Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 255 J'aime
  • 17 Commentaires

Les seins de ma mère!

Chapitre 5

Jouissance et révision

Inceste
La venue de tante « Yamina » a chamboulé notre quotidien, et surtout ma douce relation incestueuse que j’entretiens avec maman. On ne pouvait plus nous voir pour nos petites douceurs, ma tante reste tout le temps avec maman, et comme elle squatte ma chambre, aucun lieu n’est disponible pour maman et moi. Il est vrai que lorsque les rares occasions se présentent, je ne me prive pas pour donner un baiser furtif à maman, ou de lui toucher les fesses. Ces attouchements me rendent très excité, mais je me dis que quand ma tante rentrera chez elle, je pourrais profiter pleinement avec maman.
Pour me changer les idées, je me suis mis à réviser plus à la maison. En effet, j’ai raté de peu mon « BAC » l’an passé, et je me suis promis que cette année, je l’aurai avec une bonne moyenne. Je pense que c’est là le seul avantage que j’ai pu tirer de la venue de la tante chez nous. Les choses se passent ainsi, moi qui travaille d’arrache-pied et maman et sa sœur qui profitent entre sœurs. Le séjour de ma tante a duré plus de quinze jours, une éternité à mes yeux. J’ai bien eu une branlette de la part de maman dans le débarras, quand ma tante était occupée, mais j’aurais voulu rester avec maman, l’embrasser, la toucher, la caresser. Un soir, après avoir révisé tard, je décide d’aller regarder la télévision. En arrivant devant la porte, j’entends ma tante dire :
— Non pour de vrai ? Tu n’es pas sérieuse ? C’est une blague.— Non, tu voulais savoir, maintenant tu le sais alors ne prend plus la tête avec ça. — Mais Samia, c’est ton fils.— Je sais, c’est moi qui l’ai enfanté, tu ne pourras pas comprendre, mais cette relation me rend plus détendue, plus calme, je me retrouve, je me sens plus femme. - Et vous faites... ? - Quoi ? Sois plus précise, on s’embrasse, on se caresse, on se suce, on se lèche. Bref, on prend du plaisir l’un avec l’autre.— Non, mais est-ce qu’il... est-ce que tu le laisses... — Putain, est-ce qu’il te pénètre, c’est ce que tu veux dire ? — Oui.— Alors, dis-le, ce n’est pas la mer à boire, non, on n’est pas arrivé jusque-là, mais je ne suis pas contre.— Tu parles de ça normalement, mais c’est ton fils. — Écoute, ne me juge pas, si tu ne peux pas comprendre, c’est normal, mais ne me juge pas. En plus, ça nous va à tous les deux, ça me rend plus heureuse, plus vivante, et lui aussi donc... — Non, je ne te juge pas, ce n’est pas commun voilà tout, mais tu prends du plaisir.— Tu n’imagines même pas, il est doux, c’est un amant incroyable, il aime m’embrasser, il me lèche partout, il cherche mon plaisir comme je cherche le sien, c’est une expérience formidable. — Si ça te rend heureuse, je ne peux pas être contre, mais faites gaffe, ne le dis à personne. — Je ne suis pas folle, et lui non plus. — Oui je sais, ça doit te changer de ton mari. — Pff... Ne me parle pas de lui, il n’a pas essayé de me toucher depuis plus d’un mois, mais m’en fous, je prends mon pied ailleurs. — Je suis un peu admirative devant ton courage, je serai incapable de faire comme toi, mais j’aime bien le fait que tu vives pleinement ta vie. Quand je te vois heureuse comme ça, je me dis, au diable la morale et les convenances, le plus important est que tu sois heureuse.
Quelques jours après cette discussion, le mari de ma tante est enfin revenu de son voyage d’affaires et vient la chercher en début de soirée, sur le pas de la porte, tante Yamina me prend dans ses bras, me serre très fort, m’embrasse sur la joue, et me lance :
— Continue d’être un brave garçon et prends soin de ta maman.
— Sans faute, lui dis-je avec un large sourire.
Une fois parti, je monte directement dans ma chambre et continue mes exercices. Je voulais tout terminer pour être prêt la nuit. Une fois la nuit venue, maman entre dans ma chambre :
— Salut ! mon petit cœur, me dit-elle tout sourire.— Salut maman adorée, tu m’as manqué.— Vraiment ? Et pourtant, on vit ensemble, tu me vois tous les jours. Ou bien c’est ça qui t’a manqué?
Elle ouvre son peignoir, elle est toute nue, j’admire avec le peu de lumière qu’il y a son magnifique corps. Je sors du lit, je bande déjà. Je me rapproche d’elle et on s’embrasse. Un baiser fougueux, passionné. Je mets mes mains sur ses fesses et la colle contre moi. Maman enroule ses mains autour de mon corps, on s’embrasse à s’en couper le souffle. Je profite pour caresser la chatte de maman. Elle mouille beaucoup, je lui caresse délicatement son clitoris et vais vers sa vulve. Je retire mes doigts plains de mouille, et tire maman vers moi. Nous tombons sur le lit. Maman est couchée sur moi, les fesses à l’air. Je lui crasse la fesse puis glisse mes doigts sur son cul. Elle ne s’attendait pas à ce que je lui touche cette partie-ci. Elle sursaute et gémit de plaisir. Je continue à lui masser son anus. Je fais des cercles autour et au-dessus l’aide de mon doigt. Je sens que ses baisers sont de plus en plus passionnés. Je balade mon autre main sur son corps.
Maman finit par détacher sa bouche de la mienne, elle m’embrasse sur le cou, sur tout le visage, elle me lèche le visage avec sa langue.
Puis elle va doucement bisou par bisou du haut de mon torse vers ma bite. Je l’aide à retirer mon caleçon et elle se met à me sucer. Elle prend mon gland, puis avale directement le tout, elle arrive jusqu’à la garde de mon pénis. Elle me suce la bite de plus en plus vite, j’ai beau lui dire d’y aller plus doucement, mais rien, je finis par lui cracher tout mon foutre au fond de la gorge. Elle avale le tout sans sourciller.
Sans rien dire, je la vois monter vers moi à quatre pattes, elle fait mine de m’embrasser puis elle se retire. Elle vient s’asseoir sur mon visage. J’ai sa chatte en face de moi, je sens son odeur, j’admire la vue de sa chatte dégoulinante. Je ne résiste pas, je commence à embrasser, lécher et manger cette chatte maternelle. Je la sens plus douce, signe qu’elle s’est épilée récemment. Je prends chaque goutte de sa mouille, je lèche sa chatte partout où je peux. Je sens que maman répond à chaque coup de langue par un gémissement de plus en plus audible. Elle se couvre la bouche de la main pour étouffer son plaisir, mais elle ne peut résister, elle se jette un peu en arrière, elle ne tient plus en place, je sens qu’elle jouit. Je sens qu’elle essaye de se lever, mais je la prends par les hanches et colle encore plus ma bouche sur sa chatte. J’essaye de la pénétrer grâce à ma langue. Maman gémit de plaisir:
— J’en peux plus c’est bon..... Oui... Mon Dieu, ça m’a manqué. Je continue encore de lui manger la chatte, et je sens son jus de plaisir se déverser en moi.
Maman finit par tomber sur le côté. On s’embrasse encore puis elle me demande de venir sur elle. Je monte sur elle, mets mes jambes de chaque côté de son corps et lui présente mon chibre devant sa bouche. Elle le prend un peu en bouche. Puis me demande de le placer entre ses seins. Elle me dit que cette position s’appelle cravate de notaire. Je commence à faire des va-et-vient. La salive plus mon lubrifiant aidant, je glisse entre ses seins. Maman me demande de la regarder dans les yeux. On se regarde droit dans les yeux et je continue de me branler contre ses seins. Cette nouvelle pratique incestueuse me ravit au plus haut point. Quand je sens que je vais jouir, maman me demande de venir sur son corps. J’éjacule mon foutre sur son torse. Quand je sens que je vais jouir, maman me demande de venir sur son corps. On se couche ensemble sur le lit, on s’embrasse passionnément. Maman sourit de toutes ses dents. Et moi aussi, nous sommes heureux.
— Merci mon garçon, tu es magique.— C’est toi qui es magique maman chérie.- Bon, vu que le BAC arrive, je veux que tu te concentres sur tes épreuves OK ? Donc, pendant cette période, on va ralentir un peu pour te laisser te concentrer sur tes études, et une fois fini, te promet plus de choses, pleine, pleine de belles choses.
Connaissant maman, je n’ai pas souhaité la contredire, c’est vain. Alors j’accepte et lui promets de faire de mon mieux pour le BAC. Les épreuves du BAC durent chez nous, une semaine, une longue semaine sans relations intimes avec maman. Je me suis mis donc à réviser plus et à travailler comme un malade pour ne pas décevoir maman. La veille du BAC, maman est venue dans ma chambre. Elle s’installe devant moi, m’embrasse sur la bouche, on se câline. Puis elle baisse mon pantalon, sans rien dire, elle me touche la bite, les couilles, et commence à me branler. Elle s’arrête un moment, vient se placer entre mes jambes et commence à me sucer. Elle me suce en me regardant dans les yeux. Je lui caresse les cheveux, la tête. Le contact de la bouche maternelle avec mon pénis me transporte, je respire fort, je ferme les yeux parfois pour profiter du plaisir.
Mon cœur bat de plus en plus fort. Après quelques minutes, je ne résiste plus et je crache ma semence dans la bouche de maman. Elle m’embrasse et me dit que c’est un encouragement pour demain. Je pense qu’on ne peut pas rêver de meilleur encouragement qu’une belle branlette incestueuse, accompagné de doux baisers maternels.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live