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Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère

Chapitre 9

La fin de l'été

Hétéro
Si l’été de mes 18 ans avait démarré en fanfare avec ma relation intense avec Monique, puis avec elle et sa fille, sans oublier cette rencontre dans le train de nuit qui me fait encore frissonner quand j’y pense, il me faut bien admettre que la suite me parut bien terne : oui il y eut bien Sylvia, la fille des voisins de juillet, mais elle était vraiment débutante ! Et j’avais passé avec mes « formatrices » des moments tellement forts que je ne me voyais pas vraiment dans le rôle du pédagogue sexuel !
Le mois d’août se passa aussi sur un mode calme, dans la maison familiale de l’Oise. Bien sûr, il y avait mes cousines, dont Marie, dont j’admirais les beaux seins ronds, mais il m’était impossible d’aller plus loin avec elle. Et quand il fallut rentrer sur Paris, mon moral était vraiment « dans les chaussettes ! ». Comment oublier ces moments magiques avec Monique ? Mais aussi comment oublier cette dernière nuit où elles avaient tellement aimé faire l’amour qu’elles m’en avaient complètement oublié ?
Faute de mieux, je me concentrai sur la rentrée universitaire, c’est-à-dire que je recherchais déjà, parmi les étudiantes que je croisais lors des formalités d’inscription, celles que j’aimerais aborder.
Puis un jour en rentrant, j’entendis ma mère en grande conversation avec... Monique, naturellement !Elles ne m’avaient pas entendu rentrer, et leur conversation était très animée : je compris que ma mère avait compris au moins une partie de ce qui s’était passé au moulin, et elle semblait scandalisée par l’attitude de Monique qui semblait de son côté un peu gênée (il faut peut-être rappeler que cette histoire date de près de 40 ans !).
— Ce n’est pas possible ! Tu as couché avec ta fille ? Avec Blandine ? Tu es complètement folle voyons ! — Voyons ma chérie, tu as oublié nos 20 ans ? Il me semble que tu étais moins gênée, non ? Tu te souviens à quel point tu aimais ce que nous faisions ? Comme tu aimais que mon petit bout de langue se promène partout ? C’est toi qui m’as appris à te lécher ! Et c’est bien toi qui as réveillé nos voisines tellement tu jouissais fort ? Non ?— Euh... Oui bien sûr... mais je n’étais pas ta fille tout de même !
Derrière la porte, je n’en revenais pas : toutes les deux ?? Ma mère et Monique ? J’étais abasourdi... mais en même temps je sentais se manifester une activité suspecte dans mon jean !
— En fait c’est Blandine qui m’a sautée dessus par surprise. J’étais avec un jeune homme, charmant d’ailleurs, et elle nous a rejoints sans crier gare ! Que voulais-tu que je fasse ?— Mais la repousser bien entendu ! Même si je comprends bien que ça aurait été difficile...— Il faut que je te dise... elle est amoureuse de moi ! Elle m’a dit qu’elle rêvait de moi depuis longtemps... — Je n’arrive pas à y croire. Et comment dire... tu as aimé ? Avec ta fille ??— C’était extraordinaire oui ! Ca faisait des années que je n’avais pas touché une fille, et là ma propre fille qui vient me caresser... elle était déchaînée tu sais, je n’aurais pas pu la stopper ! Elle m’a dévorée de la tête aux pieds ! Au bout de deux minutes, j’avais complètement perdu pied, j’ai dû jouir tout de suite une première fois, et ça n’a pas arrêté de la nuit ! A tel point que mon malheureux amant a fini par s’en aller tout seul. Et c’est dommage, car à trois ça aurait été un feu d’artifice... Mais avec ma fille, c’était tellement fort ! Je dois avouer que je remettrais bien ça tous les jours si Blandine n’était pas partie depuis à Chicago. — Je n’en reviens pas... ça me fait tout drôle de t’entendre me raconter ça tranquillement ! Continue à me raconter...— Petite coquine ! Avoue que ça t’excite ! Eh bien elle a commencé par me faire des bisous dans le cou, elle est descendue vers mes seins... tu te souviens à quel point je suis sensible par là !— Oh je vais finir par être jalouse. Elle te caressait les seins comme ça... ? — Oui... elle était aussi douce que toi...
Passé le premier mouvement de sidération, je m’aperçus que je bandais comme un âne en écoutant leur conversation ! Je finis par risquer un coup d’œil dans le salon. Ce que je devinai me stupéfia : Monique s’était rapprochée de ma mère. J’entendais la respiration de Monique accélérer au fur et à mesure, alors que ma mère passait et repassait sa main sur ses seins... que je connaissais si bien !
— Mmmh si les enfants ne risquaient pas de rentrer, je crois bien que je continuerais... — Ho c’est tellement bon... j’ai envie aussi... mais tu as raison, ils ne doivent pas nous trouver comme ça ! Je crois que j’ai déjà bien trempé ma culotte ! Je suis vraiment en manque depuis.— Ha ha déjà autrefois tu mouillais énormément ! Tu te souviens de cette énorme tache sur ton lit quand ta mère est rentrée à l’improviste ? Le fou rire qu’on avait eu après ?— C’est bien loin tout ça... maintenant Jacques ne me touche plus, et ma fille est en Amérique !— Il te reste tout de même ce garçon, non ? C’est déjà ça ! Et d’ailleurs il m’intrigue... comment l’as-tu rencontré ? Je le connais ? — Euh non, c’est un ami de Jean-Luc... Mais comme il était fâché, je ne l’ai pas revu depuis. — Moi je ne me vois pas draguer les copains de mon fils ! Mais tu devrais le relancer ; je suis sûre qu’il serait d’accord.— Tu as raison, je vais tenter de rattraper le coup. Car lui aussi, il me caressait tellement bien ! Et quand il est entré en moi, il était tellement excité qu’il a joui trop vite ! Mais comme il a recommencé tout de suite, j’en devenais folle ! C’était si mignon comme il avait envie de moi ! Il a dû passer des heures à me lécher partout...— Partout vraiment ? Moi j’adorais ça, mais Alain n’a jamais beaucoup aimé... tu devrais me le prêter ! — Euh je ne sais pas... mais c’est vrai que sa langue est trop bonne ! C’est le premier à m’avoir aussi léché le cul. C’est spécial, mais qu’est-ce que c’est bon... il savait aller de mon cul à mon clito en passant partout, vraiment je n’arrêtais pas de crier ! — Arrête avec tes histoires ! Tu m’excites trop, je vais finir par te sauter dessus, et il ne faut pas !— OK, je vais m’en aller, c’est plus prudent...
Je décidai alors de faire retraite vers ma chambre, pour éviter de me trouver nez à nez avec elle. Mais tellement excité moi-même qu’il me fallait aller d’urgence me soulager !J’allais retrouver Monique, c’était une certitude, et qui sait ... ?
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