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Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère

Chapitre 1

Hétéro
Après avoir profité de plusieurs belles histoires sur ce site, je vous propose à mon tour un beau souvenir de jeunesse. Bien sûr, celle-ci est maintenant bien lointaine, ce qui me permet d’enjoliver un peu certains moments...
J’avais donc 18 ans, et j’étais surexcité par la gent féminine, que je cherchais fébrilement (c’est le mot !) à découvrir. J’étais spécialement fasciné par les seins (heu, ça n’a pas beaucoup changé...) qu’on découvrait parfois légèrement dévoilés dans les magazines.
Un après-midi d’été, alors que je me paluchais voracement dans ma chambre, j’entendis sonner, puis ma mère discuter dans l’entrée. Je ne tardai pas à identifier la voix de « tante Monique » : c’était la meilleure amie de ma mère, je la connaissais depuis toujours, nos deux familles étaient proches et partaient souvent en vacances ensemble. Autant dire qu’elle n’éveillait vraiment rien en moi ! Déconcentré, j’abandonnai mon activité favorite pour aller la saluer poliment. Elles étaient assises à papoter tranquillement, ma mère me tournant le dos, et Monique face à moi. Après lui avoir fait la bise de rigueur, je m’assis en face d’elle, sans trop écouter la conversation. Et c’est là qu’elle se pencha pour attraper son sac, dévoilant un instant une magnifique paire de seins qui déformaient son tee-shirt rouge échancré ! Mon sang ne fit qu’un tour et mes yeux sortirent brièvement de leurs orbites : le temps d’admettre que Monique était une femme, et qu’elle me faisait un effet terrible.
Je baissai les yeux un instant, puis la deuxième surprise me scotcha littéralement : Monique me regarda plusieurs fois dans les yeux, comme pour dire : ça te plaît ? Je passai en un instant par toutes les teintes de rouge existantes, pour devenir écrevisse, j’étais en tout cas bien incapable de réagir.
Monique partie, sans m’avoir rien dévoilé de plus, je me précipitai dans ma chambre, et naturellement je repris immédiatement mon activité précédente, avec le résultat que vous imaginez !Mais immédiatement, je me posai mille questions : repenser à cette vision fugitive de ses seins et de son regard sur moi me faisait rebander immédiatement, mais enfin elle était mariée, amie de ma mère... avais-je rêvé ? Que faire ? Chercher à la revoir ? Mais comment ?
Bien entendu, Monique devint l’objet de toutes mes cogitations. Le soir même, je questionnai ma mère sur elle, en ajoutant que je ne la trouvais pas très en forme ! J’appris alors que son mari la trompait presque ouvertement, et que son moral était au plus bas. Et ma mère conclut sur un commentaire qui me stupéfia : tu sais, elle se laisse aller depuis un moment... elle qui était si jolie, maintenant elle a un « gros derrière »... et tu as vu sa poitrine ? Ma mère tenait elle beaucoup à sa ligne, et préférait visiblement ses petits seins rabougris !
Je passai alors une période d’intense réflexion : comment savoir si j’avais rêvé ou non ? Il me fallut plusieurs jours pour mettre au point une stratégie pour la rencontrer : il n’y avait en cette époque lointaine ni téléphone portable ni messagerie !
Cependant, la seule pensée de ce tee-shirt rouge échancré qui m’avait présenté deux seins magnifiques me revenait toujours, et ce regard, qui pouvait tout laisser supposer, alimentait mes séances solitaires...
Un mercredi enfin, le cœur battant la chamade, je vins en bas de chez elle, et j’appelai Monique depuis une cabine téléphonique : je lui expliquai que j’étais à la recherche d’un ami dans sa rue, mais que j’aurais besoin d’un annuaire pour trouver son adresse exacte. C’était compliqué et peu vraisemblable, mais fort heureusement elle mordit à l’hameçon et me proposa de monter dans dix minutes... (le temps de se préparer ?).
J’étais dans un état complètement fou, à la fois terrorisé (ça n’allait pas marcher, elle allait appeler ma mère pour tout lui raconter...) et excité comme une puce ! Il me fallut un bon quart d’heure pour me calmer, et me composer une allure à peu près normale. Tremblant de peur, je finis par sonner à sa porte.
Elle m’ouvrit, souriante, et me fit la bise classique avant de me faire entrer dans son grand salon que je connaissais bien. J’en profitai naturellement pour la regarder « de près » : oui elle n’était plus jeune, assez ronde, mais je la trouvai très excitante, et je commençai déjà à bander ! Surtout que si elle ne portait pas le tee-shirt rouge de la dernière fois, ses seins voluptueux étaient bien mis en valeur par un chemisier légèrement transparent et un léger maquillage mettait en valeur ses beaux yeux verts.
Maintenant assis en face d’elle, je n’avais plus le choix, il fallait se lancer... ou repartir la queue entre les jambes ! Quelques minutes de conversation banale, un coca... il fallait y aller, alors que Monique ne semblait pas décidée à m’aider. Me serais-je complètement trompé sur son attitude ?
Pour me donner du courage, je me levai et m’approchai de la grande baie vitrée qui offrait une vue magnifique. Elle me rejoignit et me décrivit les différents immeubles et jardins ; prenant mon courage à deux mains, je commençai une manœuvre de rapprochement, par un subtil glissement vers elle. Nos corps étaient tout proches, et je me plaçai lentement légèrement derrière elle. Je sentais sa respiration accélérer un peu, tandis que sa conversation s’arrêtait progressivement.
Après une dernière hésitation, je m’enhardis à placer ma main sur son épaule ; c’était l’instant de vérité, et je n’osai aller plus loin. C’est alors Monique qui, sans un mot, se rapprocha lentement, au point de se coller à moi. Elle sursauta en effleurant ma bite qui me semblait alors en acier, et commença en se frottant doucement dessus en respirant plus fort. Elle chuchota alors : c’est moi qui te fais tant d’effet ? Je lui répondis que je l’avais trouvée très belle « la dernière fois ». Elle sourit : message reçu ! Elle se tourna alors vers moi, et passa d’un mouvement sensuel sa main sur son sein gauche. Ils te plaisent tant que ça ? Tu ne me trouves pas trop vieille, trop grosse ? Je la pris dans mes bras sans rien dire, elle ouvrit sa bouche sur la mienne pour un premier baiser – mon premier baiser – tellement bon que je crois encore aujourd’hui sentir ses lèvres sur les miennes.
Je ressens toujours le premier contact avec ses lèvres, puis sa langue qui rapidement me caressait les dents, puis cette sarabande entre nos deux langues qui dura, dura...
Elle se doutait bien de mon inexpérience, et sans mot dire prit les choses en main : terriblement tactile, elle glissa une main sous ma chemise et me caressa la poitrine, jusqu’à trouver un mamelon qu’elle fit tourner entre ses doigts. Me voyant sur le point de craquer, elle retira sa main et porta ses doigts à sa bouche, les léchant doucement en me regardant dans les yeux, avant de retourner masser mon mamelon. Défaisant lentement les boutons de ma chemise, elle me couvrit de bisous d’une sensualité inouïe pour moi tout en continuant de promener ses mains partout.
J’étais naturellement complètement libéré, et je pris à mon tour l’initiative pour me rapprocher de l’objet premier de mon fantasme : ses seins ! Après quelques difficultés pour trouver la fermeture éclair, je réussis enfin à les libérer et, complètement déchaîné, je palpai, léchai comme un fou ses magnifiques globes. Ils étaient ronds et majestueux, légèrement tombants, mais tellement doux, accueillants... et sensibles !
Rapidement arrivés sur son canapé, les baisers reprirent tout aussi frénétiquement. Je compris vite que Monique était elle aussi vraiment excitée : toujours sans parler, elle me couvrait de baisers et de caresses des mains, de la langue... ou des seins qu’elle employait diaboliquement ! De mon côté, je découvrais que j’étais aussi attiré par d’autres parties de son corps : ses belles fesses se tenaient encore fort bien et je les pétrissais furieusement alors qu’elle se frottait à nouveau sur mon sexe libéré et qui ne demandait que cela. Elle ne parlait pas, certes, mais laissait échapper des râles de plus ne plus rapprochés et me regardait avec un regard dans le vague très explicite. Alors qu’elle me chevauchait et que je croyais qu’elle allait chercher à s’empaler sur moi, elle s’avança, me retirant ses seins de la bouche. Je découvris alors le bonheur de pratiquer un cunni. Elle était absolument trempée, ce qui me surprit d’abord, mais me ravit très rapidement.
A cheval sur ma bouche, elle me fit lécher sa chatte pendant de longues minutes. Surpris tout d’abord, j’ai tellement aimé cela que j’étais sur le point de jouir moi-même quand Monique, tremblant et poussant des cris inarticulés, arriva à un orgasme formidable, m’aspergeant du même coup d’un incroyable flot de mouille. Après un long moment d’extase, elle vint s’allonger à côté de moi, me faisant gentiment comprendre que je devais arrêter un peu de la fouiller comme je le faisais avec ravissement.
Elle me regarda avec tendresse, mais réalisa, un peu gênée tout de même, que mon visage et mes cheveux étaient maculés, ainsi d’ailleurs que le canapé en cuir ! Elle se leva donc et alla chercher une serviette pour m’essuyer délicatement... ce qui dégénéra rapidement en un french kiss aussi endiablé que les précédents. Elle se décolla pour me regarder et se jeta de nouveau sur moi : mes seins d’abord, auxquels elle se fit un devoir de réserver un long traitement, puis tout mon corps à base de petits bisous, assortis de délicats coups de langue... irrésistibles !
Ben entendu, elle ne tarda pas à se trouver au voisinage immédiat de mon sexe qui offrait un aspect violacé caractéristique d’une situation d’urgence. Elle me caressa délicatement du bout des doigts, puis approcha lentement son visage. Cet instant est peut-être celui qui est resté gravé en ma mémoire avec le plus de force... il s’agissait tout de même d’un dépucelage ! Quand ses lèvres s’écartèrent pour me prendre en bouche, j’avais littéralement mal tellement j’étais dur et obligé de jouir. Il ne fallut pas plus de dix secondes pour que j’éjacule avec une violence incroyable. Si Monique reçut en bouche les premiers jets, elle se retira vite pour ne pas périr étouffée, alors que sous la violence de cet orgasme, je perdis un instant la notion du temps.
Après ce premier épisode, il nous fallut à tous les deux un moment de récupération, à base de câlins et de douces caresses. Sur mon épaule, elle me confia que son mari ne la touchait plus depuis longtemps, et qu’elle tentait de ne plus penser au sexe... jusqu’à l’épisode qui démarra notre histoire. Elle me jura ne pas avoir alors pensé m’allumer en me montrant son décolleté, mais qu’elle s’était posé depuis plein de questions en pensant à ma réaction. Finalement, jusqu’à mon appel cet après-midi, elle avait conclu que je ne pouvais pas être réellement intéressé par elle, tant nous nous connaissions depuis toujours.
Bien entendu, je n’imaginais pas rester à papoter comme ça toute l’après-midi, mais j’ignorais si elle souhaitait reprendre nos ébats ou si elle était encore fatiguée après sa première jouissance... la réponse vint très rapidement : comme je caressais doucement ses chers seins, une certaine agitation se manifesta à mon entrejambe, et la coquine ne fut pas longue à s’en apercevoir. Je décidai de retourner la lécher, tellement j’avais apprécié ma première leçon. Mais Monique avait une autre idée et, s’allongeant sur le dos, me fit venir sur elle en missionnaire.
A défaut de chatte, je repris les baisers profonds, en appréciant au passage qu’elle ait pris le temps de se rincer la bouche. Avec une émotion visible, elle prit mon membre en main, et après un petit échauffement l’introduisit en elle tout en poussant des soupirs de plaisir. Je ne fus pas long à trouver les mouvements et le rythme qui nous convenaient. Sans jouir rapidement (à ma grande surprise !) elle manifestait par tous les moyens son plaisir et ne cessait de m’embrasser à pleine bouche. Puis me faisant relever, elle m’allongea à mon tour pour m’enjamber et venir en amazone. Imprimant son rythme, elle alternait les phases très redressées, pour me faire admirer ses seins, avec de nouveaux french kiss ou des séances de léchage de ses seins dont elle était aussi friande que moi. J’étais très fier du plaisir que je lui apportais si visiblement !
Après un long moment, et alors que je sentais venir les prémices d’une nouvelle jouissance, Monique choisit de se relever... pour se positionner en 69. Excités comme nous l’étions, ce final ne pouvait pas durer très longtemps ! Je repris mon léchage tout aussi frénétiquement qu’avant, mais, guidé par de petits signes de ma chère partenaire, j’abordai plus délicatement son clitoris, en alternance avec ses lèvres. M’enhardissant, je tentai même d’aborder le petit anneau frippé qui me faisait de l’œil. Surprise, Monique eut un bref mouvement de recul, avant de se rapprocher de ma langue qui ne demandait que cela. C’est ainsi qu’elle repartit pour une seconde jouissance, aussi forte que la première, mais assortie cette fois de cris et de commentaires flatteurs, pour ma langue, mon sexe, qui la rendait folle... Au bord de la jouissance, elle me branla vigoureusement en me suppliant de jouir avec elle, ce que je fis naturellement de bonne grâce !
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