Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 160 J'aime
  • 3 Commentaires

Les six week-ends marquants d'Emilie

Chapitre 3

Le week-end 5S

Hétéro
Contexte : Après le week-end de mes 30 ans, l’été a été brûlant. Totalement libérée et au bénéfice d’une confiance inébranlable en elle comme en nous, Emilie a radicalement changé. En quelques mois, la prude Emilie est devenue une ardente amatrice de sexe et de baise et durant l’été, nous avons en moyenne trois à cinq rapports par jour. Énorme. Nous avons fait l’amour hors de la maison à de nombreuses reprises et la sodomie est devenue une pratique régulière de notre sexualité. En riant, Emilie dit qu’elle est devenue "une vraie salope" à mon contact. Au mois de septembre, c’est elle qui initie ce week-end qu’elle a renommé "Le week-end 5S", comme Sportive Sexy Salope Suceuse Sodomite.
Week-end : Nous sommes jeudi soir et nous préparons une valise pour le week-end puisque nous avons prévu de partir le lendemain, directement après le travail. Un temps magnifique est prévu pour ce week-end à la montagne et nous avons décidé de faire une belle randonnée le samedi pour en profiter. Plus tard, au moment de nous coucher, Emilie et moi faisons l’amour, notre quatrième rapport du jour.
Le vendredi matin, Emilie part aux aurores, avant même que je ne me réveille, car elle doit commencer sa journée plus tôt afin que nous ne partions pas trop tard en fin de journée. De mon côté, je prends une courte pause à midi et vers 16h, j’arrive devant le lieu de travail d’Emilie, un bâtiment moderne et entièrement vitré. Je lui téléphone. — Ah, tu es déjà là. Je dois juste finir un truc. Entre et dis que tu as rendez-vous avec moi, la réceptionniste t’accompagnera.
A la réception, je suis accueilli par la souriante Sylvie (c’est écrit sur le badge qu’elle porte à la poitrine), une jeune et jolie brune aux cheveux longs et à la voix suave. Elle me donne un badge et m’accompagne aux ascenseurs. Très grande, elle porte une jupe longue, noire et moulante qui me ravit. Nous montons au cinquième et avant dernier étage du bâtiment puis déambulons jusqu’au bureau d’Emilie. Sylvie frappe et nous entrons. Je suis subjugué par la magnifique vue sur la campagne dont bénéficie le bureau, vitré du sol au plafond.
Au fond du bureau, Emilie se lève et vient m’accueillir avec un smack. Je me délecte de sa tenue composée d’un chemisier blanc très étroit à manches courtes et d’une jupe en cuir noir, fermée sur le devant par six gros boutons. Elle remercie Sylvie qui prend congé de nous. En plus du poste d’Emilie, il y a trois autres bureaux apparemment inoccupés.— Tes collègues ne sont pas là ?— Non, ils sont en formation à Paris.Emilie retourne à son poste de travail, prend ses clefs et, après avoir vérifier qu’il n’y avait personne dans le couloir, verrouille la porte du bureau. Quand elle se retourne vers moi, je comprends. Ses yeux, son regard, ce sourire. Elle vient m’embrasser avec ardeur et pose sa main sur mon entrejambe qui durcit rapidement. — L’occasion ou jamais...A peine terminé sa phrase qu’elle s’agenouille et prend mon sexe sans la bouche. A la façon dont elle me suce, je comprends qu’elle voudra faire durer cet ébat. Elle se relève et me sourit avant de m’attirer sur le bureau d’une des ses collègues. Emilie se tourne, lève sa jupe. Le temps pour moi d’être surpris par une absence et une présence, respectivement de son string et d’un porte-jarretelles. — Tu es venue travailler comme ça ?— Le string, je l’ai enlevé juste avant que tu arrives, mais le porte-jarretelles, je l’ai depuis ce matin, oui.— C’est la première fois, non ?— Oui, mais il me semble que ça en valait la peine. Écartant les jambes, Emilie en profite pour écarter également ses fesses, invitation ultime à la pénétrer, ce que je fais un instant plus tard. C’est divin, excitant au possible et Emilie semble aux anges.
Après quelques minutes, elle me demande de me retirer et nous allons sur le coin de son bureau, au bord de la fenêtre qui donne sur le parking. Là, Emilie retire sa jupe puis s’assied au bord du bureau. Provocatrice, elle relève et écarte largement les jambes. Je glisse en elle. Son regard est un défi. — Tu es une belle salope.— Je savais que ça t’exciterait aussi de baiser ici.Emilie ouvre son chemisier tandis que je la lime vigoureusement et je suis bientôt à bout.
— Je veux jouir sur tes seins...Emilie descend du bureau et s’agenouille devant moi. Je me masturbe et explose alors sur son torse et son soutien-gorge. La belle est maculée de sperme. Elle se relève, m’embrasse puis sort un paquet de lingettes de son sac. Je provoque à mon tour :— Je pensais que tu oserais descendre avec ce décolleté...Elle lève les yeux sur moi et je soutiens son regard. Elle sourit.— OK...Je me rhabille. Emilie remet sa jupe. Elle est alors contrainte de reboutonner son chemisier qui se tâche immédiatement de sperme. Rapidement, je prends son sac et son blazer.— Donne-moi le blazer !— Hors de question !— Tu es fou ! Je ne peux pas sortir dans les couloirs comme ça...— Il le faudra, sinon pas de week-end.Sur ces mots, je prends la clé, déverrouille la porte et sort de la pièce. Quelques instants plus tard, Emilie apparaît, la mine renfrognée.— J’espère qu’on croisera personne, j’ai trop honte...
Après avoir reverrouillé la porte, nous prenons l’ascenseur et j’appuie sur le rez. Personne lorsque les portes s’ouvrent et nous passons par la réception où je dois déposer mon badge visiteur. Manque de chance pour Emilie, Sylvie est alors en train de remettre de l’ordre sur une table d’accueil. En nous voyant, elle s’approche de nous. Je lui remets mon badge et la salue. Sylvie se tourne alors vers Emilie :— Oh, tu as taché son chemisier ?Emilie vire à l’écarlate— Oui, j’ai... heu... renversé de l’eau dessus. Ça va sécher.Sylvie sourit et ne semble pas du tout convaincue, alors qu’Emilie se dirige vers la sortie. Sylvie me dit :— Vous devez signer le registre de sortie. Je l’accompagne à la réception, permettant un dernière vue sur son adorable croupe. Je signe le formulaire et lui dit :— Je vous souhaite une bonne soirée et un excellent week-end.— Que le votre se poursuive aussi bien qu’il semble avoir commencé.Je la regarde. Son sourire pincé et son hochement de tête me font éclater de rire.
Je rejoins ensuite Emilie à la sortie. Elle est un peu fâchée :— Je savais que je ne devais pas accepter cette folie ! Elle a bien vue que ça n’était pas de l’eau !Je ris :— Allez, viens, tu vas montrer ça à la réception de l’hôtel.
Une heure trente de route pour atteindre un joli hôtel tout en bois. A l’image de l’hôtel, la réception est très chaleureuse, à la fois rustique et très moderne. Les formalités effectuées, nous faisons l’amour dès notre arrivée dans la chambre. Depuis notre première Saint-Valentin, nous le faisons systématiquement, dès que nous entrons dans une chambre d’hôtel. Nous somnolons ensuite quelques instants avant de nous préparer pour descendre manger au restaurant.
Emilie passe une courte robe noire à bustier lacé, fines bretelles et bas évasé. Pas de soutien-gorge. Une petite robe d’été qui, portée avec des talons hauts, se révèle torride. Je suis à deux doigts de la baiser avant de descendre, mais Emilie met le holà.
Le souper est excellent, fin et léger. Les cinq plats sont autant de tableaux dont nous nous délectons. Nous parlons beaucoup de notre mariage, prévu pour le mois de mai suivant. Nous remontons vers 22h. Alors que j’embrasse Emilie dans l’ascenseur, je dénoue son bustier. Elle stresse un peu :— Pas encore, il pourrait y avoir quelqu’un à notre étage. Ainsi, Emilie tient discrètement son bustier fermé alors que les portes de l’ascenseur s’ouvrent, mais personne ne se montre. Elle relâche son décolleté et se met à courir en direction de notre chambre. Je la rattrape rapidement, la plaque contre le mur du couloir et notre baiser m’électrise. Emilie me dit :— J’ai une surprise pour toi.Elle me pousse doucement et fait deux pas en direction de notre chambre avant de remonter sa robe au-dessus des fesses : rien. Pas de dessous sous une robe aussi courte. Je la rejoins à nouveau, l’embrasse et retire entièrement le lacet de son bustier dont les pans baillent, dévoilant complètement ses seins que je m’empresse d’embrasser et lécher. Je fais tomber les bretelles de la robe, Emilie les retient :— Je vais être nue, tu es fou !Je la regarde, provocateur.— Soit tu finis à poil, soit on commence à baiser dans le couloir.— Alors viens...Emilie garde sa robe et nous allons jusqu’à la porte de notre chambre. Là, pendant notre baiser, Emilie ouvre mon pantalon et sort mon sexe sur lequel elle se penche pour le sucer. Quelques secondes avant qu’elle n’imagine ouvrir la porte. Je la retiens et la tourne. Elle me dirige en elle et je la pénètre dans le couloir de l’hôtel, contre la porte de notre chambre. Cambrée, Emilie laisse cette fois glisser les bretelles de sa robe qui n’est plus qu’une ceinture de tissu autour de sa taille.
J’ouvre la porte et notre ébat se poursuit, fiévreux et intense, sur le lit. Préparée à la sodomie, Emilie accueille mon sexe entre ses fesses et explose d’un orgasme fantastique. Nous nous endormons assez vite après notre rapport.
Samedi matin, mon réveil sonne à 6h30. Malgré l’heure matinale et notre envie de randonner, nous baisons tout de même, vite et fort, avant de descendre déjeuner. A 7h30, nous sommes devant l’hôtel, prêts à partir. Si je suis en bermuda et t-shirt, la frileuse Emilie a passé un legging long et un pull en laine polaire.
Le départ n’est pas très escarpé et sert de mise en condition. Nous marchons encore côte à côte, main dans la main. Mais après une demi-heure, nous devons marcher l’un derrière l’autre. Nous marchons tranquillement et je reste derrière Emilie afin que nous marchions à son rythme. Nous sommes seuls sur cet itinéraire, il n’y a pas un bruit. Le temps est magnifique. A mi-parcours, alors que nous allons sortir d’un bois, Emilie indique qu’elle souhaite se changer. La température a augmenté et nous allons nous retrouver en plein soleil jusqu’au sommet du pic. Nous faisons une nouvelle pause. Quand elle réapparait, Emilie a revêtu un mini-short en lycra rose pour lequel semble parfaitement adaptée l’expression "lire sur les lèvres". En haut, sa brassière noire, également en lycra, est à peine plus sage. Elle sourit en me voyant, parfaitement consciente de sa provocation.
Nous reprenons le chemin. Le pic est en vue, mais il nous faut près d’une heure et demi pour l’atteindre. Mais cette montée sur la crête est absolument splendide. Le sommet à 360° est non moins exceptionnel. Au loin, une famille sort à peine du bois sur le même chemin que nous. Sur l’autre arête, également dégagée, personne. Je m’assieds face au panorama et le contemple en buvant de l’eau. Emilie vient s’asseoir entre mes jambes. Je la pelote pendant qu’elle boit puis descends les fines bretelles de la brassière pour dévoiler ses seins. Elle proteste :— Hééé ! Il pourrait y avoir du monde...— Je pense qu’on est tranquille pendant au moins une heure.Elle me regarde l’air coquin :— Dans ce cas...Emilie se tourne et déboutonne mon bermuda. Elle sort ma bite et commence à me sucer. — Sportive, sexy et suceuse...Emilie me fait un clin d’œil. Elle se lève, retire son short, vient à califourchon sur moi et s’empale directement sur mon sexe. Elle y glisse avec vivacité quelques instants avant de se retirer. Elle me dirige alors entre ses fesses, sans aucune préparation. Elle grimace et halète au passage de mon gland. Je vais à peine plus loin mais cela permet tout de même un court va-et-vient. La douleur est manifeste sur le visage d’Emilie qui dit :— Et salope et sodomite. A 2’000m d’altitude.Je souris.— Je vais me marier avec une vraie pute.C’est la première fois que je l’insulte pendant un rapport. Jusqu’ici, seul le mot "salope" avait été parfois prononcé, et toujours par Emilie. Elle sourit.— Mais tu commences à le savoir, non...Elle se retire une nouvelle fois, descend de mon sexe et commence à me masturber énergiquement. Il ne me faut que quelques secondes pour jouir. A ma grande surprise, Emilie approche alors sa bouche dans laquelle gicle mon sperme. Elle avale avec une nouvelle grimace.— Beurk !! C’est vraiment mauvais !— Alors pourquoi l’as-tu fait ?!— Pour ne pas mourir idiote !Emilie m’avait dit qu’elle avait goûté au sperme d’un de ses ex, du bout du doigt et qu’elle n’avait pas du tout aimé ça. Ici, au sommet du pic, elle prend dans sa bouche et avale pour la première fois. Je reste sans voix alors qu’elle se rhabille.
Alors que je me nettoie le sexe, Emilie se met à rire et me dit :— Heureusement qu’on avait une heure devant nous !Je me tourne et aperçois un groupe d’une dizaine de personnes qui atteint à son tour le sommet. A trois minutes près, Emilie et moi aurions été surpris.
Après avoir mangé un peu, nous descendons par l’autre arête. Emilie commence à fatiguer et à avoir mal aux pieds. Heureusement, la pente s’adoucit et nous nous arrêtons une demi-heure au bord d’un petit lac dans lequel ma compagne met les pieds. La fin de la randonnée est assez tranquille et nous nous arrêtons encore sur la terrasse d’un bistrot dans le village. Nous rentrons ensuite à l’hôtel. Emilie est vannée et s’affale sur le lit. Je range notre sac, bois une grande quantité d’eau et m’assieds quelques instants.
Je viens ensuite vers Emilie. Elle n’a pas bougé. Je défais ses chaussures, retire ses chaussettes. Elle me remercie. Puis, je remonte et embrasse son sexe à travers son mini-short. Je lèche. Emilie rit :— Zone interdite ! — Ah bon ? Pourquoi ? Pas vu de panneau...— État de propreté déplorable et odeurs pestilentielles.J’attrape les bords de son short, mais elle le retient :— Non non non ! Je ne rigole pas, là... Après la douche, oui, mais pas maintenant.Je la regarde.— Après la douche, je ne voudrais plus.— Tant pis.J’insiste mollement.— On va se marier, tout de même.Elle rit à nouveau :— Oui, mais il y a des limites.J’attire ses hanches au bord du lit, ses jambes contre mes épaules. Je glisse mon sexe contre le sien, à travers nos vêtements. — J’ai envie, maintenant.— Baiser, oui, mais pas de léchouilles.Emilie me laisse alors retirer son short que je remonte devant moi. Je caresse son sexe puis me lèche les doigts. Elle hoche la tête. Je dis :— J’en ai très très envie...Elle me regarde.— J’ai vraiment honte...Lentement, je descends entre ses jambes et viens butiner son sexe. L’odeur agresse mes narines avant que je n’atteigne mon objectif. Des traces blanchâtres courent sur ses lèvres que ma langue effleure. Second contact. Mon odorat et mon goût sont au diapason et mon excitation explose : je n’ai jamais goûté à un sexe aussi sale et aussi... enivrant. Je lèche avec avidité cette chatte dégoûtante, écartant les lèvres pour me délecter de son intimité la plus profonde. Emilie jouit avant que je ne caresse ensuite quelques instants de ma langue le petit trou de ma future femme.
Je la pénètre vivement et la pistonne avec vigueur. Au moment de jouir, je me retire et gicle sur son ventre, jusqu’à ses seins qu’elle avait découvert. En riant, j’étale mon foutre sur ses seins. Elle rit. — Cette fois, je peux aller à la douche !
Douchés, propres, nous nous allongeons ensuite sur le lit et nous reposons. Emilie s’endort même un moment et je dois la réveiller vers 19h afin que nous nous préparions pour descendre souper. Enfermée dans la salle de bains, Emilie n’en sort qu’à 20h. Bustier noir à motif léopard et jupe crayon beige, en satin, dont on dirait une seconde peau. Elle anticipe ma question :— J’ai acheté ça cette semaine. J’ai pensé que ça te plairait.De dos, ses fesses ne pourraient pas être plus dessinées que dans cette jupe fantastique. De face, le bustier pourrait facilement passer pour une guêpière. Je plisse les yeux. Emilie s’approche :— C’est un body et il est un peu transparent. Un peu ? En fait, dans la pénombre, il parait foncé, mais en pleine lumière, les tétons d’Emilie se distinguent alors nettement des taches de léopard. Emilie ajoute :— Si tu préfères, je mets un chemisier par-dessus.Je ris.— Tu es parfaite ainsi, mon amour. Ce body est à ton image : discret de prime abord, très coquin quand on s’y penche. !Elle rit. Elle passe un pachemina autour de ses épaules et nous descendons. Comme la veille, le repas est excellent. Emilie, reposée par sa sieste, est d’humeur joyeuse et nous passons une très bonne soirée. Nous restons plus longuement à table et passons ensuite au bar où nous prenons un verre.
Nous remontons vers minuit et faisons l’amour tendrement. Cela ne nous empêche pas de terminer le rapport en sodomie, la seconde en 24h pour Emilie, sans compter la courte pénétration au sommet du pic. Assommés de fatigue, nous nous endormons vers 1h du matin.
Au réveil, notre ébat est doux et agréable, puis nous traînons un moment au lit avant de descendre prendre le petit-déjeuner. Nous rentrons en faisant plusieurs étapes, pour un joli point de vue, une courte balade ou pour manger. Nous prenons notre temps et arrivons chez nous en fin d’après-midi, l’occasion d’un dernier rapport pour ce formidable week-end.
Ce séjour à la montagne donne le "la" pour les trois années suivantes entre tendresse et moments très coquins à deux. En public, Emilie restera sage et masquera ses dessous parfois torrides sous des tenues toujours élégantes. En privé, Emilie démontrera un appétit conséquent et sans baisse de régime pour les choses du sexe.
Diffuse en direct !
Regarder son live