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Les sauvetages de Kevin

Chapitre 8

Guérison

Hétéro
Alors que nous nous dirigeons vers ce bar d’ambiance, Sami et Kinga marchent quelques pas devant nous. Ils discutent entre eux, nous en faisons de même avec Anne-Sophie.
— Dis-moi, Anne, j’étais très étonné...— Pour la culotte ? chuchote-t-elle. Je suis désolée.— Je n’ai pas dit que j’étais déçu. Juste surpris. Plutôt en bien. Enfin, j’ai l’impression que c’est plus la fille de l’hôpital, celle avant ta maladie, qui est de sortie ce soir.— Je ne sais pas. Je me suis laissée emporter par le côté fofolle de Kinga.— Mais comment lui est venue cette idée, aussi ?— Euh, je, elle m’a demandé comment ça allait entre nous. Je lui ai raconté qu’on s’aimait profondément...— Mais qu’on a quelques difficultés... J’ai eu la même conversation avec Sami. Il était surpris de ça.— Oui, alors elle m’a demandé si c’était habituel chez moi. Non, bien sûr, mais dans ma tête, je suis toujours avec un corps qui ne me plaît pas. Elle a passé un moment à me complimenter sur mon physique. Elle aimerait avoir un peu de mes seins et de mes fesses. Elle trouve qu’elle est trop plate de partout.— Sami, et moi, et la plupart des hommes qui la croisent, la trouvent attirante...— Dis donc...— Je te préfère toi. Et puis toi aussi tu as attiré les regards. Y compris celui de Sami, qui pourtant préfère les filles comme Kinga justement.— Kini m’a dit qu’ils avaient démarré doucement leur relation. Mais qu’ils avaient eu un coup d’accélérateur grâce à toi. Enfin, grâce aux photos qu’ils ont faites pour toi. Ils n’auraient jamais osé se parler de ces fantasmes sans ça. Depuis, ils sont plus libres et n’hésitent plus à se dire ce dont ils ont envie. Du coup, elle m’a reparlé de ce qu’ils ont fait plus tôt dans la journée. J’ai été très troublée de l’entendre décrire ses.— Oh, eh, bien, une partie de l’histoire était vraie, quand même.— Ne t’emballe pas, hein. Après, je ne sais pas trop. Est-ce elle qui m’a enlevé mon string ou moi qu’il ait fait, mystère. Mais une fois fait, je me sentais assez bien. Je n’aurais pas osé le faire avec une robe aussi courte que la sienne. Avec celle que tu m’as choisie, ça va. Elle descend assez bas pour ne pas risquer d’accident.— Tu avais un string ?— Euh, oui. Je voulais te faire plaisir et me faire plaisir aussi.— Oh, tu pourras toujours le remettre tout à l’heure. Je ne serais pas contre l’enlever moi-même.— Peut-être, me glisse-t-elle malicieusement.
Nous arrivons devant le bar, il a l’air sympa. Nous nous trouvons des places et profitons de la musique. Il n’y a pas de groupe ce soir, mais les morceaux qui passent sont pas mal. Kinga veut aller danser, elle tire Sami avec elle.
— Vous venez ? nous demande-t-elle.
Je vois que ma copine voudrait bien y aller. Je ne suis pas chaud, j’ai peur de me fatiguer et de le payer ensuite. En même temps, je la vois qui trépigne d’envie.
— Tu veux aller danser ?— Mais, et ta jambe ?— Si je sens que je fatigue, je reviens m’asseoir.— Euh, d’accord.
Elle fait semblant d’hésiter pour moi, mais elle est toute contente de pouvoir se défouler. Nous rejoignons nos amis sur la piste. C’est chaud entre eux. Ils sont collés l’un à l’autre, Sami a posé ses mains sur le petit cul de Kinga. Je vois qu’il fait pas mal d’envieux. Nous commençons à danser sagement avec Anne-Sophie. Et puis, je me dis que je pourrais moi aussi me coller un peu plus contre elle. C’est ce que je fais en posant mes mains dans le creux de ses reins. Anne-Sophie apprécie mon initiative. Elle se serre bien contre moi, écrasant sa poitrine contre la mienne. Je m’enhardis et descends mes mains sur ses fesses.
— Dis donc, tu es bien coquin.— Sûrement parce que je sais ce qu’il n’y a pas là-dessous.— Ou alors c’est Sam et Kini qui te montrent le bon exemple.— Ils nous le montrent à tous les deux. Mais on n’aura plus besoin d’eux quand on sera chez toi. J’espère.— N’y pensons pas pour l’instant. Amusons-nous.
Nous reprenons notre collé-serré. Mais nous sommes bien sages à côté des autres. Kinga a glissé sa main entre eux et masse Sami. Lui s’amuse à remonter sa robe à la limite de ses fesses. Je vois quelques gars sur les banquettes se pencher pour essayer d’en voir plus. Mais mon pote sait très bien où s’arrêter.
— Ce n’est pas moi qu’ils materaient, se plaint-elle.— Bien sûr qu’ils le feraient...
Et si je faisais pareil avec ma copine ? Je tente de remonter sa robe, mais elle m’arrête tout de suite.
— Non, tu es fou.— OK, pardon. Je voulais te prouver que tu peux attirer les regards.— Pas mes fesses, on pourrait voir ma...
Elle ne semble pas complètement fermée à se montrer un peu, mais là, c’est un peu trop pour elle.
— Mais tu as d’autres atouts, dis-je en passant ma main sur son décolleté.— Tu ne vas pas me sortir les nichons en public.— Non, juste faire sauter un ou deux boutons.
Elle baisse les yeux vers sa poitrine. Puis elle regarde le couple se lâcher à côté de nous.
— Juste un.
Je m’empresse de défaire ce premier bouton. On devine le début de la dentelle rouge de son soutien-gorge. Nous nous déhanchons plus. Je la fais tourner sur elle-même. Quelques regards s’accrochent à ce que nous venons de dévoiler.
— Ah tu vois.— Oui, mais ils ne sont pas nombreux, dit-elle.
Elle est déçue ?
— Kini attire toujours plus les regards que moi.
Oui, elle est déçue. C’est qu’elle entrerait presque en compétition avec la blonde. Elle en déboutonne un deuxième. On voit maintenant assez clairement son soutien-gorge dépasser. Elle se remet à danser, se trémoussant activement. Je m’empresse de l’accompagner. Je suis fier de rendre envieux les nombreux mecs qui la matent. Sami et Kinga nous ont vu faire. Mais ils ne rentrent pas en compétition avec nous. Ils en restent où ils en étaient. Ce qui était déjà à la limite de la décence.
Finalement, toute l’assistance masculine, qui ne risque pas de se prendre une baffe, scrute nos copines. Je m’étonne d’un coup que cela fait un moment que je suis là. Je n’ai aucune douleur dans les jambes. Néanmoins, j’ai envie de boire un coup. Sami aussi souhaite commander à boire. Nous proposons aux filles de revenir nous asseoir, mais elles veulent continuer. Elles se mettent à danser entre elles. Nous passons au bar et prenons un pichet de sangria. En revenant nous poser, nous voyons nos copines collées l’une à l’autre et se déhanchant sur la piste. Plusieurs gars se sont rapprochés d’elles. Pour l’instant, aucun n’ose les toucher. Et ils n’ont pas intérêt. Les filles nous font signe, nous lancent des baisers, nous invitent à revenir. Ça permet de rappeler aux mecs qu’elles ne sont pas seules. Nous leur répondons en levant nos verres, elles comprennent que nous avons de quoi les désaltérer. Elles se joignent à nous, une partie de la piste se vide avec leur départ.
Elles vident d’un trait leurs verres et repartent aussi vite, main dans la main.Avec Sami, nous parlons un bon moment tout en admirant nos chéries. En constatant l’effet qu’elles produisent sur les mâles autour d’elles, nous nous disons que nous sommes assez chanceux. Mais il faut rester attentif à ce que les blaireaux ne viennent pas emmerder nos copines. Je vois que ma chérie se sent bien. Elle se lâche suivant l’exemple de Kinga, elle sait bien jouer de ses charmes en fait. Il semble qu’elle reprenne confiance en elle. J’espère que cela continuera quand nous serons chez elle. De mon côté, je me sens bien aussi. Je n’ai aucune douleur. Je me dis que je peux retourner un peu avec elles. D’une part pour m’amuser encore avant de partir et d’autre part pour éloigner quelques potentiels connards qui s’enhardissent un peu trop à mon goût. Sami doit se faire la même réflexion, car il se lève juste avant moi :
— On y retourne ?— Oui, faut faire un peu le ménage.
Nous approchons de nos compagnes rapidement et les prenons par la taille pour les coller à nous. La plupart des gars repartent la queue basse. Quelques-uns n’ont pas compris qu’on était les copains des demoiselles. Celles-ci nous offrent un roulage de pelle mémorable. Moi, je pelote la poitrine et le cul d’Anne-Sophie. Du coin de l’œil, je vois Sami en faire autant. Je crois que le message est bien passé, nous avons fait le vide autour de nous. Nous restons quelques minutes sur la piste puis retournons tous nous asseoir. Nous buvons un peu et décidons de plier bagage.Dehors, la nuit a déjà bien commencé. L’air frais nous fait du bien. Je me rends compte qu’il va falloir prendre un bus de nuit ou un taxi pour rentrer chez Anne-Sophie. Si nous conduisons et qu’on se fait choper par les flics, ça va être notre fête. Nous ne sommes pas bourrés, mais au-delà de la limite, c’est sûr.
— Anne, va falloir rentrer en taxi ou en bus de nuit.— Ah non, pas le bus de nuit. On croise trop de mecs pas nets à cette heure-là.— Vous n’avez qu’à venir dormir chez nous. On n’est pas loin à pied, nous propose Kinga.— Bah, je ne voyais pas ton studio dans le coin, d’après ce que vous m’aviez dit.— T’es con. Je te rappelle qu’on a emménagé dans un appart’ plus grand, me rappelle Sami.— Ah, c’est vrai. Vous ne m’avez pas appelé pour déménager ?— C’était il y a trois semaines mon grand. Je ne crois pas que tu étais en grande forme, en tout cas assez pour nous filer un coup de main.— Oui, ce n’est pas faux. Mais bon, on ne va pas vous déranger quand même.— Oui, oui, on va prendre un taxi, ajoute Anne-Sophie. C’est gentil à vous, mais...— Il n’y a pas de mais. Vous n’allez pas vous ruiner dans un taxi à cette heure-là. Venez avec nous, insiste Kinga.— Va falloir céder, elle va plus vous lâcher maintenant, ricane Sami.
D’un côté, j’ai envie de retourner chez Anne-Sophie, de l’autre, je voudrais encore prolonger cette agréable soirée.
— Vous êtes sûrs qu’on ne vous dérangera pas ? s’inquiète Anne-Sophie.— Oui, venez, venez.— D’accord Kini. On y va Kev ?— Si tu veux.— Youpi !
Kinga est très heureuse de nous avoir avec elle. Sami ne semble pas étonné qu’elle ait obtenu ce qu’elle voulait.
***

En effet, leur appartement n’est pas très loin. En quelques minutes, nous sommes au pied d’un immeuble ancien, mais plutôt bien entretenu.
— Vous verrez, on a bien travaillé, nous prévient Kinga, fière d’elle.
Ça me rappelle qu’ils ont négocié une baisse de loyer contre un coup de jeune à la déco. Une fois à l’intérieur, ils nous font la visite. C’est un deux pièces d’environ 40m². Il y a une belle pièce de vie (cuisine ouverte et séjour), une chambre, une salle de bain. Ils ont repeint les murs en blanc à l’exception d’un mur de temps en temps qu’ils ont mis en couleur. Ce n’est vraiment pas mal ce qu’ils ont fait. Je me verrais bien dans un appartement comme ça avec Anne-Sophie. Ils nous proposent un thé, un café, une boisson fraiche. Nous optons pour un truc frais.
— On vous laisse notre chambre, comme ça, Kev, tu dormiras bien.— C’est gentil Sam, mais non. Là, j’aurais trop l’impression d’abuser.— Comme tu veux. Après, le clic-clac est assez confortable.— Oui, ça ira très bien pour une nuit.— Oui, oui, merci, mille fois, ajoute Anne-Sophie.— C’est rien, ça nous fait plaisir, nous dit Kinga.— Euh, si Kev peut dormir en boxer, moi je ne vais pas dormir en robe...— Et je ne pense pas que mes affaires t’iront. Chouchou, tu peux lui prêter un truc ?— Mmmh, oui. Attends, je vais voir.
Sami part dans la chambre et en revient avec un maillot de basket assez large et long. Anne-Sophie le prend et le déroule devant elle. Il est assez grand pour lui faire une nuisette. Et sa poitrine devrait se tenir tranquille là-dedans. Sami déplie le canapé et Kinga nous sort une couette d’un placard. Nous utiliserons les coussins comme oreillers. Sami et Linga passent dans la salle de bain. Ils en ressortent prêts pour dormir. Sami est en boxer, son corps s’est bien musclé depuis qu’il a débuté sa formation. On distingue ses abdos. Je vois Anne-Sophie baver un peu sur lui. Je ne suis pas jaloux, je dois bien avouer que je reluque Kinga aussi. Elle ne porte qu’une petite culotte en coton et un petit débardeur. J’en ai déjà vu plus d’elle, mais j’y regoûte avec plaisir.Anne-Sophie et moi filons à notre tour dans la salle de bain. Je me mets en boxer et je me scrute rapidement.
— Bon ça va. Je ne fais pas freluquet. Les séances avec Jérôme et en piscine m’ont permis de me remplumer, dis-je tout haut.— Oui, tu es très beau. Mais regarde-moi. On dirait que j’ai un sac de sport sur le dos.
Tu parles ! Alors oui, c’est bariolé, mais c’est un maillot de sport après tout. Mais mon Dieu ! Il paraissait assez long quand elle l’a mis devant elle. Sauf qu’une fois porté, ses formes (seins et fesses) l’empêchent de descendre aussi bas qu’on pouvait le penser. Il s’arrête juste sous ses fesses. On distingue le pli fessier dès qu’elle se penche en avant. En haut, l’encolure est trop étroite pour lui faire un décolleté, mais les emmanchures larges laissent une vue importante sur ses seins en mode "side boob".
— Bon, comme tu bandes et que tu baves, ça doit aller quand même...— Euh, oui, oui, tu es très jolie.— Vu ton état, le terme approprié doit être beaucoup moins prude, me taquine-t-elle. Bon, faut que je me démaquille, sinon je vais ressembler à un panda demain. Où est-ce qu’elle m’a dit qu’elle mettait ses trucs... Ah là.
Pendant que ma chérie s’affaire, je ne peux détacher mon regard de son corps. Nous finissons par ressortir, Kinga et Sami ont fini de préparer le canapé pour nous. En se retournant vers nous, ils sont tous deux en arrêts. Kinga me détaille éhontément tandis que Sami est plus discret, mais la bosse qui gonfle entre ses jambes trahit ses pensées envers Anne-Sophie. Ils se reprennent et nous souhaitent une bonne nuit, non sans nous avoir une dernière fois proposé leur lit.
Nous nous couchons et nous serrons l’un contre l’autre. Nos mains partent caresser le corps de l’autre, mais nous n’osons pas trop aller plus loin. Nous nous embrassons, je glisse ma main sous le maillot de basket et viens lui peloter les seins. Cette fois, elle me laisse faire sur les deux, elle gémit doucement d’ailleurs. Je veux descendre vers son sexe, mais en passant sur son ventre, elle se tend. Moi-même, je n’ose plus trop bouger, avec la soirée que nous venons de passer, j’ai peur qu’une douleur se réveille au mauvais moment. Finalement, nous en restons là.
Assez vite, nous commençons à entendre du bruit venant de la chambre. Ça bouge, ça rigole doucement, puis des soupirs, des râles. On dirait que Sami et Kinga se font quelques caresses comme nous l’avons fait. Puis nous percevons autre chose :
— Dis, tu crois qu’ils font quoi ? me murmure Anne-Sophie.— La même chose que nous.— Non, écoute, c’est plus fort.
Anne-Sophie est troublée par ce qu’il peut se passer là-bas. Tel que l’appartement est fait, nous ne voyons pas leur porte, et la salle de bain est entre le séjour et la chambre. Je ne sais alors ce qu’il me prend :
— Viens, on va s’approcher pour écouter.
La soirée légèrement arrosée, l’esprit libre qui a régné ou autre chose encore fait que ma petite amie accepte ma proposition. Nous nous levons discrètement et marchons à pas de loup vers la chambre. Le parquet grince légèrement, nous avons peur de nous faire attraper. Mais ils ne semblent s’être rendu compte de rien. Nous reprenons notre marche en avant. Les bruits deviennent plus clairs. On entend aussi quelques paroles lorsque nous arrivons juste derrière la porte.
— Oui, aaah, souffle Kinga.— Aaaah, ma chérie.— Chut, ils vont nous entendre... Aaah, oui.
Leurs mains doivent être bien actives. Ils ne sont pas plus loin, car on entend des baisers échangés. Enfin, du gros roulage de pelle plutôt, ça fait un boucan d’enfer. Puis, des froissements nous parviennent, ce doit être leurs vêtements qui sont retirés. Ils retournent à leurs caresses puis le lit grince pas mal. S’élèvent ensuite des clapotis, des gémissements étouffés. Je devine que l’un d’eux doit sucer ou lécher l’autre. Ou même se le font-ils l’un à l’autre. Anne-Sophie se rapproche encore plus de la porte, elle colle son oreille contre celle-ci. Elle n’était pas fermée, juste poussée, elle pivote en silence sur ses gonds. Comme dans le séjour, seuls des doubles rideaux opaques assurent l’obscurité des pièces. Ils laissent néanmoins filtrer les lumières de la ville, plongeant la chambre dans une pénombre profonde, mais qui nous permet de les voir.
Ils sont en 69, Kinga au-dessus de Sami. Ils sont un peu décalés par rapport à l’axe de la porte, ce qui fait qu’on bien voir la chatte léchée, mais que la bite sucée est visible aussi. Ils se donnent à fond l’un et l’autre. Les bruits qu’ils font sont très obscènes. À côté de moi, Anne-Sophie n’en perd pas une miette. Elle est un peu penchée en avant, du coup, je peux glisser ma tête au-dessus de la sienne. Je bande comme un fou devant ce spectacle. Anne-Sophie doit sûrement mouiller, elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre.
Je reviens au couple, ceux-ci ont changé de position. Kinga est sur le ventre et Sami la pénètre avec vigueur. Elle couine doucement, l’ayant déjà vue baiser, je sais qu’elle est plus démonstrative normalement. Elle essaye de ne pas trop faire de bruit, car nous "dormons" pas loin. Mon pote culbute sa copine comme ceci pendant un petit moment, puis il doit fatiguer ou avoir envie de la faire travailler un peu. Il se place sur le dos et elle se glisse sur lui en missionnaire inversé. Elle se fiche elle-même la queue de son copain dans la chatte et ils reprennent leur baise. On a une vue imprenable de la tige coulissant dans le con de la Polonaise. Ils y mettent beaucoup d’ardeur. Sami et Kinga ont beaucoup de mal à retenir leurs cris, leurs râles.
Ça approche, chuchote Anne-Sophie le souffle court."Elle a raison. Encore quelques coups de reins et soudain, la blonde émet un long feulement qu’elle étouffe en plongeant sa tête dans le creux du cou de son copain. Celui-ci arrête ses va-et-vient et se plante au fond de la chatte de sa compagne. On voit sa queue secouée de soubresauts, il se déverse en elle dans un râle maîtrisé. Après quelques instants, ils se désemboitent, comme je m’y attendais, Kinga rampe alors vers le sexe de Sami pour venir le lécher et récolter le mélange de leurs fluides.
— Mais...— Elle adore ça, murmuré-je.
Nous devons faire attention, ils pourraient nous entendre. Kinga a fini sa friandise, elle est retournée vers Sami. Ils se bécotent et se caressent. Il faut que nous filions, s’ils veulent aller dans la salle de bains ou les toilettes, nous allons nous faire choper. Je tire doucement Anne-Sophie par le bras. Elle se redresse et comprend que nous devons retourner dans notre lit. Nous faisons rapidement le chemin inverse. Une fois dans le canapé-lit, je revois le couple baiser. Ma queue n’a pas dégonflé. Contre moi, je sens ma copine encore émoustillée par le show involontaire qu’ils nous ont offert.
***

Naturellement, ma main part vers ce corps tant désiré. A peine mes doigts effleurent sa peau qu’Anne-Sophie soupire de contentement. Elle semble plus que réceptive à mon approche. Je ne perds pas de temps et glisse mes doigts sous le maillot de basket. J’empoigne le premier sein que je trouve. Je le malaxe, je le caresse, je joue avec le téton.De son côté, ma chérie n’est pas inactive. Elle a descendu sa main vers mon ventre, elle l’a d’abord caressé sagement. Puis comme je m’enhardissais, elle en a fait autant. Ses doigts se faufilent sous mon boxer et viennent caresser mon sexe et mes couilles.
— Mmmmh, continue Anne.— Toi aussiiii, oui, murmure-t-elle.
Continuer, pourquoi pas. Aller plus loin, je crois que c’est le bon moment. Je retire ma main du maillot et veux lui enlever. Anne-Sophie se met à genoux et se laisse faire. Quand je lui ai retiré, elle attrape mon boxer et veut le faire glisser. Je dois l’aider, mais mon sexe bandé ne facilite pas le passage. Nous nous retrouvons nus tous les deux l’un en face de l’autre, à genoux sur le canapé-lit.
— Tu es belle, dis-je.
Je ne mens pas, j’y crois profondément. La lumière qui filtre des doubles rideaux me permet de distinguer chaque partie de son corps. D’abord, ses longs cheveux châtains, souples et denses tombent en cascade sur ses épaules. Ils encadrent son joli visage rond qui me sourit. Je ne peux voir la couleur (bleu gris) de ses yeux, mais ils pétillent indéniablement. Une partie de sa chevelure cache son sein droit, je la repousse pour admirer ses formidables seins. Ils sont beaux, gros, fermes et souples à la fois. Ils sont si doux lorsque mes doigts les touchent. Son ventre a retrouvé toute sa tonicité, elle n’a pas le ventre plat et musclé de Kinga, mais la peau est tendue, la taille est très marquée, ses hanches se dessinent parfaitement. En passant mes mains derrière, je sens son cul rond, imposant, mais raffermi par ses séances de natation. Il est divin à pétrir, à caresser, à cajoler. Devant, je devine les poils de son pubis encore une fois taillés en ticket de métro. Ça lui va à ravir.
Les doigts de ma main droite quittent son cul pour venir à la rencontre de son sexe.
— Tu es devenu fort, me dit-elle.
Elle parcourt mon corps de ses mains, elle sent les muscles qui se sont dessinés à force de séance de kiné, de piscine ; avec l’utilisation régulière des béquilles, j’ai pris pas mal au niveau des épaules. Sa délicatesse me fait frissonner de bonheur. Elle aussi me détaille de la tête au sexe. Elle le fait au même rythme que moi. Je sens ses doigts frémir, trembler d’excitation à mesure qu’elle descend. Lorsque je lui caresse le popotin, ses mains viennent sur le mien.
— Oh, qu’elles sont fermes et dures...
Je n’ai pas trop l’habitude qu’une nana me touche autant le cul, alors je me contracte. Puis elle repasse devant et trouve autre chose de bien dur. Elle sourit quand elle constate mon érection plus qu’honorable. Anne-Sophie me prend délicatement en main et me branle. Au même instant, je fais glisser mon index le long de sa vulve. Celle-ci est franchement humide. Notre exploration mutuelle a dû l’émouvoir, mais je crois surtout que c’est la vue de Kinga et Sami qui l’a enflammée. Ma puissante érection est aussi en grande partie due au spectacle que j’ai vu. Je ramène ma main sur son sein droit et le caresse résolument. Elle n’a aucune gêne, juste son plaisir qui monte un peu plus encore. Ses deux mains s’occupent de moi, l’une sur mon sexe et l’autre sur mes couilles. Elle s’insinue derrière celles-ci pour me masser l’espace entre elles et mon anus. C’est un supplice, tellement c’est bon.
— Arrête, la supplié-je.— Oh pardon, tu n’aimes pas.— Si, trop justement.
Anne-Sophie revient alors vers des endroits plus classiques. De mon côté, je ne reste pas à l’extérieur de son sexe. J’insère un doigt dans son vagin et lui fais faire des aller-retour sans entrer trop profondément. Puis je ressors pour venir lui agacer le bouton. Elle se met à gémir. Elle tente de se contenir, mais elle a du mal. Je vais pour l’embrasser, ça devrait étouffer ses plaintes. D’abord assez classique, notre baiser se transforme rapidement en un truc hyper-passionné, hyper-sensuel. D’un coup, je sens qu’elle tremble à force de triturer son clitoris. Elle me pousse et je tombe en arrière. Anne-Sophie se jette alors sur moi, enfin sur mon membre pour être exacte. Elle me prend en bouche et commence à me pomper comme une damnée.
Elle y va fort, s’aidant d’une main pour me branler, l’autre retournant masser le même endroit que tout à l’heure. Il est clair qu’elle veut me faire jouir, la raison voudrait que je la fasse ralentir, histoire que je puisse la pénétrer ensuite. Mais quel homme résisterait à une telle fellation ? Pas moi en tout cas. Les bruits qu’elle produit avec sa bouche, tant elle bave, sont d’une obscénité électrisante.
— Aaah, Anne, ouiii.
A ma grande surprise, elle stoppe soudain. Mais c’est pour venir enfermer ma queue entre ses seins. Elle me gratifie alors d’une cravate de notaire dans les règles de l’art. En plus, avec ses nichons incroyables, ma queue est dans un cocon soyeux et moelleux. C’est une sensation que je souhaite à tous les mecs d’avoir au moins une fois dans sa vie. Je couine toujours, ma voix devient de plus en plus aigüe. Anne-Sophie comprend que je ne suis plus loin de la jouissance. Elle laisse là sa branlette espagnole et vient me léchouiller sexe et couilles. La pression peut ainsi redescendre d’un cran. Je n’ai plus à me retenir autant que je peux, j’ai juste à savourer cet instant.Subitement, elle renfourne ma queue dans sa bouche et me repompe avec une énergie folle. Il est clair qu’elle ne va plus s’arrêter. Ses lèvres et ses mains ont un effet terrible sur moi. Je suis sans défense, totalement offert à elle. Finalement, j’ai des picotements dans les jambes, signe que ça y est ça arrive.
— Anne, ça, ça vient.
Sa seule réaction est d’aller un peu plus profond dans sa gorge. Après quelques secondes, j’explose en elle. Elle n’est pas surprise et elle se cale bien pour récolter ce que je lui offre au fur et à mesure que je me vide les couilles. Quand ça ne sort plus de lui-même, ma copine me trait la queue et me lèche le gland. J’en conclus qu’elle a tout avalé en cours de route. Moi j’ai les jambes en coton, je ne peux plus bouger pendant quelques instants. Elle en profite pour me suçoter encore un peu. Puis elle revient vers moi pour m’embrasser, j’ai un peu peur qu’elle me refasse le même coup, mais cette fois, elle n’a plus de sperme dans la bouche. A peine ai-je un arrière-goût particulier.
— Ça t’a plu ?— Oh oui. Je n’ai jamais eu une aussi bonne pipe.— C’est vrai ?— Oui. A moi maintenant.— De quoi ? Oh ! hoquète-t-elle lorsque je plonge entre ses cuisses.
Je trouve une vulve baveuse à souhait. Elle est vraiment bien épilée, car à part son trait de poils sur le pubis, il n’y en a pas un qui traîne. C’est très doux sur mes lèvres, c’est très agréable. Passé son premier hoquet de surprise, Anne-Sophie commence à ronronner doucement. Pour le moment, je me contente de déposer de légers baisers autour de son sexe, autour de ses grandes lèvres. Son parfum me plaît beaucoup, un peu sucré-salé. Je me décide à donner de petits coups de langue sur sa vulve. Je fais exprès d’épargner son clitoris, pour mieux m’en occuper plus tard. Je lance mes bras sous ses cuisses et vers sa poitrine. Je dois lui remonter un peu les jambes en l’air pour l’atteindre. Je peux alors jouer avec ses seins, ses tétons. Je fais tourner ces derniers entre mes doigts, les pinçant et les tirant un peu. Ma chérie couine un peu plus fort au moment où ma langue se pose enfin sur son clitoris. Je l’active frénétiquement sur son petit bouton d’amour.
Je suis bien décidé à la faire jouir sous ma langue, et elle en prend bien le chemin. Mais comme elle, je décide de la faire redescendre un peu pour une explosion finale un peu plus tard. Je laisse alors son clitoris pour venir jouer avec ses lèvres, je descends même un peu plus, à la limite de son anus. Puis je remonte en léchant le creux de ses cuisses, sur l’aine. Ça la fait frémir, c’est à la limite de la chatouille. Je ne dois surtout pas aller plus dans cette direction, sinon je risque de tout faire foirer. Je reviens sur ses lèvres et les embrasse, comme si j’embrassais celles de sa bouche. Anne-Sophie reprend des gémissements appuyés, elle me plaque la tête contre son sexe, elle ne veut pas que j’en reparte sans l’avoir fait jouir. Ce qui n’est aucunement mon intention. Je lâche un peu ses seins, elle remplace mes mains par les siennes. Je les déplace près de son sexe. Ma langue se concentre sur son clitoris tandis que j’introduis mon index dans son vagin.
Je ne le rentre pas trop. Je sais d’expérience que dans cette situation, ça ne sert à rien ; mieux vaut bien exciter l’entrée de sa grotte d’amour que de chercher à toucher le fond. D’un coup, elle prend une octave de plus dans ses vocalises.
Anne-Sophie est bien partie. Je tente alors un coup de dé. De ma main libre, je viens masser délicatement son trou du cul. Lorsque j’y ai passé rapidement la langue, elle a semblé aimer. Si je sens la moindre crispation, je me retire vite fait. Lorsque mon index se pose dessus, il y a un sursaut de surprise. Mais dès qu’il commence à masser cette entrée interdite, elle se détend et augmente, malgré elle, le volume de ses hululements. En jetant un œil à ma chérie, je vois qu’elle se mord la lèvre, ses mains triturent sauvagement ses tétons. Je pense que là c’est bon, on est sur la bonne trajectoire. Je ne change plus. Après quelques instants, l’index qui est fiché dans son vagin commence à se faire serrer et malaxer. Juste après, Anne-Sophie se tend et se cambre fortement. J’ai du mal à ne pas me faire éjecter. Mais je tiens bon et continue tant que je peux. Néanmoins, il n’y a plus que ma langue sur son sexe, mes mains s’agrippent à ses cuisses désespérément.
Je reçois quelques jets de cyprine en pleine face, on est loin de la femme fontaine, mais c’est le signe d’un orgasme fort, je pense. Finalement, elle me repousse de la main, ça devient insupportable pour elle.
Je la laisse tranquille de ce côté-là, je remonte vers son visage et je colle mes lèvres aux siennes. Comme elle m’a fait goûter mon jus, je lui fais goûter le sien. Elle ne se défile pas et semble même très apprécier cette initiative. Son corps est encore tremblotant de son extase. Je le caresse un peu, je m’aperçois que mon sexe a repris une belle vigueur. Il palpite et tape contre son ventre. Ma copine le sent et sourit de toutes ses dents.
— Je pensais bien que tu allais être de nouveau d’attaque.— Petite coquine. Tu attendais ma petite léchouille...— Oui, mais pas aussi terriblement jouissive... Bon, viens là.
Anne-Sophie me pousse les fesses pour que je vienne sur elle. Elle a déjà écarté largement les cuisses. Je me présente devant son vagin, je m’y infiltre sans hésitation. Je rentre comme dans du beurre. Elle est si mouillée que ça coulisse parfaitement. Je suis dans un cocon de douceur et de sensualité.
— Ah oui.— Oh, c’est bon.
Je commence alors quelques va-et-vient en elle. Je pars sur un rythme assez tranquille. Je pense l’augmenter au fur et à mesure. Anne-Sophie couine un peu à chaque fois que je "tape au fond". Je ne vais pas vite, mais je sors presque complètement avant de m’enfoncer sur la totalité de ma verge. Ma copine passe ses jambes autour de ma taille et verrouille la position. Elle accompagne ma pénétration, m’incitant à la baiser plus vite. Mais je veux encore contrôler les choses, la faire languir un minimum avant le final.
— Baise-moi... Oui, plus vite.
J’accélère un peu pour lui faire plaisir, mais j’ai une autre idée en tête. Je me libère de la prison de ses jambes. Je m’assois et l’attire sur moi. J’aime bien le lotus, la pénétration est bien profonde et j’ai accès aux seins et à la bouche de la fille. Anne-Sophie s’empale rapidement sur moi et commence d’elle-même à s’agiter sur ma queue. Je pose mes mains sur son cul et reprends les rênes de la situation. J’imprime moi-même le rythme que je veux. Je gobe son sein gauche et son droit en alternance, je mordille même ses tétons lui arrachant quelques plaintes. Anne-Sophie me plaque le visage contre ses seins. Elle s’accroche à mon dos, me griffant profondément au passage. Je voudrais continuer encore longtemps, mais je m’approche de mon deuxième orgasme. Je me démène alors pour l’amener, si possible, à son second à elle aussi. Nous nous activons mutuellement, faisant grincer énormément le clic-clac. Juste avant, l’apothéose nos lèvres se rejoignent.
Soudain, elle se contracte et jouit sur moi. Je ne tiens plus et me vide les couilles en elle. Je la sens encore plus dans le lâcher-prise quand elle se sent remplie. Moi, je suis au paradis, j’expulse énormément de foutre. Je m’en étonne si peu de temps après une première éjaculation.
Nous restons comme ça un moment, nous embrassant et nous caressant. Nous finissons par nous rallonger sur le lit. Mon sexe sort du sien en faisant un bruit de succion bizarre. Anne-Sophie le regarde, elle se tâte, mais va vers lui et se met à le lécher. Elle est d’abord craintive puis termine en experte ce nettoyage particulier. Lorsqu’elle a fini, elle me dit :
— Kinga a raison, c’est intéressant comme mélange. Je vais peut-être y prendre goût.— Oh. Eh bien, si tu veux. Moi en tout cas, je n’ai rien contre.
Mais à la différence de Kinga qui s’arrête là, Anne-Sophie vient m’embrasser pour me faire goûter ce mélange. Et encore, n’en ai-je que le fumet. Puis, il est temps de revenir au réel, nous ne sommes pas chez elle. Ça pue le sexe et ça commence à couler de sa chatte. Il n’est pas question que j’aille récolter ça. J’attrape la boîte de mouchoirs en papier posée sur la table basse du salon et lui donne. Elle en a besoin d’un certain nombre pour tout éponger. A priori, on a agi avant de vraiment salir les draps. De mon côté, j’ouvre une fenêtre. L’air frais entre dans la pièce. Anne-Sophie va jeter les mouchoirs à la poubelle de la cuisine puis revient enfiler son maillot de basket. Moi, je remets mon boxer. Nous décidons de laisser ouvert encore un peu. Mais nous nous endormons avant de penser à refermer.Au matin, on entend du bruit dans la salle de bain, puis Sami et Kinga débarquent dans leur séjour.
— Salut, bien dormi ? Il est déjà 11h, nous dit Sami.— Euh salut. Oui, bien dormi, dis-je.— Coucou. Ça va ? demande Kinga.— Salut Kini. Ça va. Merci. Et vous, bien dormi aussi ? s’enquière Anne-Sophie.— Oui, oui, très bien. Merci, Anne-So.— Vu l’heure, ça vous dit d’aller prendre un brunch pas loin ?— Euh, Sam, c’est gentil, mais...
Mais mon ventre gargouille bruyamment. Nous acceptons. Chacun passe à son tour sous la douche. Quand tout le monde est prêt, nous partons bruncher. Nous traînons un moment à table puis nous nous quittons après de nombreuses embrassades. Les filles ont vraiment du mal à se lâcher.Le lundi, je débute ma dernière semaine au centre. A ma grande surprise, Jérôme me taquine plus que d’habitude. Il finit par m’avouer qu’il est au courant pour moi et Anne-Sophie, mais qu’il n’a rien dit. Comme Bertille lui a fait jurer de tenir sa langue, il s’y est tenu. Bon, il n’est au courant que de notre relation, pas du fait que nous avons baisé dans le centre. Ce que nous ne pouvons nous empêcher de refaire plusieurs fois avant mon départ.Lorsque je le quitte, le vendredi matin, je me sens léger et libre. Je suis content cette fois. Heureux. Lorsque je fais mes adieux à Jérôme, celui-ci me lance une dernière taquinerie :
— Allez Kevin. Plus de bêtises en moto, hein ?— Oui, oui.— Et on va enfin pouvoir se resservir du local avec Bertille...
Merde, le con, il sait. Mais il me fait un clin d’œil et me laisse. Depuis quand il sait que nous baisons avec Anne-Sophie là-bas ? Et depuis quand il sait que je l’avais observé baiser avec Bertille ? Je questionnerai ma confidente, ma grande sœur, un de ces quatre. Pour l’instant, je vais profiter d’Anne-Sophie plus librement.
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