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Les semaines avec Claire et les partouzes avec elle

Chapitre 1

Préliminaires avec Claire

Erotique
La semaine avec des filles Avant le lundi Moi, c’est Christian !J’ai 41 ans, je mesure 1m76, et suis plutôt bien conservé, mais je m’entretiens, course à pied chaque fois que possible, home-traîner tous les jours. Je suis assez baraqué et bien membré aussi.Je suis enseignant en Faculté et y ai pas mal de responsabilités. C’est cool, je vois plein de minettes toute la journée, boulot sympa et, en plus, je ne gagne pas trop mal ma vie, même si je n’en ai pas vraiment besoin, mes parents, décédés dans un accident de voiture, il y a vingt ans, m’ont laissé une maison plus que cool et pas mal de frics, je ne manque de rien.
Au niveau sexe, j’adore ça. J’ai plus un penchant pour les filles. Je les aime plutôt petites, je ne suis pas excité par les gros seins. Malgré tout, les mecs aussi, j’aime bien. Plutôt actif, mais une queue dans le cul, je trouve ça bon aussi. Mais pas trop une bite dans la bouche, mais les goûts et les couleurs ...
Avec les nanas, rien qui dure longtemps. La dernière, deux ans. Ça fait un mois que je l’ai larguée, très bloquée au niveau cul, je pense être clair...Bon, maintenant, je vieillis, je décide de profiter de la vie et vous allez voir, c’est réussi !Au fait, je vous ai parlé de la maison, il faut que je vous en parle. Belle baraque en pleine ville, trois étages, type maison de maître des filatures d’antan. Le rez-de-chaussée, en bord de rue, a été loué par mes parents à un commerce de lingerie ! Cool, n’est-ce pas ? Trois étages au-dessus du commerce, une entrée indépendante du commerce avec un ascenseur. Il y a aussi, bien sûr, un escalier que j’utilise plus que l’ascenseur. Les deux arrivent directement chez moi, mais il faut, pour les deux, la clé qu’il faut.
Au premier, la cuisine et les autres pièces nécessaires à la vie. Il y a aussi mon bureau et une salle qui peut être adaptée en fonction des besoins, réunions, salle à manger, attente, assez grande pour accepter vingt personnes avec les meubles.
Il y a aussi ma chambre et ma salle de bain, 25m², sympa avec mes goûts, draps changés tous les jours. La salle de bains est pleine de marbre et je n’ai pas à me préoccuper de son entretien. J’y ai aussi un ascenseur vers les étages supérieurs, lui est libre de clé.
Au troisième, cinq chambres confortables, chacune avec sa salle de bain. Au second, j’ai fait enlever toutes les cloisons et faire mettre de grandes baies vitrées donnant sur le petit parc, 400 m², totalement muré et même ignoré des voisins. Il est garni de tous les meubles nécessaires et essentiellement des canapés !Bien sûr, vous imaginez bien que j’ai les gens pour entretenir tout ça.Je croise Claire, une de mes collègues de Fac, eurasienne d’1m64 de 30 ans, plus que mignonne, mince, brune les cheveux mi-longs, souvent en queue-de-cheval. J’ai appris qu’elle venait de séparer de son mari, mais manifestement, elle venait de baiser, son sourire et ses tétons pointant violemment sous son tee-shirt en étant la preuve.
— Bonjour ma belle, tu as l’air d’aller bien. — Oui, super ! Mais désolée, je suis pressée.
Et elle me quitte presque en courant, elle doit avoir cours.Plus tard, je la retrouve à la cafétéria en train de boire un café. Je commande mon café préféré et m’assois à sa table. Elle a l’air fatiguée.

— Fatiguée, ma belle ?— Oui, une soirée un peu longue.— Ah ? Tu as trouvé un remplaçant à Steph ?— Comment t’as deviné ?— Il suffit de te regarder, mes yeux directement sur ses tétons.— Oh ! Je vois, dit-elle en les regardant elle-même.— Tu me raconteras, mais là, je dois aller en cours, et malheureusement, je quitte une conversation qui s’annonçait intéressante.
Le soir, je vais boire une bière à la cafétéria. Claire arrive avec ses affaires, manifestement, elle sort de cours. Elle vient s’assoir près de moi avec son Coca.
— Punaise, je suis crevée.— Bah, moi aussi. Repos ce soir !— Pas pour moi.— Encore une chaude soirée ?— Oh oui, je profite !— Raconte !— Oh, je vis mal la séparation.— Que s’est-il passé ?— Tu veux vraiment savoir ? Tu garderas ça pour toi ?— Oui aux deux questions, bien sûr !— Un soir, avec Steph, on a regardé un porno !— Et, ça vaut séparation ?— Non, on l’avait déjà fait. Mais là, la fille après avoir été ...— Eté ... ?— Sodomisée.— C’était super, non ?— Tu aimes ? Lui n’a pas aimé, du tout, et pire ... Son téléphone sonne... Excuse-moi !
Elle s’en va, puis revient.
— Désolée, je dois y aller, mon nouveau copain !— Pas de souci, à demain !
Le lendemain, je la rejoins dans son bureau :
— Une bonne soirée ?— Pas mal.— Tu n’as pas l’air si enthousiaste que ça ?— Ah, il satisfait des choses, mais pas tout.— C’est-à-dire ? Pas de sodomie ? Soyons direct ! hi ! hi !— Pas sur moi, malheureusement !— Je ne comprends pas.— Ben, dans le film dont je te parlais hier, la fille se mettait un gode-ceinture et enculait son mec. Steph a explosé !— Je ne suis pas fana, mais pas à ce point.— Ben lui, il a pété les plombs et même carrément viré de chez moi quand je lui ai dit que j’aimerais essayer.— Et tu vis où maintenant ?— Dans mon nouvel appartement avec mon nouveau mec, il est gentil.— Un petit jeune ?— Oui, 20 ans.— Tu l’as rencontré où ?— Ici, à la Fac.— Tu ne crains rien !— Non, il est vraiment gentil.— Et, toi, pas plus que ça avec lui ?— Non, il fait ce que je dis.— Ben, c’est cool !— Je trouve aussi.— Et il aime se faire mettre par ton gode, c’est ça ?— Oui, il adore ça et moi aussi.— Mais il manque quelque chose, c’est ça ?— Il a du mal à me baiser et je ne te parle pas de la sodomie ...
Nous sommes interrompus par deux collègues, et, évidemment, plus question de continuer la conversation.Une heure plus tard, elle me rejoint dans mon bureau.
— Je te dérange ?— Jamais, j’adore ce que tu me racontes ...— Ça ne t’ennuie vraiment pas ? J’ai vraiment besoin de raconter ce dont j’ai besoin.— Etre sodomisée, par exemple ?— Oh oui !— Tu t’es y déjà mis un doigt, je suis sûr !— Oh oui !— Jamais un gode ?— Si hier, après que Quentin était endormi.— Et tu as aimé ?— Dur au début, mais après ...— J’imagine !
Merde ! Encore le téléphone, un rappel de réunion ...La fin de la réunion, juste avant que je parte en week-end, elle me rejoint à nouveau.
— Ça va ?— Font chier ces réunions, elle passe ma main sur ma queue.— Elle te plaît ?— Ça a l’air bien, en souriant !— Tu verras quand tu l’auras au fond de ton petit cul, mais je suis désolé, je dois prendre un train pour le week-end. On en reparle lundi.— J’en avais envie maintenant.— Vraiment désolé, mais c’est impossible et je le regrette.— OK, à lundi.
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