Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 134 J'aime
  • 3 Commentaires

Les Robinson et la fontaine de jouvence

Chapitre 1

Le Naufrage

Inceste
An de grâce 1860, 6ème jour d’avril
Voici la première entrée de ce journal, je ne sais encore à qui il sera destiné et si quelqu’un même le lira un jour. Je ne sais non plus durant combien de temps je pourrai le tenir. Si une personne lit ce journal un jour, sachez qu’elle raconte l’histoire d’une famille de naufragés, la mienne, les Robinson de Berne.
Avant toute chose, il est de bon ton je crois, de me présenter, moi et ma famille.
Votre serviteur, David Robinson, né le 8 août 1818 à Berne en Suisse. J’exerce le métier de pasteur.Ma chère épouse Anna Robinson, née Muëller, le 5 mars 1821 à Berne. Elle exerce le métier d’institutrice.Mon fils aîné, Fritz Robinson, né le 13 juin 1842, même ville.Mon fils cadet, Ernst Robinson, né le 2 février 1846, même ville.Mon benjamin, Jacob Robinson, né le 2 février 1846, 3 minutes après son jumeau.
Nous avons embarqué du port de Marseille il y a de cela plusieurs mois en direction de l’Australie, fuyant la misère et la guerre qui ravagent notre vieille Europe depuis des siècles. Arrivés à Bali le mois dernier, nous y avons trouvé un petit navire pouvant nous amener dans la nouvelle colonie du Queensland où l’on nous a promis une paroisse pour moi et une école pour mon épouse.
Malheureusement au cours du voyage, notre navire a été pris en chasse par des pirates, très actifs dans la région. Le capitaine a cru bon, pour les semer, de se précipiter dans une tempête. Ma famille et moi sommes restés enfermés dans la cale, secoués dans tous les sens, j’ai cru que notre heure était venue et nous avons prié notre Seigneur miséricordieux pour qu’il nous vienne en aide.
Nous avons cru que nous étions perdus lorsque le navire a heurté des récifs, mais en sortant de la cale, nous avons pu constater que, bien qu’en mauvais état, le bateau ne coulait pas, il restait bloqué sur les rochers à seulement une centaine de mètres d’une plage déserte. L’équipage, lui, s’était envolé, il manquait la chaloupe de secours et ils avaient dû évacuer au cours de la tempête sans même nous prévenir.
Après cela, il a fallu attendre la marée basse pour enfin pouvoir poser nos pieds sur la terre ferme. Du bateau, nous avons pris tout ce dont nous pensions avoir besoin, des vivres, des fusils, de la poudre, des outils et un tonneau d’eau fraîche. Je crois que hélas, les autres réserves sont passées par-dessus bord. Dans la cabine du capitaine, j’ai aussi trouvé de nombreux journaux vierges et une bonne réserve d’encre, ce qui me permet d’écrire ces lignes, j’ai aussi pris tous les livres que j’y ai trouvés. Dans la cale, nous avons aussi trouvé de nombreuses poules apeurées, mais en parfaite santé, un coq, deux chèvres et enfin un bouc que nous avons eu bien du mal à faire sortir.
Durant ces quatre derniers jours, nous avons été bien occupés, ma famille et moi. Nous avons d’abord installé un petit camp au bord de la plage, une grande voile posée sur de grosses branches constitue pour le moment notre seul refuge. Ensuite nous avons encore fait plusieurs aller-retours vers le navire, car j’avais peur qu’il finisse par couler ou rejoindre le large. Nous avons à présent un bon stock de planches, un tonneau entier de clous, des cordes et des voiles de secours, plusieurs sacs de graines et une caisse entière de grosses bougies. J’espérais trouver plus de réserve d’eau ou même du rhum, mais il faudra nous contenter de ce que nous avons. Nous avons enfin démarré un grand brasier sur la plage avec du bois mort et des morceaux de l’épave. J’ai tenté de me montrer optimiste auprès de ma famille, en leur assurant qu’un navire de commerce passerait sûrement dans le coin d’ici peu, mais la région semble si sauvage, je n’ai pas encore remarqué de trace d’une occupation humaine.
Ce que je crains surtout, ce sont les pirates, pour cela, je garde toujours deux mousquets chargés au camp.
Ma famille est endormie à présent, se serrant les uns aux autres dans notre tente de fortune. Je prie notre Seigneur pour qu’il ne leur arrive rien.

Votre dévoué serviteur, David Robinson

An de grâce 1860, 9ème jour d’avril
Voici à présent sept jours que nous nous sommes échoués et je crains le pire. Depuis ce matin, ma chère épouse a de la fièvre, elle reste alitée sous la tente, mes fils veillant à tour de rôle sur elle. Je me sens bien impuissant. Je soupçonne que l’eau que nous consommons soit croupie. Nous n’avons que peu exploré les environs de notre camp, mais demain, j’enverrai les jumeaux chercher une source d’eau douce. Je prie notre Seigneur pour que ma femme se rétablisse au plus vite.

An de grâce 1860, 10ème jour d’avril
Loué soit notre Seigneur ! Ce matin, mon fils Jacob en explorant l’intérieur des terres a trouvé un large ruisseau, il a rempli une gourde entière d’une eau fraîche et cristalline. Nous avons immédiatement fait boire Anna et ce soir sa fièvre a baissé. Accompagné de Jacob, je suis allé voir la source, en la remontant, nous avons découvert une superbe cascade, à notre tour, nous avons étanché notre soif. Je n’avais jamais bu d’eau aussi délicieuse et revigorante. Lorsque Anna ira mieux, je pense que nous pourrions nous installer ici.

An de grâce 1860, 14ème jour d’avril
Il nous a fallu une bonne journée pour transférer toutes nos affaires et les bêtes jusqu’à l’emplacement de notre nouveau campement. Il est situé non loin de la cascade et en bordure d’une petite rivière qui nous assure de l’eau douce en permanence. Notre camp est adossé à un arbre immense sur lequel mes fils s’amusent à grimper, au grand désarroi de leur mère. Cette dernière va bien mieux, au-delà de mes espérances même, je crois qu’elle n’a jamais été aussi en forme, comme nous tous d’ailleurs, depuis que nous buvons à foison cette eau miraculeuse. Notre campement se situe à environ cinq cents mètres de la plage et du haut de l’arbre, nous pouvons distinguer la mer. Je ne sais combien de temps nous pourrons rester là avant qu’un navire ne nous repère, mais dans cette attente, ce lieu m’apparaît être idéal.

An de grâce 1860, 22ème jour d’avril
Ces derniers jours, nous avons consolidé notre camp de fortune, érigé un enclos pour les poules et les chèvres, et j’ai commencé à délimiter un parterre de terre plate et meuble afin d’y semer légumes et céréales. Mais aujourd’hui, mon aîné Fritz a eu une idée lumineuse en proposant que nous bâtissions une solide cabane au cœur du grand arbre. Ma chère Anna fut peu réceptive à cette idée, mais quand nos fils l’ont assurée qu’ainsi, elle ne risquerait plus de se réveiller avec un serpent dans sa robe, elle a tout de suite accepté. A dire vrai, nous n’avons pas croisé de telles créatures, la faune de ce territoire ne semble composée que de superbes perroquets multicolores et de grosses tortues marines qui dorent au soleil, sans s’inquiéter de notre présence.
Après le repas, alors que Fritz et moi étions allés alimenter le feu de détresse sur la plage, il traça dans le sable les plans de notre future maison. Je dois dire qu’il a de l’ambition et de la ressource, je suis fier de lui, je pense que dès demain, nous mettrons le chantier en place.

An de grâce 1860, 13ème jour de juin
Aujourd’hui, Fritz, mon aîné, a eu dix-huit ans. Nous nous sommes régalés d’un plat de poisson frais pour fêter cela. C’est devenu un solide gaillard, plus grand que son vieux père. Avec ses cheveux blonds comme les blés et ses yeux bleus, il ressemble beaucoup à sa mère.
Hormis cela, le chantier avance à grands pas, nous travaillons d’arrache-pied, mais de bon cœur, si tout se passe bien, je pense que nous pourrions finir avant la fin du mois.

An de grâce 1860, 30ème jour de juin
Depuis tout à l’heure, notre demeure est enfin finie et nous allons y passer notre première nuit ce soir. Au pied du grand arbre, nous avons installé notre cuisine, construit un fourneau en pierre ainsi que de grands placards pour ranger la vaisselle trouvée sur le bateau et les aliments, ceux que nous cultivons ou que nous glanons autour de notre nouveau territoire. Ernst a aussi construit un petit moulin à eau pour moudre les céréales et une conduite de bambou permet d’alimenter des bacs en eau fraîche et limpide. La cuisine est protégée de la pluie par un toit fait de planches, de bambous et de feuilles de palmier. Des voiles servent de tentures pour les murs et peuvent se baisser ou se lever selon la météo.
L’accès à la cabane se fait pour le moment par un escalier un peu raide, mais nous pensons construire une rampe en pente douce dans un second temps, car depuis que nous sommes sur l’île, nous n’avons aperçu aucun prédateur ni même de serpents ou d’araignées venimeuses. L’escalier mène à la partie centrale de la maison où un plancher a été posé entre les différentes ramifications de l’arbre. L’endroit est spacieux, ouvert sur l’extérieur et couvert d’un toit en paille. La pièce sera notre lieu de vie au quotidien, elle comprend une large table trouvée dans la cabine du capitaine et des fauteuils disposés autour pour prendre nos repas, une bibliothèque où sont rangés tous nos livres sauvés du naufrage, et un coin détente où sont accrochés des hamacs et où des voiles fourrées de paille nous servent d’assises moelleuses et confortables.
Deux escaliers partent de chaque côté de la pièce principale pour monter vers les chambres posées sur les branches les plus solides et épaisses de l’arbre. La chambre parentale est la plus basse et la plus spacieuse. Je l’ai rendue aussi confortable que possible, construisant un grand lit et installant même des rideaux aux fenêtres ainsi qu’un miroir pour mon épouse. La chambre des garçons est la plus haute et donne sur la mer, elle est plus sommairement aménagée pour l’instant, mais mes fils ont d’abord voulu privilégier le confort de leurs vieux parents.
Au sol, un peu éloigné de l’arbre, nous avons aussi construit deux cabanes d’aisance. Au-delà de permettre une certaine hygiène, elles nous assurent aussi de l’engrais pour nos champs. Grâce à mon aîné Fritz, ceux-ci se portent d’ailleurs à merveille. Le potager nous a donné récemment de superbes et juteuses tomates, il y a aussi des haricots, des petits pois ou encore des aubergines et des oignons à foison. Le poulailler s’est agrandi et accueille à présent une vingtaine de poules nous apportant chaque jour de délicieux œufs frais. Nos deux chèvres sont grosses et nous aurons bientôt du lait. Concernant aussi la nourriture, Ernst part chaque jour à la pêche, ramenant à chaque fois poissons, crabes ou coquillages.
Loué soit notre Seigneur, car nous ne manquons de rien et sommes en parfaite santé. Je commence à croire que notre naufrage est un signe de Dieu et que nous devons suivre son chemin.

An de grâce 1860, 8ème jour d’août
Ces derniers temps, nous avons un peu plus exploré les environs de notre camp. Depuis notre échouage, quatre mois plus tôt, nous ne savions toujours pas si nous étions sur une île ou une péninsule, ni même si ce territoire était habité. Avec mon fils Jacob, nous avons d’abord longé la plage sur des kilomètres au nord, sans jamais trouver de bifurcations, nous avons dû rebrousser chemin après être tombés sur une formation rocheuse s’élevant directement au niveau de la mer et bloquant toute progression. Fritz et Ernst ont fait la même chose au sud et ont constaté la même chose. Le lendemain, nous nous sommes aventurés dans la jungle en direction de l’est. Notre marche a été ralentie par le terrain accidenté et la nature luxuriante, mais nous avons fait dix bons kilomètres avant de nous retrouver face à une énorme chaîne de montagnes, s’élevant magnifiquement dans les airs. J’aurais cru revoir mes Alpes natales.
Tout laisse à penser que nous sommes dans une sorte d’enclave et que l’accès à notre vallée ne peut se faire que par la côte.
Nous ne savons toujours pas où nous nous sommes échoués, mais ce soir après le dîner, lors de notre séance quotidienne de lecture, j’ai lu quelques vers du Paradis perdu de John Milton et j’ai été frappé par la ressemblance entre ce que décrivait le poète et la beauté de ce lieu où nous vivons à présent. Un lieu de paix, de tranquillité, où nul mal ne semble pouvoir nous atteindre. Le paradis retrouvé en somme. Cela serait-il possible Seigneur ?

An de grâce 1860, 15ème jour d’août
En ce jour d’assomption, nous célébrons Marie, la mère de Jésus, notre sauveur.
Ce fut pour nous une journée de relâche. Nous sommes allés nous détendre à la cascade en famille. Pendant que nos fils s’amusaient à se baigner et éclaboussaient en riant, nous avons eu, mon épouse et moi, une discussion intéressante. Je lui vantais les bienfaits de notre vie ici, loin de la civilisation et de sa brutalité, une vie comme les premiers hommes, libres, humbles et heureux. Anna partageait mon avis, mais moins mon enthousiasme. Si la vie ici lui était aussi paisible qu’à moi, elle s’inquiétait pour nos enfants. Nous n’avions en effet trouvé nulle trace de présence humaine et il pourrait s’écouler des mois, voire des années, avant qu’un navire n’accoste ici. Sans jeunes femmes dans les environs, elle s’inquiétait pour l’avenir de nos fils et du fait qu’ils ne pourraient jamais fonder de famille ou du moins pas avant des années.
Je dois bien admettre que cela ne m’était pas venu à l’esprit et je me suis senti bien égoïste. Je suis pourtant toujours décidé à continuer le chemin sur lequel notre Seigneur nous a placés, j’ai bon espoir qu’il nous guidera dans sa sagesse et sa miséricorde pour donner à nos fils un avenir et un espoir.

An de grâce 1860, 24ème jour d’août
J’écris cette entrée à la faveur de ma bougie alors que mon épouse est endormie. Il est, je crois, important que je vous informe de ce qui s’est passé cette nuit, même si j’expose ainsi l’intimité de notre couple.
Ma tendre Anna et moi sommes mariés depuis vingt ans à présent. Lorsque je l’ai rencontrée, c’était une superbe jeune femme grande et blonde avec de magnifiques yeux bleus. Elle ne laissait pas indifférents les hommes du quartier, mais c’est moi, le petit homme timide aux cheveux roux qu’elle a choisi contre toute attente, un simple étudiant en théologie qui n’était même pas encore pasteur. Étant issue d’une famille pauvre, il ne fut pas difficile d’avoir sa main, je lui offrais une vie simple, mais stable et tranquille. C’était un mariage d’amour, du moins au début. Si nous avons eu rapidement trois garçons, nous avons aussi cherché à avoir d’autres enfants, car après tout, telle est la mission que le Seigneur soumet aux couples mariés. Après la naissance de nos jumeaux, Anna a fait hélas deux fausses couches, puis peu après, j’ai eu un problème d’ordre physique, pour faire court, une maladie mettant à mal ma virilité.
Avec le temps, la passion entre nous s’estompa et fut remplacée par une tendre affection et un respect mutuel.
Après vingt ans de mariage, ma Anna a gagné des hanches et de la poitrine. Je la trouve toujours aussi belle et désirable, mais je suis dans l’incapacité physique d’avoir des relations charnelles avec mon épouse depuis environ dix ans, enfin jusqu’à ce soir.
Cela s’est passé après le dîner et la lecture du soir, les garçons étaient allés se coucher dans leur chambre et Anna et moi avions rejoint la nôtre. Nous nous déshabillions pour enfiler nos vêtements du soir. J’admirai mon épouse, nue et me tournant le dos, sa croupe large et charnue d’une féminité resplendissante, elle me semblait encore plus belle depuis notre arrivée dans ce coin de paradis.
Elle se retourna, ses longs cheveux blonds tombant sur ses épaules et encadrant sa belle poitrine volumineuse. Elle me regarda en souriant puis ses yeux se baissèrent sur mon torse et elle eut une expression de surprise.
— Mon Dieu mon époux ! s’exclama-t-elle son doux visage s’empourprant comme une tomate.
Je baissai les yeux pour voir avec stupéfaction que mon sexe s’était allongé comme jamais depuis des années et se dressait fièrement à l’horizontale en direction de mon épouse. Je dus poser la main dessus pour constater que ce n’était pas une illusion et fus surpris par la dureté de ce que l’on appelle scientifiquement une érection.
— Dieu soit loué, c’est un miracle ! s’exclama ma femme.
Elle se jeta dans mes bras et déposa de tendres baisers sur tout mon visage. Nous avons ri de joie. Anna m’a ensuite installé sur le lit et s’est allongée près de moi, caressant mon membre viril, elle a rapidement provoqué ma décharge, sans doute à cause des années d’abstinence, je m’en suis senti tout honteux, mais nous avons rapidement remarqué que mon petit soldat s’était vite redressé.
— Faites-moi un autre enfant mon époux ! m’a demandé Anna.
Elle m’a ouvert ses cuisses, exposant sa touffe de poils blonds venant encadrer son bel abricot fendu. Exprimant un désir depuis longtemps inassouvi et presque oublié, j’ai possédé son con. Je me suis nourri de ses caresses, de ses cris de plaisir et l’ai investie comme jamais je ne l’avais fait jusqu’alors. Je me suis surpris à pouvoir décharger par quatre fois de suite ma semence dans son ventre que j’espère fertile.
— Qu’il est bon de vous sentir de nouveau en moi ! m’avoua Anna avant de s’endormir.
Oh Seigneur il ne me reste plus qu’à espérer que ma femme et moi n’avons pas péché de luxure !
Diffuse en direct !
Regarder son live