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Les sentiers obscurs.

Chapitre 3

Impromptu d'une après-midi d'été.

Zoophilie
J’ai raconté dans « Walking the dog.» ma rencontre avec Karine ainsi que la manière dont je la pris à mes filets, lui laissant entendre à mots couverts que mon chien pour lequel elle semblait éprouver un intérêt certain avait déjà eu une expérience féminine au cours de laquelle il s’était montré particulièrement brillant.
C’est une expérience fondatrice que je lui narrai, car à partir de ce moment, je changeai mon regard sur certaines pratiques que je rejetais jusqu’alors, et cela, je le dois à Françoise, ma belle Françoise, que j’ai malheureusement perdue de vue, mais qui ce jour là « au sommet de son art et de son être » m’offrit des moments érotiques dont la puissance et la beauté n’ont encore jamais été égalées.

Après avoir raconté cette extraordinaire expérience, à l’orée de nos sentiers obscurs et montré quelques photos, à ma jolie Karine, je la sentis chavirer. Le fruit était mûr, je le cueillis.

    Impromptu d’une après-midi d’été.

Début d’après-midi d’un samedi d’été grésillant de chaleur minérale, quelque part dans le Gers.
Je me secouai de la torpeur qui me gagnait après un déjeuner pourtant sage: salade de tomates, steak, une grigne de tome de brebis accompagnée d’un verre de Buzet et deux pêches. Raisonnable!
Allez! Il fallait bouger avant que la flemme ne me gagnât.

Je décidai d’aller faire un tour vers ce vieil et beau manoir du dix-huitième abandonné depuis des lustres que j’avais découvert à quelques kilomètres de Lectoure au cours d’une expédition de chasse photo, quelques années auparavant. C’était un enchantement, les ruines du châtelet, dans cet endroit perdu, retourné à la nature étaient de toute beauté. En contrebas du manoir courait un joli ruisseau, petit coin de fraîcheur qui serait le bienvenu.

Je passerais d’abord saluer Brice et Françoise qui habitaient à une dizaine de kilomètres de Lectoure, Brice était un vieux pote et Françoise son épouse, une femme d’une rare beauté au charme fou, et bien évidemment, j’en pinçais pour elle.
Elle le savait, et nous en jouions. Flirt, sourires, allusions lestes, nous nous amusions à nous taquiner, en tout bien tout honneur et ce en présence de Brice, qui savait qu’il pouvait en rire. Nous étions comme frère et sœur... à la limite de l’inceste.

Je sifflai mon chien Snoop, un Beauceron, bête magnifique au caractère trempé que j’avais dû dresser pour parvenir à me faire obéir. Enfin de l’activité! Il se planta impatient devant la portière arrière agitant son fouet et à peine celle-ci ouverte, sauta à sa place .

Je trouvai Françoise allongée sur un transat au bord de la piscine. Elle venait de sortir de l’eau et offrait son corps splendide encore étincelant de gouttes au grand soleil d’été.
Dans son mini deux pièces fuchsia, elle était sublime.

— Hello, Beauty! Comment va mon adorée ?
— Bonjour, chou! On ne peut mieux! Mon amant vient d’arriver... soleil, farniente. Que demander de plus ?

Je me baissai jusqu’à son joli minois et lui fis la bise.

— Mmh ! Que tu sens bon, coquine !
— Tu parles du monoï ou de quelque chose de plus intime?

Elle baissa ses lunettes de soleil et me lança de ses beaux yeux bleus un regard coquin.

— Je suis sûr que tu as une odeur merveilleuse.
— Qu’est ce que tu attends pour venir vérifier alors, godichon?
— Ah! Ah! Je me demande ce qu’en penserait Brice! Bien sûr, Monsieur est encore entrain de bosser.

Avec son boulot de directeur d’agence immobilière, il lui arrivait souvent d’emporter des dossiers à la maison et ses week-ends étaient parfois laborieux.

— Non. Ton copain Brice est à deux mille kilomètres d’ici, en séminaire avec sa boîte, en Roumanie. Je vais le chercher demain à l’avion.

Alors, « Quand le chat n’est pas là... ». Est ce que c’est aujourd’hui que tu en profites pour me baiser ?
Je ris en secouant la tête.

— Avec cette chaleur? Vous n’y pensez pas ma chère !

Elle rit aussi.

— Idiot! Toi, il y a des jours où je me demande si tu serais pas un peu pédé!

Je portais un de ces pantalons Zoulous très colorés en tissu léger dont la ceinture est un simple élastique et comme souvent ne portais rien dessous... des deux mains, je le baissai.

— Mmh! Pas mal!
— Bon te voilà rassurée ! En fait, tu sais, ça ne veut pas dire grand-chose, un de mes copains, Éric, a un vrai démonte-pneus, ça ne l’empêche pas d’écumer les parkings routiers sur l’ A10.
— Tu ne l’accompagnes pas, j’espère?
— C’est toi que je vais enculer, si tu continues, gourgandine!
— C’est ça...! Que de la gueule!

Je ris et pensai:

Ça n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque, jolie garce !—
— Tu venais voir Brice?
— Je suis passé te faire la bise, à toi, ne te déplaise: ton mari, je lui serre la main...Je passais avant d’aller en balade dans un coin extra au sud de Lectoure. Il y a un vieux manoir en ruines qui...
— Emmènerais-tu une passagère ? Bien sous tous rapports, pas trop moche et chaude comme la braise! Tu pourrais même lui faire le coup de la panne.
— Tu viens en balade avec nous? Woah! Super!
— Nous...?
— Oui, Snoop, mon chien.
— Ah, oui... cool! Donne moi deux minutes, OK ? J’arrive.

Nous passâmes la clôture de barbelés entourant l’immense propriété.

J’avais rencontré à deux reprises le fermier qui louait les champs attenants au château et nous avions discuté... bonhomme le gars m’avait autorisé, amusé par mon accoutrement, filets de camouflage, bardé d’appareils photo, à vaquer sur ses terres.
C’est lui qui m’avait appris que le château était la propriété d’un industriel parisien qui avait racheté le manoir aux descendants d’un éminent personnage de la première république qui aurait, à l’époque, fait tomber pas mal de têtes.

Nous marchions côte à côte, avec ma Fanchette, comme il me plaisait de l’appeler parfois, blaguant, plaisantant, riant des fadaises que nous nous racontions. Nous étions dans cette belle allée de charmilles qui mène aux ruines du château, tunnel de verdure et de fraîcheur.
Snoop s’intéressait beaucoup à ma belle compagne, la frôlait, la sollicitait, quémandant constamment son attention. Françoise ramassait un bâton et le lui jetait, lui donnant une caresse au passage... Puis elle se mit à jouer avec lui qui n’arrêtait pas de bondir et de sauter autour d’elle, la serrant, la chahutant, folâtre... à plusieurs reprises il s’était mis en érection produisant une mentule qui attira l’attention de Françoise. Elle s’en amusa.

— C’est moi qui te fais cet effet, mon Snoop... Tu veux me baiser mon gros toutou?

Elle riait.
Nous visitâmes rapidement les ruines de la magnifique bâtisse envahie de ronces et d’ orties...
Manifestement, les vieilles pierres n’étaient pas ce que ma Fanchette préférait. De plus chaussée comme elle l’était, elle n’était pas vraiment équipée. Aussi, j’écourtai la visite.
Snoop toujours intéressé par Françoise, marchait constamment à ses côtés , la serrant, collant son museau dans ses jambes, la poussant doucement avec de temps à autre de petits gémissements plaintifs

— Décidément, il te fait un gringue d’enfer!
— Oui, oui, Snoop, moi aussi je t’aime, mais pour l’instant fiche moi la paix ! Tu vas finir par me faire tomber.

Nous frayant un chemin dans les hautes herbes, vers la lisière d’un bosquet nous arrivâmes au ru ombragé de saules et d’aulnes séculaires sur la rive un lavoir maintenant en ruines.

— Oh! Que c’est beau!
— Le coin te plaît ? On va s’arrêter un moment ici, tu veux, ma belle ?
— Super!

Le ruisseau en aval du lavoir formait une vasque d’eau limpide au fond sableux. Ma Françoise jeta ses tropéziennes dans l’herbe, remonta sa jupe sur sa taille, et entra dans l’eau jusqu’aux genoux.
Elle était sublime, dans ce décor d’eau et de lumière, d’une beauté saisissante et dégageait un tel érotisme que j’étais en admiration. Je n’arrêtais pas de la photographier.

— Je suis Thétis, Françoise Thétis, pour les intimes... déesse des sources, des rivières, des fleuves... et des nuages, tant qu’à faire!

De son pied de déesse elle nous éclaboussa de gerbes d’eau dont quelques gouttes nous atteignirent. Elle était simplement magnifique!
Je prenais photo sur photo.

— Comment s’appelle cette rivière?
— Le Ruisseau des Lesquières.
— Je vous fais mes Princes des Lesquières et de toutes les rivières. Snoop viens, mon Prince... Viens!

Snoop entendait bien Françoise l’appeler, et se dandinait en gémissant sur la rive et jappait vers elle impatient... Pourtant , je savais qu’il n’entrerait pas dans l’eau, il l’avait, et ce depuis toujours, en sainte horreur. Ce que j’expliquai à ma belle ondine.

— Ah! Le pétochard ! On fait le malin avec les nanas mais on se déballonne dès que ça craint! C’est bien les mecs, ça !

Elle remonta sur la berge et se laissa tomber à genoux dans l’herbe à l’ombre du lavoir, à côté de Snoop, et lui prenant le cou, colla son joli visage contre sa grosse tête, et le cajolant, le caressant, se mit à lui parler, avec douceur. Il se passait quelque chose.
Le ton que ma jolie Françoise utilisait était câlin et doux, et l’animal y était sensible, poussant parfois un long gémissement de contentement, il remuait la queue, et se dandinait, avec des mouvements d’impatience.

Françoise se leva alors, d’un bond.

— Allez, viens Snoop ! Viens, allez... viens mon chien...!

Elle se mit à courir sur la berge immédiatement poursuivie par Snoop. Après quelques foulées, elle s’arrêta, se mit à sauter, virevolter, danser avec le chien, s’arrêtant, le caressant au passage, pour recommencer à bondir et cabrioler. Elle était magnifique !
Je mitraillais sans relâche.

Snoop sautait et bondissait, heureux, manifestant sa joie par de petits jappements de contentement, tournant et gambadant avec elle.

Ils jouèrent ainsi un bon moment, pendant lequel, je contemplais à loisir, le divin corps de la jolie Françoise, l’exquise grâce féline de chacun de ses mouvements.

Elle s’arrêta enfin, et revint, Snoop sur ses talons, s’allongea dans l’herbe.
Snoop était intrigué, son odorat subtil avertissait son instinct de mâle, qu’une opportunité était là, toute proche. Il tournait nerveusement autour de la belle, s’intéressant visiblement au bas de son corps, et plus spécialement à son entrejambes.
L’animal s’était à nouveau mis en érection et son mandrin qui avait maintenant atteint une taille imposante fit s’écarquiller les yeux de ma belle compagne.

— Eh, bien, mon salaud...!

Elle me souriait, l’air songeur, et me jetait de temps à autre des regards dans lesquels vaciillait une étrange lueur...

Le chien se fit encore plus pressant donnant à celle sur laquelle il avait jeté son dévolu de tendres coups de tête, son gros chibre pendant sous son ventre, Françoise se saisit de sa tête massive et se mit à le caresser se penchant doucement sur lui, lui murmura des mots tendres et d’autres plus crus...

— Oh! Toi...Tu sais que tu m’excites, petit salaud ...! Viens mon Snoop! Viens! Mmh! Tu me donnes envie de faire des bêtises, toi, tu sais! Si ton maître n’était pas là...

Elle me jeta un regard rapide. Ce que j’y lus n’était rien d’autre que l’attente d’un feu vert. C’était moins au chien qu’à son maître que s’adressaient les paroles de la belle.

L’excitation qu’avait fait naître le fantasme qui montait en moi depuis un moment atteignit un pic qu’exacerbait mon étonnement. Évidemment, l’idée m’en trottait depuis un moment dans la tête... j’osai à peine y croire. Pourtant !
Je la regardai longuement et d’une voix que je m’efforçai de rendre calme et encourageante, je tentai:

— Vrai, chérie? Tu en as vraiment envie?

Elle détourna le regard. Tenant Snoop par le collier, elle le regardait et le caressait.

— Oh, qu’est ce qu’il m’arrive ? — Elle me jeta un regard bref et hochant rapidement la tête — Oui...Oh! Oui...! Je faisais la maline tout à l’heure mais maintenant... si tu savais !
— Écoute, chérie, depuis le début de la promenade, depuis qu’il a commencé à te coller, je n’arrête pas d’y penser!
— Vrai? Oh! Moi aussi !
— C’est toi qu’il cherche j’en suis sûr! Tu as vu, comme il te regarde?

Snoop regardait Françoise bougeant sa tête à petits mouvements, comme dans une attente.

Elle se pencha alors sur lui, les yeux fermés, lui murmurant des mots tendres, elle avait appuyé sa tête contre la fourrure de son col et caressait son poitrail, alanguie, avec des gestes qui se faisaient langoureux, je la sentais maintenant toute à son désir. Elle eut un profond soupir.

— Ooh! Snoop, Snoop...!

Approchant son joli visage du mufle de l’animal, elle y posa de petits baisers qui se faisaient de plus en plus doux.
Le chien, incité par l’invite de la belle, sortit sa longue langue, et lécha les jolies lèvres entrouvertes. Françoise eut un petit cri de surprise et gémit, s’abandonnant.

— Oh, oui ! Viens !

Elle accueillit la langue de Snoop, tendant la sienne, gémissant de plaisir, sous la scabreuse caresse. Snoop y prenait goût, et dardait maintenant, sans relâche, sa langue dans la jolie bouche offerte, alors que Françoise, affolée de désir, gémissait des mots d’amour, à son amant.

Fasciné par la beauté troublante de son beau visage, transfiguré par la volupté, je ne m’étais pas aperçu qu’elle gardait sa main sous sa jupe légère entre ses cuisses ouvertes, et qu’elle se caressait.

Je posai ma main sur la sienne, comme pour la guider. Elle eut un soupir rauque : « Oh! Oui... Oui! Toi, chéri ! » et me laissa continuer seul, le doux office. Je caressai le petit bouton turgide et les lèvres tumescentes du tendre petit con, plongeant mes doigts dans son sanctuaire soyeux, inondé de plaisir.

Elle jouissait sans relâche, gémissante, tendant ses lèvres ouvertes, à la longue langue infatigable, qui fouaillait sa bouche qui s’offrait encore, les yeux révulsés derrière ses paupières, alors que je branlais doucement, sa chatte, noyée de cyprine. Elle montait vers l’orgasme, cherchant son souffle, éructant des cris inarticulés, se donnant encore et encore, à l’enivrant baiser.
Ma jolie Françoise, tu avais cru pouvoir jouer !

Cela dura longtemps, très longtemps... Françoise semblait ne jamais pouvoir se rassasier de la lascive étreinte... et j’étais subjugué par la scène qui se déroulait sous mes yeux. Elle s’était interrompue un bref instant, à deux ou trois reprises, pour reprendre son souffle, et, pendant une des ces pauses, nos regards se croisèrent... Le sourire auquel elle s’essaya s’ébaucha à peine, tant elle était accaparée par les sensations lubriques, et la volupté qui la submergeaient.

Je continuais à caresser et masturber son sexe délicat, éprouvant une quasi-jouissance, à sentir tant de douceur sous mes doigts, alors que je la contemplais, éblouissante, inféodée à sa folie bestiale.

Un bras entourant l’encolure de Snoop, qui semblait prendre un vrai plaisir à ce jeu, Françoise, toujours soumise aux âpres baisers de l’animal, lui caressait la poitrine et le dos, à gestes enamourés. Je remarquai que le vit de Snoop atteignait maintenant une taille impressionnante. Énorme et rouge il émettait des jets de pré-sperme se contractant spasmodiquement.

Je pris Françoise dans mes, bras, alors qu’elle cherchait encore gémissante, la caresse tant convoitée, et l’allongeai sur le dos, retroussant la légère robe sur sa taille admirant la puissance érotique que dégageait son corps sublime dans cet appareil. Je l’embrassai, relevai ses jambes et les écartai, tirant de côté l’adorable string rose, dévoilant son délicat trésor.

Immédiatement, Snoop y fourra sa truffe, et se mit à lécher le sexe enfiévré, et la tendre rosette de la belle, qui électrisée par le contact de la longue langue impatiente, poussa un cri de surprise, et se mit, rapidement à se tordre de jouissance, sous la bestiale caresse. J’enlevai son string à la mignonne qui s’offrit de plus belle à son insatiable amant.
Ses mains appuyant sur la tête de l’animal, elle cherchait à le maintenir sur son sexe, essayant d’intensifier, encore, les profonds lèchements que celui-ci, de plus en plus excité, lui prodiguait. Cela se prolongea pendant de longues minutes pendant lesquelles je laissai l’animal prodiguer ses affolantes caresses à la belle soumise qui s’agitait, se contorsionnait, haletante, gémissante, criant sa volupté.

Puis de la voix et du geste, tenant Snoop par le collier je le fis s’avancer, amenant son phallus pendant, au- dessus du visage de Françoise. Elle sentit les jets de liquide séminal sur son visage et ouvrit les yeux. La vue du lourd pénis, ballant au-dessus d’elle, la mit dans un tel état d’excitation, qu’elle se mit à haleter, à grands souffles rauques, se soulevant, pour essayer de prendre en bouche, le lourd mandrin. Je l’aidai et soulevai sa nuque, elle engloutit avec avidité l’épais chibre canin, avec des gémissements de délices, le souffle précipité.

Je ne négligeai pas, pour autant, de maintenir son mignon clitoris en état d’excitation, ne me lassant pas d’explorer la profonde douceur de son antre.

Françoise suçait avec avidité la grosse mentule de Snoop, avec des plaintes et des râles de délices, s’interrompant de temps à autre pour déglutir le liquide séminal, qu’il émettait à traits constants, et qu’elle avalait avec des bruits de gorge lascifs. Il lui en aspergeait alors le visage, qui en était inondé.

La belle jouissait, gémissant et râlant son luxurieux plaisir.

Fasciné, excité au plus haut point par la scène stupéfiante à laquelle j’assistais, j’avais baissé mon léger pantalon et sorti mon sexe gonflé par une érection de plomb, et me masturbai doucement... Françoise s’en aperçut, tendant sa main, elle m’empoigna et se mit à me branler, ajoutant encore à mon plaisir.

Je tirai alors mon chien en arrière. Françoise eut un cri de frustration, de se sentir dépossédée de l’objet de sa convoitise, mais n’en continuait pas moins à gémir.

Doucement, je la pris par les épaules, et la fis s’asseoir. Elle me regarda les yeux hagards, embrumés de stupre et de lubricité. L’incitant à se retourner, je la fis se mettre à quatre pattes. Je l’aidai à écarter ses jolies jambes et appuyant sur ses reins la fis se creuser.

Snoop se précipita sur sa croupe cambrée, y fourrant son museau, se mit à lécher et laper le mignon petit con et la rosette inondés de cyprine, déclenchant les gémissements et les roucoulades de la belle naïade.

Je laissai l’animal donner libre cours à son instinct.

Ce ne fut pas long. Après avoir tourné et viré deux ou trois fois, autour de sa proie, il sauta sur son dos, saisit sa taille entre ses antérieures, et se mit à donner de frénétiques coups de reins, cherchant à pénétrer sa femelle.

Françoise poussa un cri de surprise, et chancela sous le poids de la bête, mais je l’entendis vite pousser de petits cris d’excitation, et la vis se tendre vers le gros vit, qui continuait à faire gicler son pré-sperme, trempant ses fesses et ses cuisses.

Je saisis le chibre de Snoop, et en plaçai le gland sur l’entrée de son vagin, noyé de mouille.

Dès qu’il le sentit, le chien, d’un puissant coup de reins, s’enfonça au plus profond du sanctuaire de la belle nymphe, lui arrachant un cri, où se mêlaient douleur, surprise et volupté.

Snoop qui, après l’avoir pénétrée, avait atteint une totale érection, se mit à pilonner frénétiquement Françoise, avec une telle puissance et un rythme si soutenu, que, secouée des pieds à la tête, il la fit hurler, son cri se prolongeant pendant une longue minute. Elle le déclina sur tous les modes : râles, geignements, roucoulades... dans la tempête de volupté lubrique, qui l’emportait.

Je savais, de plus, que le pénis d’un chien, tout au long de l’acte, continue à gonfler et grossir alors que la bête éjacule en permanence, et cela ne pouvait qu’accroître les sensations érotiques de la mignonne.

Brusquement, la tempête s’arrêta. Snoop se tenait immobile, haletant. Françoise qui geignait et râlait achevait de jouir. Elle poussa alors une exclamation de surprise, se contractant brusquement, et se mit à exhaler de doux geignements dolents de plaisir...

Je savais ce qui se passait : Snoop éjaculait, déchargeant en elle tout son sperme. Son bulbe pénien avait enflé, et maintenait sa chienne sous son emprise
Françoise jouissait à nouveau, cette fois selon un autre mode: ce n’était plus de frénésie que sa jouissance l’emportait. Je m’approchai de son visage, et le contemplai. Il n’y avait plus aucune trace de tension ni la crispation d’une violente jouissance, sur ses traits, mais une sérénité et un calme, qu’illuminait un indicible sourire apaisé. Ses mains, à plat, encadraient l’adorable visage, reposant sur l’herbe, elle gardait les yeux fermés, et la bouche entrouverte sur son beau sourire elle respirait lentement, proférant de doux sons inarticulés, qui disaient la volupté, dans laquelle elle baignait.

Elle ouvrit les yeux, comme si elle s’éveillait. Elle me vit et me sourit, tendrement. Elle resta ainsi, de longues minutes, gémissant et râlant sa jouissance toujours verrouillée à mon chien.

Celui-ci commença à s’impatienter et se mit à bouger ne pouvant plus tenir en place, et ce faisant tirait sur son nœud, pour se dégager. Cela sortit ma belle Françoise, de la torpeur dont elle commençait à peine à émerger. Les tiraillements de Snoop commençaient à être douloureux, elle s’était mise à gémir... Puis, les efforts du chien s’intensifièrent et elle se mit à râler, et à pousser des cris de douleur. Lorsque je m’approchai, je constatai que la pauvrette devait, effectivement, en baver : Snoop tirait sur son bulbe, le dégageant presque entièrement, du pauvre petit con martyrisé, il était énorme : de la taille de mon poing !

Impatient, dans un effort plus intense, le chien tira sur encore son bulbe, qui s’extirpa brutalement, avec un bruit mouillé. Françoise poussa un hurlement, suivi de sanglots. Je m’approchai et caressai le doux visage. Elle pleurait. Je séchai ses larmes de mes baisers.

Elle restait dans la même position, jambes écartées, croupe levée... Sa main s’approcha de son sexe tuméfié, et elle se mit à le caresser, gémissant encore doucement... y enfonça deux doigts, sur lesquels le sperme, dont Snoop l’avait gratifiée, s’écoula en lourdes rigoles, emplissant sa main, gouttant en larmes épaisses, sur le plaid. L’offrande, que lui avait faite son bestial amant, la comblant, sourdait d’elle, lui faisant geindre son contentement enamouré.

Le regard lascif, elle se tourna vers moi.

— Viens !

Je m’agenouillai devant elle. Elle m’empoigna et prit mon gland en bouche, et me suça avec avidité.
L’ espace d’un instant je crus comprendre vers quel but, qui, je le sais, me restera à jamais caché cette tension de tout son être la portait...
Je caressais son doux visage, éperdu de sensations ineffables.

Je ne sais pas si cela dura, ou non.

L’orgasme éclata brusquement. Dans un cri rauque, je déchargeai, me vidant dans sa bouche, je la maintenais sur ma queue. Secoué de spasmes, j’eus une éjaculation longue, et copieuse, que la belle ondine parvint à avaler, presque entièrement.

Après m’être redressé et rajusté, j’aidai ma jolie perverse à se relever, elle arrangea de quelques tapes sur ses adorables fesses la petite jupe, et me sourit se mordillant la lèvre avec un air qui se voulait coquin, essayant de cacher la terrible gêne qui l’assaillait, des larmes montant dans ses beaux yeux...
Vite, j’allumai un contre-feu et caressant son doux visage:

— Tu as été merveilleuse, chérie!

Elle se blottit dans mes bras, et m’embrassant dans le cou me murmura:

— Oh! Merci! Merci, chéri...!
— Tu as pris du plaisir, hein, ma Fanchette?
— Ça a été merveilleux ! Si tu savais! C’est incroyable! Il m’a fait jouir comme jamais! J’en suis encore toute remuée... j’en ai encore envie! Dis, tu me laisseras le refaire avec lui, chéri ? Tu veux, hein?
— Tant que ça voudra, ma belle! Je suis sûr que ton nouvel amant ne demande que ça! Quant à moi, n’en parlons pas !
— Vrai, mon Snoop? Tu vas encore me baiser mon amour ? Oui, mon chéri ?

Le chien s’entendant nommer accourut aux pieds de sa maîtresse quémandant son attention.

— Oh, oui! Viens, mon tout beau...Oui, mon amour...

Françoise se pencha sur lui le caressa lui parlant avec une tendresse qui n’était pas feinte. Elle m’avouera par la suite être complètement amoureuse de mon chien.
Snoop se mit à lécher le visage de sa jolie maîtresse qui ravie, laissa son farouche amant l’assaillir de ses ardents baisers, lui offrant sa bouche, les yeux chavirés, exhalant de doux « Ooh! » enamourés.
Après un court moment, Snoop s’interrompit brusquement et plantant là sa belle, s’éloigna pour aller se coucher un peu plus loin, la laissant interdite:

— Oh! Le salaud!

Je lui expliquai qu’il n’y avait aucune cruauté dans son comportement et qu’il lui était tout autant attaché: en s’accouplant avec lui, elle avait rempli sa fonction. Il était simplement venu s’assurer de la disponibilité de sa femelle. Maintenant sûr que celle-ci restait accessible, il continuait à se consacrer à ses occupations de chien.

— Mais enfin... ! Il faudra que tu essaies de lui inculquer les bonnes manières... Ce sont des façons de faire qui démontrent un sérieux manque d’éducation !

Elle rit.

— Garde-le comme ça: il est mieux que parfait!

Sur le chemin du retour, nos conversations ne firent que tourner autour de la révélation que ma belle Françoise venait d’avoir. J’en bandais comme un âne.           — Pas facile de marcher comme ça !

— Une petite pipe pour te soulager ?
— Ah, ah ! Toi, la provoc’, c’est une seconde nature! N’empêche que tu suces vachement bien! Balle au centre.

La belle eut une petite moue:

— Je ne savais plus ce que je faisais, alors...

Je retrouvai mon sérieux.

— Je le sais, mignonne.Tu sais bien que je te taquine. Vas-tu lui en parler?
— A Brice? Sûrement pas : sucer n’est pas tromper!

Elle étouffa un petit rire.

— Je pensais plutôt à ton entrée dans le cercle confidentiel des adeptes de l’amour canin.
— Certainement pas! Tu viens d’ailleurs de le dire: c’est un cercle confidentiel. Donc, il est « out ». Et avec Snoop je ne le trompe pas. C’est autre chose! Et quelle autre chose!

La friponne me jeta un regard lubrique, un bout de langue sur ses jolies lèvres qu’entrouvrait un sourire.

— Oh! Qu’est ce que ça a été bon ! Je n’en reviens pas!

Par contre, tu vois, si nous faisions l’amour toi et moi, là oui, je le lui dirais! Un de ces jours, forcément, faudra bien que ça arrive, non ? — Oh! Ne pense surtout pas que j’aurais plus de scrupules que ça! Lui, je sais qu’il m’a déjà trompée et pas qu’une fois, preuves en mains. Que crois-tu qu’il y fasse dans ses... « séminaires » ?

— Désolé de t’avoir amenée à parler de ça.
— Laisse tomber ! Au score, c’est moi qui mène!

Elle éclata de rire.

Nous fîmes la dînette au bord de la piscine autour d’une bouteille de rosé et après qu’elle se fût laissé embrasser avec délices quelques dernières fois par son nouvel amant je laissai à la nuit ma jolie « Snoop girl » qui tombait de sommeil, devinant de quoi, cette nuit, seraient peuplés ses rêves.

    _____________________

Mon téléphone sonna souvent dans les semaines qui suivirent et je revis souvent Françoise.
Elle m’avoua sa dépendance à ses folles séances amoureuses avec Snoop et je lui avouai la mienne au spectacle de leurs merveilleux jeux interdits.
Tout allait pour le mieux...
A la fin de l’automne, par un soir de novembre, je reçus ce coup de téléphone de Brice, effondré qui me demanda si Françoise était chez moi, si je savais où elle était.
Elle avait laissé un mot sur son bureau dans lequel elle lui annonçait qu’elle le quittait et demandait le divorce. Elle ne rentrerait pas ce soir.

Elle ne rentra jamais.
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