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Les sauvetages de Kevin

Chapitre 2

Anne-Sophie débarque

Hétéro
Après quelques jours, alors que je suis poussé dans mon fauteuil roulant par un brancardier, nous passons devant le tableau de service. J’ai juste le temps de voir mon numéro de chambre et un nom en face : "AS Thomas". Mince, je vais me taper un mec en aide-soignant. C’est bien ma veine. Moi qui espérais alimenter ma libido avec une jolie petite nouvelle. Bon au pire, je ne le subirai que quelques jours, une semaine au plus. Le rendez-vous duquel je sors était pour me signifier ma sortie prochaine de l’hôpital. Pas pour rentrer chez moi, mais pour aller en établissement de rééducation.
Et Bertille, vous me direz ? Elle a vraiment tout arrêté. Et puis de toute façon, elle est en congé pour quelques jours. J’aurais peut-être la chance de la revoir avant mon départ de son service. J’arrive à me branler moi-même depuis deux nuits, mais je n’ose pas éjaculer. J’ai peur de laisser des traces visibles sur moi ou les draps. Avec elle, j’aurais pu le faire, elle aurait compris. Avec les autres, j’aurais trop honte. Je me contente de petites branlettes légères tout en restant loin de l’extase afin d’éviter un accident malheureux.
Ça y est, on y est. Premier matin où c’est ce fameux Thomas qui sera là. Il va être accompagné d’une infirmière titulaire, je suppose. C’est qui en ce moment le matin ? Ah oui, c’est "Mamie". Je crois que c’est la plus vieille du service, je ne connais pas son nom alors je l’appelle comme ça. D’ailleurs, je l’entends parler dans le couloir :
— Bon, Thomas, on n’a pas toute la journée !
J’entends un chariot grincer et se rapprocher rapidement. "Mamie" entre dans ma chambre.
— Bonjour Kevin. Comment ça va ce matin ?— Bonjour, euh ça va. Ça va.
Mais je réponds dans le vague, je suis attiré par le stagiaire qui entre à sa suite. Il recule en tirant son chariot avec lui. De dos, il m’a l’air pas très grand, un peu rondouillard si j’en crois son fessier. Il repart avec son chariot, en fait, il le laisse dans le couloir et prend juste ce qu’il faut pour ma toilette. Ah ben non, ce n’est pas un stagiaire, mais une stagiaire. Du coup, son cul il est bien charnu, aussi gros que celui de Bertille, plus ferme comme quelqu’un qui fait du sport. Elle est de taille moyenne, des cheveux châtains longs ou mi-longs attachés en chignon comme ses collègues. Elle se tourne vers nous. Mais c’est qu’elle a un joli visage rond et des yeux bleus-gris à tomber. Et ses seins ! On dirait qu’ils vont faire exploser sa blouse. Gros seins, gros cul, mais tout a l’air ferme. Et comme je distingue ses bras sortant de ses manches courtes, je vois qu’ils sont musclés, pas du tout flasques.
Comme je mate la nouvelle, je réponds très vaguement à "Mamie". Je ne sais pas trop ce qu’elle me raconte. Et Thomas, ça doit être son nom de famille, je songe, est occupé à vérifier son matériel. Elle m’a à peine jeté un œil.
— Bon, allons-y pour la toilette. Allez, Thomas, à toi de jouer. Je te regarde pour l’instant. Décris ce que tu fais au fur et à mesure et pourquoi tu fais comme ça.
L’aide-soignante se lance alors à faire ma toilette. J’ai peur au début d’être un peu maltraité par manque de maîtrise de sa part, mais tout se passe très bien. "Mamie" s’en étonne aussi.
— C’est vraiment pas mal. Tu en as fait beaucoup avant ?— Dans mon stage précédent, j’étais en EPHAD, donc les toilettes, j’ai pratiqué. Et puis, j’ai dû m’occuper de personnes de ma famille aussi.— D’accord. Je vois. Continue. Attention, toutefois quand tu fais son visage, normalement sa cicatrice est bien fermée au niveau du crâne et du front, mais on ne sait jamais.
Thomas me passe le gant au visage avec beaucoup de douceur et d’attention. C’est presque mieux qu’avec Bertille.
— Ce n’est pas le seul malade à faire ma poulette. Alors on active.
Thomas continue son travail tout en décrivant ce qu’elle fait et pourquoi. Je la détaille toujours, je la trouve vraiment pas mal. Elle me regarde un peu plus attentivement aussi.
— Je lui plais un peu avec ma gueule de travers ? me dis-je.
C’est que la chute m’a laissé une belle entaille au front et sur la tempe. J’en ai une autre impressionnante à l’arrière de la tête, mais mes cheveux ont repoussé donc elle se voit beaucoup moins. Je suis content, Bertille était attirée par moi parce que je fantasmais sur elle plus que parce que je lui plaisais vraiment. Je me rassure en me disant que je pourrais encore plaire aux filles. "Mamie" me sort de mes pensées et me stresse un peu :
— Bon, il ne te reste plus que les parties du jeune homme.
Bordel, j’espère que je ne vais pas bander. Thomas, elle me plaît un peu, je serais bien capable de bander devant elle et devant "Mamie". Dans l’absolu, ça ne me déplait pas de confirmer le bon fonctionnement de Popaul avec une autre que Bertille. Mais c’est son premier jour, c’est un peu rude. Elle va me prendre pour un gros pervers. Et puis faire ça devant "Mamie", berk. La stagiaire n’a pas l’air d’avoir peur du loup, elle l’a peut-être déjà vu de près.
— Kevin, pense à autre chose, me dis-je.
Je cherche des choses désagréables : le travail, le lycée, etc. Ça marche pour l’instant, je dois rester concentré. Soudain, le bip de "Mamie" sonne et ça s’agite dans le couloir. Il doit y avoir un problème quelque part. Je pense que c’est le gars à une chambre de moi. Je l’ai aperçu passer en brancard hier devant ma porte, je ne l’ai pas trouvé en grande forme. En même temps, moto contre camion, il était sûr de perdre.
— Bon, Thomas, tu finis toute seule. Tu te débrouilles bien. Si t’as un doute, tu ne fais pas. Ce n’est pas grave.
Et "Mamie" s’éclipse rapidement pour rejoindre ses collègues. Cela a à peine perturbé mon aide-soignante qui reste concentrée sur ma queue et mes couilles. Elle est d’ailleurs toujours en train de commenter ses gestes. C’est un peu bizarre.
— Tu peux arrêter.
Mamie" est partie."
— Hein ? Oh. Pardon.
Mamie", hi hi hi."
Quel charmant rire ! Elle est ravissante.
— Merde, Kevin, pense à autre chose !
Je réfléchis et retourne dans mes souvenirs de collège. C’était une bonne période, mais dans la précipitation, je n’ai pas trouvé mieux. Je revois les potes, Sami, d’autres aussi. Certains profs, des filles de cette époque. Tiens, comme le boulotte Anne-Sophie qui avait les mêmes yeux bleus-gris. Et là, j’ai Mike Tyson qui me met un uppercut de dingue :
— Anne-Sophie ?— Oui ?— Du collège XXX ?— Euh oui j’y suis allé... On se connaît ?— Bah oui, Kevin Torreli.
Elle fronce les sourcils et me dévisage intensément. Puis ses yeux s’ouvrent en grand.
— Oh putain. Kevin. Je n’ai pas fait attention au nom, juste le numéro de ta chambre. Après, j’étais super stressée par ma tutrice. Et entre ta cicatrice, ton visage tout maigrichon et ta barbichette, ce n’était pas facile de te reconnaitre.— Moi aussi, j’ai eu du mal à te reconnaitre. T’as vachement perdu. C’est tes jolis yeux qui m’ont fait penser à toi.— Mes jolis yeux ? C’est gentil, mais à l’époque, tu faisais comme les autres, tu te moquais de mon poids.— J’étais un petit con, comme les autres. Je suis désolé.
C’est vrai qu’on a été très cons avec elle. En plus, quand elle avait quitté le collège, on avait appris que c’était à cause de son père qui était gravement malade. Ils s’étaient rapprochés du centre hospitalier pour traiter son cancer. Ça devait jouer sur son moral, elle compensait sans doute avec la bouffe.
— Au fait, comment va ton père ?— Ça va. Il s’en est sorti au final. Mais il y a eu de dures années à passer.— Et toi ? Ça a l’air d’aller. Et euh, t’es vachement mignonne.
Pourquoi je dis ça moi ? Et puis c’est quoi cette situation bizarre ? Anne-Sophie était en train de me laver la bite et on discute maintenant du passé. D’ailleurs, elle a toujours le gant, avec sa main dedans, posé sur mon sexe. Ça ne serait vraiment pas le moment de...
— Non couché ! Non, non ! ordonné-je à mon sexe.— C’est vrai, tu me trouves mignonne ? Ah oui, on dirait bien, hi hi hi.
Et merde... Mais elle ne s’offusque pas. Elle reprend son travail calmement. Mais celui qui ne reprend pas son calme c’est mon membre. Il continue de grossir sous la main de ma stagiaire.
— Eh bien, il y a au moins, un membre sur les cinq qui fonctionne bien.— Et encore, ça ne fait pas longtemps qu’il s’est réveillé.
Finalement, les gestes doux, mais dénués de toute connotation sexuelle d’Anne-Sophie finissent par avoir raison de mon érection. Du coup, je reviens un peu sur Terre et aux bruits du couloir, je crois que pour l’autre gars, c’est mal barré. Anne-Sophie range ses affaires et s’en va pour quitter ma chambre. Elle s’arrête sur le pas de la porte et se retourne vers moi :
— Tu sais, les autres, ça ne me faisait pas grand-chose ce qu’ils disaient sur moi. Mais toi, ça me touchait beaucoup.— Pourquoi ? Je n’étais pas le plus méchant.— Oui, mais j’étais folle de toi à l’époque.— Oh, euh. Désolé, vraiment. Excuse-moi, s’il te plaît.— C’est oublié. Et puis, le karma t’a un peu rattrapé. Alors on est quitte.
Anne-Sophie regarde dans le couloir, personne ne semble s’inquiéter de ce qu’elle fait. Elle revient vers moi et me dépose un baiser sur la joue.
— Merci de tes excuses et de tes compliments.— Ils sont vrais. Et merci de ton pardon.
Elle allait repartir, mais dans un réflexe qui me transperce le bras droit d’une douleur vive, je la retiens un instant pour lui déposer un baiser sur la joue. Puis comme elle veut se détacher, nos lèvres s’effleurent un bref instant. Mais cela m’électrise profondément. Anne-Sophie prend peur et s’enfuit dans le couloir. Je reste un long moment à digérer tout ce qu’il vient de se passer.
***

J’ai mis Sami sur le cul quand je lui ai dit qui était venu me faire ma toilette. Il est passé me voir dans l’après-midi pour me donner les résultats de son admission. Il est pris ce con, je n’y crois pas. Ça m’a un peu soufflé, mais c’est ma nouvelle qui a été la plus étonnante.
— C’est dingue ! Vous vous êtes reconnu alors qu’elle était en train de te laver le machin ?— Ouais, bon, tu n’es pas obligé de te focaliser sur ça.— OK. Du coup, tu me dis qu’elle est devenue assez bonasse ?— Oui, vraiment jolie. Bien fichue. Ce n’est pas un mannequin filiforme, hein. Elle est plus voluptueuse, plus sensuelle...— Dis, vu la description que tu m’en fais et tes yeux de merlan fris, je suis sûr que tu t’es mis à bander.— C’est clair. J’ai essayé de penser à autre chose, mais c’est parti tout seul.— Je croyais que tu t’inquiétais de ne plus pouvoir bander. T’aurais dû être content.— Oui, oui. Tu sais, je l’ai déjà fait devant une autre infirmière et ça m’a plutôt rassuré. D’une part, j’avais pas mieux à mettre sous les yeux et puis je ne la connaissais pas d’avant et je ne risquais pas de la voir après. Là, c’est différent avec elle. Et puis c’était son premier jour alors que l’autre, elle a plusieurs années d’expérience, ça a dû lui arriver de nombreuses fois. Après, Anne-Sophie a très bien géré la situation. Elle a un peu fait comme si de rien n’était, à peine une petite remarque.
Sami fronce des sourcils et me regarde intensément. Il y a un problème ?
— Ah ben, bravo. On a un petit crush pour la miss Anne-Sophie ?— T’es con. Elle est juste bien foutue et elle est gentille.
Et, je m’arrête là, car je sens que je pourrais déverser un flot ininterrompu de compliments. Il a raison : je suis sous le charme. Mais je me renferme un peu sur moi-même, alors Sami me parle d’autre chose.
— Au fait, j’ai croisé une super nana pendant mon entretien. Elle était venue comme moi pour son audition d’admission. J’espère qu’elle va être prise et que je vais la revoir. Je n’ai pas pu lui parler, mais les regards qu’on s’est échangés me laissent penser qu’elle a aussi un peu flashé sur moi.— J’espère pour toi. Mais t’es mal barré. Tu ne sais pas comment elle s’appelle, tu es pas sûr de la revoir.— J’essaye de pas perdre espoir alors là tu aides pas du tout.— Pardon. Et elle ressemble à quoi ?— Elle est parfaite.— OK... Et pour être plus précis ?— Elle est blonde, des yeux marrons clairs incroyables, on dirait de l’ambre. Et elle a un sourire d’ange.— Et le reste ?— Euh...— Tu t’es tellement focalisé sur son visage que tu en as oublié le reste ? La vache !— Oui bon, pas de commentaires déplacés.
Nous rigolons un peu de nos situations puis Sami me quitte.
***

Anne-Sophie repasse me voir dans la journée, juste avant de quitter son service.
— Kevin. Je suis venu te demander si tu souhaitais que je ne revienne pas m’occuper de toi. Comme on se connaît bien, ça pourrait être gênant pour toi.
Elle me prend de court, je n’avais pas pensé que je pouvais demander ça. Ça fait quelques années qu’on ne s’était plus vu et avec son uniforme, je la vois surtout comme une aide-soignante ou une infirmière comme une autre.
— Non, non, pas de soucis pour moi. Je suis à l’aise avec toi.
Elle est rassurée on dirait. Je crois bon d’en rajouter un peu.
— Et si tu es à l’aise aussi, je ne vois pas pourquoi on arrêterait là. Et puis je ne veux pas me passer de la plus sexy de mes infirmières.
Mais. Quel. Con. Je vous jure, quel boulet. On n’a pas idée d’être aussi con. Anne-Sophie devient toute rouge en une seconde. Elle baisse la tête et n’ose plus me regarder. Il faut que je rattrape ma connerie.
— Non, désolé. Ce n’est pas ce que je voulais. Tu n’es pas sexy.
Elle redresse brusquement la tête. Elle est toute blanche maintenant. Et un air un peu triste se dessine sur son joli visage. En même temps, je viens presque de lui dire qu’elle est moche.
— Si, si, tu es très jolie. Sexy, je trouvais ça un peu vulgaire.
Ma stagiaire ne sait plus comment elle doit prendre mes explications. Je la comprends : je me comprends à peine.
— Euh, tu as un très joli visage, de belles formes. De très belles hanches et une belle poitrine. Euh, enfin j’imagine.— Tu imagines ou tu t’es déjà bien rincé l’œil ?
Son visage est neutre, ni amusé, ni triste, ni en colère. Je ne sais pas quoi lui répondre du coup. Je mens, je dis la vérité. J’opte pour une vérité soft.
— Je t’ai un peu détaillée ce matin. Surtout avant de voir que c’était toi, c’est quand j’ai essayé de penser à autre chose que les souvenirs du collège m’ont permis de te reconnaitre.— Pourquoi tu voulais penser à autre chose ?— Pour éviter de bander...
Ta gueule Kevin ! Elle n’est pas choquée, elle est amusée, même un peu ravie.
— C’est vrai ? Alors tu me trouves mignonne ?— Oui, plus que ça.
Elle rougit de nouveau.
— T’es gentil en fait.— Je suis désolé si je t’ai fait de la peine.— Non, tu t’es pris les pieds dans le tapis, c’est tout.— Non, je veux dire avant. Surtout si tu avais le béguin pour moi. Ça a dû te blesser profondément.— C’est vrai. C’est du passé, je l’ai digéré depuis.
Anne-Sophie fait une pause. Puis elle marmonne sans que je comprenne ce qu’elle me dit.
— Pardon ?— Euh, je, j’ai toujours le béguin pour toi.— Ah, euh.— Alors tu es sûr que tu veux que je continue ?— Oui. Ça me fera plaisir.— Du coup, tu pourras t’éviter de penser à autre chose quand je te ferai ta toilette.
Hein ? Elle m’autorise à la mater et à bander ? Non, je débloque grave.
— Euh, d’accord. Mais tu sais, elle se réveille depuis peu alors ce n’est pas dit que même si je le veux, elle se mette au garde à vous devant toi.
Pourquoi je n’ai pas utilisé le conditionnel, moi ? Débile. Elle pouffe et va pour partir. Mais soudainement, elle attrape le bas de sa blouse et le soulève bien haut. Elle me dévoile son opulente poitrine que contient difficilement un soutien-gorge rouge et blanc. Elle a la taille vraiment plus marquée que Bertille et le ventre presque plat.
— Ça l’aidera peut-être à retrouver la forme !
Anne-Sophie rabat son haut et quitte ma chambre, me laissant KO. Le reste de la soirée, je ne fais que penser à ce qu’elle m’a montré. Quelle fille ! Quelle audace ! Quels nichons !Pendant la nuit, je commence mon rêve habituel. Mais cette fois, Bertille est remplacée, en partie, par Anne-Sophie. La tête et la taille de la poitrine sont celles d’Anne-Sophie. Le reste est toujours à Bertille. Cette fois, je fais faire à Anne-Sophie une fellation d’enfer. Sa bouche est chaude et humide. Elle joue parfaitement de sa langue et de ses lèvres pour faire monter mon plaisir. Elle n’oublie pas mes bourses et les stimule d’une main. Elle descend parfois les suçoter avant de remonter s’occuper de ma tige. Ses seins énormes m’obsèdent et alors que sa pipe me parait géniale, je lui demande de venir me finir avec ses deux gigantesques mamelles. Elle obtempère et me dévoile ses seins. Mais ceux-ci n’ont pas de mamelons, c’est un peu bizarre. Anne-Sophie enserre ma queue entre ses seins. Ils sont souples et doux. Elle fait coulisser ma bite entre eux. La sensation est divine, je ne tarde pas à tartiner ses seins d’une bonne quantité de foutre.
Anne-Sophie se l’étale avec un air coquin et pervers, juste ce qu’il faut pour être excitant sans être vulgaire.Au matin, je me réveille avec une belle trique, pas encore tout à fait ce que j’avais avant, mais ça revient doucement. Je me demande si je dois remercier Anne-Sophie ou si je dois éviter le sujet. J’ai peur de passer pour un obsédé. En même temps, c’est elle qui m’a montré son soutien-gorge. Bon, je ne sais pas, il faut que j’y réfléchisse. Je n’ai pas le temps de le faire. Anne-Sophie et "Mamie" débarquent dans ma chambre. Mince, je n’ai pas eu le temps de débander. Mais quelqu’un interpelle "Mamie" depuis le couloir. Elle ressort en demandant à sa stagiaire de préparer le patient, c’est-à-dire moi. Anne-Sophie s’affaire et découvre rapidement mon réveil triomphant comme disait Victor Hugo. Elle esquisse un petit sourire et me taquine :
— Alors, on est en forme ce matin ? Je me demande à quoi c’est dû.
Elle pouffe toute seule, elle est fière d’elle. De sa petite moquerie ou d’avoir obtenu l’effet escompté ? Je n’aurais rien dit si elle avait fait semblant de rien, là il faut que je réponde.
— C’est ce que tu cherchais à obtenir, non ? Mais ce n’est qu’en partie avec ce que tu as montré hier.— En partie ?— Je n’ai pas tout vu de tes seins. J’ai rêvé de toi et tu m’as fait une branlette espagnole. Mais il me manquait tes mamelons. Je les ai remplacés par ceux d’une autre et le bas de ton corps aussi.
Elle se renfrogne. J’ai piqué sa jalousie ? Elle me considère déjà comme tout à elle ? Elle tourne la tête et vérifie où en est "Mamie". Puis elle se tourne vers moi et me lance :
— Ça ne me plaît pas trop que tu penses à d’autres que moi.
Oui, elle croit que je lui appartiens. Je pourrais trouver ça bizarre ou inquiétant, mais ça me plaît bien. D’ailleurs, j’espère bien qu’elle est célibataire et que ses rêves sont désormais uniquement remplis de mon image. Elle revérifie la porte de ma chambre puis soulève sa blouse au-dessus de sa poitrine. Aujourd’hui, son sous-vêtement semble être une brassière de sport. Elle l’attrape aussi et la passe par-dessus ses seins. Cette fois, en plein jour, je peux profiter à fond de sa poitrine. De toute sa poitrine. Sa peau garde un tain légèrement halé. Ses tétons sont bruns, mais moins sombres que ceux de Bertille. Je voudrais les croquer. Je tends la bouche vers ce trésor, mais du bruit la fait sursauter et elle se couvre la poitrine. Il était temps, "Mamie" est de retour. La vue de ces deux merveilles n’arrange pas mon érection. Au contraire, je crois qu’elle est au maximum de ce que je peux faire en ce moment.
— Bien, allons-y mon petit Kevin. Ah, je vois qu’on retrouve une certaine vigueur. Mais il va falloir me ranger ton petit asticot pour qu’on puisse travailler. Dans ces cas-là, tu attends que le monsieur se calme tout seul, dit-elle à sa stagiaire.
La voix de "Mamie" est cassante à mon égard. Et le regard de dédain qu’elle pose sur moi me permet de vite débander. Elles entament alors toutes les deux ma toilette, pour aller plus vite, chacune son côté. Inutile de vous dire que le côté le plus agréable est celui dont s’occupe ma copine Anne-Sophie. Et c’est "Mamie" qui finit par s’occuper de mon attirail qui reste bien mou pendant tout ce temps. Elles repartent assez vite pour passer au patient suivant. Au fait, l’autre gars a repris des couleurs, les médecins ne sont pas trop optimistes quand même. C’est vers lui que les deux femmes s’en vont.
Dans la matinée, un médecin et une infirmière me font faire quelques pas dans la chambre tout en me soutenant. J’arrive à m’appuyer sur la jambe droite, mais pas la gauche. Ah si, un peu. Mais je n’ai pas la force pour me tenir debout. Et j’ai l’impression d’être bourré. Je n’ai plus d’équilibre non plus. Ils doivent me dire dans quel sens me pencher pour me rétablir. Ces exercices seront renouvelés tous les jours jusqu’à mon départ. Et je vais pouvoir prendre une douche, assis sur un siège adapté, celui fixé au mur. Une douche ! J’en rêve, de ça aussi, depuis des jours ! Mais ça veut dire que plus personne ne me fera ma toilette. Ni Bertille, ni Anne-Sophie.
Plus tard, je sonne une infirmière, j’ai besoin de pisser. C’est "Mamie" et Anne-Sophie qui arrivent. La vieille montre à la jeune comment placer le machin pour que j’urine dedans. Elles se les passent plusieurs fois, mais il va falloir qu’elles arrêtent ce manège, je ne vais pas me retenir bien longtemps. Finalement, je peux me vider la vessie alors qu’Anne-Sophie tient le pistolet. Le bip de "Mamie" sonne, elle râle et sort en demandant à Anne-Sophie de finir : vider le contenu, rincer le pistolet et me nettoyer d’un coup de lingette. Elle dit ça tout en partant, du coup Anne-Sophie la suit du regard. Le pistolet se met à bouger, moi je ne peux plus m’arrêter. On part à la catastrophe !
— Attention ! crié-je.
Anne-Sophie s’aperçoit du danger. Elle replace le pistolet, mais ma queue est mal mise. Elle risque de sortir du truc. Ma stagiaire la positionne correctement.
— On a eu chaud, souffle-t-elle.— Oui, j’ai presque fini.— D’accord.
Elle n’a pas retiré sa main de mon membre. Quand j’ai terminé, ma bite commence inexorablement à bander à cause de ce contact. Comme mon aide-soignante n’a pas vu tout de suite que j’avais fini, elle est restée comme ça un peu plus longtemps. Finalement, elle se rend compte que j’ai terminé. Elle retire le pistolet et découvre ma queue à moitié gonflée. Elle ne dit rien et part dans la salle de bain de ma chambre. Je l’entends vider et rincer l’ustensile. Elle revient et me nettoie rapidement la bite. Moi ça me fait durcir un peu plus, mais elle ne relève pas. Il y a un problème ?
— Voilà. C’est fini. Besoin d’autre chose ?— Non, ça ira. Merci.
Anne-Sophie vérifie deux ou trois trucs dans ma chambre. J’en profite pour la questionner.
— Il y a un ennui ?— Non.— Euh, j’aurais pensé que voir mon sexe tendu sous tes doigts t’aurait fait réagir, comme ce matin, comme hier.— Kevin. Je suis en stage ici. Je joue mon avenir pro.
Mamie" m’a dit que je devais rester plus pro, surtout avec toi."
Je m’inquiète. A-t-elle des doutes quant à ce qu’on a pu faire ? Anne-Sophie voit mon expression soucieuse et me répond :
— Non, ça, elle ne s’en doute pas. Tu me plais, je suis folle de toi. Je l’ai toujours été.— Tu me plais aussi. On va faire attention. Je ne veux pas te causer d’ennuis. Tu as toujours été folle de moi. Même quand tu as quitté le collège ?
Elle acquiesce silencieusement.
— Tu rêvais de moi alors ? Tu rêves encore de moi ?— Oui.— On rêve tous les deux de l’autre. Mais tu as un avantage sur moi.— Lequel ?— Tu sais complètement à quoi je ressemble.— C’est vrai. Et je ne suis pas déçue, me dit-elle me faisant un clin d’œil.
Mon orgueil de mâle est rassuré.
— Ça serait bien de rétablir l’équilibre entre nous.— Mmmm, non. Après ce que tu m’as fait subir au collège, j’ai envie de me garder un petit avantage sur toi.
Elle part et me laisse en plan. La salope, elle joue avec moi. Elle me fait rager et je suis frustré comme ce n’est pas possible. Je passe une journée assez désagréable. Anne-Sophie repasse deux fois dans la chambre, mais à chaque fois avec "Mamie". Il n’y a pas moyen de lui parler. Je vois bien que cette situation la fait jubiler. Surtout qu’elle n’a aucun geste un peu attentionné envers moi. Ça satisfait "Mamie", mais ça me désole. Vivement que Bertille revienne. Au moins avec elle, j’aurais un peu d’attention. Même si j’ai plus l’impression d’être un sex-toy qu’autre chose.Finalement, j’ai la bonne surprise de revoir ma jolie aide-soignante venir me souhaiter une bonne soirée avant de quitter son service.
— A demain Kevin.— A demain Anne-Sophie. Dis, tu me feras mariner longtemps comme ça ?— J’ai vu que tu étais assez frustré aujourd’hui.— Et pas qu’un peu.— Oui, hi hi hi.
Elle s’approche langoureusement de moi.
— Comme je suis fondamentalement gentille. J’ai décidé de te donner quelque chose.
D’un coup, elle me montre sa poitrine et me dit :
— Tu voulais goûter, alors vas-y.
Je ne me fais pas prier. Je plonge le visage entre ses seins opulents. Je me frotte, je lèche, je tète cette offrande mammaire. Je suis au paradis des nichons. J’entends Anne-Sophie gémir légèrement. Si c’est effectivement pour me faire plaisir, elle en tire aussi une certaine satisfaction. Mais tout cela n’est que de courte durée. Elle se retire et se rhabille. Elle s’enfuit presque de ma chambre.
Dans la nuit, je revis mon rêve de la veille. Cette fois, je peux profiter à fond des seins de ma stagiaire. Comme je l’ai fait plus tôt, je les goûte, les tète, les lèche avidement. Anne-Sophie, son avatar à moitié Bertille en bas et à moitié elle en haut, n’est pas en reste. Elle me plaque le visage contre sa poitrine, elle gémit, supplie que j’y aille plus fort. Je m’aventure à lui mordiller un téton, elle défaille d’un plaisir incontrôlé. Elle m’abandonne pour reprendre la même pipe que la veille. Sa bouche est toujours aussi douce et agréable. Sa langue virevolte autour de mon membre. Je lui indique que je vais bientôt tout lâcher. Elle accélère alors sa fellation. Je déverse tout dans sa bouche. Pas une goutte ne tombe sur moi. Je suis tétanisé par mon orgasme. Quand plus rien ne sort, elle se redresse et ouvre la bouche. Je peux voir tout le sperme que j’ai évacué. Elle le laisse s’écouler sur ses seins et se l’étale comme la dernière fois.
Cette scène est d’une incroyable obscénité pour moi. Je me réveille en sursaut. Je suis tremblant et trempé de sueur. Je mets quelques instants à retrouver mes esprits. Je me recouche et me rendors rapidement.
Le lendemain, je suis réveillé par l’arrivée de "Mamie" et d’Anne-Sophie.
— Et bien mon petit Kevin. Que s’est-il passé ? Tes draps sont trempés.
Je mets un moment à réaliser qu’elle dit vrai. J’ai l’impression de sortir du bain sans m’être séché. C’est désagréable de se sentir poisseux et moite. D’un coup, mon cœur rate au moins trois battements. Je suis poisseux, mais surtout au niveau du bas-ventre. Je sens clairement que mon rêve m’a fait jouir cette nuit. Elles vont voir ça toutes les deux. Je suis en panique totale ! Je ne sais pas quoi faire ! Anne-Sophie doit s’apercevoir de mon attitude bizarre. Mes yeux la fixent puis fixent mon pubis plusieurs fois. Après un instant de flou, son regard s’éclaire. Elle a compris ! "Mamie" en est encore à parler dans le vide de la charge de travail supplémentaire, du manque de moyen, etc. Bref vous voyez le genre. Anne-Sophie réagit vite et se propose pour réaliser l’aide à la toilette sous la douche :
— Je peux le faire s’il te plaît ?— Oui, on va le faire toutes les deux. Il faut l’aider à marcher jusque dans la salle de bain.— Oh, une seule, ça devrait aller. Je me sens en pleine forme ce matin.— Tu ne présumes pas trop de tes forces mon bonhomme ?
Elle m’énerve à m’infantiliser.
— Non, non.— Ecoute. Pars chercher de nouveaux draps pour le patient. On essaye, si je vois que c’est un peu juste, je le rassois dans son lit et on t’attend.— Mmmh, non. Je ne suis pas sûre.— Oh, ça va aller, tenté-je de la rassurer. Et vraiment, si j’ai le moindre doute, je me rassois.
Après encore deux, trois palabres, "Mamie" finit par craquer. Elle part prendre de nouveaux draps. Une fois qu’elle est sortie, nous nous dépêchons avec Anne-Sophie.
— Vite, lève-toi !
Je me mets assis puis je mets mes jambes dans le vide. Anne-Sophie m’attrape les avant-bras et me fait glisser au sol. Je m’appuie surtout sur la jambe droite. J’ai une douleur qui me déchire la cuisse, mais je serre les dents et je finis de me redresser complètement. Là, Anne-Sophie peut voir dans quel état j’ai mis ma blouse de patient, et moi aussi d’ailleurs. J’ai une tâche énorme sur le devant, ça a aussi coulé le long de mes cuisses.
— Ben, dis donc... C’est quoi ce chantier ?— On en parlera plus tard si tu veux. Mais avançons, je n’ai pas envie qu’elle me voit comme cela.
Nous tanguons dangereusement, mais approchons de la salle de bain. J’entends la voix de "Mamie" qui approche. Nous accélérons le pas, Anne-Sophie s’est glissée sous mon bras et me porte à moitié. Elle est assez forte, j’en suis étonné. Mais pas le temps de tergiverser, nous y sommes presque. Ça y est ! La salle de bain, encore 2m et je serai assis sur le siège. Anne-Sophie me jette presque sur celui-ci. Mais elle perd l’équilibre et se retrouve à genoux entre mes jambes, le nez à quelques centimètres de ma queue. Celle-ci considère que c’est le moment de présenter les honneurs à la demoiselle. Elle ne perd pas son sang-froid et m’arrache à moitié ma blouse. Ça pue le sperme à plein nez. J’ouvre grand la douche.
— Putain c’est froid !
L’eau se tiédit vite. Je suis bien mieux. Ma stagiaire est un peu mouillée, mais ça va. Elle roule en boule ma blouse quand "Mamie" entre.
— Ça va ? Pas de soucis pour se déplacer ?— Non, non. Il a tangué un peu, mais ça allait.— Oui, oui. Tout va bien.— Bon, Anne-Sophie, va changer les draps, je vais surveiller notre petit baigneur.
Ma copine d’enfance part rapidement. Je crois la voir porter ma blouse à son visage pour en humer le parfum. Je devrai lui en toucher deux mots. Pour l’instant, je savoure ma première douche depuis des semaines. Le reste de la journée se passe sans autre fait particulier.En fin d’après-midi, Anne-Sophie passe me dire au revoir. J’en profite pour la cueillir par surprise.
— Alors, je sens bon ?— De quoi tu parles ?— Je t’ai vu sentir ma blouse en sortant de la salle de bain.
Elle rougit pire qu’une tomate.
— Alors ?— Euh, oui, non. Je n’ai pas... Euh, oui, c’est vrai je t’ai senti. J’ai même essayé de goûter si tu veux savoir. Mais ça avait trop séché sur ta blouse.— Alors je sens bon au moins ?— Oui. Plus que les autres bites que j’ai eues entre les mains ou les lèvres.
Elle a retrouvé tout son aplomb et me toise fièrement. Elle n’est pas une pucelle effarouchée et tient à me le faire savoir.
— Si jamais tu veux goûter à la source, ma bite est là, dis-je en soulevant le drap.
D’ailleurs, notre conversation a réveillé la bête. J’ai un petit chapiteau au niveau du pubis. Je tire sur ma blouse et découvre mon sexe qui se tend à vue d’œil.
— Toi qui as toujours été folle de moi, tu as dû rêver de nombreuse fois de l’avoir en bouche et ailleurs.— Oui, souffle-t-elle pour elle-même.
Elle se mord la lèvre et me regarde. Je la défie pour la remettre à sa place. Avec ses airs de nana qui en a vu d’autres, je veux montrer que ce n’est que du flan.
— Allez, viens la téter, la sucer, la lécher.
Ça devrait l’achever et la faire partir en courant.
— Pourquoi pas, après tout.
Moto-camion" fait encore des siennes. Tout le monde est sur le pont."
Merde, elle n’a vraiment pas froid aux yeux. Anne-Sophie se place près de mon lit et se penche sur ma queue. Elle m’enfourne dans sa bouche et entame une superbe fellation ; mais un peu rapide à mon goût. Et puis tout cela est très risqué, on n’a pas le temps pour les fioritures. En plus, elle s’aide de ses mains. L’une me malaxe les couilles tandis que l’autre accompagne sa bouche avec un mouvement de masturbation. Je tends la main, je veux la toucher. Je caresse son cul. Il est ferme, c’est sûr, elle doit faire pas mal de sport. Elle apprécie mon attention. Tout ça me fait arriver à toutes jambes vers mon orgasme.
— Je viens. Anne-So.— Vite, j’attends.
OK, j’ai son autorisation pour tout lâcher. Je ne me fais pas prier. J’expulse un puissant premier jet qui la surprend. Les suivants sont plus modérés et elle les contrôle sans trop de mal. Elle me pompe jusqu’à la dernière goutte et laisse un membre luisant de salive, mais tout propre. La salope me montre sa récolte avant de l’avaler. Je suis fou.
— Alors ? J’ai bon goût ?— Pas mal. Tiens, je t’en donne un aperçu.
Avant que je ne réagisse, elle me roule une pelle bien baveuse. J’ai le goût de ma propre semence en bouche. Elle a le contrôle des évènements. Un complet contrôle. Nos lèvres se séparent, elle rigole en voyant ma tête. Puis elle s’en va en me disant à demain.Je suis sous le choc. Elle m’a entièrement dominé aujourd’hui. Je ne déteste pas parce que c’est elle. Et puis, je pense qu’elle le fait aussi par vengeance envers ce qui s’est passé au collège. Demain, il faut que je rétablisse les choses. Moi le mâle, elle la femelle. Ça fait peut-être macho, mais je veux voir si elle est aussi prête à se laisser mener par moi.
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