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Les secrets "inavouables" de jessica

Chapitre 1

Trash
« J’aime ma foufounette, mais qu’est-ce que je peux lui en fourrer ! »
    J’me présente, je m’appelle Jessica, je suis Franco/Anglaise, j’ai 32 ans. Niveau physique, j’ai une longue chevelure blonde, une grosse poitrine, et un très gr... beau cul. So, i’m a pretty bitch !... Ooops, a pretty girl !! En gros, je me trouve plutôt bien foutue. Je dois dire que je fais tout pour, je pratique du sport, de la gymnastique notamment, mais aussi de la course à pied et je fais surtout attention à ce que je mange. En plus, étant esthéticienne de métier, je connais les trucs pour m’entretenir.
    Aujourd’hui, j’ai une vie assez tranquille, mais ça n’a pas toujours été le cas, quand j’étais plus jeune, j’étais une sacrée fêtarde. Actuellement je suis en couple avec Yhann, mais nous ne vivons pas ensemble. En effet, je voulais préserver mon indépendance et de ce fait, on a gardé chacun nos appartements respectifs. Attention, je ne dis pas que je le trompe, je lui reste fidèle mais j’ai juste besoin d’avoir mon petit jardin secret et mes moments de solitudes. Quand je dis « appartement », je devrais dire « maison » avec un étage et plusieurs pièces, le tout dans un lotissement assez huppé avec terrasse et jardin. Je ne considère pas comme étant une bourgeoise, mais ayant un peu d’argent, je ne vois pas pourquoi je ne devrais pas en profiter.
    Comme je le disais, mon ancienne vie était très chaotique, alcool et sexe se mélangeaient. J’ai d’abord commencé en étant lesbienne, ayant vécu quelques années avec une autre fille, mais c’est lors d’une soirée arrosée que j’ai gouté à la bite et depuis, je ne me suis pas arrêtée. J’aimais un peu trop le sexe et c’est Yhann qui m’a sorti de là. J’étais totalement déconnectée de la vie réelle, j’aurais eu un autre destin si il n’avait pas été là. Pour faire simple, ça partait en ovaire ! J’ai juste gardé quelques piercings et autres tatouages de ce lourd passé.
    Je vais vous raconter ce qu’il s’est passé lors d’un fameux week-end où Yhann était resté chez lui et de ce qui a suivi. J’avais invité deux amies à bouffer chez moi, Eva et Manon, deux amies rencontrées sur Facebook. Eva est blonde, cheveux courts et Manon, châtain clair, mi-long avec une queue de cheval... La première est plutôt fine avec des petits seins, la deuxième, un peu comme moi, gros seins, grosses fesses. On est toutes dans les mêmes âges bien qu’Eva soit un peu plus jeune. Elles sont toutes les deux célibataires et tournées vers les filles, deux vraies lesbiennes. Moi, je dirais que je suis bi, j’aime autant les bites que les chattes ou le contraire...
    Il n’était que 3h de l’après-midi et les filles ne devaient arriver que vers 18h30, donc j’avais 3h30 pour me préparer. Je me disais qu’il me fallait tout ce temps pour bien choisir ma tenue. Je commençais donc par prendre une bonne douche.
    Après mettre laver 3 fois, je passai un peignoir puis descendais dans la cuisine en essuyant mes cheveux. Je décidais de me faire un café en attendant qu’ils sèchent. Je prenais mon ordinateur portable, passant dans le salon, pour m’assoir confortablement dans mon canapé. Je voulais aller sur Facebook pour voir si mes deux amies étaient connectées, aucune des deux ne l’était, sans doute se préparaient-elles plus sérieusement que moi. En effet, j’étais propre, mais je n’avais pas encore décidé de ce que j’allais mettre.
    En voulant fermer la page internet, je cliquais sur un lien qui menait à un film porno, lien que m’avait laissé Yhann. Mais ce n’était pas le seul, il y en avait beaucoup d’autres. Bien sûr, j’étais au courant, je lui avais plusieurs fois reproché, mais que voulez-vous, les hommes sont des hommes, ils aiment mater des films qui les inspirent. De plus, je dois bien avouer, que de temps en temps, ça ne faisait pas de mal de les regarder, ça mettait de l’ambiance. En tout cas, je voulais couper ce film qui se nommait « Kagney Linn Karter gangbanged », mais la curiosité était trop forte, je laissais donc lire le fichier...
    L’on voyait une blonde, une actrice porno du nom de Kagney, raconter ses envies en matière de sexe, puis des acteurs arrivaient un par un découvrir leur future partenaire... Je ne comprenais pas pourquoi Yhann avait gardé le lien de ce film, enfin si, l’actrice me ressemblait un peu, belle, blonde, gros nichons, gros cul, belle chatte rasée, mais en moins bien... (rire) Souhaitait-il me voir dans un gang bang ? Etait-ce un de ces fantasmes ? Franchement, cela ne faisait pas partie de mes préférés. Se faire prendre par tous les trous en même temps et en étant insultée... Il est vrai que j’avais vécu des situations similaires mais pas aussi hard, disons que je n’ai jamais eu plus de 3 partenaires en même temps. Mais bon, si ça le faisait kiffer, je n’allais pas l’en empêcher.
    Ensuite, Kagney, l’actrice, continuait en faisant des shooting en maillot de bain très échancré, avec les 4 acteurs qui s’étaient succédé à l’interview. Et effectivement, elle était plutôt bien gaulée la nana, de gros seins pour pouvoir faire une bonne branlette espagnole, en tout cas les mecs avaient de quoi tâter... J’avoue que ce shooting sexy me mettait en âge, les gars se frottaient à elle. Un lui caressait un sein, un autre lui léchait le thorax, je commençais à avoir chaud dans mon peignoir. Ma main se baladait sur ma gorge et commençait à caresser le haut de ma poitrine...
    Dans la scène suivante, on la voyait se déhancher au bord d’une piscine, seule. Elle se trémoussait dans son maillot de bain échancré, avec des vues en contre-plongée. Ces seins, sa chatte et son cul sous cette vue semblaient me dire de me laisser aller... Ma main continuait ses caresses, elle pénétrait sous mon peignoir et revenait à la lumière, je semblais comme hypnotisée, dominée... Je regardais son cul déambuler dans la grande maison.
    Puis, toujours en contre-plongée, elle se déshabilla et nous offrit sa belle petite chatte rasée. Et c’est à ce moment-là que 6 acteurs débarquèrent, bites à l’air, toutes bien dressées. Ils la caressaient et elle semblait aimer ça la nana. Elles les branlaient et se faisant caresser de partout. Les gars cherchaient à l’exciter et cela fonctionnait aussi bien sur elle que sur moi. Je sentais bien que ma chatte commençait à être humide et mes tétons tout durs.
    En effet, quand elle se mit à les sucer, je laissais mes sens se réveiller en ouvrant mon peignoir en grand. J’offrais alors à mes seins les douces caresses de mes mains expertes. Elles les plotaient, les malaxaient. Je les abandonnais à ce plaisir coupable qui consistait à gravir ces deux énormes montagnes gonflés à leur maximum, alors, elles n’hésitaient pas à me tirer chaque tétons, comme on le ferait avec des ballons de baudruches. Puis renouvelaient l’opération. Je me laissais aller de plus en plus dans mon délire sexuel. Plus elle les suçait, plus je me rapprochais de mon abricot tout doux.

    J’avais fini par atteindre mon minou. Mes doigts venaient et caressaient ma vulve gonflée par ma libido débridée. J’entendais les gémissements de cette actrice qui ne pouvait dire que des « hummmm... », ayant la bouche pleine en permanence. Et moi aussi je commençais à gémir. Je sentais le plaisir envahir mon corps. J’écartais mes jambes en grand et me branlais la vulve plus intensément... _ « Ho ouiiiii.... Hummmmm..... » Moi aussi, je commençais à gémir... Hmmmm...
    A quatre pattes, elle en suçait deux pendant qu’un autre entreprenait de lui la mettre dans la fente... Elle suçait leurs bites comme on suce une sucette, se servant de sa langue pour mieux gouter au plaisir. Elle s’y accrochait fortement... Et moi, je m’accrochais à mes grosses lèvres... J’y allais carrément, je m’insérais deux doigts et les ressortais, toujours affalée dans mon canapé.. Ma chatte était de plus en plus humide, mon corps moite... Je les rentrais et les sortais vigoureusement... Je gémissais... _ « Hooo ouiiiii... Hmmmmmm... oouuii.... Ouiiiiiiiiiiii... »
    Elle, se faisait baiser et sodomiser en même temps tout en continuant à en sucer un autre... Ensuite, les gars tournaient... Moi, j’étais en transe, les yeux fermés, je me branlais la chatte énergiquement, je n’arrêtais de me dire dans ma tête : « Allez-y, baisez là cette salope, elle l’a bien méritée... » En temps normal, j’aurais presque rougi à l’idée de ce genre de langage, mais là je me lâchais complètement... ça me faisait du bien... Me rappelais des souvenirs._ « Hoooo ouiiii... Hummmm.... Haaaaaa... Ouiiiiiiiiiiiii..... Hmmmmm, putain, c’est booon...»
    Je sentais l’orgasme arriver, ma chatte était gonflée à son maximum, elle ruisselait comme jamais... Je me branlais à fond.... Quand soudain.« Driiiiiiiiiiinngg, driiiiiiiiiiiiinnngg »Je fus arrêtée par le bruit de la sonnette. J’étais en sueur, comme après un marathon, j’avais les cheveux en pétard et ma vulve était devenue toute rougeâtre... Mes doigts étaient encore fourrés dans ma fente, prêts à la faire exploser...Je voulais faire la morte, mais la sonnette n’arrêtait pas de sonner et je finis par remettre mon peignoir pour aller ouvrir. J’avais un sentiment de honte ou de gêne, ou du moins mon visage devait le refléter, j’espérais que la personne n’avait pas entendu les cris de la fille. Il fallait donc que j’attaque la première.
    Derrière la porte, se trouvait mon voisin, Mr Richards, la cinquantaine, bermuda, t-shirt et Tongue... Petit bonhomme bedonnant marié à une femme tout aussi grosse, mais surtout hautaine... Autant dire que je ne les appréciais pas trop, surtout elle...   _Oui ? C’est pourquoi ? Lui dis-je sur un ton ferme.  _ Heu, bonjour Mlle Laurence... Pardonnez-moi, je vous dérange ?!... Je vois que vous n’êtes pas habillée ?  _ Je viens de prendre une douche. Que me voulez-vous ?  _ Je... J’aurais besoin d’huile s’il vous plaît...  _ La semaine dernière, c’était du sucre et du pain...  _ Oui, pardonnez-moi... Mais ma femme oublie tout le temps quelque chose.  _ Bon, entrez, je vais vous donner ça....   _ J’espère que cela ne vous fâche pas... Sinon, ce n’est pas grave...  _ Mais si, entrez. Si on ne peut plus s’aider entre voisins....
    Je soupçonnais cet homme d’en faire exprès de me demander des services pour mieux me mater ou me sentir de près, surtout que j’avais encore l’odeur de mon gel douche sur la peau, « fruits de la passion ». D’ailleurs, en entrant, il se colla un peu trop à moi et soupçonnais un geste maladroit visant à me sentir de trop près. Je me disais que j’allais vite lui donner son verre d’huile et qu’il s’en irait tout aussi rapidement. Il faut dire, que mon bas ventre bouillonnait sous mon peignoir et je n’avais qu’une idée en tête, c’était de finir mon travail. Surtout que s’il n’était pas intervenu, je me serais finie dans une explosion de jouissance à en repeindre les murs, bien que je ne sois pas une femme fontaine.
    Puis soudain, une vision me glaça le sang, j’avais oublié mon ordinateur. Il était resté ouvert, le film en pose et l’on voyait le cul et la chatte de Kagney en gros plan, prise par deux grosses bites... Il fallait que j’abaisse l’écran de mon ordinateur avant que Mr Richards ne voie cela et se mette à propager des rumeurs sur moi... Mais je devais le faire élégamment, se jeter sur le pc aurait créé une autre situation ambiguë.... Déjà que ma figure rougit par la honte et en sueur laissait entrevoir un mystère que cet homme cherchait sans doute déjà à résoudre.
    J’aurais pu lui dire d’attendre sur le pas de la porte pendant que je remplisse un verre d’huile, mais il aurait eu la curiosité de jeter un coup d’œil dans le salon et d’entrevoir l’image honteuse. Je lui demandais donc de me suivre dans la cuisine.   _ Venez avec moi, vous me direz combien de litres vous en voulez ?!  _ Quelques centilitres suffiront... L’équivalent d’un verre...
    Je commençais à dérailler, je me mettais à dire n’importe quoi. Il faut dire que je n’avais qu’une idée en tête, fermer ce putain d’ordinateur. Je n’arrêtais pas de suinter du front...  _ Vous allez bien Mlle Laurence ?  _ Oui, ça va, ça va... C’est juste que j’ai invité deux amies à manger ce soir et je ne suis pas encore habillée...  _Oui, dans ce cas, je vais vous laisser...
    Je lui remplissais un verre et le protégeait avec du film alimentaire. Puis je l’accompagnais jusqu’à la porte et le laissais repartir...     Ouf, victoire, sauvée... J’avais eu chaud, mais le scandale était évité. Je retournais aussitôt dans mon salon et voulu appuyer sur pause, histoire de me finir. Mais il était déjà 17h et je me disais que j’avais besoin d’une autre douche. Il valait donc mieux couper le film tant qu’il était arrêté... Et puis, je pouvais tout aussi bien me finir sous l’eau et en ressortir vraiment propre, bien que j’aurais aimé me finir dans une extase jouissive. Je fermais donc directement mon ordinateur et le posait sur ma commode... Ensuite, je prie une nouvelle douche en me faisant mon petit plaisir...
    Venait maintenant le moment de choisir ma tenue, c’est que l’heure avançait et il me fallait en plus de cela, me coiffer et me maquiller. A vrai dire, j’hésitais sur trois tenues, un jean slim avec une tunique grise, une jupe plissée que je trouvais un peu trop sexy pour ce genre de soirée et ma petite robe noire à pois blancs qui m’arrivait à mi-cuisses... J’écartais tout de suite la jupe pour garder les deux autres tenues. Je les laissais bien en vue sur mon lit, pour bien m’imaginer dedans, du moins le temps que je me coiffe et me maquille... Après cette occupation qui me prit un temps fou, j’en revenais à ma question première... Que mettre ?! Le jean ou la robe, la robe ou le jean ? What is the question !

    C’est alors que la sonnette retentit... « Dddrrriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinngg ». Un seul coup mais très long... Je reconnaissais là, la façon à Eva de sonner. Merde, putain de merde, les filles étaient déjà là. Elles avaient 20 minutes d’avance et j’étais devant mes vêtements, totalement nue. Je n’avais même pas pensé à choisir un string... J’en attrapais un vite fait, le passais, ainsi qu’un soutif... Puis, je décidais de mettre ma robe, plus facile à enfiler que mon jean, surtout avec mes grosses fesses... Pour finir, je descendais les marches quatre à quatre, sans chaussures, finissant d’effacer les plis sur ma robe... J’ouvrais la porte et laissais mes deux amies me zieuter de la tête aux pieds comme si elles se doutaient de quelque chose...     _ Tu vois Manon, qu’est-ce que je te disais ? Elle n’était pas prête !    _ Mais si, j’étais prête.    _ Alors, pourquoi tu ne portes pas de chaussures ? me rétorqua Manon.     _ Ben, parce que.....    _ Parce que tu étais à poil voilà deux minutes !... Et si on était arrivée 30 min plus tôt, je parie que tu nous aurais ouvert avec la serviette autour du corps, les cheveux encore mouillés...    _Oui Manon, un p’tit coup sec et hop, notre Jessica se retrouverait à poil sur son palier....    _ Bon, vous avez fini ?.... Entrez !
    Je m’étais un peu vexée parce qu’effectivement, j’avais beaucoup de mal à gérer mon temps et je n’aimais pas qu’on me le rappelle.... Niveau vestimentaire, je trouvais Manon très classe, elle portait un chemisier blanc, une jupe noire, et des bas. Eva était en leggin noir et tunique longue, bleu clair. Au final, je me disais que j’avais bien fais de choisir ma petite robe à pois blanc. 3 styles différents pour des caractères tous aussi différents, encore que, toutes tournées vers le sexe.
    Je les invitais à se mettre à table, au salon, pour prendre un apéritif... Après leur avoir servi un Martini, l’on trinqua au plaisir d’être trois amies inséparables bien que cela ne faisait pas longtemps que je les connaissais... Après plusieurs verres, les sens commençaient à se libérer et la discussion se tournait vers le sexe.    _ Pourquoi tu restes avec ton mec ?! S’exclama Eva.    _ Quelle question.    _ Il doit bien te satisfaire avec sa bite !    _ Pas que.    _ Elle doit être grosse. Continua Manon.    _ Dans la moyenne.    _ Combien ?     _ 12 cm !    _ C’est tout ? s’écrièrent les filles.    _ Y’a pas que ça qui compte, il m’aime et il prend soin de moi.    _ Mon god fait 18 cm et il me donne autant de plaisir et ne se fatigue jamais, ajouta Eva avec un sourire en coin.    _ ça te manque pas une bonne vulve à lécher ?! Me sortit Manon en enfilant les dernières goutes de son verre.     _ Non... Pas plus que ça... Lui répondis-je en la resservant.    _ Ce n’est pas ce que je ressens quand on fait des scénarios sur Facebook.    _ C’est pas pareil, c’est du virtuel.     _ En tout cas, à chaque fois, je me prends une sacré jouissance quand tu me lèches la chatte....virtuellement ! s’exclama Manon en mimant le geste.    _ Ou qu’on se gouine comme des salopes ! Continua Eva.    _ Je ne suis pas d’accord avec toi Eva. IL est vrai que nos délires nous amène parfois à une jouissance réelle, des fois non, mais on n’est pas physiquement sur place. Il n’est pas sûr qu’on apprécie de le faire en réel. Quand je matte un film porno sur telle ou telle pratique, ça reste un fantasme, le réaliser réellement ne peut être totalement jouissif.    _ Pourquoi ne pas essayer ?
    Sur ces paroles, Eva se recula et écarta les jambes. Elle tirait le tissu de son leggin pour faire ressortir la forme de sa vulve. Elle commença à se la caresser.    _ T’aurais juste à venir entre mes jambes et à me lécher ma petite foufoune rasée. T’as du garder tes bons vieux réflexes de lesbienne ?!    _ T’es pas drôle Eva.
    Manon voyait bien que j’étais mal à l’aise, mais que j’avais une envie au fond de moi. Elle trouvait Eva trop direct, pas assez féminine. Il fallait juste que l’ambiance devienne juste un peu plus érotique pour me lancer sur ce chemin.    — Les filles, lança-t-elle avec son petit air coquin. Plutôt que se chamailler, et si on devinait la couleur de nos strings ?
    Une onde de choc me parcourut le corps, dans ma grande précipitation, je n’avais pas remarqué de quel couleur était le mien, je savais juste qu’il était sombre ... Je sortais aussitôt de table et courais en direction des toilettes, devant les yeux grands ouverts de mes deux amies... Puis je revenais m’assoir après avoir vérifié la bonne couleur, histoire de ne pas se tromper...    _ Je parie que t’es allée vérifier la couleur de ton string Jess ?! Me sortit Manon.    _ Meu non... Bon... on joue, lui lançais-je histoire de détourner la conversation.    — Du coup, la perdante aura un gage, nous annonça Eva. Jessica, vu que t’es allée vérifier ta couleur, tu perds déjà un point par rapport à nous...    On commença donc le jeu, Eva se concentrait et cherchait dans ses souvenirs de conversations quelle couleur j’aimais porter.    _ Je parie que tu portes un string noir ?!    — Et non, pas tout à fait. Manon, toi tu portes un string rouge.    — Non, ma chère Jess, pas cette fois ! Eva, toi, tu en portes un noir sans dentelle !    — Oui, bravo Manon. Tu gagnes 1 point. Jessica, donc le tien est bleu foncé avec de la dentelle ?!    — Pffffff.... Oui... Gagné !    Eva me fit un grand sourire. Je me tournai vers Manon.    — Manon, tu portes donc un string.... blanc.    — Et non, perdue... Il est rose orangé et entièrement en dentelle !
    Mes deux copines se mirent à rire, comprenant que j’étais la perdante de ce « stupide » jeu... Je me tournai vers elles pour entendre ma sentence. Eva parlait à l’oreille de sa complice et toutes les deux me regardaient avec un sourire malicieux, puis elle prit la parole.— Jessica, tu vas devoir nous faire un strip-tease... in-té-gral !— Ensuite, tu devras sortir en l’état, sur ta terrasse.— Ben non, pas deux gages ! C’est pas du jeu !— Ben si, un gage pour moi et un gage pour Manon. C’est logique !— Oui. Chacune t’a donné un gage, et on aurait fait pareil si l’une de nous deux avait perdu. — En plus, pour une salope comme toi, ça devrait te plaire ! Sortir nue dehors, au risque de te faire voir par tes voisins....
    Salope ! Le mot était lâché... Il était vrai que j’avais un peu cette réputation sur les réseaux sociaux, surtout quand nous faisions nos scénarios sur Fb... Il était juste que j’aimais m’amuser, mais comme je le disais, en virtuel, pas dans la vraie vie... D’un autre côté, l’alcool me montait au nez et je commençais à me sentir éméchée, joyeuse, prête à faire des folies... — Ok les filles, j’accepte vos gages. Je commencerai donc par vous faire un strip-tease puis je sortirai dehors... quelques secondes pour vous faire plaisir !
    Eva et Manon s’installèrent, confortablement dans le canapé. Moi, je mettais une musique du style 9 semaines et demi et commençai un déhanché endiablé. Je me remémorais la danse de cette actrice porno, je balançais mon popotin de droite à gauche en me caressant les hanches. Puis je faisais remonter le tissu de ma robe, histoire de leur en montrer un peu, mais pas trop... Je leur laissais découvrir le haut de mes cuisses. Je m’attaquais ensuite aux bretelles de ma robe que je faisais glisser sur mes épaules, sans oublier de les caresser tendrement au passage. Je n’oubliais pas non plus de faire virevolter ma longue chevelure blonde.
    En suivant la symphonie sulfureuse, je faisais remonter le bas de ma robe au-dessus de mes hanches et finis par l’enlever pour la balancer sur mes deux voyeuses.
    Mes mains me parcouraient le corps, partant de mes hanches, elles remontaient sur ma généreuse poitrine, la malaxant, la tripotant, faisant sortir mes tétons durcis par le plaisir. En effet, j’avais en tête les images des hommes baisant l’actrice porno, je revoyais les bites entrer et sortir, toutes durcies par le plaisir de prendre une vraie salope. Mes mains trahissaient ce plaisir, je me laissais partir dans mon délire et d’un geste ferme, je faisais exploser mes nichons, les faisant sortir de leur cachette... Les filles, qui au début riaient de bon cœur à une bonne blague, me regardaient maintenant avec envie et délice. L’ambiance devenait chaude et électrique.
    Une fois décroché, je balançais mon soutif à la figure d’Eva, que cette dernière renifla comme un chien renifle le cul d’une chienne en chaleur, imitée par Manon qui s’en était emparée d’un geste ferme. Je crus même qu’elles allaient me le déchirer en deux tellement elles voulaient le sentir. Moi, je continuais ma danse endiablée, seins nus, en n’arrêtant de me caresser le corps, puis passais sur mes hanches pour faire descendre légèrement le tissu de mon string.
    Tout en continuant mes gestes tendres, je décidais de me tourner pour leur offrir mon gros cul et ma belle croupe gourmande en me penchant en avant. J’écartais légèrement mes jambes et décidais de commencer à descendre mon string qui cachait mon précieux trésor. Ma position cambrée vers le bas donnait une vision où les filles se disaient qu’elles verraient à la fois ma chatte et mon cul, une situation hyper sexe ! Mon string descendait de plus en plus, et petit à petit mon entre fesses se découvrait, pour fini par libérer la vue de mon intimité en entier. Je me penchais encore plus pour le faire entièrement descendre et me relevais d’un seul bond.
    Je me tenais face à mes deux coquines qui ne rataient rien du spectacle, je tenais mon string au bout de mes doigts et leur faisais comprendre du regard que je me posais la question de la destinataire. Je finissais par le lancer loin derrière le canapé... Elles se jetèrent sur ce bout de tissu, mais c’est Eva qui s’en empara la première, le reniflant longuement. Manon se colla à sa copine pour en faire de même. J’étais complètement nue devant les filles, j’attendais qu’elles réagissent. Eva se leva.    _ Maintenant, va dehors et fais-nous un show !
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