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Les seins de ma mère!

Chapitre 6

L'homme de maman

Inceste
La semaine fut intense. Il est toutefois bon à noter que chez nous, on a deux épreuves par jour. On n’a pas vraiment le temps de souffler, on passe l’examen du matin, on revient à la maison se reposer un peu, pour retourner au centre d’examen pour le second examen de la journée. Vu que le centre est loin de la maison, je devais dormir très tôt, pour me réveiller de bonne heure. Je n’avais la tête qu’à ça. J’ai travaillé dur pour réussir et je sens que cette année, je ne le raterai pas. Le dernier jour en rentrant à la maison, je trouve maman dans sa chambre en train de préparer ses valises, je constate qu’elle a aussi préparé celles de mes frères.
— Salut maman !— Salut, mon ange, alors ç’a été aujourd’hui ?— Oui extrêmement bien, j’ai bien travaillé à l’examen, je pense que cette année, c’est la mienne. — Je n’en doute pas, tu as travaillé dur pour ça, tu le mérites. S’il te plaît, va préparer ta valise mon cœur.— Pourquoi, on va où ?— On va passer quelques semaines chez ta tante « Yamina », elle nous a gentiment invités.— Ah bon ! Et ça ne te dérange pas, avec son mari à la maison.
En réalité, je cherche là un prétexte pour ne pas aller chez elle, pour pouvoir continuer d’être libre avec maman, et profiter de nos moments intimes.
— Mais non, ne t’inquiète pas trop pour ça, son mari est absent comme chaque été pour son travail. Elle nous convie chez elle pour lui tenir compagnie, et pour que nous profitions avec elle de sa maison.
Il est vrai que nos situations sociales sont très disparates. Nous sommes relativement pauvres, et souvent, on a du mal à finir convenablement les mois, alors que ma tante a une superbe maison. Son mari étant un riche entrepreneur, ils se permettent d’avoir une demeure très spacieuse, rez-de-chaussée plus deux étages, plusieurs chambres et salle d’eau, un grand jardin et surtout un hammam traditionnel et une piscine. Ils vivent de façon très aisée, et je n’ai pas honte de le dire, ils nous viennent en aide très souvent. Nous prenons nos valises, et nous nous dirigeons vers la maison de ma tante. Nous y arrivons tard le soir, vers les 20h. Ma tante, heureuse de nous voir, nous accueille un par un, nous prend dans ses bras et nous fait plein de bisous, c’est dire qu’elle aime nous avoir chez elle. Je prends les valises et lui demande où est-ce que je devais mettre chacune d’elle. Sa réponse me laisse sans voix :
— Bon alors, celles ton frère et de ta sœur, tu les mets dans la chambre habituelle, et toi et ta mère, vous prenez la chambre au deuxième étage. Elle me fait un clin d’œil.
Je deviens tout rouge, je ne m’attendais pas à une allusion aussi osée et directe sur ma relation avec maman. Je baisse les yeux et fais ce qu’elle demande, je pose les valises des petits dans leurs chambres et je monte à l’étage pour voir notre chambre. La chambre est très grande, avec un grand lit au milieu, facile de deviner que nous allions passer les prochaines nuits dans cette chambre, maman et moi. Il y a une salle de bain qui jouxte notre chambre, une vraie suite parentale. Le soir après dîner, comme nous étions tous plus au moins fatigués par le voyage, nous décidons d’aller nous coucher. Ma tante prend sa chambre au premier, les petits gagnent leur chambre au même étage, quant au bébé, ma tante lui a réservé une chambre mitoyenne à la nôtre, de là, on pouvait l’entendre s’il pleure.
Je me mets en caleçon et attends que maman sorte de la salle de bain pour le rejoindre. Quand elle sort, je reste sans voix. Elle porte une très belle nuisette rouge quasi transparente qui me laisse entrevoir son magnifique corps. Elle a les cheveux attachés en queue-de-cheval. Sous sa nuisette, elle porte de très jolis dessus, rouge eux aussi, elle était très sexy. Je me lève pour l’accueillir :
— Tu es sublime maman.— Ce n’est rien que pour toi mon chéri.

Je la prends dans mes bras et commence à l’embrasser sur la bouche. Nos bouches se lient l’une à l’autre dans un baiser très passionné. Nos mains se baladent partout sur le corps de l’autre. J’entreprends des bisous sur le cou de maman qui commence à ne plus tenir debout. Je la prends par la main, la couche sur le grand lit qui est le nôtre, et continue de lui faire des bisous, sur son cou, sur ses épaules. Maman se redresse et je fais tomber les deux ficelles qui retiennent sa petite robe. Je profite aussi pour lui dégrafer son soutien-gorge. Je vois ses magnifiques seins sous mes yeux. Je lèche le sein droit, puis le sein gauche. Maman respire de plus en plus fort, elle me prend la tête pour m’encourager à rester plus sur cette zone. Je prends son téton rose dans ma bouche et je malaxe doucement son autre sein. Maman gémit de plaisir:
— ouiiii,........... continue,........... mmmm..... ouiii vas-y.
Ça me donne du courage pour continuer mes léchouilles incestueuses sur les seins de maman. Je descends doucement sur son ventre que je lèche avec ma langue, et j’arrive sur son vagin toujours couvert par sa culotte. Je mets des bisous sur ce vagin qui m’a vu naître. Ne tenant plus, je retire la culotte de maman sur le côté et commence à lécher les lèvres vaginales de ma mère. Elle mouille abondamment, plus que jamais, chaque contact de ma langue ou de mes lèvres avec sa chatte lui tire un irrésistible et doux gémissement de plaisir. Soudain, elle agrippe ma tête, je lève la tête, on se regarde droit dans les yeux « retire-moi cette fichue culotte, m’ordonne-t-elle ». Je ne me fais pas prier et je m’exécute. Elle lève son bassin un peu, et je lui retire doucement ce tissu. Elle m’aide en levant les jambes. Une fois retiré, j’ai son pied juste devant mon visage, j’y mets de doux bisous passionnés, en regardant maman qui me sourit.
Je continue mes bisous sur son pied, puis son mollet, ensuite sa cuisse, pour me retrouver nez à nez avec sa chatte encore une fois. Une chatte bien luisante de mouille, et très bien rasée, elle est déjà un peu ouverte tant elle est excitée. Je sors son bouton de sa cachette garce à mes doigts et le prends en bouche, maman hurle son plaisir sans gêne :
— Ouiiiiiiiiii....... le pied, oh oui continue, j’adoooooore........... ouiiiiiiiiii.
Mes léchouilles deviennent plus intenses, et les gémissements de maman le sont tout autant. Je colle ma bouche contre cette chatte maternelle, et j’aspire toute sa mouille. Entendre maman jouir bruyamment sans retenue m’excite au plus haut point.
Je monte pour embrasser maman, ma bouche dégoulinante de sa mouille. On s’embrasse et je sens qu’elle me retire le caleçon. Je l’aide à le faire. Puis elle me tire vers elle, je sens ma bite très dure, contre son vagin, maman la place face à l’entrée de sa chatte et pousse pour que je la pénètre. Surpris, je ne m’attendais pas à ça, je sens mon gland glisser doucement dans ses chaires chaudes et humides. Je regarde maman, qui sans rien dire, me fait comprendre que je pouvais continuer. Je glisse de plus en plus en elle. La sensation du pénis à l’intérieur du vagin est juste divine. Je n’ai jamais pensé que ça allait être aussi bon. Je continue de me glisser au fond de maman, j’apprécie chaque instant de cette pénétration. Une fois complètement enfouie en elle, je commence de légers va-et-vient, maman me prend la tête, et m’embrasse de pleine bouche. Je continue doucement de la pénétrer, mais je vois bien que mes coups de boutoirs ne sont pas aussi précis que je le veux.
Je commence à me perdre dans mes pensées. Maman le sent bien, alors elle me demande de continuer :
— Continue mon chéri, c’est bien, continue comme ça.
Je me reprends alors et accélère un peu le rythme de ma pénétration. Je respire de plus en plus fort, surtout quand je regarde maman dans les yeux. Elle plaque ses mains contre mes fesses, et dicte le rythme de mes mouvements. Elle gémit en fermant les yeux. Sentant que j’allais venir, je préviens maman :
— Je vieeeeeeeens....... je vais jouir !— Viens en moi mon chéri, viens en moi !
Je ne résiste plus longtemps, après un ou deux coups, j’éjacule tout mon foutre dans la chatte de maman. On s’embrasse passionnément, les mains de maman sont toujours collées contre mes fesses, elle ne me laisse pas me retirer tout de suite :
— Reste en moi, mon bébé, je veux te sentir en moi.
Nous restons quelques instants ainsi, puis je m’allonge à côté de maman. On ne dit rien, on ne fait que se regarder. Quel pied ! J’ai déjà éjaculé, mais je n’ai jamais joui autant. Maman met sa main sur ma bite qui reprend un peu de sa vigueur, elle me regarde et me procure un excellent massage, s’aidant de sa mouille et de ma semence. Je me jette sur elle pour l’embrasser de nouveau. Nos baisers sont plus bestiaux, moins doux, mais tout aussi bons. Maman vient sur moi, et s’allonge de tout son corps contre moi. Mon pénis étant bien dur, maman vient s’empaler sur moi. Je reste allongé sur le dos, je la regarde, elle s’approche de moi, m’embrasse et déclare :
— C’est la première fois que j’essaye ça, c’est grâce à toi.
Elle m’embrasse, son baiser est doux, beau et passionné. Elle se relève et commence à imprégner le rythme. Elle commence doucement puis accélère un peu. Plus elle accélère, plus ses cris de plaisir se font entendre :
— oui, le pied oui, c’est bon ahhhhhhh.......... ouiiiiiiiiiiiiiiii !
Comme je venais de jouir, il n’y a pas si longtemps, j’arrive à faire durer le plaisir plus longtemps. Je lui prends les seins avec mes mains, je les descends ensuite vers ses fesses que je caresse doucement. Sentant que j’allais venir, je m’agrippe à elle et me relève, je la prends fort dans mes bras et l’embrasse, puis nos couches se séparent pour laisser échapper nos râles de plaisir. Essoufflé, on se couche tous les deux dans le lit, maman sourit et moi aussi :
— Merci mon chéri, dès aujourd’hui, tu es mon homme, et je suis ta femme, on se fait du bien l’un l’autre, je m’offre à toi, et je t’apprendrai des choses sur la sexualité.
En guise de réponse, je l’embrasse, un baiser fougueux, je me colle à elle et nous nous endormons ainsi. Fatigué par ma nuit avec maman, je n’ai pas la lucidité pour réfléchir ou analyser, mais il me semblait bien que quelqu’un nous observait derrière la porte. Est-ce ma tante ? Était-elle vraiment là ou est-ce juste le fruit de mon imagination ?
À suivre...
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