bouche pour me juter puissamment sur le visage.
Je me délectai pleinement de ces instants trop fugaces où je me sentais comme une frêle petite vénus épuisée de plaisirs.
— Tu as vu comme ta copine Alyssa est belle quand elle jouit, comblée par deux hommes, as-tu envie d’être prise à trois pour un plaisir encore plus intense ? » murmura Samuel à l’oreille de Lise.— Oui, j’en ai très envie, mais j’ai tout de même un peu peur » hoqueta Lise à la fois émue et excitée par le spectacle de mes accouplements torrides.— Je vais commencer par te prendre par la chatte et Alyssa va venir préparer ton petit trou, n’aie pas peur ma chérie, tu vas adorer.
Samuel adossé à la barre de pole dance retourna Lise face à lui, lui prit la tête à deux mains et la guida vers son sexe dressé qu’elle engloutit aussitôt dans sa bouche. Ce mouvement eut pour effet de lui faire cambrer les reins offrant ainsi ses fesses. Je les surveillais du coin de l’œil pendant que je nettoyais le sexe de mes deux amants en les léchant avec gourmandise. Samuel me fit signe et me dit :
— Viens Alyssa... tu vas exercer tes talents de petite chienne et préparer les orifices de Lise.
Je ne me fis pas prier pour aller goûter aux friandises qu’offrait impudiquement ma compagne adorée. De plus près, son cul me surprit de nouveau par sa splendeur, il avait à la fois l’arrogance de la jeunesse dans ses formes, une délicate fragilité émouvante dans les parties plus intimes, et une indécence charnelle pour l’ensemble. Je commençais une feuille de rose très douce et insistante pour réveiller son désir anal et je ne pus m’empêcher de humer les effluves enivrants de jeune fille en chaleur qui se dégageaient voluptueusement de sa vulve luisante de cyprine. Mes doigts vinrent naturellement effleurer son clitoris qui était gluant de mouille, je le titillais du bout de l’ongle pour renforcer son excitation. J’enfonçais plus profondément mes doigts pour préparer le passage du sexe imposant de Samuel, je constatais que son vagin était largement lubrifié et se contractait sous l’effet d’un plaisir qui montait en elle. Samuel pourrait bientôt œuvrer sans risquer de lui faire mal.
Lise semblait heureuse d’être ainsi offerte à mes caresses buccales et elle suçait avec quelques difficultés le mandrin puissant de Samuel, mais s’appliquait avec une ardeur émouvante. Je fis un petit signe à Samuel, lui indiquant qu’il pouvait prendre possession de la chatte de Lise. Il la releva et l’emmena prestement vers la table disposée dans la salle. Il s’assit sur le bord de la table, les jambes écartées, le sexe érigé vers le ciel. Il invita Lise à venir s’empaler sur son sexe face à lui. Elle s’exécuta dans un râle de plaisir et de douleur mélangé. Elle se mit vaillamment à monter et descendre lentement, en poussant des petits gémissements, fichée sur le pieu de Samuel qui semblait la couper en deux. Samuel lui caressait tendrement le dos et les fesses pour l’encourager. Je les rejoignis pour reprendre la préparation de son anus. J’introduisis ma langue dans son petit anneau tout mignon et lubrifiais la muqueuse toute rose avec de la salive puis de sa propre cyprine.
Je lui mis alors un doigt dans le cul pour stimuler le vagin par l’intermédiaire de la paroi anale.
Lise sembla aux anges et chevaucha beaucoup plus vigoureusement Samuel. Pendant ce temps, mon amant macho observait le spectacle de ma tendre compagne livrée à la lubricité de Samuel et à mes caresses amoureuses, et il sentit qu’il bandait de nouveau. Il s’approcha de notre trio et présenta sa bite à ma chérie qui ne demanda pas mieux que de le sucer. Concentrée sur l’anus de Lise, je lui introduisis un deuxième doigt puis un troisième pour bien préparer le passage pour un sexe viril. Je terminai le travail en remettant généreusement de la cyprine qui suintait de sa petite chatte dilatée par la grosse verge de Samuel. Je me redressai en disant :
— Je crois qu’elle est prête.
J’allai chercher un voyeur la quarantaine bien conservée qui se masturbait en matant les ébats de Lise et Samuel, je posai doucement, mais fermement ma main sur sa bite et je l’amenai jusqu’à Lise en le tenant par son sexe, je mis un préservatif sur son sexe long, mais plutôt fin, le calibre parfait pour enculer ma douce compagne. Je pris Lise dans mes bras et la serrai contre moi, je sentis les bouts de ses seins dressés frotter délicieusement contre ma propre poitrine, sa peau était douce et je la sentis toute frémissante et abandonnée à son plaisir, je lui murmurai doucement à l’oreille :
— Tu vas adorer... ton petit cul va prendre cher, c’est ce que tu veux, n’est-ce pas ma petite chienne adorée ? Dis-le !— Ouiii... je veux qu’on me défonce le cul !
J’approchai la bite de l’homme, et elle empala courageusement sa petite rosette sur ce membre dur comme de l’acier, le sphincter céda sous la pression et la verge pénétra d’un seul coup au fond de la fournaise anale de ma copine. Je posai mes lèvres sur les aréoles de ses seins avec une grande douceur pour compenser la douleur qui a dû la saisir. Bientôt son anus bien lubrifié et préparé par mes soins coulissa sans contrainte sur le long mât fin de l’homme. Elle râla aussitôt de plaisir, prise simultanément par ses trois orifices.
Elle se mit à chevaucher le gourdin de Samuel en cherchant à accorder le rythme des trois va-et-vient qui lui tirèrent des cris de plaisir. Émue par le plaisir violent qu’elle exprimait par ses cris, j’adoucis sa jouissance en couvrant son corps juvénile de douces caresses et de baisers délicats. Mes mains et mes lèvres caressèrent sa peau douce parcourue de frissons d’extase, ma langue butina à nouveau la pointe de ses tétons dressée qui témoignaient de manière impudique le plaisir qui l’étreignait. Les trois hommes pistonnèrent Lise pendant un temps qui me parut long, tant elle eut des orgasmes à répétition d’une force inouïe. Je jouai de son corps comme d’une harpe vibrante d’amour. Ils finirent tous les trois par jouir en elle. Les corps se séparèrent fatigués par ces étreintes intenses. Lise rayonnante de bonheur, le foutre dégoulinant de ses lèvres, se réfugia dans mes bras.
Nous nous câlinâmes un moment en nous nettoyant mutuellement avec nos petites langues de chiennes gourmandes.
Elle me prit la tête entre les mains et déposa un petit baiser mutin sur mes lèvres et me dit :
— Nous sommes vraiment des petites chiennes dépravées amoureuses l’une de l’autre. J’ai adoré ce partage dans la luxure.— Moi aussi... c’était divin ! Merci pour cette soirée.
Nous étions toutes les deux repues de sexe pour cette soirée et aspirions à rentrer nous retrouver tranquillement en amoureuses à l’appartement. Nous nous relevâmes toujours nues perchées sur nos talons, je me dépêchai alors de ramasser nos vêtements dispersés sur la scène tandis que Lise se dirigeait déjà vers les toilettes. Je la rejoignis rapidement et lui donnai ses vêtements. Je pus constater dans un miroir au-dessus d’un lavabo que je portais des traces bien visibles de sperme sur mon visage qui témoignaient de mon nouveau statut de Sissy addict à la semence des mâles. Après s’être rhabillée, Lise était allée immédiatement au vestiaire chercher nos sacs à main dans lesquels nous avions des lingettes nettoyantes et le nécessaire pour retoucher nos maquillages, ce qui nous permit d’être plus présentables.
En passant non loin du bar pour regagner la sortie, nous fûmes abordées par la barmaid, une jeune femme brune d’à peine plus de vingt ans, plutôt petite, mais athlétique. Elle avait une silhouette de gymnaste et portait un corset et une minijupe de cuir et était juchée sur des jolies bottines à hauts talons. Elle se présenta :
— Je m’appelle Tess Gomaud, je suis coach sportif en journée dans un centre de fitness et je donne aussi des cours de pole dance chez moi, j’ai adoré votre petit numéro improvisé de ce soir, vous avez vraiment du potentiel. Je vous donne ma carte avec mes coordonnées. — Merci Tess... c’est une proposition sympa... mais nous sommes au lycée et nous n’avons pas trop les moyens de payer tes cours. Lui répondit Lise.— La pole dance, ce n’est pas une affaire d’argent pour moi... c’est juste ma passion... j’aime beaucoup la partager avec des amies... alors si cela vous tente n’hésitez pas à me contacter.
Cinq minutes plus tard, nos talons claquaient sur le trottoir et blotties l’une contre l’autre dans la fraîcheur d’une nuit de début d’automne, nous retournions à pied vers notre petit nid d’amour.
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