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Les mésaventures de Lara Croft

Chapitre 1

Hétéro
Lara se battait vaillamment contre les hommes de main de Monroe; chasseur de reliques et pilleur de tombes.Un à un, à coups de pieds et de poing elle étendit les brutes quand soudain, plus rien; le noir.Elle fut assommée par un homme qu’elle n’avait pas vu venir derrière elle.
Lorsqu’elle se réveilla, elle était étendue, attachée sur un billard. Monroe ricanait.— Le temps que tu te détaches, cette relique sera entre mes mains.Il se retourna, prêt à s’en aller,— Tu ne l’auras jamais, je te coifferai sur le poteau comme d’habitude; je suis trop bonne et tu le sais.Lui lança Lara.Monroe était fou de rage; il savait bien qu’il y’avait de bonnes chances que Lara parvienne au précieux objet avant lui. Enervé par tant d’arrogance, il revint sur ses pas et se pencha sur la jeune femme.
Il effleura délicatement du bout des doigts le genou de Lara, et remonta en direction de la cuisse.— Non, justement; je ne sais pas si tu es si bonne que ça...Immédiatement Lara commença à se débattre, mais les cordes étaient si serrées qu’elle n’avait que quelques centimètres de mouvement.Voilà que Monroe défit le bouton du short de la belle aventurière, puis descendit lentement la fermeture éclair. Lara avait beau gesticuler dans tous les sens, Monroe parvint à descendre le minuscule bermuda et le string; dévoilant le pubis finement taillé de la jeune femme.Puis, le goujat releva avec difficulté le haut de nylon noir tellement celui-ci était tendu par l’immense poitrine qu’il moulait, et fit de même pour le soutien gorge. Même libérés de leur écrin, les énormes seins de Lara ne s’aplatissaient pas, les deux grosses sphères restaient bien fermes.Monroe ouvrit alors sa braguette, extirpa sa verge déjà tendue d’excitation et se coucha sur Lara.
Lara, trop fière pour supplier, se contenta de serrer les dents et ses muscles vaginaux au maximum, pensant empêcher l’inévitable.Puis, une brûlure atroce et indescriptible. Ses lèvres intimes étaient forcées et le membre mâle remplissait le sexe de la belle petite brune.L’odieux personnage prenait Lara sans ménagement, donnant de grands coups de bassin; tandis qu’elle, en signe d’insoumission, regardait fixement dans les yeux de son violeur, le regard accusateur et plein de haine. De sa petite bouche ne sortaient que de brèves bouffées de douleur aux moments où son agresseur cognait au fond de son utérus.— Mmmpfff— Mmmpfff— Mmmpfff...Les mains de Lara trahissaient sa pensée; elle aurait voulu étrangler le malfrat.
Au bout de quelques minutes, Lara sut que son calvaire prenait fin quand elle sentit la verge se contracter, puis le sperme de son violeur se répandre dans son vagin.
Sans un mot, Monroe sortit d’entre les cuisses de Lara, s’arrangeât et partit.Il avait à peine passé la porte que Lara relâchât tous les muscles de son corps.La tête pendant dans le vide, elle voulait crier sa rage et sa douleur, mais aucun son ne sortait de sa bouche.Encore du bruit à l’extérieur de cette sordide pièce attira son attention. Deux hommes discutaient. Elle ne comprit que ’amusez-vous’, puis la porte s’ouvra à nouveau.Lara devina tout de suite ce qui allait arriver quand un, deux, trois, cinq, puis finalement huit malfrats entrèrent dans la pièce.
Le premier entré dégrafa immédiatement son pantalon, se coucha sur Lara et tenta de la pénétrer. Lara avait beau savoir qu’elle y passerait de toute façon, elle remuait le bassin tant qu’elle pouvait pour empêcher la brute de se caler entre ses cuisses.Peine perdue : le molosse écrasa de tout son poids la frêle jeune femme, lui coupant la respiration et presque aussitôt l’étroit vagin fut profané pour la seconde fois.Cette fois, Lara ne pouvait plus supporter la douleur; elle se mit à hurler de toutes ses forces sous la violence de son nouvel agresseur.
Trop impatient pour attendre son tour et l’envie d’autant plus exacerbée par les cris aigus de la jeune fille, un autre malfrat se dégrafa puis prit fermement la tête de sa victime entre ses mains pour l’empêcher de bouger et pressa son pénis contre les lèvres de Lara, qui avait maintenant fermé la bouche pour éviter cette immonde humiliation. Un autre bandit passa la lame de son couteau sur la gorge de Lara en guise d’avertissement, et à peine elle entrouvrit les lèvres que le phallus s’engouffra profondément dans sa bouche.La bouche ainsi remplie, les cris de cris de la jeune femme se transformèrent en geignements rauques, à peine interrompus le temps d’une respiration.
Deux autres futurs violeurs prirent la peine de détacher Lara. De toute façon, à huit contre elle toute seule, il n’y avait plus aucun risque.Lara était palpée et caressée de toute part : des dizaines de mains malmenaient sa poitrine démesurée.La tête toujours à l’envers, elle pouvait voir une horloge sur le mur, qui égrenait les secondes une à une; les plus pénibles de toute la vie de la jeune aventurière.18 heures 45.
Le premier des deux monstres à éjaculer fut celui qui se masturbait dans la bouche de Lara.Un puissant jet de semence lui frappa la langue, suivi d’un deuxième.L’homme se vidait toujours, tandis que la toute petite bouche de la femme se remplissait dangereusement. Comme elle était détachée, elle poussa son agresseur de toutes ses forces. Il retira son pénis juste à temps avant que la pauvre fille se noie. Un flot de sperme jaillit de la bouche de Lara; se déversa en cascade sur ses pommettes, remplissant une narine sur son passage, courut le long de son front pour disparaître dans ses longs cheveux bruns et celle-ci pu enfin prendre une inspiration.Elle eut à peine le temps de reprendre son souffle qu’un nouveau sexe remplit l’orifice laissé vacant. De ses mains maintenant libres, elle empêchait tant qu’elle pouvait son agresseur de fourrer sa verge trop profondément dans sa bouche.
L’homme qui s’activait dans le vagin de Lara éjacula lui aussi; se retira, et aussitôt, elle sentit deux mains puissantes enserrer sa taille, puis la fine jeune femme de 55 kilos fut retournée sur le ventre.Un nouvel assaillant se coucha sur elle, et tenta de se frayer un chemin entre les fesses de la petite brune. Terrorisée, elle passa immédiatement les mains dans son dos et gesticula désespérément et de manière désordonnée pour tenter d’atteindre celui qui allait forcer d’un instant à l’autre l’entrée de son rectum.
Un ignoble mugissement rauque emplit la pièce : il était entré...19 heures.Un nouveau mugissement rauque encore plus fort et plus ignoble que le précédent se fit entendre.La bouche toujours ’pleine’, Lara ne pouvait exprimer son atroce douleur que de cette manière. Encouragé par les mugissements animals de la belle brune, celui qui la sodomisait poussait à chaque fois plus fort et plus loin.
Soulagement. Tellement excité par les cris de Lara, celui qui forçait l’anus de Lara éjacula après seulement dix pénétrations.Soulagement de courte durée; un nouveau sexe se présentait devant son vagin.Epuisée, Lara abandonna toute résistance. A quoi bon garder les fesses et les lèvres vaginales serrées, ils entreraient de toute façon. De plus, elle se faisait plus de mal qu’elle n’en faisait à ses assaillants.
Le sexe entra sans peine, tandis qu’un autre violeur venait de se soulager dans sa bouche.Le regard rivé sur l’horloge, le cerveau de Lara se déconnecta de l’abominable réalité.Lara sortit de cet état proche du coma éveillé lorsqu’un nouveau sexe essayait de lui forcer l’anus.19 heures 15Ce dernier était nettement plus gros que le premier; la douleur qui suivit fut si forte qu’elle n’eut le temps de pousser qu’un râle.— AaaaaahhhEt s’évanouit.
Lara émergeât lentement. Elle n’ouvrit qu’un oeil, l’autre étant complètement englué.21 heures 35Elle était à nouveau sur le dos, les jambes pendant dans le vide. Un homme s’activait péniblement en elle, lui malaxant mollement les seins.Une ’bonne’ nouvelle, elle ne ressentait plus rien; autant son vagin, que son rectum étaient complètement endoloris.Lara referma les yeux en priant pour que son calvaire s’achève un jour.
Elle les rouvrit d’un coup.Midi passé.Elle était seule, il n’y avait plus aucun bruit; la bande à Monroe avait du s’en aller récupérer le trésor.Lara tenta de se redresser, impossible. Ses abdos, pourtant bien musclés, cachés sous son petit ventre plat refusaient, elle était sans force.Alors elle se tourna sur le côté et s’aida de ses bras; ils étaient couverts de bleus.Pas de grosses ecchymoses, mais des dizaines de traces de doigts.En se tournant, tout le fluide qu’elle avait sur elle se répandit lentement sur le billard.
Toute sa bouche, ses dents, sa langue étaient encore visqueuses, et ces goûts infâmes, mélange de sperme, sueur, urine.Ses mâchoires et sa nuque étaient endolories.Et ces douleurs, lancinantes et à peine supportables : l’anus d’abord, puis le vagin; brûlants.Même si ce dernier était vide, c’était comme si un énorme sexe mâle le remplissait encore.Lara passa précautionneusement un doigt sur sa vulve. Celle-ci ne se refermait pas et bavait encore un jus immonde.Combien d’éjaculations le sexe d’une femme peut-il accueillir avant que celui-ci ne déborde? Peu importe, elle devait se rhabiller et partir.
Lara complètement nue se leva difficilement, tirant de longs fils de liquide, tandis que de grosses gouttes tombaient mollement sur le sol en béton. Elle tituba jusqu’à son sac à dos, que ses violeurs avaient eu la délicatesse de laisser dans un coin, le ramassa et retourna vers le seul meuble de la pièce, ce billard maudit.
Elle s’assit sur un coin encore propre et regarda autour d’elle : sur le feutre vert et au sol, de grosses flaques de semence, en partie séchées, témoignaient de la bestialité de ce qui s’était passé.Lara extirpa d’une poche de son sac un paquet de mouchoirs en papier et s’employa à se nettoyer un peu.
Elle commença par son doux visage féminin, retirant de son front, de ses paupières et de ses joues de grandes quantités de jus. Rien que pour son visage, elle usa deux mouchoirs.Un troisième pour les épaules et pour le cou, deux de plus pour essuyer ses lourdes mamelles douloureuses sur lesquelles certains de ses violeurs s’étaient soulagés.Puis le ventre et le nombril, dont la cavité formait comme un petit lac; puis enfin le pubis, les fesses et les jambes, tout autant souillées. Aucune partie de son corps de femme n’avait été épargné.
Les dix malheureux mouchoirs qu’elle avait emportés suffirent à peine.Et encore, elle n’avait pas vu sa belle chevelure brune, le sperme séché avait fait de gros paquets de cheveux indémélables.
Il lui fallait encore s’habiller.Lara ramassa son string qui croupissait dans une flaque de sperme.Elle passa une jambe, l’autre, et remonta doucement. Ce dernier était tellement maculé de foutre qu’elle se souilla à nouveau le pubis.Ce fut l’humiliation de trop : Lara éclata en pleurs et jeta sa lingerie au loin. Elle pleura intensément deux ou trois minutes, puis se ressaisit.Elle ramassa son minuscule short moulant et l’examina en gros. Si l’extérieur était bien souillé, l’intérieur, lui, était propre.Elle l’enfila doucement et le zippa. Les coutures grossières de l’entrejambes appuyaient sur ses lèvres vaginales douloureuses. Peu importe, il fallait partir.De son sac, elle sortit un pull, le passa; lassa ses chaussures et partit sans jamais se retourner.
Sur le chemin de son hôtel, elle dû se donner du courage et s’arrêta dans une pharmacie.Les yeux baissés, elle balbutia au pharmacien sa commande : une ’pilule du lendemain’.Le vendeur la servit et encaissa. Lara sentit sur elle le regard réprobateur du vieux bonhomme grisonnant. Peu importe la raison pour laquelle une femme achète ça, elle est toujours coupable. A quoi pouvait-il penser? La petite garce a permis à son petit copain de faire l’amour sans protection? Peu sérieuse, elle n’a pas pris sa pilule la veille? A t’elle eu une relation adultère?
Lara avala la pilule salvatrice en chemin et rentra à l’hôtel.A peine arrivée, elle s’engouffra encore toute habillée sous la douche et pleura toutes les larmes de son corps.Elle resta comme ça, sous la pluie chaude à se savonner durant plus de deux heures; à effacer toutes les traces immondes qui la souillaient. Elle se lava un nombre incalculable de fois pour enlever l’odeur de ses violeurs, puis alla dans la chambre se coucher.Elle pensa : à qui pouvait-elle se confier? Personne.
Sa petite amie l’avait mise en garde un millier de fois qu’elle risquait la mort à tout moment.Oui, sa petite amie.Lara avait eu ses premières expériences sexuelles vers seize ou dix-sept ans avec des garçons lorsqu’elle était en internat en Angleterre; mais après quelques déceptions, elle avait découvert d’autres plaisirs auprès d’une compagne de chambrée. Depuis, elle n’avait jamais eu d’autre partenaire mâle.Quant au thérapeute qui la suivait depuis la mort de ses parents quand elle avait vingt-et-un ans, elle ne voulait plus en entendre parler.Consultation après consultation, elle voyait bien la bosse dans son pantalon quand elle était couchée sur le divan. Il avait réglé le sofa pour que le dos de la jeune femme soit bien cambré, faisant ressortir son immense poitrine encore plus.Une fois, prétextant une hypnose thérapeutique, il avait endormi Lara pour explorer ses souvenirs.Lorsqu’il l’avait réveillée, elle avait dû s’arranger; son top et son soutien-gorge étaient maladroitement remis en place, et il planait dans la pièce une odeur citronnée de lingettes nettoyantes. Que c’était-il passé? S’était-il simplement masturbé au dessus des seins de Lara? Ou s’était-il carrément offert une branlette espagnole?Bref.
Plein d’autres pensées lui vinrent à l’esprit; et pour finir, elle se rendit compte : elle, une jolie jeune chasseuse de trésors de 25 ans, dans ce domaine d’hommes; de brutes.En fait, elle avait eu de la chance jusqu’à maintenant; ça aurait pu arriver beaucoup plus tôt et surtout ... ça pourrait se reproduire.
Domino
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