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Les rêveries de Lilidoo

Chapitre 1

Erotique
Ce matin encore il s’est réveillé avec une envie folle de sa femme, mais comme tous les matins elle est déjà partie déposer les enfants. Il reste un petit moment allongé, le sexe droit et tendu. Il pense à elle… Elle est si petite et menu que quand il la tient dans ses grands bras musclés il a l’impression qu’il pourrait la briser. Il aime ses fesses : bien fermes, galbées et scandaleusement excitantes. Il aime toujours lui enserrer les hanches de ses bras vigoureux et s’enfoncer en elle surtout en levrette… Il se lève, nu, son grand corps musclé se déplie. Il attrape son peignoir, l’enfile et se rend au salon.Sirotant son café, l’envie tenace de prendre sa femme ne le quitte pas.Il regarde par la fenêtre, guettant le retour de sa douce. Enfin il voit la voiture s’enfoncer au travers du portail et remonter jusqu’à la maison.Quelques instants plus tard elle fait son apparition dans le salon vêtue d’une cache cœur blanc qui laisse deviner l’absence de soutient gorge et d’un jean qui galbe ses fesses à merveille. Même pas apprêté il la trouve terriblement sexy. Ils s’embrassent tendrement, et a ce moment-là, il sent son membre se raidir. Elle aussi le sens, et s’en amuse.
Au moment où elle tourne les talons pour aller dans la cuisine, il la retient par les hanches et l’attire avec détermination contre lui. Ses fesses galbées dans son jeans viennent se poser délicatement contre la bosse que fait son sexe sous son peignoir. Il l’enlace de ses bras et l’embrasse tendrement dans le cou. Un frison la parcours, il est fier de son effet. Elle se retourne dans ses bras et passe ses mains le long de son ventre sous son peignoir. Elle aime caresser sa peau. Il a la peau si douce, si sucrée.Joueuse elle le regarde langoureusement sentant qu’il a envie d’elle.Il l’attrape par la taille et l’assoie sur la table à proximité. Malgré sa petite poitrine il aime ses seins. Il sait qu’elle ne résiste pas à de longs baisers et coup de langue sur ses tétons. Il sait qu’il peut la rendre folle. Il l’attrape doucement par ses cheveux lâchés, l’obligeant ainsi à prendre appui sur ses coudes, renversée en arrière, offrant son buste légèrement vêtu à son homme.Tout doucement, il embrasse ses seins libres sous le petit haut. Il attrape suavement les tétons à travers le tissu et tire gentiment dessus. Elle laisse échapper de légers soupirs.
Alors doucement il entreprend de défaire le cache cœur qui le sépare des seins de sa femme. Il entreprend de les embrasser, d’abord doucement puis plus vigoureusement, il lèche, aspire, mordille… Elle souffle de plus en plus… son sexe a lui gonfle comme jamais. Il a envie d’elle.Mais il continue à se concentrer et à rester dans la douceur. Il sait qu’en procédant ainsi elle sera sa chose et il aura le plaisir de jouer avec ses sensations à son gré.Il descend peu à peu vers le jeans, les mains de sa douce enfouies dans ses cheveux courts et denses. Il déboutonne le pantalon et embrasse l’entre jambe de sa douce au travers de son jeans. Il sent qu’elle est excitée. Mais il la veut suppliante. Il aime ce regard où il se sent puissant… Elle est totalement abandonnée à sa volonté…Il lui ôte le jeans, prenant soin de laisser le string en place. Il se redresse, se colle à son entre-jambe, laissant sa dulcinée savourer au travers des tissus la puissance de sa verge, raide et tendue.Elle est très excitée… malgré elle son bassin ondule a ce contact. Elle tente de glisser sa main sous le peignoir pour aller caresser cette verge tendue, mais il la retient et l’en empêche. Mais elle recommence… Il se retire puis reviens se coller à elle.Voyant l’insistance de sa douce il se recule, ôte la ceinture de son peignoir, laissant sa verge tendue et gonflée se montrer. Elle la dévore des yeux. Il attrape les mains de sa femme, les joints et les entourent de sa ceinture. Il l’attache au pied de la table de telle sorte qu’elle est allongée sur la table, bras tendu vers le haut. Elle le regarde étonnée, mais il continu comme si de rien était. Une fois sa belle attachée, il revient à ses seins, recommence le jeu des baisers et lèche avec de plus en plus d’appétit ses petites pommes dressées. Il regarde sa douce, yeux clos, savourant et soufflant sous les soins prodigués par sa bouche. Il descend, plus affamé vers son ventre, embrasse ses cuisses et évite soigneusement le petit morceau de tissu. Elle se tortille dans tous les sens et il a une envie folle de la prendre sauvagement et la pilonner sans discontinuer... Mais il se concentre et reprend de plus belle. Il remonte de ses genoux à ses cuisses, ses mains glissent sur l’envers de ses cuisses et effleurent les fesses de sa femme. Elle frissonne dans un gémissement, il bande de plus belle.
Une de ses mains revient par la taille et pendant que sa bouche effleure le petit morceau de tissu… Elle n’en peut plus. Il glisse un doigt sous le tissu… et ses doigts trouvent la peau lisse de ce sexe mis à nu. La sensation sous ses doigts est douce, charnue et terriblement excitante. Son instinct le dépasse et il arrache violement le string de sa femme, ce qui ne manque pas de la surprendre, mais ne semble pas lui avoir déplu.Il tend le bout de sa langue vers les chaires nues du sexe de sa femme, elle lâche un premier râle qui ne manque pas de l’inciter à poursuivre. Elle écarte de plus en plus les cuisses, laissant apercevoir sa grotte et sa caverne, il plonge alors fougueusement la tête dans cette direction et commence à la dévorer. Ses gémissements prennent de l’ampleur, il la sent fébrile sous sa langue et il aime ça. Il la lèche, joue avec son clito, écarte ses lèvres pour enfoncer plus avant sa langue. Elle souffle, gémi, se tortille… Elle bouge tant qu’il l’agrippe avec une poigne ferme et déterminée par les fesses et la maintient collée à la table. Elle se laisse faire sans offrir trop de résistance, il s’applique sur les contours de ses lèvres et tout à coup, sachant qu’elle n’y résistera pas, il aspire son clitoris comme un fou. Pendant ce temps l’un de ses doigts, humide, descend vers l’entrée de sa caverne. Il sait, malgré ce qu’elle dit, qu’elle adore ça. Il lui masse de plus en plus vigoureusement… Quand tout à coup, elle cède. Des sursauts de plaisirs l’assaillent, elle jouit… Il lâche sa sussion et embrasse doucement le sexe de sa femme, descendant rejoindre son doigt qui décrit des cercles à l’entrée de sa caverne. Il remplace son doigt par sa langue, profitant du plaisir qu’elle vient d’avoir… Elle se remet très vite à se tortiller et à gémir. La sensation de cette langue chaude gourmande et intrusive la rend dingue. Il la tire un peu vers lui et glisse un puis deux, puis trois doigts dans sa fente tout en continuant de lui lécher l’entrée de sa caverne. Il sent le plaisir, voire même la jouissance gagner à nouveau sa femme. Il est encore plus excité ! Soudain, sentant qu’il devait assouvir son besoin de jouir à son tour, il se redresse, la laissant reprendre ses esprits. Il fait le tour de la table, ouvre les pans de son peignoir et présente à sa femme son sexe, énorme, gonflé d’excitation.
Sans se faire prier, et malgré ses mains attachées, elle s’humecte doucement les lèvres et laisse entrer le bout de son gland entre ses lèvres. Il lâche un râle doux et profond. Doucement et tendrement elle joue avec son gland. Le faisait tournoyer entre ses lèvres, entrant à peine dans sa bouche et ressortant aussitôt. Elle fait ce petit jeu quelques instant, juste assez pour qu’il soit au supplice et n’y tenant plus l’attrape par les cheveux pour enfoncer avec force sa verge dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle l’engloutisse totalement. Ça lui fait mal cette verge dans sa gorge, des larmes coulent, mais elle aime ça. Soudain, alors qu’il ne s’y attend pas, elle resserre l’étreinte de ses lèvres autour de ce sexe. Il relâche la prise sur sa nuque, cette alternance entre force et douceur rend le moment exquis. Le sexe de son homme est affreusement gonflé et s’enfonce dans sa bouche serrée, chaude et humide. Il sent la sève monter… Et lâche un soupir de plaisir. Elle sent qu’il va jouir, elle aime le sentir fragile dans sa bouche, lui cet homme fort, un mâle dominant que tout le monde craint. Entre ses mains, enfin entre ses lèvres en l’occurrence, il ne l’impressionne pas, il est à sa merci et ça l’excite terriblement. Elle arrête tout mouvement. Le temps qu’il se calme un peu. Et puis tout à coup elle se met à monter et descendre sa bouche sur son sexe a une vitesse affriolante. Il lâche un soupir de plaisir, elle se sent encouragée. Il l’attrape par les cheveux, n’en pouvant plus, ne voulant plus qu’elle s’arrête, et il l’accompagne dans ses aller-retour sur son sexe, et soudain ce grand corps musclé se raidi, la verge se gonfle et il jouit en elle dans un râle chaud et profond.Quand il rouvre les yeux il se rend compte qu’elle avait changé de position pendant qu’elle l’avait en bouche. A présent elle était à plat ventre sur la table offrant ses fesses. Là où il se trouve il voit son dos nu, la chute de ses reins, ses fesses… Il devinait ses pieds touchant à peine le sol et esquissa un sourire. Il se retira lentement de sa bouche, l’embrassa avec appétit, mis sa main sur sa nuque, releva ses cheveux épais et frisés… Il contourna légèrement la table tout en la tenant par les cheveux, il appliqua une main ferme sur le creux des reins de sa douce, elle comprit a ce geste qu’elle ne devait pas changer de position. Il se pencha, lui souffla un petit mot dans le creux de l’oreille et embrassa sa nuque. Elle eut un frisson… sa main était toujours fermement appliquer sur le creux de ses reins, et sa langue se mis à descendre doucement la rejoindre. Quelques soupirs échappèrent à sa douce. Et les mains lâchèrent prise.Puis plus rien. Elle l’entendit s’éloigner doucement.Il revient un court moment après et posa plusieurs objets sur la table à côté du corps lascivement posé de sa femme. Il était nu, derrière elle… Elle senti ses cuisses massives contre les siennes.Il posa à nouveau sa main en haut de sa nuque et attrapa sa chevelure. Il lui redressa la tête en la tournant légèrement vers lui. Il l’embrassa avec gourmandise, fouillant sa bouche avec force de sa langue. Ce baiser l’excita et son sexe se mis à gonfler de plus belle.Il lâcha son emprise et entrepris de lui caresser le dos, prenant tout son temps, l’effleurant à peine et laissant son souffle la faire frissonner. Il descendit jusqu’au creux de ses reins, ses mains glissèrent en douceur sur les hanches de cette femme objet, lascive et douce… sa femme. Il ressenti à ce moment-là une fierté immense, celle d’avoir à ses côtés, chaque jour une femme jolie, aimante, terriblement excitante.Ses mains l’empoignèrent avec force. Ce qui ne manqua pas de faire échapper un petit cri de surprise de sa femme. Il lui caressa les fesses, et lui écarta les cuisses d’un mouvement habile de ses jambes.Elle senti la main de son homme remonter sa cuisse et venir fouiller délicatement sa grotte. Elle commençait à y prendre plaisir, mais tout à coup il retira sa main et attrapa un des objets qu’il avait posés avant sur la table. Elle senti quelque chose de froid se présenter devant son clitoris. Elle entendit avant de sentir le bruit du moteur. Il avait en effet attrapé un des vibromasseurs de sa femme, et il avait décidé de jouer avec elle. Ça semblait l’exciter autant qu’elle.Il ne lui fallut pas longtemps avant de se remettre à onduler langoureusement sa croupe sous les aller et venu du sextoy.Il continuait à l’exciter, pour accompagner les vibrations du jouet sur le clitoris de sa femme, il décida de mettre dans sa grotte un, puis deux puis 3 doigts. Lentement au début, puis de plus en plus fougueusement il entrait et sortait ses doigts d’elle. Elle poussait de longs et profonds soupirs. Il avait maintenant le sexe dur et il sentait le plaisir grandi en lui. Plus elle gémissait plus il gonflait plus il entrait et sortait avec fougue d’elle.Regardant sa croupe oscillait sous les vibrations du jouet et les va et vient de ses doigts il glissa sa tête entre ses fesses. Elle se raidit. Mais sous l’effet des caresses sur son clitoris et dans son vagin elle se détend à nouveau. Il commence à lui lécher timidement l’entrée de sa grotte. Elle se raidit à nouveau. Il augmente légèrement la vitesse du jouet et celle des va vient de ses doigts. Elle cède. Il reprend plus confiant. Plus il la goute, plus elle écarte les jambes, il est excité à souhait et a envie de la prendre la, comme ça, violement, comme elle aime. Sa verge est au bord de l’explosion… Plus elle gémit de plaisir plus il sent monter la sève en lui. Il se redresse et effleure de son gland les fesses offertes de sa femme. Il a envie de se laisser aller et de jouir sur ce petit cul qui s’offre et se dandine. Mais il se ravise.Il ressort ses doigts de sa grotte et en positionne un devant sa caverne. Elle se raidit. Sentant qu’il faudra du temps, il positionne son gland à l’entrée de son vagin. Il entre juste le gland, gonflé et sensible. Elle le supplie d’entrée entièrement… Mais non, il reste là. Elle essaye de reculer sur sa verge, mais il la retient. Maintenant que le jouet n’est plus utile, il le repose sur la table et attrape la taille de sa femme fermement. Ce simple geste la rend dingue. Il sent l’envie furieuse qu’elle a de sentir son mari aller et venir furieusement en elle. Il attend encore un peu, calmant son propre plaisir. Puis tout à coup il lui assène un premier coup de reins profond et puissant, elle redresse la tête, cambrant ainsi son dos. Il ne lui en faut pas plus, il la plaque fermement sur la table, lui fait serrer les cuisses en les poussant de ses propres jambes musclées. Dès qu’il sent qu’elle est serré autour de son sexe, il empoigne ses hanches et entreprend une violente série de va et vient. Sa douce, qui au début gémissait doucement, se met à hurler le plaisir qu’il lui donne… Il l’entend gémir et ça le rend fou de désir. Il humidifie un de ses doigts et le glisse entre les fesses de sa femme. Pendant qu’il lui assène de grand et profond assaut son doigt masse l’entrée de sa caverne… Il sent peu à peu qu’elle cède et se détend… Il sent qu’elle va céder et jouir sans retenu… Il s’arrête net. Elle se retourne et le regarde surprise, mais il la plaque à nouveau fermement sur la table. Il attend. Elle supplie. Il ne bouge pas. Elle ondule sa croupe, il la retient de ses mains puissantes. Il sait qu’elle aime ça, quand il la coince, la piège et qu’elle n’a d’autre choix que de le laisser être ce " mâle " qu’elle aime tant. Quand elle semble avoir abandonné l’idée que ça reprenne, il attrape une de ses jambes et lui fait poser sur la table.Elle est ainsi totalement offerte à son regard et il admire le spectacle quelques secondes avant de reprendre ses allers-retours avec plus de force et de détermination que précédemment, il y met toute l’excitation que le spectacle qu’il a sous les yeux lui inspire. Et il reprend de plus belle la masturbation de son anus, entrant et sortant au même rythme que sa verge dans le sexe de sa douce. Il sent qu’elle va jouir, elle en réclame plus, plus vite, plus loin…Alors il se déchaine, il sent ses bourses claquer sur son clitoris vierge de toison, il sent le fond de sa caverne au bout de son gland et il sent que l’entrée de sa grotte se fait facile…. Elle cède a de violents spasmes. L’orgasme la terrasse, elle s’écroule dans un immense cri de plaisir sur la table…Les spasmes de son vagin autour de son sexe ont raison de lui… Il jouit à son tour dans un râle fougueux et s’écroule de plaisir sur le dos de sa douce.
Quelques instants plus tard, ayant retrouvé leurs esprits, il se retire et s’installe sur le canapé. De la où il se situe il a une vue directe sur la croupe de sa femme. Elle lance amusée " Tu as oublié de me détacher… "" non "" Allée, c’est bon… détache moi "" non "Puis le silence.Il se lève tourne autour d’elle, elle attend, persuadée qu’il va la libérer. Il finit par dire :" Non, je n’ai pas envie de te détacher. Je veux que tu restes la tant que j’en aurais envie. Je veux pouvoir venir te prendre là où tu es quand je l’aurais décidé. "" Mais… " Elle n’en revient pas. Il n’a jamais fait ça. A quoi joue-t-il ?" Chuuut…. Je reviens. " il l’embrasse avec douceur et disparait. Elle l’entend rentrer dans la salle de bain puis au bout de quelques instants elle entend l’eau de la douche couler. Les minutes passent, fatiguée, elle s’écroule et s’endort comme il l’a laissée : les fesses offertes, le ventre écrasé sur la table et les bras tendus.
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