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Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère

Chapitre 2

Hétéro
En cette fin d’après-midi d’été, il faisait décidément bien chaud dans l’appartement de Monique ! Légèrement sonnés par l’intensité de ce moment, et repus de sexe, nous nous caressions gentiment en attendant que la tension baisse.
Monique, que je croyais encore assez pudique, me prouva vite le contraire : sans aucune gêne, elle m’expliqua à quel point elle avait apprécié ma façon de lui faire l’amour, et ajouta, avec un sourire coquin, que nous nous étions très vite « trouvés ». Et elle me confia même qu’entre ma langue « délicate » et ma belle queue, elle allait encore se régaler, bien plus qu’avec son mari ! J’étais bien incapable de lui en dire autant, à cause d’un reste de timidité... aussi je préférai promener ma langue un peu partout sur son corps, ce qui n’avait pas l’air de la contrarier ; elle était au contraire de plus en plus réceptive à mes caresses, ce qui m’incita à utiliser aussi mes mains un peu partout. Mais alors que je me rapprochais petit à petit de sa belle chatte encore humide, et qu’elle manifestait son accord par des soupirs non équivoques, elle se redressa d’un bond : Mon Dieu quelle heure est-il ? Jean-Luc va rentrer !
Son fils Jean-Luc était censé depuis toujours être « mon copain » (même si nous n’avions rien ou presque en commun). Mais de là à me trouver au lit avec sa mère... Monique se leva donc en vitesse, et commença par ouvrir les fenêtres pour aérer au plus vite, oubliant qu’elle était en tenue d’Eve ! Si je fus frustré de la voir s’éloigner, je fus aussi ravi de pouvoir la regarder à poil. Elle bougeait avec une grâce surprenante, et le mouvement simultané de ses seins et de ses fesses me semblait le comble de l’érotisme. En passant près de moi, elle me jeta un regard coquin, mais m’échappa quand je tentai de l’attraper au passage. Non, pas maintenant, rhabille-toi, il va arriver ! J’obtempérai, tout en lui faisant remarquer la tache qui ornait le canapé ! Rouge de confusion, elle trouva un plaid à jeter dessus... en espérant que son fils n’allait pas choisir de s’assoir là. Une fois habillés tous les deux (je l’avais un peu retardée en prétendant l’aider à accrocher sous soutif) nous repartîmes dans un long baiser, qu’il fallut interrompre brutalement, une clé tournant dans la serrure.
Je n’eus que le temps de me jeter sur l’annuaire (mon prétexte de visite) pour me donner une contenance, quand dans l’entrée apparut Jean-Luc. Un peu surpris de me trouver là, il ne parut rien remarquer de spécial, et se montra attentionné avec sa mère, s’inquiétant de son moral visiblement fragile. Tout en le rassurant, Monique me fit un énorme clin d’œil, signe que le moral allait déjà beaucoup mieux ! Alors que son fils était sorti un instant, Monique, sans se lever de son siège, recommença à se caresser lentement les seins, tout en passant un petit bout de langue sur ses lèvres et en me regardant d’un air provocateur. Hypnotisé, j’étais incapable de détacher mes yeux du spectacle qu’elle m’offrait, tandis que mon jean venait de se révéler trop petit de deux ou trois tailles. Je ne pus que lui sourire en sortant moi aussi ma langue, tandis que Monique, complice, abandonnait son jeu au retour de son fils.
Je commençais à trouver le temps long, car Jean-Luc ne manifestait aucune envie de partir. Monique s’en rendait bien compte, m’excitant autant que possible dès qu’il lui tournait le dos, mais sans pouvoir bien entendu faire partir l’importun ! Elle ne cessait maintenant de croiser et décroiser ses jambes, laissant sa main sur une cuisse, et la remontant lentement dès que possible vers sa chatte que j’adorais déjà. Au bout d’un long moment, je décidai de me retirer (de l’appartement), mes excuses vaseuses pour rester encore commençant à être vraiment laborieuses. Et je partis donc sur une simple bise à Monique, alors que j’en espérais tellement plus !
Heureusement, dans la conversation, Jean-Luc apprit à sa mère qu’il ne dînerait pas avec elle partant retrouver des amis. Je fis aussitôt signe à Monique que j’allais attendre en bas de l’immeuble que la voie soit libre. Je retournai dans ma cabine téléphonique d’où, après un long moment, je vis enfin Jean-Luc partir vers le métro à grandes enjambées.
Sans demander mon reste, j’entrais à nouveau dans l’immeuble, bien plus à l’aise que quelques heures auparavant ! Sortant de l’ascenseur, je frappais vigoureusement à la porte de Monique, qui m’accueillit... chaleureusement. Un merveilleux et interminable baiser débuta cette nouvelle séquence. Il fallait rattraper le temps perdu ! La langue de Monique chercha immédiatement la mienne pour un doux ballet. Ses mains parcouraient mon corps, dégageant mon tee-shirt avant que cette petite langue diabolique ne s’attaque une nouvelle fois à mes tétons qui n’attendaient que ça. Caressant ses doux cheveux, je la laissais faire avec ravissement, avant de rechercher sa bouche pour un nouveau french kiss de plus en plus brûlant. Bien entendu, je n’attendis pas longtemps pour retrouver ses seins, qu’elle m’avait fait sensuellement admirer pour me faire attendre.
Mais au moment où j’allais descendre la première bretelle de son soutien-gorge, la sonnerie de la porte retentit ! Le temps de se « rafistoler » comme dit Monique, elle alla ouvrir. Cette fois, pas de Jean-Luc, mais sa sœur Blandine. Je ne l’avais plus vue depuis très longtemps, et elle était devenue vraiment belle ; à peine plus jeune que moi, nous avions beaucoup d’affinités depuis toujours. Euh, il faut dire que c’est avec elle que j’avais joué pour la première fois au docteur, sans toutefois aller très loin.
Comme son frère auparavant, elle se montra étonnée, mais plutôt contente de me voir là, et surtout très chaleureuse avec sa mère, la prenant dans ses bras pour l’embrasser et s’assurer de son état. Je ne pus m’empêcher d’admirer leur proximité, moi qui n’avais que des rapports minimums avec ma propre mère. La conversation qui suivit fut bien plus agréable qu’avec son frère, et je crus même comprendre que Blandine n’était pas tout à fait insensible à mon charme. Mais en attendant, le temps passait et Monique ne pouvait que me lancer des regards complices. Elle reprit son jeu de séduction en se caressant le sein gauche... sauf que sa fille se retourna au mauvais moment et la contempla d’un air étonné. J’avais heureusement eu le temps de détourner la tête !
Très gêné par cette alerte, je choisis de ne pas davantage tenter le diable, et je pris congé de ma nouvelle maîtresse et de sa fille, non sans regrets, et surtout sans trop savoir quand j’allais pouvoir la retrouver : cette histoire, je le répète, s’est déroulée à une époque lointaine, où messageries instantanées et même téléphones portables n’existaient pas. Comment donc pourrions-nous nous revoir ?
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