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Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère

Chapitre 7

au moulin... et au four

Hétéro
Cette belle journée champêtre se poursuivit tranquillement, entre bronzage, piscine et promenades dans le magnifique jardin qui entourait la maison. Par une sorte d’accord tacite, nous restâmes sages, comme pour nous habituer à cette situation incroyable : nous étions en vacances Monique, sa fille et moi... et Blandine voulait s’insérer dans la relation que j’entretenais avec sa mère !
La position de Monique était cependant un mystère pour moi. Elle avait sans doute bien des intentions de sa fille, mais jusqu’à quel point ? Car si, quelques jours auparavant, je lui avais presque fait accepter l’idée de faire l’amour avec Emilia, cela n’avait rien à voir avec le fait de coucher avec sa propre fille, et en ma présence de surcroît !
Je décidai de me mettre un peu en retrait, et de laisser cette coquine de Blandine avancer ses pions. Elle se montra particulièrement gentille et câline avec sa mère, ne manquant aucune occasion de la frôler tout en laissant traîner une main de-ci de-là, l’air de rien. Monique, bien que sage... jusqu’à ces derniers jours, n’était pas une oie blanche, et comprenait bien le jeu de sa fille. Si elle avait tout d’abord cru que Blandine voulait « juste » nous regarder faire l’amour en se caressant près de nous, elle comprenait bien maintenant qu’il était question de toute autre chose. Et notamment que j’étais dans le coup...
Après un dîner très agréable dans la fraîcheur qui s’installait, légèrement arrosé mais sans excès, Monique commençait à se décontracter. Blandine entreprit de desservir la table, me laissant avec sa mère sur la terrasse. Naturellement, nous nous embrassâmes, un peu timidement d’abord, puis de plus en plus chaudement. J’étais terriblement excité par la situation, et Monique se lâchait de plus en plus. Son petit haut disparut rapidement et j’attaquai immédiatement l’un de mes exercices favoris en libérant ses seins de leur soutien devenu bien inutile. J’adorais les bécoter par petites touches, dessus dessous, avant d’aborder les aréoles puis les bouts qu’elle aimait maintenant se faire pincer en plus de se les faire longuement lécher. Dans le même temps, ma main baladeuse partait explorer chaque partie du corps de Monique, s’assurant au passage qu’un bon niveau d’humidité était maintenu entre ses cuisses... ce qui était le cas !
Bien entendu, Blandine s’était approchée à pas de loup, et profitait « à fond » du spectacle de sa mère de plus en plus excitée. Une fois encore, Monique me fit comprendre que son clito réclamait une action urgente en me poussant légèrement vers le bas. J’attaquai donc avec délectation le bas de son ventre et l’intérieur de ses cuisses ; je fus impressionné de voir à quel point elle mouillait, au point qu’une tache énorme s’était formée sur la terrasse. Monique se tortillait en tout sens, empoignant ses seins et émettant des cris de plus en plus continus. Complètement déchaîné moi aussi, je la léchais furieusement partout, déclenchant finalement une jouissance magistrale de mon amie.
Le temps de revenir sur terre, Monique regarda avec insistance ma queue particulièrement dure et violacée et se tourna pour la prendre en main, puis en bouche, avec un plaisir évident. Elle déploya tout son talent pour moi, alternant les périodes de pompage, lentes ou rapides, avec des visites de mon anatomie, passant de mes bourses au périnée, allant titiller mon petit trou, sans oublier de caresser ce dernier du bout de ses doigts. Elle me léchait avec délectation le périnée et les cuisses quand Blandine décida qu’elle ne pouvait plus se retenir. Elle se rapprocha de nous, sans d’ailleurs que sa mère ne manifeste la moindre surprise, et vint passer sa langue lentement sur le bout de mon gland et sur le frein.
La vision de « mes » deux femmes s’affairant sur moi était tellement excitante que je ne tardai pas à craquer, et j’eus l’impression que mes jets partaient à plusieurs mètres de haut ! Mes deux coquines, qui venaient de me donner un plaisir indicible, étaient toujours à quelques centimètres l’une de l’autre, et se regardaient avec un sourire complice. Ce fut Monique qui se rapprocha du visage de sa fille. Celui-ci était plein de sperme, et elle passa d’abord un doigt dessus, puis sa langue pour goûter à nouveau mon jus, avant de se pencher pour embrasser Blandine avec un regard aimant qui n’était pas seulement maternel. Monique, je le savais bien, adorait les longs baisers tendres. Celui qu’elle échangea avec sa fille dura indéfiniment.
Loin d’en être jaloux, j’étais en extase devant le spectacle, et plus encore quand Blandine prit l’initiative de venir caresser les seins de sa mère. Celle-ci recommençait à se tordre de plaisir, surtout quand ma langue reprit du service en revenant caresser son sexe bouillant. Mais Blandine avait manifestement dépassé les limites de sa patience ; elle me somma de venir la prendre, et se mit en levrette en se caressant la chatte. Impossible de se soustraire à une demande pareille ! La coquine était tellement excitée que je la pénétrai en douceur, sous les yeux admiratifs de sa mère. Blandine était déchaînée, et criait qu’elle adorait ça, que c’était trop fort de faire l’amour avec sa mère, qu’elle l’aimait...
Elle lui demanda de l’embrasser de nouveau, mais très vite, Monique se glissa sous le corps de sa fille que je besognais frénétiquement ! Complètement libérée, elle lui lécha longuement les seins et, se contorsionnant un peu, se plaça en soixante-neuf. Je compris qu’elle avait commencé à lui caresser le clito du bout des doigts, puis un peu plus tard de la langue, avant de lécher avec jubilation son sexe... et le mien ! Elle allait partout, de mon cul à celui de sa fille, de mes couilles à son clito, et elle aimait ça ! Blandine aurait sûrement bien voulu rendre la pareille à sa mère, mais elle en était incapable, emportée dans un tourbillon de plaisirs entre simultanés ; elle jouit plusieurs fois en hurlant littéralement. Cette situation était tellement folle que je jouis une nouvelle fois en elle, non sans avoir gardé un peu de sperme pour Monique, qui se précipita pour le déguster, devenant décidément de plus en plus gourmande !
Un peu épuisé, je me laissai sombrer dans un doux repos. Quelques minutes plus tard, je fus sorti de ma torpeur par des gémissements faciles à reconnaître : ces deux coquines avaient déjà repris leurs jeux, et Blandine avait entamé avec gourmandise l’exploration des moindres recoins du corps de sa mère, s’intéressant même à des zones érogènes que je n’avais pas visitées, comme le nombril, l’aine ou le bas du dos. Monique ne boudait évidemment pas son plaisir, et quand la bouche de sa fille délaissait quelques instants son entrejambe trempé pour déguster ses magnifiques seins, elle prenait le relais avec ses doigts en introduisant trois au moins dans son sexe, le pouce étant dévolu à son clito.
Ce traitement fut évidemment particulièrement efficace, et Monique alternait les soupirs de plus en plus puissants avec une suite de phrases sans suite où il était question d’une grosse salope, d’un amour de fille, d’une langue démoniaque, d’une grosse bite juteuse... Blandine en pleurait de joie, répétant sans fin à sa mère entre deux caresses des « je t’aime » émus. Émerveillé, je ne pus que revenir dans le jeu en venant honorer la jeune chatte de Blandine. Elle dégoulinait, et n’attendait que cela. Ce jeune sexe était superbe, et je le léchai longuement en tout sens, sans oublier son petit cul, dont l’anneau fripé semblait me faire de l’œil. Comme sa mère, Blandine apprécia beaucoup cette caresse, et je tentai donc logiquement l’introduction d’un doigt ; l’opération se révéla difficile, et je finis par y renoncer... au moins provisoirement !

Monique se tourna vers moi pour me réclamer à nouveau de se faire prendre : elle aimait alterner les plaisirs ! Ravi de cette demande, je la plaçai sur le dos pour la pénétrer, toujours aussi facilement bien sûr ! Comblée, elle restait allongée, les bras en croix, quand sa fille, pas encore rassasiée, se plaça à califourchon sur sa tête pour une nouvelle séance de léchage approfondi. Elle compléta son traitement par un long baiser avec moi, dans lequel elle glissa doucement : merci...
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