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Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère

Chapitre 6

Hétéro
Après avoir attendu plusieurs jours le feu vert, je pris enfin le train gare St Lazare vers la Normandie pour retrouver ma charmante initiatrice, Monique. A vrai dire, je n’étais pas rassuré en pensant au scénario concocté avec Blandine, sa propre fille, qui rêvait de se joindre à nous ! J’avais beau savoir que Monique s’était révélée spécialement chaude depuis que nous faisions si bien l’amour, l’idée de voir débarquer sa fille avait toutes les chances de la braquer et même de la rendre furieuse en comprenant que nous avions tout organisé.
Monique vint comme prévu me chercher à la gare. Il faisait beau et chaud, et elle avait délaissé le tee-shirt rouge pour une robe légère à fleurs, décolletée et plutôt courte. Bien coiffée et maquillée légèrement, elle était à croquer, et c’était bien mon intention !
Dès le hall de la gare, elle m’enlaça et m’embrassa en se cramponnant à moi de longues minutes, à la grande satisfaction d’un groupe de jeunes qui admiraient la scène. Naturellement, je bandai presque immédiatement, et mon jean une fois encore se révéla trop petit. Nous nous réfugiâmes dans sa mini que je connaissais bien, et qui était toujours aussi petite... mais il n’était pas question de nous arrêter : nous étions l’un comme l’autre en manque depuis une semaine ! C’est ainsi que les seins de Monique furent pelotés presque au grand jour, et que mon érection ne pouvait être ignorée par personne !
Après que nos retrouvailles aient largement contribué à l’animation du quartier de la gare, si on en juge par le nombre de « flâneurs » autour de la voiture, Monique décida de démarrer, « pour éviter de faire la une du journal local », et dix minutes plus tard, je découvris le charmant « moulin », propriété du père de Monique qui nous l’avait abandonné, contraint et forcé. Le cadre était vraiment charmant, le ruisseau avec son moulin, le grand jardin et sa piscine, les nombreuses chambres disponibles... tout exhalait la beauté et la sensualité.
Sagement, nous avons démarré sur la terrasse par un rafraîchissement bienvenu. Monique, allongée lascivement sur une chaise longue, me regardait avec amour, et reprenait son jeu favori de se caresser les seins, sauf que cette fois, aucun importun ne se mettrait entre nous. Tout en sortant la pointe de sa langue pour se lécher les lèvres, elle mettait ses seins en valeur en tournant autour, en agaçant leurs pointes. Sa robe légère n’allait de toute évidence pas résister très longtemps. Monique la fit descendre lentement de ses épaules, et glissant ses doigts dans son soutien-gorge, elle caressa directement ses seins en me les présentant de plus en plus près de mon visage. Elle avait cette fois un regard que je ne lui connaissais pas... mais oui, un vrai regard de salope ! Sûre de son effet, et de ce qui allait arriver, elle était l’image même de la provocation !
Robe, soutif, descendirent rapidement et Monique, haletante, me fit comprendre qu’il n’était que temps de me rapprocher. Elle adorait ce jeu avec moi et était déjà très proche de jouir quand je me mis à genoux pour être à sa hauteur. Écartant les restes de la robe, je plongeai directement vers son sexe. Elle était absolument trempée, et accueillit mon initiative avec un long cri de satisfaction, qui se transforma en quelques minutes en un long hululement, accompagné de mouvements désordonnés caractéristiques : Monique jouissait intensément, et j’adorais la contempler dans ces instants où elle perdait véritablement le contrôle ! Après quelques instants, je m’allongeai sur la terrasse chauffée par le soleil, et elle me rejoignit pour me déshabiller à mon tour, après quoi elle se plaça immédiatement en soixante-neuf et attaqua directement ma queue qui ne demandait pas mieux.
De mon côté, pensant qu’elle allait devoir récupérer un peu, j’embrassai plutôt ses cuisses, le tour de sa chatte, ses fesses... mais Monique était vraiment déchaînée, et me demanda, abandonnant ma bite quelques instants, de la lécher partout, et de la faire encore jouir. Pourquoi résister à une telle demande quand, comme moi, on pourrait passer des heures à lécher le sexe d’une femme ? Je plongeai donc dans sa chatte qui devenait une vraie fontaine, passant des parois de son vagin à ses petites lèvres, et bien sûr à son clito adoré ! Son sexe coulait tellement que j’avais le visage entièrement maculé de cyprine, et que je la sentais descendre le long de ma nuque et de mon cou ! De mon côté, j’abandonnai rapidement mon objectif de résister au traitement qu’elle faisait subir à ma bite et une nouvelle fois, mon amie reçut plusieurs épais jets de sperme, dont elle ne put avaler qu’une petite partie, malgré ses efforts.
Oh que j’aime te faire jouir sur ma figure, me dit-elle tout en continuant à me branler. J’adore ton goût, mais tu m’en as encore mis partout ! C’est du gâchis...Elle s’écarta de moi, et nous éclatâmes de rire en voyant nos visages aussi maculés l’un que l’autre ! Le baiser qui suivit avait un goût spécial, mais Monique n’était toujours pas rassasiée : elle découvrit le bonheur de la cravate de notaire, et le frottement de ses seins sur ma queue me redonna très vite une vigueur maximum ; ce que voyant, elle s’installa au-dessus de moi pour s’empaler profondément avec un feulement de plaisir. J’étais estomaqué – mais ravi – de son appétit sexuel. Une nouvelle fois, nous étions parfaitement en phase, et pendant de longues minutes, je la pénétrai avec amour et douceur, alternant les positions. Nous étions parfaitement bien dans ce cadre idyllique, et ce fut un de ces moments d’extase partagés dont on se souvient très longtemps. C’est finalement en « missionnaire » avec de longs baisers amoureux, que Monique sentit monter un nouvel orgasme. Tremblant de tous ses membres, sa bouche collée à la mienne, elle jouit magnifiquement.
Nous sommes longtemps restés collés l’un à l’autre, tentant de prolonger au maximum ce moment magique. Monique avait les larmes aux yeux, et se laissait aller à me dire qu’elle m’aimait, qu’elle n’avait jamais connu un moment aussi fort, que nous allions être bien ensemble... et moi je commençais à penser à Blandine qui allait arriver le lendemain !
L’après-midi se passa en douceur, entre piscine et promenades dans le jardin. En parcourant la pelouse, j’admirais l’allure de mon amie, son élégance naturelle et la beauté de son corps. Elle savait bien à quel point j’aimais la voir en robe, et pour me faire plaisir, elle en avait changé pour une noire, plus près du corps. Elle s’aperçut que je la contemplais et me sourit, au moment précis où, n’y tenant plus, je me glissais derrière elle en passant mes mains sur son corps. Elle me fit remarquer en riant que j’étais plus à l’aise dans cet exercice que la première fois ! Elle avait raison... je lui caressai sans gêne les fesses à travers sa robe, puis remontai naturellement vers ses seins, libres sous la robe et dont les pointes gonflèrent rapidement sous mes doigts. Elle se tourna alors pour une merveille de baiser profond, nos deux langues inventant une sarabande infernale, qui ne finissait pas.
Je réussis à l’allonger sur l’herbe pour recommencer une nouvelle fois à la lécher sans fin. Encore une fois, je parcourus de ma langue et de mes doigts son sexe trempé, non sans me rapprocher de son petit trou que je dévorai avec application, de plus en plus loin. Monique se rapprochait d’une nouvelle jouissance quand j’aperçus, stupéfait, un mouvement au loin. Je reconnus vite cette coquine de Blandine, qui pourtant ne devait arriver que le lendemain ! Elle me fit un signe de connivence, et observa, fascinée, sa mère se rapprocher de son plaisir. Elle semblait déjà presque aussi excitée que sa mère et ouvrit son jean pour accéder à sa chatte. Les yeux fixés sur nous, elle se caressa lentement puis de plus en plus fort, et semblait arriver à son but quand Monique la devança et jouit bruyamment en m’aspergeant, une nouvelle fois, de son jus chaud et en serrant ma tête entre ses cuisses pour ne pas me laisser m’échapper.
C’en fut trop pour Blandine, qui tentait désespérément de ne pas crier en se mordant la lèvre. Prise de tremblements incontrôlables, elle finit par laisser s’échapper un cri de jouissance et s’écroula sur l’herbe.
Monique, qui émergeait difficilement de son orgasme, tourna la tête sans comprendre immédiatement. Il lui fallut un petit moment pour comprendre, les yeux écarquillés, que sa fille était là, et venait de jouir en même temps qu’elle... Tout d’abord horriblement gênée, elle eut le réflexe de tenter de masquer sa nudité d’une serviette ; puis voyant que Blandine la regardait avec amour, elle lui sourit avant de la réprimander gentiment : tu ne m’avais pas prévenue de ta venue ma chérie ! Tu savais qu’Eric était là avec moi ? Ca n’est pas très discret de nous regarder comme ça...
Sa fille décida de lui avouer que nous avions décidé ensemble qu’elle « passerait par hasard » demain, mais qu’elle n’avait pas pu résister plus longtemps. Monique comprit alors que Blandine connaissait parfaitement notre situation, et pensa qu’elle me désirait, sans imaginer qu’elle était d’abord amoureuse de sa propre mère. « Mais tu sais, Eric et moi nous sommes... comment dire... enfin nous nous voyons souvent depuis quelques jours... » Blandine éclata de rire : j’ai très bien compris tu sais, avec ce que je viens de voir ! Et s‘approchant de sa mère, elle lui dit tendrement : c’était extraordinaire de te voir comme ça, tu sais. Tu es tellement belle, quand je t’ai vu jouir, j’ai cru m’évanouir tellement c’était excitant ! Monique peinait à admettre ce qu’elle commençait à entrevoir : tu ne peux pas nous regarder faire l’amour, tout de même ! C’est horriblement gênant pour moi !
Elle se tourna vers moi, qui attendais maintenant tranquille, car j’étais persuadé que les choses allaient se mettre en place : tu n’es pas gêné toi ? Petit galopin, tu n’avais tout de même pas l’intention d’avoir la mère puis la fille ? Son demi-sourire m’indiqua qu’elle était déjà presque prête à me « prêter » à sa fille. Tu ne me quitteras pas pour elle, dis-moi ?
Je me rapprochai d’elle à la toucher, alors que Blandine lui faisait un gentil bisou et je la rassurai : je n’avais aucune intention de lui faire de la peine, mais au contraire de lui donner de plus en plus de plaisir. Et sous les yeux ravis de Blandine, nous échangeâmes un interminable baiser. La présence de sa fille ne semblait plus troubler Monique, mais pour ne pas la brusquer, il ne fallait pas encore lui demander plus.
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