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Les six week-ends marquants d'Emilie

Chapitre 1

Première Saint-Valentin

Hétéro
Contexte : Emilie, 28 ans, et moi, 27 ans, sortons ensemble depuis un peu plus de trois mois et je passe de plus en plus de temps dans son appartement dans lequel se trouve déjà passablement de mes vêtements. Nous sommes éperdument tombés amoureux l’un de l’autre et ne concevons plus de vivre l’un sans l’autre. Pourtant, je reste un peu sur ma faim par rapport à notre sexualité. Certes, Emilie se montre ouverte, curieuse et s’abandonne à l’amour. Cependant, elle n’est ni proactive ni joueuse.
Week-end : Pour notre première Saint Valentin, je réserve dans un joli hôtel dont le restaurant est réputé. Situé au bord d’un lac, l’hôtel est de taille moyenne et notre chambre, située sous les toits, à une vue imprenable sur le lac. Emilie est très excitée par la perspective de passer le week-end à l’hôtel pour l’occasion.
Le temps est gris, pluvieux et frais. Pas vraiment idyllique au moment de prendre la voiture. Sous un manteau, Emilie porte un chemisier marron assez moulant et un jeans. Nous papotons tranquillement durant l’heure de voyage et arrivons à l’hôtel sur le coup des 16h. Les formalités administratives sont rapidement effectuées, nous sommes conduits à notre chambre. A l’intérieur, nous faisons un rapide tour avant d’admirer la vue sur le lac. Les nuages sont impressionnants sur les montagnes, derrière la rive d’en face. Alors qu’Emilie ne se lasse pas de ce tableau magnifique, je viens derrière elle et commence à la peloter. Je l’embrasse dans le cou :— J’ai envie de toi, bébé.— Déjà ?— Un agréable moyen d’intégrer notre chambre, tu ne crois pas ?— Oui...
Je déboutonne son chemisier. Alors que j’en écarte les pans, Emilie tire les rideaux bien que nous soyons dans les combles de l’immeuble sans vis-à-vis. Je m’en amuse :— Je ne crois pas que nous risquions d’être vus ici...— Mieux vaut être prudent...Emilie se tourne alors, s’agenouille et sort mon sexe pour le sucer. Si elle fait ça bien, voir très bien, je regrette que cela ne dure jamais longtemps. Il en est de même aujourd’hui. Emilie se relève bientôt et nous passons sur le lit sur lequel je la déshabille avant d’embrasser son corps brûlant. Ses petits seins ronds, son ventre plat, son triangle noir impeccablement tondu, ma tête tourne devant ces merveilles.
Alors que j’ai commencé mon cunnilingus depuis une trentaine de secondes, Emilie tire mon épaule :— Viens ! Viens en moi !J’avais envie de la lécher plus longtemps, mais Emilie est souvent impatiente que je la pénètre. Je glisse dans son sexe détrempé et vais et viens entre ses jambes ouvertes. Emilie prend énormément de plaisir dans cette position dans laquelle je la fais monter lentement à l’orgasme. Puissants, intenses et violents, les orgasmes d’Emilie ont quelque chose de très spectaculaire.
Nous roulons dans le lit et elle se retrouve à califourchon sur moi. Sa sensualité s’exprime pleinement lorsqu’elle ondule en glissant profondément sur mon sexe. Ses gémissements contenus, ses yeux mi-clos, la bouche entrouverte, ses seins gonflés, ses tétons durs et tendus : j’observe Emilie qui me chevauche et elle est prodigieusement belle.
Alors qu’elle se penche en avant, une dizaine d’allers-retours plus rapides et vigoureux lui permettent de jouir pour la seconde fois. Elle m’embrasse, sourit en reprenant ses esprits, puis elle me dit :— Viens derrière moi...
Son péché mignon. Je l’avais fait tellement rougir en la faisant avouer que la levrette était sa position favorite. A quatre pattes, je n’avais jamais vu une femme aussi excitante qu’Emilie. Ses hanches juste un peu larges, ses cuisses fortes et athlétiques mais surtout ce généreux fessier absolument fantastique, musclé, rond et rebondi. Sa cambrure faisait le reste.

Je reste quelques secondes en admiration devant tant de beauté. Son sublime anus rose m’attire de plus en plus et je n’ai fait que le caresser jusqu’ici. Il m’excite d’autant plus qu’aucun homme ne l’a jamais pénétré.
Je m’approche et dirige mon sexe dans la vulve détrempée et rougie qui s’offre à moi. Emilie gémit à mon passage. J’attrape ses hanches et entame mes mouvements de rein. Je l’entends souffler, haleter. Elle ne me l’a pas dit, mais j’ai remarqué qu’elle aimait que j’aille crescendo et je m’attelle à élever petit à petit la cadence tout en augmentant la vigueur de la pénétration. Les "Oh oui" et les "Encore" murmurés par ma partenaire m’incitent à poursuivre ainsi.
Bientôt, mes hanches claquent bruyamment contre les fesses d’Emilie. La jolie blonde fléchit, mais résiste à mes coups de boutoir contre son cul. De petits cris terminent ses gémissements. Je résiste tant que je peux avant de sentir l’intense plaisir de mon orgasme parcourir l’ensemble de mon corps. Emilie lâche un "Mon Dieu..." qui me ravit. Je me retire et m’écroule sur le lit. Emilie vient contre mon épaule, souriante :— Tu étais en forme, mon chéri...— Ça doit être l’air du lac !Elle rit. J’ajoute :— Je trouve aussi que c’est un bon début.Le regard plein d’ironie, elle répond :— Tu veux dire que tu veux le refaire plus tard ?— Je ne sais pas, on verra...
Quelques baisers plus tard, nous nous endormons profondément.
Je me réveille une heure plus tard et observe le corps nu de ma compagne. Je repense à notre ébat. Je ne peux pas dire que je n’ai pas apprécié. Le souci, c’est ce déroulement très souvent le même : Emilie me suce quelques instants, "tolère" un court cunni avant la pénétration et ces trois positions. Un minimum de mots et de communication. Emilie a ses habitudes, prend du plaisir ainsi et semble craindre de faire autre chose.
Ne voulant plus y penser, j’allume la télévision sans son et laisse dormir Emilie qui se disait assez fatiguée ces derniers temps. Elle se réveille finalement à 18h30. Un baiser puis elle va aux toilettes. Quand elle revient, j’ai sorti le petit cadeau que je lui ai acheté. Un ensemble de lingerie noire qu’elle voulait s’offrir mais qu’elle trouvait trop cher. Emilie est aux anges :— Tu es fou ! Tu n’aurais pas dû ! Mon Dieu, il est magnifique...Elle trouve dans un second temps le porte-jarretelles qui complète l’ensemble, avec des bas adaptés. Emilie regarde l’article avec circonspection :— Tu as aussi pris le porte-jarretelles, tu n’es vraiment pas bien...— Pourquoi ? Il ne te plaît pas ?— Ce n’est pas ça, mais je n’en porte pas.— J’ai vu qu’il n’y en avait pas dans ta commode. J’ai pensé que ça manquait.Emilie rit. — Ça manquait ? Je ne sais pas si ça manquait vu qu’il n’y en a jamais eu.— Tu n’en as jamais porté ?— Non, jamais. Et c’est la première fois que l’on m’en offre un. — Tu le mettras ?— A la maison, pour te faire plaisir, oui. Pour sortir... heu... on verra !Je ris à mon tour. Nous nous embrassons. Emilie m’offre une magnifique chemise blanche.
Nous passons ensuite à la douche et nous nous préparons à descendre manger au restaurant. Emilie a mis une nouvelle robe longue, grise, droite et un peu stretch. Devant le miroir, elle ne semble pas satisfaite que l’on distingue autant son soutien-gorge, tant à travers le tissu qu’au niveau des bretelles de la robe. Je ris :— Pourquoi tu n’enlèverais pas tout simplement le soutien-gorge ?Elle me regarde avec hésitation. Puis elle l’enlève et replace sa robe. — On ne voit plus le soutien-gorge, mais on voit tout le reste.Ses tétons sont magnifiquement dessinés dans le tissu.— J’aime bien, c’est sexy sans être vulgaire. Elle se tourne, se regarde sous toutes les coutures. Je tente :— On voit aussi ton string...Sans me regarder, Emilie ôte son string et sourit à son reflet dans le miroir. — C’est bon, là on peut descendre.Je ris.
Nous passons la porte et refermons. Le restaurant est plein et il n’y fait pas si chaud. L’apparition d’Emilie ne passe pas inaperçue et cela la gêne. A table, la situation s’arrange et Emilie me dit qu’elle n’avait jamais été nue sous un tissu qui en révèle tant. Nous mangeons très bien, pas trop. Ce souper nous ravit. Alors que nous buvons un petit digestif, je me rends compte que le restaurant s’est bien vidé.
Il est 22h30 quand nous décidons de quitter la table. Je propose à Emilie de sortir au frais. Je monte vite chercher nos manteaux et nous flânons jusqu’au débarcadère. Jambes nues sous sa robe, Emilie n’a pas chaud du tout. Au débarcadère, j’ouvre son manteau et l’air frais qui s’y engouffre fait immédiatement darder ses tétons comment deux belles pointes féroces décidées à transpercer le tissu. Je ris. Emilie aussi. Elle referme son manteau et je la prends dans mes bras. Nous échangeons des mots doux. Elle me dit :— J’ai envie qu’on s’installe ensemble. Chez toi, chez moi ou ailleurs, mais ensemble. Je me sens seule et perdue lorsque tu n’es pas avec moi. Je ne peux plus me passer de toi.Nous nous embrassons et nous décidons très vite d’emménager chez elle. Je lui dis que je ferai les démarches administratives dès le lundi suivant.
Nous revenons à l’hôtel et montons dans la chambre où nous faisons l’amour très agréablement. Mais de la même manière qu’en arrivant, 7h plus tôt.
Au matin, je me réveille avant elle. Il est 8h30. J’essaye de ne pas faire de bruit en allant aux toilettes, mais Emilie ouvre les yeux alors que j’en reviens. Baiser. Elle va à son tour à la salle de bains puis revient précipitamment se lover son la couette. Nouveaux baisers et des caresses. Emilie me masturbe un instant puis je lui dis de se tourner. Elle est humide et elle me dirige en elle, en cuillères. Après un moment, je prends la jambe supérieure d’Emilie et la soulève pour lui faire écarter les jambes. Lentement, je passe mon bras sous son épaule puis je la fais rouler afin qu’elle vienne sur moi. Dans le miroir face à nous, l’image crue, en premier plan, de nos sexes emboîtés. — Regarde-nous...Emilie pose ses pieds de part et d’autre de mes jambes et s’y appuie pour aller et venir sur mon sexe. Je lui dis :— Continue... J’aime voir mon sexe pénétrer le tien... Je passe la main sur son sexe et commence à caresser son clitoris. Emilie continue ses mouvements et regarde fréquemment le miroir. Elle jouit.
Doucement alors, elle se redresse avant de se pencher en avant. Une fois installée, elle reprend ses mouvements de va-et-vient. Je suis ravi de cet ébat. Je mate cet incroyable cul qui monte et descend sur ma bite. De mon pouce, je caresse doucement l’anus d’Emilie.
Lorsqu’elle cesse ses mouvements, je la pousse légèrement pour qu’elle sorte puis je m’agenouille derrière elle. A quatre pattes face au miroir, Emilie crie doucement quand je la pénètre. Rythme lent, je regarde ses seins bouger dans la glace. Je ralentis et prends l’épaule d’Emilie. Je l’attire vers moi pour qu’elle se redresse et qu’elle fasse face au miroir. Je lui murmure :— Tu es si sensuelle quand tu fais l’amour...— Mmmmh...— Ça se voit que tu aimes ça...— Mmmmh...— Tu sais ce dont j’ai envie ? De te prendre fort en levrette.— Mmmmouih...— Envie que mes hanches claquent contre tes fesses, que ta résistance vacille mais ne cède pas...— Mmmh... Oh oui...— Envie que ma bite chauffe dans ta chatte brûlante... Dis-le-moi...Après quelques secondes de gémissements, Emilie se lance :— J’ai envie de... ta... bite... et que tu... me prennes... fort...Excité par ces mots qu’elle ne m’avait jamais dits, je la relâche et entreprends de l’astiquer vigoureusement. Emilie semble ravie de cette énergie et gémit bruyamment. Mon orgasme survient rapidement. Trop à mon goût. Et sûrement trop vite aussi pour Emilie. Néanmoins, elle semble ravie de ce que nous avons fait.
D’excellente humeur, nous prenons notre temps au petit-déjeuner. Je me ressers plusieurs fois de tartines et Emilie se fiche tendrement de moi. Nous remontons ensuite et dans la chambre, je l’attire à moi pour l’embrasser avec passion. Mes mains glissent sur ses fesses :— Tu m’excites...— Je vois ça.Je prends sa main et la pose sur mon sexe tendu. Elle sourit avant de m’embrasser à nouveau. Ensuite, lentement, Emilie s’agenouille devant moi en déboutonnant mon jeans. Mon sexe apparaît et elle commence à me sucer. Elle fait ça bien, très bien même, et pour une fois, cette magnifique fellation dure. Emilie ne semble pas avoir envie de se relever, gobant mon sexe avec une avidité que je ne lui connaissais pas.
Lorsque je la déshabille ensuite, je constate que son sexe et son string sont détrempés. La fellation a surexcité ma copine. J’aimerais lui rendre la pareille, mais je réponds à sa demande en pénétrant rapidement son accueillante vulve, allongé entre ses jambes.
Emilie jouit puis je me redresse et m’agenouille. Emilie me regarde, les jambes de part et d’autre de mes cuisses. J’attrape un gros coussin et le place sous les hanches de ma partenaire. Je prends ses jambes et les place sur mes épaules. Je la pénètre. Emilie soutient mon regard, les pincées. J’attrape ses chevilles et les écarte. La position est torride et fantastique pour le voyeur que je suis. Mais Emilie semble gênée et je sens qu’elle cherche à refermer les jambes. Je ramène ses jambes à mes épaules. Emilie me repousse doucement et se tourne. Nous terminons par une agréable levrette.
Alors que nous sommes dans la voiture pour rentrer, je lui demande :— Ça ne t’a pas plu la position quand je t’ai mis le coussin sous les hanches ?Elle sourit et rougit.— Ça m’a gênée... C’était un peu... porno.— Et tu n’aimes pas quand c’est porno ?— Ce n’est pas que je n’aime pas. Je n’ai pas l’habitude. Avec toi, ce n’est pas pareil.— Comment ça ?— Tu es plus... heu... comment dire... tu es plus créatif !Nous rions.— Ça te choque ?— Non, pas à ce point. Je n’ai couché qu’avec deux autres hommes avant toi et tu es plus coquin, bien plus coquin, qu’eux. Alors ça me surprend. Il me faut un peu de temps.Nous nous embrassons à un feu rouge.
En arrivant à la maison, Emilie agrafe à sa taille son tout premier porte-jarretelles et galère un peu pour y accrocher les bas. Devant le miroir, ses joues empourprées confirment son inexpérience à porter de précieux dessous.
Toujours allongée dans le lit après avoir fait l’amour une nouvelle fois, Emilie retire la lingerie fine puis elle m’embrasse. Elle demande :— Tu t’embêtes avec moi au lit ?— Non. Nous trouvons nos marques petit à petit. Je suis content qu’on ait pu en parler dans la voiture.Emilie semble inquiète. — Dans les dernières 24h, nous avons fait l’amour six fois, dont quatre fois aujourd’hui. Avant ce week-end, je ne l’avais jamais fait plus de deux fois dans la même journée et c’était avec toi. Je ne me force pas, bébé. Je prends un plaisir fou à faire l’amour avec toi et je suis prête à le refaire encore, car j’en ai vraiment envie.— Je refuse totalement que tu te forces ou que tu acceptes de faire des choses que tu ne veux pas faire, juste pour me faire plaisir. C’est hors de question, Emilie. Ça me décevrait énormément. Au lit, ton plaisir passe avant tout. Je veux que tu sois comblée sexuellement.— Je le suis. Au-delà de ce que tu peux imaginer.Nous nous embrassons.
La fin de la journée et la soirée se passeront devant des films. Nous ne referons pas l’amour ce soir-là. Pourtant, ce week-end marque une étape, un commencement pour Emilie. Il lui arrivera désormais de dire son envie de faire l’amour et, de temps à autre, de se montrer un peu plus "créative" durant nos rapports.
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