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Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère

Chapitre 8

évolution inattendue

Hétéro
Complètement épuisé par ces heures délicieuses, je sombrai rapidement dans les bras de Morphée. J’eus juste le temps de m’apercevoir queMonique était venue s’allonger à côté de moi, avant de se coller à moi langoureusement. La nuit fut peuplée de rêves érotiques, dans lesquels mes deux coquines tenaient bien sûr le rôle principal, jusqu’à ce que je sois réveillé par des bruits de succion tout proches...
Il me fallut quelques minutes pour revenir sur terre, puis pour comprendre que l’origine de ces bruits se trouvait sur le lit, et plus précisément de cette forme allongée dans la pénombre : je devinais des jambes, des bras... avant de comprendre que Monique et sa fille débutaient la journée par un 69 d’anthologie ! Blandine était allongée sur le lit, la tête relevée par un oreiller moelleux, sa mère au-dessus d’elle, les deux se dévorant le minou avec une véritable frénésie !
Mes deux coquines étaient déjà visiblement assez avancées dans leur jeu, et ne m’accordaient pas un regard. Je m’approchai donc pour profiter du spectacle aux premières loges ; au-dessus du visage de sa fille, la chatte de Monique coulait déjà beaucoup, et Blandine se régalait de ce flot de cyprine, qu’elle récoltait à la source !
Sa mère avait le plus grand mal à se concentrer sur le bouton de sa fille, je voyais bien qu’elle commençait à être emportée par une jouissance formidable ! Je tentai donc, charitablement, de venir en aide à Blandine en tentant de me substituer à Monique, mais, à ma grande surprise, je fus repoussé assez sèchement hors du jeu ! Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je continuai à admirer ce jeu saphique mère-fille que je n’aurais jamais imaginé... Les deux nouvelles complices étaient maintenant au bord d’un orgasme fulgurant et, prises de tremblements et de mouvements désordonnés, se mirent ensemble à hurler leur jouissance !
Naturellement, je leur laissai le temps de récupérer, pensant bien être récompensé de ma patience, alors que mon membre violacé se montrait pourtant assez éloquent. Mais Monique, me regardant avec un sourire, me dit qu’elle était épuisée et me supplia de lui préparer son petit-déjeuner, tandis que Blandine avait trouvé à s’allonger sur une des seules parties encore sèches du lit. Je me décidai donc, vaguement inquiet, mais la bite encore dure, à descendre préparer thé, tartines, miel, confitures...
Lorsque je remontai, portant précautionneusement mon plateau, je les trouvai encore occupées à s’embrasser follement, sans accorder la moindre importance au fruit de mes efforts... ni surtout à moi ! Monique entreprit même de nouveau les seins de sa fille qui n’attendait d’ailleurs que cela. Un peu interloqué, je tentai une nouvelle fois de participer au jeu : sans m’en empêcher vraiment, Monique ne s’intéressait pas à moi, etBlandine me repoussa même une nouvelle fois, en me demandant de « les laisser d’abord en profiter... »
La situation devenait grave ! Non seulement je semblais ne plus les intéresser, mais en plus j’étais moi aussi excité comme une puce et je n’allais plus tenir bien longtemps. Pourtant, me laissant de côté, Monique continuait à lécher les seins de sa fille tout en caressant du plat de la main son sexe grand ouvert. Puis se plaçant face à elle, elle écarta les jambes pour que les deux chattes se rencontrent et se caressent, d’abord délicatement, puis de plus en plus fort. Une nouvelle jouissance emporta Blandine, vite rejointe par sa mère qui continua cependant en léchant et lui mangeant ses fesses adorables. Puis Monique enjamba rapidement sa fille et se plaça face au mur, le minou juste au-dessus du visage de Blandine. Celle-ci ne se fit pas prier et retourna encore déguster sa mère qui gémissait déjà de nouveau...
J’étais éberlué de contempler cette femme qui, jusqu’à il y a quelques semaines, avait abandonné tout espoir d’une vie sexuelle satisfaisante avec son butor de mari, et qui avait depuis, avec moi, bousculé tous les tabous, et surtout celui de l’inceste ! Et pourtant l’évidence était sous mes yeux : ces deux-là étaient tombées amoureuses l’une de l’autre et, au moins pour le moment, je ne faisais plus partie du jeu...
De plus en plus déçu (ou vexé ?) je résolus d’un seul coup de quitter le moulin et de reprendre mon plan initial de vacances dans le midi avec ma bande de copains, en me disant que les choses reviendraient peut-être dans l’ordre après une coupure ? Mon sac de voyage, un car, un train et je me retrouvais à Paris en fin de journée.A la gare de Lyon, je repérai un train de nuit pour Nice (le TGV n’existait pas !), qui me permettrait de rejoindre au plus vite la Côte d’Azur.
Assis à une terrasse pour attendre le départ, je me rendis vite compte que ma formidable première expérience sexuelle me donnait une confiance en moi et en mes possibilités. Je regardais passer les filles sans timidité, tentant même de lier un contact, ce qui était complètement nouveau pour moi ! Même si Monique me manquait (plus d’ailleurs que sa fille), car j’étais toujours « raide » dingue de son corps et de ses caresses, je me sentais capable de tenter de nouvelles expériences.
Une fois dans le train, je trouvai mon compartiment, dans lequel j’eus la mauvaise surprise de constater que les 5 autres couchettes étaient réservées à une famille avec 3 enfants en bas âge ! Ayant posé mon sac, je décidai de me réfugier dans le couloir, au moins pour attendre que ces charmants bambins ne s’endorment... ce dont il n’était hélas pas question : très excités, ils se chipotaient sans cesse et je restai donc à regarder défiler le paysage. Le paysage... et aussi une femme qui se tenait non loin de moi, sans doute la plus belle femme que j’aie jamais contemplée : elle était noire, immense, avec de grands yeux sombres, les cheveux très courts. Vêtue d’une longue robe crème qui mettait en valeur des formes magnifiques, elle se penchait de temps à autre pour s’étirer... ou peut-être pour me faire admirer son admirable poitrine ? Quand elle finit par me regarder en coin, moi qui me croyais encore timide, je répondis à son sourire et me rapprochai d’elle.
Elle ne parlait pas français, mon anglais était encore pauvre, mais nous nous comprîmes immédiatement : elle me draguait ouvertement ! Avec une sensualité folle, elle se mordait un ongle sans me regarder, l’autre main semblant caresser la barre d’appui. Puis, après m’avoir offert quelques minutes de spectacle, elle tourna les talons sans se préoccuper de moi. Je décidai de la suivre, à la fois intrigué et excité, et je remontai ainsi une partie du train : elle avait un compartiment dans un wagon-lit, dans lequel elle me fit entrer sans un mot.
Avec un grand sourire qui me fit fondre immédiatement, elle me glissa « welcome... » avant de s’approcher de moi avec des mouvements d’une souplesse et d’une beauté incroyables. Subjugué, j’osais tout juste la contempler, certainement pas faire un geste qui aurait pu briser cet instant magique ! Alors elle vint jusqu’à moi et posa doucement ses lèvres sur les miennes pour un délire de baiser qui me sembla infini : nos langues jouaient une sarabande bien réglée, déclenchant bien entendu une agitation caractéristique à l’intérieur de mon jean. Par trois fois, elle se décolla de moi, comme pour passer à autre chose, par trois fois elle revint m’embrasser furieusement, tandis que ses mains prenaient progressivement possession de mon corps avec une douceur indescriptible.
Je ne restai pas longtemps inactif, bien entendu, et mes mains parcoururent doucement ses épaules d’abord, ses hanches... et enfin les plus beaux seins que j’aie jamais touchés : à la fois doux et fermes, avec des tétons qui pointaient à travers la robe, et surtout une taille et une forme parfaite, qui me rendirent fou d’excitation. A grand peine, je réussis à ne pas arracher sa robe d’un coup, mais à la déboutonner patiemment, en accompagnant chaque centimètre de peau libérée de la langue et des lèvres.
Enfin arrivé à ses seins, je les léchai avec vénération, lentement, en alternant les caresses des lèvres, de la langue et des mains... j’étais au paradis !
Combien de temps dura cette séquence ? Impossible de le dire, mais longtemps, car ma complice appréciait visiblement ce traitement, et ne cherchait nullement à le ralentir. Je finis tout de même par reprendre mon déplacement tout au long de ce corps magnifique qui ondulait souplement sous mes caresses ; désireux de prendre mon temps, j’allais contourner son sexe qui visiblement attendait son dû, pour aller visiter de la langue la peau si soyeuse de l’intérieur des cuisses. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille ! Me prenant par les cheveux, elle rugit « there ! » et me guida vers sa chatte déjà trempée. Je plongeai alors avec délice vers la source de cette humidité aux odeurs poivrées. Et alors qu’elle était restée jusque-là plutôt discrète, elle émit un énorme soupir avec un « yesssss » caractéristique, puis des gémissements de plus en plus rapprochés qui se transformèrent progressivement en cris aigus.
Elle résista pourtant longtemps avant d’être terrassée par une magnifique jouissance accompagnée cette fois d’un vrai hurlement !Heureusement qu’à cette époque, les tac tac/tac à tac des roues des trains dominaient tous les autres bruits !
Récupérant avec peine, elle s’allongea sur le lit, jusqu’à ce que sa respiration ait repris un rythme normal. Avec une femme aussi sensuelle, je m’attendais bien sûr à passer le reste de la nuit à faire l’amour avec passion, et elle aurait pu le deviner au premier coup d’œil... hélas, repue, elle s’endormit en quelques instants, m’offrant le tableau magnifique de son corps noir sur les draps blancs.
Persuadé qu’elle allait me revenir bientôt, je m’allongeai à côté d’elle en la caressant doucement pour la réveiller. Mauvaise idée : elle se réveilla effectivement, mais pour me faire comprendre qu’elle en avait eu assez, et me prier de la laisser dormir, car elle n’en pouvait plus... et de retourner à ma couchette ! J’étais estomaqué, mais elle avait une autorité naturelle qui me dissuada d’insister, et je retournai finir ma nuit dans ma minuscule couchette, à écouter les tac tac/tac à tac qui m’empêchaient de croire que j’avais juste rêvé ce moment magique.
C’est ainsi que continuèrent ces drôles de vacances. J’ai longtemps rêvé de cette femme extraordinaire, en me demandant quelle pouvait être sa vie, et en espérant, qui sait, la revoir ? Mais jamais plus je ne la revis, et jamais plus je n’ai rencontré une femme aussi fascinante...
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