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Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère

Chapitre 4

Hétéro
Ce matin, je me réveille... heureux ! Hier, comme avant-hier, j’ai passé des heures merveilleuses auprès de ma maîtresse Monique. En deux jours, j’ai perdu mon pucelage et j’ai appris plus de choses sur les femmes que je n’en ai apprises sur la gestion en une année de cours à la fac. Et nous avons encore rendez-vous cet après-midi ! Quel bouleversement dans ma vie, surtout que la femme qui m’a tout appris n’est autre que la meilleure amie de ma mère, intime au point que les deux familles ont passé plusieurs vacances ensemble et se voient régulièrement !
Comment aurais-je pu imaginer que cette femme qui me connaît depuis ma naissance ou presque, et que je considérais presque comme ma tante, allait se laisser séduire, et plus encore me révéler une nature aussi volcanique ? Bien sûr, j’avais entendu dire que des tantes complaisantes se chargeaient parfois de déniaiser leurs neveux, mais là, nous avions, en à peine deux jours, été beaucoup, beaucoup plus loin avec Monique : je me demande même quelle est la nature de ses sentiments à mon égard ; elle m’a bien dit qu’elle aussi avait presque découvert avec moi à quel point elle aimait le sexe !
Je me prépare pour aller en cours tout en pensant à ces deux journées, et en me demandant où tout cela va me mener : je n’imagine pas de cesser de rencontrer Monique, mais comment se cacher dans un contexte pareil ?
La matinée se passe avec les mêmes réflexions, mais elles s’atténuent au fur et à mesure que le moment de retrouver Monique se rapproche. Et même la jolie Véronique, que je draguais depuis plusieurs semaines, ne me fait pas changer d’idée.
J’arrivai donc chez Monique un peu en avance sur notre rendez-vous ; pas grave, je vais lui faire la surprise, et je sonne donc, avec l’idée de lui faire sentir immédiatement à quel point elle m’excite !
Elle vient m’ouvrir, m’embrasse goulûment... mais brièvement, et m’indique que sa femme de ménage est encore là pour quelques minutes. Je contemple quelques instants cette femme dont j’ai une envie terrible, et avec qui j’ai une relation si ambiguë. Ses yeux verts, ses cheveux mi-longs... ses seins !! Ses fesses... rhaa ! Je me retiens de lui sauter dessus trop vite, et je passe me laver les mains dans la salle de bains.
Et là... je découvre que la femme de ménage est là, à quatre pattes, en train de frotter le bidet et me présentant un adorable cul rond, bien serré dans une petite jupe noire ! Elle termine son ouvrage, et se relève pour me saluer gentiment : bonjour vous êtes Eric ! Je sais que Monique vous attendait avec impatience ! Je la connais bien... Moi je suis Emilia. Elle est jolie ma foi, et semble adorable. En ayant fini de la salle de bains, elle se dirige vers la cuisine.
De retour au salon, je retrouve Monique, aussi excitée qu’hier : tu m’as rendue folle hier, figure-toi que je n’arrivais pas à m’endormir, j’ai dû me caresser en pensant à toi tellement j’étais excitée ! Tu es aussi en forme qu’hier ? Et de se rapprocher de moi, pour m’enlacer et commencer à me rouler une pelle d’enfer. Euh, je crois qu’Emilia est encore là, objectai-je. Ne t’inquiète pas, elle va s’en aller, ce n’est pas grave. Je me laissai donc faire avec délice. En deux minutes, Monique eut retiré son chemisier, sous lequel ses adorables seins vivaient tranquillement leur vie : pas de soutif ! Bien entendu, je me jetai dessus, et les suçai en tout sens, les malaxant, les croquant...
Monique apprécie autant qu’hier et émet des sons divers qui ne laissent aucun doute sur son état. Je commence à la connaître, et je sais bien qu’elle espère se faire sucer aussi longuement qu’hier. Je commence donc un petit voyage sur tout son corps, avec l’idée pas très charitable de la faire attendre un peu. Ma langue retrouve donc son cou, ses épaules descendent tranquillement jusqu’à son nombril, pourtant pas très sensible, et sautant l’obstacle, aborde directement l’intérieur de ses cuisses, où la peau est si douce. En passant derrière les genoux, j’arrive à ses pieds que je cajole longuement... un peu trop longuement pour Monique qui me supplie de remonter en se tortillant en tout sens. J’envoie donc quelques doigts en éclaireurs, mais ceux-ci remontent jusqu’à ses seins qui se retrouvent de nouveau malaxés. Je sens bien que Monique est déjà prête à jouir, et j’aborde enfin sa chatte déjà trempée. Pour moi aussi, ça commençait à être long !
Je plonge donc avec délice dans son sexe grand ouvert, le parcourant de haut en bas, léchant, avalant son jus, avant d’aborder son clito brûlant : en quelques instants, c’est le feu d’artifice et Monique jouit longuement, en poussant des cris inarticulés.
Il ne faut que quelques instants à Monique pour retrouver ses sens ; elle se penche vers ma queue en me disant qu’elle aussi lui a manqué hier soir ! Pour me rendre la monnaie de ma pièce, elle prend tout son temps et commence par me branler lentement, en soufflant légèrement ; son autre main descend vers mes couilles qu’elle caresse gentiment. Amenant un doigt à sa bouche, elle le suce en me regardant dans les yeux et l’amène sur mon périnée qu’elle parcourt plusieurs fois, non sans revenir humidifier son doigt. La coquine a bien noté que la couleur violacée de mon gland appelle une action rapide de sa part, mais elle approche progressivement sa bouche, commence à parcourir ma bite avec les lèvres fermées, puis arrivée à la base de l’objet de ses convoitises, sort sa langue pour commencer à me lécher. Fort heureusement pour moi, Monique est aussi gourmande que moi, et ne peut résister bien longtemps : elle adore sucer ma queue !
C’est ainsi qu’elle l’embouche, avec difficulté tant je bande fort, parcourt mon gland de tous côtés et adopte un rythme de plus en plus élevé, en avalant de plus en plus loin. Je ne peux pas résister à ce traitement, et le résultat ne se fait pas attendre : Monique est une nouvelle fois aspergée de sperme et comme hier, n’a pas pu se protéger ni le visage, ni les cheveux, ni surtout les yeux, ce qui est moins confortable, et l’empêche de jouir avec moi comme elle le voulait !
Elle doit donc m’abandonner quelques minutes, ce qui me permet de récupérer un peu aussi.A son retour, comme elle a de la suite dans les idées, elle se place à quatre pattes pour amener son sexe tout frais devant ma bouche, et commence à le caresser doucement de ses doigts. Le résultat est naturellement immédiat, et ma langue repart explorer cette chatte adorable, pour son plus grand bonheur.
J’ai déjà recommencé à bander dur quand je crois entendre Monique pousser un cri, entre deux soupirs de satisfaction. Je tends l’oreille (autant que possible dans ma position), mais impossible de lui répondre plus que mhhh ? Et là... j’entrevois la jolie Emilia qui du bout de la pièce, se caresse doucement la chatte en nous regardant !
Stupéfaite, Monique s’écarte de moi pour interroger sa femme de ménage qui, rouge pivoine, bredouille une explication incompréhensible. Je vous croyais partie ! Vous nous regardiez depuis longtemps ? Emilia avoue que oui, depuis mon arrivée, elle m’a trouvé très à son goût, et qu’elle nous a entendus crier, ce qui l’a terriblement excitée. Elle ajoute qu’elle va partir tout de suite. Monique est terriblement gênée par la situation et son excitation est retombée d’un coup... mais moi je suis beaucoup moins gêné, et au contraire la présence d’Emilia m’ouvre des perspectives inattendues ! Je propose donc à la belle de venir près de nous, ce qu’elle finit par accepter en hésitant, mais Monique n’est visiblement pas prête à la faire entrer dans nos jeux et accepte juste de la faire asseoir en face du canapé.
Et là, aucun doute, Emilia ne serait pas contre l’idée d’aller plus loin, tant elle se plaît à nous faire voir ses belles jambes en remontant sa petite jupe un peu plus que nécessaire. Mon orgueil en prend bien un petit coup quand je comprends qu’elle est aussi attirée par Monique que par moi, mais j’imagine déjà les voir ensemble, ce qui m’excite à mon tour terriblement. Il faut cependant y aller doucement, pour ne pas braquer ma maîtresse, et je préfère laisser Emilia partir... non sans qu’elle nous ait gratifiés tous les deux d’un gentil bisou sur les lèvres.
Je suis encore très excité, mais le charme est un peu rompu et Monique ne souhaite pas reprendre nos travaux pratiques. La tête reposant sur un de ses seins, je lui parle de sa femme de ménage en lui demandant depuis combien de temps elle travaille pour elle, comment elle la trouve... elle l’emploie depuis trois mois, et elle en est très satisfaite : elle est sérieuse et travaille bien. En creusant un peu, je finis par lui faire avouer qu’elle s’est déjà rendu compte qu’Emilia la regardait parfois avec attention, comme si elle l’admirait. J’en conclus que cette coquine est amoureuse de Monique, qui dans le fond le sait bien... mais sans n’avoir jamais osé sauter le pas. Je profite de mon avantage pour remarquer qu’elle est vraiment jolie, et qu’elle doit être très douce. En riant (on ne sait jamais), je conclus qu’un petit câlin avec elle serait sûrement très agréable. Monique ne le prend pas très bien, et me demande si j’en ai déjà assez d’elle ?
Je lui glisse dans l’oreille que non, bien entendu, que ce serait avec elle, et qu’Emilia saurait sûrement lui faire beaucoup de bien. Elle ne dit pas vraiment non, mais ne se dit pas prête à me partager ! Je vais devoir me montrer diplomate !
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