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Les sentiers obscurs.

Chapitre 2

Snoop

Zoophilie
Je me relevai et en quelques enjambées, rejoignis la porte du petit salon, que j’ouvris, libérant Snoop.À peine la porte fut-elle entrouverte, que le chien se rasant fila droit comme une flèche vers le salon d’où s’éleva un sanglot de surprise et d’effroi. Ma jolie Karine encore dans les vapeurs de son plaisir se retrouvait surprise face à l’objet de son obscur désir dans toute l’impressionnante puissance que dégageait le bel animal.
Snoop avec les mouvements prestes pleins d’énergie contenue que lui donnaient ses instincts de prédateur s’était mis à tourner autour de sa belle proie, se mettant subitement en arrêt, pour reprendre aussitôt de son allure oblique sa quête de mâle en maraude. Il savait que celle qu’il s’arrêtait pour la flairer, celle dont il percevait le souffle précipité et les gémissements, celle dont l’odeur éveillait les puissants souvenirs au tréfonds de sa mémoire... il savait qu’elle était sienne.
Il posait parfois sa truffe sur la peau délicate des cuisses et du ventre de la belle, qui étouffait alors un gémissement ou un cri qui disait son désarroi, me jetant de ses beaux yeux écarquillés des regards affolés. Quand elle me tendit la main comme une naufragée, j’abandonnai là le costume du salaud de service : je me devais de l’apaiser, et faire preuve de mesure.
Je pris la main qu’affolée elle me tendait, m’agenouillai près d’elle et l’embrassai. Elle accueillit mon baiser, soulagée.
— Oh ! Chéri, embrasse-moi... je... — N’aie pas peur mon bel amour ! Détends-toi ! Je suis là ! Regarde ! Il t’aime !
J’avais approché Snoop, le tenant par son collier et l’approchai du visage de ma belle que naturellement, il se mit à lécher. Elle eut un cri et détourna immédiatement le visage.
— Oh ! Non ! Chéri... non ! Je ne peux pas... Ça me... — OK, ma belle, OK !
Je continuai à l’embrasser et éloignai Snoop, attendant qu’elle redescende. Il s’agissait maintenant d’amener la belle à vaincre les ultimes réticences qui l’empêchaient d’accéder pleinement à son sombre désir. Elle n’était pas encore prête, mon rôle consistait maintenant à la rassurer et la mettre en confiance. Je profitai de ce blanc pour déclencher le caméscope.
J’avais allongé ma Karine sur le divan de telle sorte qu’elle y repose jusqu’à ses reins, ses jambes repliées reposant au sol. C’était délibéré, je voulais que Snoop la prenne en missionnaire, je savais que pour la femme, c’était la meilleure des positions pour qu’elle profite pleinement des plaisirs qu’un chien pouvait lui offrir et tenais à ce que pour ma mignonne ce coup d’essai fût un coup de maître.
Je m’agenouillai près d’elle et tenant fermement Snoop par le collier, passai entre l’adorable compas de magnifiques jambes gainées de soie noire. La vue de son petit con trempé de la cyprine que je voyais perler sur ses lèvres me dit que si ma belle était affolée, elle n’en était pas moins totalement excitée, je me penchai sur le délicat trésor que j’effleurai de mes lèvres.
— Oh ! Oui... ! Oui ! Embrasse-moi !
Elle posa d’abord ses mains sur mes cheveux qu’elle prit ensuite à poignées et se mit à râler.Je me jetai sur le tendre fruit dont je me gorgeai du jus plus doux qu’un miel.
Je sentais Snoop dans mon dos s’impatienter et l’entendais geindre, me pressant, me bousculant, cherchant à prendre sa place. En mâle Alpha dont je lui avais, il y avait longtemps confié le rôle, il n’avait pas oublié et réclamait son dû. Ce que je m’empressai de lui accorder.Snoop sans aucune hésitation se dirigea, ce qui focalisait son intérêt, et ce depuis un moment déjà : son flair infaillible l’avait renseigné sur la provenance de ce merveilleux parfum ainsi que sur la teneur du message que celui-ci lui envoyait : la femelle s’offrait à lui. Il était déjà en érection et se mit à lécher les cuisses de la mignonne qui dans un mouvement réflexe serra ses jolies jambes ; prenant ses genoux, je les lui écartai doucement. Elle se mit alors à produire de petits cris et râles qui disaient son excitation. Elle m’appela à nouveau, me tendant sa main que je saisis, caressai et embrassai... ma belle avait encore besoin d’être rassurée.
C’est alors que Snoop exerça la puissance de son sortilège.Dès qu’elle sentit la longue langue adroite aller la fouiller au plus profond de son antre cherchant ses parfums les plus secrets, Karine se tendit toute entière, laissant s’échapper un cri qui disait l’intensité de sa surprise en même temps que du plaisir qu’elle ressentait, puis elle se mit à râler, gémir, suppliant son amant de continuer l’affolante caresse à laquelle il la soumettait.
— Oh ! oui... oui ! Encore ! Oh ! Encore !
Elle ouvrait ses jambes au plus large tirant de ses mains sur ses cuisses dans un geste d’offrande, s’abandonnant à l’affolant baiser, éructant cris et râles.
Je ne pus m’empêcher une nouvelle fois de m’extasier devant la sensualité et la grâce fragile qui émanait de son merveilleux corps, la gracieuse corolle de la petite jupe retroussée découvrant la nacre du ventre au-dessus de laquelle s’ouvrait le sobre chemisier de dentelle découvrant ses jolis seins dressés par le désir. C’était à mon tour de subir sa loi, sans un mot ni un geste, par sa seule beauté qu’elle jetait en pâture à son impérieux désir, ma belle maîtresse me soumettait mieux que ne l’aurait fait n’importe quelle contrainte.
Je tenais Snoop, le laissant s’adonner à sa frénésie alors qu’il faisait jouir sa belle proie sans relâche. Karine geignait, râlait, gémissait, cherchant son souffle dans une ivresse qui crispait ses mains sur le collier de l’animal qu’elle tirait à elle afin qu’il n’interrompe pas sa voluptueuse caresse. Il la fit jouir ainsi pendant plusieurs minutes au bout desquelles je la sentis hors d’haleine... Je laissai Snoop continuer encore un moment de sorte que ma belle en ait tout son soûl. A un moment alors qu’elle reprenait son souffle, je tirai mon chien en arrière.
L’espace d’un instant, elle fut désorientée, mais cette pause était la bienvenue. Sa main sur sa poitrine, sa respiration précipitée, ses yeux papillonnants, tout montrait que ce petit salaud l’avait épuisée. Épuisée, mais ravie. Le regard enamouré plein de gratitude qu’elle avait maintenant pour le regarder parlait pour elle.
Était-ce son regard ? Je ne sais. Toujours est-il que je sentis alors une tension glacée monter en moi : Mister Hyde reprenait du service. Je fis passer Snoop le long du sofa où elle était allongée et amenant son sexe tumescent à la hauteur du visage que je caressai, je grinçai :
— Regarde-le salope ! Regarde ! Tu la vois sa bite ? Oui, tu la reconnais ! Elle te plaît toujours autant, hein ? Tu l’aimes, hein ? Tu l’aimes sa grosse bite ! Dis, petite pute !
Son regard affolé allait de la massue de Snoop à mes yeux avec une expression suppliante, sa main cherchant la mienne. Ma jolie Karine était dans un état d’excitation qui me ravissait. Je sentais qu’elle avait besoin de ce stress pour goûter pleinement son désir : j’ignorai cette main qui m’appelait.
— C’est avec sa trique qu’il va te prendre comme la chienne que tu es... Regarde ! Regarde-la, je te dis !
Je saisis le bas de son visage et maintins son regard en direction du lourd vit agité de spasmes à chaque jet de présperme qu’il émettait.
— Il va te baiser, chienne et il va te faire jouir. Oui... tu vas jouir comme tu n’as jamais joui, salope ! Regarde-la ! Touche la vicieuse ! Allez, vas-y, petite garce ! Caresse la sa grosse bite ! Je sais que t’en crèves d’envie !
Je guidai sa main vers le mandrin de Snoop. J’entendais son souffle court, la bouche entrouverte, elle ne le quittait plus des yeux, fascinée. Quand elle le toucha, elle eut un soupir et ferma les yeux. Le contact avec le gros membre l’excita tant qu’elle se mit à haleter et à gémir.
— Oui, c’est bon hein, salope... c’est bon son gros chibre dans ta main ?
Les yeux fixés sur le vit canin, dans un souffle :
— Oui...! Oh oui !
De sa main trempée de présperme tenant la bite de l’animal, elle amorça un mouvement de masturbation.
— Attention mon amour, pas comme ça. C’est très fragile, tu sais. Tiens-le là, comme ça. Oui, là, c’est bien ma chérie !
Je plaçai sa main à la base du bulbe pénien qui se formait.Je lui murmurai :
— Tu as envie de le sucer, ma belle ? Oui, oui je sais que tu le veux ! Bien sûr petite vicieuse, tu le veux dans ta jolie bouche, son gros chibre ! Hein, petite traînée ! Regarde ! Regarde ça ! Tiens, prends-le !
Karine hochait la tête avec des mouvements désordonnés et bégayait des « Oh ! Oui ! » qui me montraient le trouble dans lequel elle était plongée, écartelée entre le désir de s’emparer de l’impressionnant vit du chien et ses réticences à accomplir l’acte réprouvé. Je la saisis sous la nuque et approchai son visage du gourdin de Snoop : avec un long gémissement étouffé, elle le prit en bouche. Le chien émettait des jets de présperme et lorsqu’elle reçut un de ces jets, elle détourna le visage et j’eus l’impression qu’avec une grimace de dégoût, elle essuyait sa bouche d’un revers de main.
La position que ma jolie perverse occupait sur le divan ainsi que celle de mon chien posait problème. Je saisis Snoop par le collier et le fis monter sur le sofa, lui fis poser les pattes avant sur l’accoudoir, amenant ainsi son sexe au-dessus du visage de ma chérie. Hypnotisée par le gros pénis congestionné ballant au-dessus d’elle, Karine était tétanisée, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, elle poussait de courts geignements qui témoignaient de son excitation... plusieurs jets de sperme maculaient son visage. Je la vis alors d’un geste de la main étaler le sperme et l’amener à sa bouche léchant ses doigts. Ce que j’avais pris pour un geste de refus était en fait, exactement le contraire. Je la caressai et soulevant sa nuque, y glissai un coussin et en plaçai un autre sous ses épaules. Prenant sa main droite, je l’amenai derrière le bulbe pénien de Snoop.
— Vas-y, salope ! Suce-le !
Tenant le bulbe du chien à pleine main, elle distendit ses lèvres, avec un râle, elle engloutit le vit de Snoop et se mit à le sucer avec avidité, aspirant goulûment ses jets de sperme.
Je la regardais, fasciné. Ma belle Karine se donnait totalement à l’objet de son sombre désir. Elle avait osé, avait vaincu ses tabous et s’était enfin approprié ce sexe qui l’attirait et la hantait depuis qu’elle y avait posé le regard.
Avec des mouvements lascifs de la tête, les yeux fermés sur son bonheur lubrique, de la langue qui la léchait, des lèvres qui s’y arrondissaient et l’enserraient se distendaient et l’engloutissaient, des joues qui se creusaient dans le mouvement de succion, au menton tremblant ruisselant de sperme, aux avides bruits de gorge, à ses râles lubriques, tout en elle criait sa dévotion à la magnifique bite qui la submergeait de volupté. Je continuais à lui murmurer des mots crus mouillés d’acide subjugué par le lascif spectacle.
Snoop émettait en permanence des jets de présperme que ma belle Karine aspirait et avalait avec avidité et lorsque sa bouche quittait le vit du chien, il lui en aspergeait le visage, apportant à ses traits angéliques, un masque de luxure et d’obscénité qui me chavirait.
Je ne la quittais pas des yeux tout en caressant ses beaux seins aux pointes dressées, j’étais si absorbé à la contempler prodiguer la luxurieuse caresse que je ne réalisai pas de suite qu’elle avait lâché le dos de Snoop qu’elle enserrait de son bras et s’était saisie de ma main sur laquelle la sienne se crispait. Message subliminal: « Refais-moi mal, Johnny ! ».
Tout en continuant à me repaître de la scène, je m’emparai de ses mamelons durcis entre pouce et index et commençai à les y faire doucement rouler, puis accentuant par à-coups, la pression que j’exerçai, me mis à les pincer fortement tout en continuant à les rouler sous mes doigts. Ma jolie victime, poussant de petits cris qu’étouffait le gourdin de Snoop que sa bouche ne lâchait pas se tordait sous le ventre du chien, sa main libre en étreignant la fourrure à poignée. Même si je contrôlais la pression que je produisais sur ses tétons, je savais que je lui faisais mal, et ce que je savais aussi pour l’avoir constaté auparavant c’est que les brutales caresses qu’elle me réclamait et que je me faisais un plaisir de lui infliger la faisaient follement jouir. J’en eus la confirmation, quand sur un pincement plus appuyé, je vis jaillir d’entre ses cuisses ouvertes agitées de tressaillements l’arc d’un jet de son nectar des dieux.
Je m’agenouillai entre ses cuisses et relevant ses jambes, posai ses chevilles sur mes épaules. J’étais fasciné par la vue qui s’offrait à moi, l’adorable petit con ruisselant de mouille, la délicate rosette nacrée. J’y enfonçai mon index, immédiatement sa main fut sur la mienne: « Encore ! ». Ce furent trois doigts qui prirent possession de son hostie alors que sa main serrée sur la mienne exigeait davantage... ce que je me promis de lui offrir à la prochaine occasion. Je continuai à la doigter d’importance, alors qu’émerveillé, je l’observais, gémissante, toute au plaisir luxurieux de sucer le vit palpitant de son amant.Ne pouvant me lasser du merveilleux spectacle, je contemplai pendant de longues minutes ma belle s’adonner à son lubrique plaisir.
C’est alors que j’entendis Snoop se mettre à gémir doucement : ces préliminaires, si agréables qu’ils fussent pour la belle Karine n’étaient pas naturels pour lui. Il voulait sa femelle et me la réclamait.A regret, j’éloignai doucement le chien de ma belle et le fis descendre du divan. Karine eut une expression éperdue pour me regarder, l’espace d’un instant, elle sembla désemparée.
Déjà j’avais amené Snoop entre ses jambes entre lesquelles il donna deux ou trois coups de langue avant que je ne le fisse monter des antérieures sur le canapé couvrant ainsi la belle suppliciée. Le regard affolé qu’elle me jeta ne fit que m’inciter à précipiter les choses. Me servant du vit de Snoop que j’avais saisi à la base de son bulbe pénien comme d’un énorme godemiché, j’en caressai plusieurs fois le clitoris ainsi que les lèvres trempées du petit con de ma belle. Je sentis sa respiration se bloquer sous l’effet de la tension. Écartant du gros vit les lèvres enflées de désir, je la pénétrai, dans un bruit mouillé, de l’énorme pieu de chair, elle se relâcha dans un râle entrecoupé de spasmes. Elle jouissait déjà.
Après avoir réitéré plusieurs fois provoquant à chaque pénétration un long sanglot de jouissance, je lâchai mon chien. D’un violent coup de reins qui la fit hurler, Snoop finit d’enfoncer sa massue distendant le fourreau baigné de mouille. La pénétration par le pieu brûlant tétanisa ma mignonne, provoquant, en elle, une telle onde de sensations qu’elle en resta une fois encore le souffle coupé. Snoop sentant que sa femelle était en sa possession donna alors libre cours à son instinct et se mit à baratter son petit con avec une vigueur incroyable à un rythme effréné, la faisant hurler...
Elle s’accrochait à son mâle, secouée des pieds à la tête par la violence de l’assaut les mains crispées sur ses pattes antérieures alors qu’il la martelait avec une force phénoménale, je savais que le membre de l’animal grossissait, et voyais le bulbe pénien, maintenant énorme écarteler la petite chatte ruisselante à chaque mouvement.
Snoop haletait, gueule ouverte, mouillant de sa bave les seins et le visage de ma belle que j’essuyai rapidement. Ses coups de boutoir puissants et rapides, le va-et-vient précipité de l’énorme mandrin dans le fourreau vaginal déclenchaient une jouissance frénétique qui explosait en orgasmes fous. Karine éjaculait une invraisemblable quantité de cyprine, hurlant d’un plaisir inouï. Cela dura plusieurs minutes pendant lesquelles, dans une transe amoureuse, s’accrochant comme une naufragée à son terrible amant, à mouvements désordonnés, tantôt elle lui ouvrait les courbes gracieuses du compas de ses jambes, tantôt elle enserrait son dos dans leur doux étau, râlant gémissant et criant.
Alors que la belle suffoquait encore de jouissance sous l’empire du formidable mandrin, un changement se fit sentir : l’animal s’immobilisa : je savais ce qu’il se passait : le nœud pénien du chien avait encore enflé, et enserré par l’entrée du vagin, avait verrouillé à lui sa femelle. Snoop, immobile, comme statufié, pulsait en elle, à lourdes giclées, tout son sperme, la jetant maintenant dans une autre jouissance.Je vis alors les yeux de ma belle rouler derrière ses paupières mi-closes comme si elle allait défaillir sous la violence de l’orgasme qui la secouait... tout en râlant son plaisir, elle éructait des mots sans suite à celui qui lui faisait éprouver cette indicible volupté.
Épuisée de plaisir et de stupre, Karine s’installa dans la longue jouissance, dans laquelle son merveilleux amant la clouait ; les yeux mi-clos, à moitié masqués par sa chevelure emmêlée, son doux visage illuminé par un sourire ineffable, elle enserrait de ses jambes croisées le dos de son rude amant contre lequel elle serrait son corps fragile. Ses bras jetés autour de son encolure, elle se lovait contre lui, caressait l’animal avec reconnaissance, lui murmurant des mots d’amour pleins de gratitude et l’embrassait éperdue de jouissance. Le chien maintenait toujours verrouillée sous lui par son bulbe, sa fragile femelle qui quémandait, gémissante de bonheur ses lubriques baisers. S’abandonnant à son mâle, la belle n’en finissait pas de jouir.
Je contemplais ma belle Karine avec gratitude, retrouvant avec un plaisir ineffable les instants de joie que m’avait offerts pour la première fois ma belle Françoise et que j’avais si longtemps vainement recherchés.
Cela dura... longtemps, très longtemps... Je sentais que la chérie flottait dans un nirvana complet, en témoignait l’expression de béatitude dont rayonnait le beau visage et j’eus soin de ne pas perturber cet instant de grâce, la laissant au bonheur que lui prodiguait son farouche amant.
Au bout d’un long moment, Snoop commença à s’agiter et à tirer sur son nœud pénien, ce qui provoqua gémissements et plaintes de la belle, puis il se mit à tirer encore, d’abord doucement puis de plus en plus fort, la faisant gémir.
Contrairement à Françoise que la fin de l’attache avait fait souffrir, cela me sembla pour Karine beaucoup plus aisé. A mesure que le chien tirait sur son bulbe, je pouvais voir le gros éteuf nacré distendre les chairs délicates du petit con, l’écartelant jusqu’à une ouverture démesurée. La mignonne de temps à autre avait une plainte étouffée quand soudain l’énorme bulbe sembla chassé de l’étroite ouverture, une fois de plus je fus estomaqué par sa taille : il était de la grosseur de mon poing. Snoop garda encore quelques instants son gros phallus dans la petite chatte puis lentement, glissa hors d’elle.
De l’entrée du vagin que laissaient voir les lèvres tuméfiées s’écoula alors inondant les jolies fesses une impressionnante quantité de sperme qui se répandit sur le sol à bruits liquides.Karine les jambes serrées sur le dos de Snoop enserrant son cou de ses bras l’embrassant avec passion cherchait à retenir encore son merveilleux amant lui geignant des mots d’amour et de gratitude. L’animal se laissa faire un moment puis lassé, se dégagea de la fragile étreinte.
Je vis briller des larmes dans les yeux de ma belle.
Je caressai ses cheveux, épuisée, elle me regarda, me sourit puis fermant les yeux murmura :
— Oh ! Que c’est bon ! C’est merveilleux ! J’aurai voulu que ça ne s’arrête jamais...
Prenant mon chien par le collier, j’amenai sa gueule à la hauteur du visage de ma Karine, il se mit alors à lui lécher le visage, comme par gratitude, et elle se remit à le caresser, à lui murmurer ses mots d’amour, ses compliments enflammés, à le caresser encore, et l’enserrant de ses bras graciles, l’embrassa de nouveau. Gémissant de plaisir et de reconnaissance, elle le laissa, de sa longue langue pénétrer sa bouche, et l’emplir des sensations érotiques folles que provoquent ces baisers contre nature, mais si grisants, en témoignait son souffle que je sentais à nouveau s’affoler.
Je sentis que la mignonne n’était pas encore rassasiée et amenai le mandrin de Snoop qui giclait encore de courts traits de sperme clair à la hauteur de son visage. Elle s’en empara avec un râle et se mit à sucer à pleine bouche le lourd pénis exhalant des bruits de gorge, alors que l’animal continuait à émettre à courts traits répétés un liquide séminal qu’elle aspirait et avalait avec délices. Un court instant, elle lâcha le sexe tumescent du chien, je la contemplai, le sperme, dégoulinant de sa bouche sur son menton, trempant ses mignons petits seins. Belle et luxurieuse Karine.
Elle reprit très vite la queue ballante et se remit à la sucer avec frénésie, avalant la semence canine avec avidité, ses gémissements de plaisir se mêlant à ceux de Snoop qui eux, n’étaient pas des gémissements de plaisir, mais de lassitude et qui signifiaient que cela suffisait pour lui. Son rôle de mâle rempli, il n’avait plus d’autre préoccupation que de retourner à sa vie de chien. Je le lâchai. Sans plus de manières, il descendit du sofa, abandonnant sa jolie maîtresse quelque peu frustrée pour aller se coucher sur le tapis.
Je m’assis auprès d’elle et caressai ses cheveux, lui murmurant combien je la trouvai belle, la remerciant pour le plaisir que j’avais eu à la contempler dans ses salaces ébats. J’avais quitté mes jeans et étais en proie à une érection de plomb. Elle m’entoura d’un bras et me coulant un regard luxurieux, me jeta :
— C’est toi que je dois remercier !
Se penchant, elle me prit en main et après avoir embrassé et léché mon gland, l’enfouit dans la soie de sa bouche. La tête renversée en arrière, j’avais fermé les yeux et caressant sa chevelure, la tête pleine du carrousel des folles images que ma belle m’avait offertes, je me laissai aller au plaisir de la divine caresse qu’elle me prodiguait. Ce furent de véritables délices qui se prolongèrent longtemps malgré l’excitation exacerbée que je ressentais. Avec un râle, j’explosai dans sa bouche d’une copieuse éjaculation que ma belle avala avec des bruits de gorge qui disaient son plaisir.
J’ avais allongé Karine sur le divan et appelai Snoop. Je le fis se coucher à ses côtés. Ravie, ma belle se rencogna contre le dossier et enserra de ses jambes et de ses bras son merveilleux compagnon, se lovant amoureusement contre lui. Elle me jeta un regard plein de gratitude.
— Tu es un amour !
Je lui souris et revins m’asseoir à côté d’elle qui après un rapide mouvement de reptation vint poser sa tête sur ma cuisse. La caressant, je lui souris.
— Ma petite salope est-elle heureuse ?
Elle eut un rire, hocha la tête, et avec son joli sourire :
— Ouais, très...
Snoop, hiératique acceptait docilement caresses et baisers. Ma belle, ses deux amants à ses côtés souriait aux anges. Je me levai, nous préparai un verre et revins m’asseoir auprès d’elle, lui tendant le sien. Notre inoubliable soirée s’acheva par un mémorable moment de sexualité orale : nous discutâmes pendant plus de deux heures, l’un contre l’autre, le verre à la main.
Karine qui avait une formation de psychologue, et travaillait dans un cabinet de recrutement des personnels pour les grosses boîtes, ce qu’elle m’apprit par la suite n’avait pas manqué de soumettre sa nouvelle expérience à la moulinette de sa sagacité et de ses capacités d’analyse, et ce qu’elle en avait tiré était pour le moins intéressant et pertinent. Non seulement la discussion que nous eûmes ce soir-là fut passionnante, mais la mignonne qui trouva fort à son goût mon cocktail m’en réclama plusieurs tournées, et un peu partie, je n’étais pas en reste d’ailleurs, se lâcha, me faisant découvrir une adorable petite nana pleine d’humour, et de fantaisie, pétillante d’intelligence. Nous n’avons fait que déconner et rire pendant toute cette fin de soirée. A partir de ce moment commença à se tisser entre nous une connivence ainsi qu’une proximité qui ne devaient plus se démentir et qui nous emmena par la suite loin... très loin sur de noirs sentiers, au point de parfois nous y égarer.
Snoop sur ses talons, je la raccompagnai à sa voiture.
— Il ne te quitte plus !— Mon Snoop, mon amour, je dois m’en aller maintenant. Je dois rentrer il est tard tu sais !
Elle regarda sa montre.
— Une heure passée ! Lou va trouver long pour un cours de danse ! Demain matin j’aurai droit à un petit-déj’ « à la grimace ».— Bonne nuit, chéri...!
Elle m’embrassa longuement, puis s’accroupissant entoura Snoop de ses bras et ravie s’offrit à ses baisers.
— Tu reviens quand tu veux...
Ses bras entourant l’encolure de Snoop, elle leva les yeux et me regarda avec un sourire radieux.
— Demain ? Je peux revenir demain ? J’ai mon après-midi.

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