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Les 3 soeurs

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Notre histoire se déroule au mois de mai, Marc devait retrouver sa camarade Amandine chez elle, leur professeur d’histoire les avait mis en équipe pour un exposé. Amandine n’était pas enchantée de se retrouver avec lui, elle qui était si studieuse et d’un sérieux irréprochable, se coltinait le cancre de la classe qui passait son temps à draguer les filles et picoler en soirée.Lorsque Marc arriva chez Amandine, sa sœur Pauline vint lui ouvrir la porte
— Ma sœur n’est pas encore rentrée de son cours de danse, elle m’a dit de te mettre au travail en l’attendant, histoire que tu touches un tant soit peu à l’exposé.
Mais Marc ne prêtait pas attention à ce que disait la petite sœur de sa camarade, il préférait mater ses belles cuisses moulées dans son shorty, il la salua et se dirigea vers la terrasse où étaient rassemblés les cours d’Amandine. En chemin, il aperçut Caroline, la 3eme sœur qui montait les escaliers, Marc put jeter un œil discret sous la jupe de la jeune fille en passant, histoire de se motiver pour l’exposé !Le temps passa jusqu’au retour d’Amandine, s’excusant de son retard, et put travailler avec Marc, mais son retard ne leur permit pas de terminer, Amandine lui proposa de repasser le lendemain...
Quand Marc revint, Amandine alla lui ouvrir, folle de rage, et le traîna à la terrasse sans un mot
— Quelle mouche t’a piquée blondinette ? T’en fais une tête.— Ne m’appelle pas ainsi ! J’ai trouvé une capote pleine à l’étage, juste après ton départ, et aucun homme à part toi n’est venu ici.— Et donc ? fit Marc de son air le plus innocent.— Alors, réponds-moi ! Tu as baisé l’une de mes sœurs ??— Non, fit Marc.— Alors, explique-moi comment...— J’ai baisé tes DEUX sœurs ! s’exclama le jeune homme en souriant.
Devant la mine interloquée de sa camarade, Marc reprit :
— Je vais tout te raconter dans les moindres détails blondinette.
Retour la veille, lorsque Marc commençait à plancher sur l’exposé, il repensait à la Pauline, la sœur d’Amandine qui était venue lui ouvrir, à ses formes au travers du shorty, et eut une idée. Il prit son cours d’histoire et monta à l’étage de la maison. La porte de la chambre de Pauline était entrouverte, elle révisait ses cours sur son lit, Marc toqua à la porte, Pauline surprise lui demanda qu’est-ce qu’il faisait dans sa chambre.
— Désolé de te déranger, mais je ne comprends rien à ce cours, et vu que vous êtes une famille d’intell... que ta sœur m’a vanté ton intelligence, je me disais que tu pourrais m’aider.

Sceptique, mais ne pouvant refuser de l’aide, Pauline l’invita à s’asseoir à coté d’elle et commença à lui expliquerMais Marc n’écoutait pas un traître mot de ce qu’elle racontait, il se rapprochait petit à petit d’elle, lui effleurant parfois la cuisse "involontairement", ou lui soufflant dans le cou lorsqu’il faisait semblant de lui montrer quelque chose sur le cahier d’histoire.Cela semblait mettre Pauline mal à l’aise, mais ne disait rien, Marc remarqua qu’elle s’était mise à rougir, son plan marchait comme sur des roulettes, il était temps de passer à la phase 2.
Marc lui mit alors la main sur la cuisse, ce qui surprit Pauline, il commença à la caresser tout en lui demandant des explications sur le cours, Pauline n’arrivait plus à se concentrer, ni à réfléchir, devait-elle le chasser ? Pourtant, ça ne lui déplaisait pas comme sensation, elle qui n’avait jamais été aussi loin avec un garçon, vu qu’elle comme ses sœurs étaient toujours plongées dans leurs études.
Le plan de Marc se déroulait comme il l’avait prévu, il était audacieux et jouait toujours le quitte ou double. Il continua ses caresses en se rapprochant de l’entrejambe de Pauline et lui embrassa le coup, ce qui arracha un gémissement à la jeune sœur de sa camarade.Les deux adolescents basculèrent en arrière sur le lit, Marc embrassa fougueusement Pauline, et passa sa main sous le shorty pour la caresser au travers de sa culotte. La jeune Pauline ne pensait même pas à le repousser, elle venait d’avoir son premier baiser en même temps que sa première masturbation, tous ses sentiments étaient nouveaux pour la jeune fille, elle ne savait plus où donner de la tête.
Marc en profita pour lui enlever son débardeur et son shorty, la jeune Pauline, rouge comme une pivoine, se retrouvait en sous-vêtement devant le camarade de sa grande sœur, jamais elle n’avait été aussi excitée, elle regarda Marc la déshabiller entièrement, ce qui lui aurait été impensable il y a quelques minutes.
Le jeune homme voyait que sa proie était mûre, il lui léchait les seins depuis 10 minutes en la doigtant du mieux qu’il pouvait, ses gémissements devenaient de plus en plus forts, il était temps de sortir l’artillerie lourde !La jeune fille se redressa lorsque Marc cessa de la masturber, les jambes écartées et la chatte trempée, elle vit alors l’énorme calibre de Marc en train d’enfiler une capote.
— C’est trop gros... et puis je ne suis peut-être pas prête.— Je ne vais quand même pas te laisser là, trempée et insatisfaite, fit le jeune homme.
Et il la prit en missionnaire sur le lit de la jeune fille, sa bite rentra comme dans du beurre, Pauline cria quand elle sentit son hymen se déchirer, mais la technique de Marc était si bonne, il avait l’habitude, ce n’est pas pour rien qu’on l’appelait le dévirginator, la douleur se transforma vite en plaisir, Pauline gémissait fort, pendant que Marc lui labourait le minou avec force !Pauline enchaînait les orgasmes, Marc savait faire durer la baise, il retourna Pauline et la prit en levrette sur le lit, les seins de l’adolescente gesticulaient d’avant en arrière, et les bonnes couilles de Marc lui claquaient le cul !
— Oui ! Baise-moi ! Baise-moi plus fort !!! hurlait Pauline, elle qui était si sage et qui n’avait jamais rien connu du sexe, libérait toutes ses pulsions enfouies, et dans un ultime orgasme, Marc largua la purée dans un dernier gémissement de Pauline qui s’écroula sur le lit.— Merci pour la leçon, fit Marc, avant de quitter la chambre, satisfait.
Amandine était bouche bée devant une histoire pareille, et encore plus en colère devant le sourire satisfait de Marc.
— Tu as violé ma petite sœur espèce de malade.— Elle avait l’air de drôlement aimer la bite pour une fille non consentante, rigola le jeune homme, mais mon histoire n’est pas terminée.
Après avoir baisé Pauline, Marc, toujours nu, sortit de la chambre direction la salle de bain, histoire de se laver de la cyprine de la jeune fille, lorsqu’il entra, il entendit l’eau couler, et vit que la douche était occupée à travers la vitre.Il aperçut des formes féminines qui remirent son soldat au garde-à-vous, et d’un sourire pervers, s’approcha de la baie vitrée.Il l’entrouvrit et vit Caroline, de dos, elle se mettait de shampoing et avait les yeux fermés, et n’entendit pas la porte à cause de l’eau qui coulait.Marc se lécha les babines en matant sa belle paire de fesses, et se jeta dessus, en entendant Caroline, poussa un cri de terreur.
— Aaaaaah ! Qui êtes-vous ! Au secours !
La pauvre fille n’y voyait rien, Marc lui bloquait les bras dans le dos et la plaqua au mur, tout en lui léchant goulûment la chatte savonnée de la jeune fille qui poussait des cris de terreur, mais la seule personne dans la maison n’était sûrement pas en état de se lever, se dit Marc en rigolant.
Caroline tentait de se dégager, mais Marc était plus fort, et la jeune fille perdait ses forces, et ses cris de détresse commençaient à se transformer en gémissement, tellement Marc léchait si bien son clito.Bien que forcée, Caroline ne put se retenir de jouir, son corps fut parcouru de spasmes de plaisir intense, Marc se redressa, la bite à l’entrée de sa chatte, et lui murmura :
— Ose me dire que tu n’aimes pas.
Caroline dut admettre qu’elle voulait cette bite en elle, et Marc dépucela une deuxième sœur en l’espace de 30 minutes !Marc la pilonnait en levrette comme un enragé ! Caroline hurlait, mais de plaisir cette fois-ci, elle n’avait jamais osé aller voir les hommes qui lui plaisaient, elle s’était juste caressée seule dans sa chambre ou dans son bain, et là, le camarade de sa grande sœur lui défonçait le minou !Après un second orgasme, Marc lui présenta son sexe par l’entrée de derrière, lubrifiée par sa langue, Caroline se stoppa.
— Pas par ici, ça va me faire m...
Sans attendre, Marc planta son dard dans le cul de Caroline qui hurla encore plus fort, du savon toujours plein les yeux, elle qui était si sage se faisait enculer dans sa salle de bain, et le pire, c’est qu’elle commençait à aimer ça !Marc sentit que sa partenaire aimait se sentir dominée.
— Tu aimes ça quand ton maître t’encule ? Tiens, prends ça ! dit-il en l’empalant de plus belle tout en lui claquant les fesses.
Marc finit par larguer la sauce dans le cul de Caroline qui tomba au sol, exténuée. Marc la saisit alors par les cheveux et lui enfonça son pieu au fond de la gorge ! Caroline dut sucer en semi apnée la bite qui lui avait fait découvrir son côté soumis, et Marc ne tarda pas à lui juter en plein visage.
— J’espère que tu as aimé mon shampoing maison, dit-il en laissant la jeune fille dans la douche tachée de sa semence de la tête aux pieds.
Marc alla dans la chambre de Pauline, toujours étendue sur le lit, et se rhabilla, les couilles désormais vides, il put se concentrer sur l’exposé en attendant Amandine.
— Voilà, c’est comme ça que j’ai déniaisé tes deux petites sœurs, fit-il avec un sourire moqueur, et elles ont eu l’air d’apprécier, tu devrais me remercier de leur avoir fait découvrir leur côté pervers.— Tu es un grand malade, tu as abusé d’elles, si elles tombent enceintes, tu seras le premier à te défiler espèce de lâche.— La vérité, ce ne serait pas plutôt que tu jalouses tes 2 sœurs qui ont connu le plaisir sexuel avant toi ? — Quoi ? Mais tu es vraiment obsédé ma parole.
Marc se leva brusquement et saisit Amandine par la taille et la plaça sur la table de la terrasse, avant que l’aînée de la famille puisse protester, il lui souleva sa jupe.
— Alors il semblerait que mon récit t’ait excitée espèce de cochonne.— Mais ça va pas ? fit Amandine en bégayant et le ton moins sur d’elle, ce qui n’échappa pas à son camarade.
Marc tira vers lui les cuisses d’Amandine et lui arracha sa culotte.
— Espèce de taré, laisse-moi, je vais appeler la police.
Marc n’écoutant que sa libido commença alors le plus beau cunnilingus de sa vie, sous les insultes d’Amandine qui tentait de se débattre.Mais très vite, la jeune fille cessa de pestiférer, elle sentait une vague de plaisir lui parcourir le corps, Marc savait exactement où elle était sensible, elle gémissait en se bâillonnant la bouche avec sa main, elle ne voulait pas lui donner raison malgré le fait qu’elle adorait ses coups de langue.
Puis Marc s’arrêta, et commença à prendre ses affaires, sous le regard surpris d’Amandine
— Tu... tu ne vas pas plus loin ?— Apparemment, tu n’es pas sensible à mes charmes, alors j’en reste là.
Amandine était dépitée, elle était chaude, elle en voulait plus, qu’est-ce qui comptait le plus ? Sa dignité ou sa libido ?
— Je la veux...— Pardon ? Tu veux quoi ?— Tu sais très bien...— Faut m’expliquer plus clairement, tu sais moi qui suis si bête.— Je veux que tu me baises avec ta grosse bite, t’es content ? fit Amandine en larmes.
Marc fit demi-tour, le sourire aux lèvres.
— Alors à genoux blondinette, je veux que tu goûtes ma sève !
Amandine se leva, le minou trempé, et se mit à genoux, baissant le pantalon de Marc, découvrant l’énorme membre de ce dernierElle prit une grande inspiration et le mit en bouche, elle faisait sa première fellation, ça l’excitait tellement qu’elle ne put s’empêcher de se masturber en même temps ! Elle avait l’impression de perdre la tête, elle, Amandine, une fille studieuse, et train de se soumettre au type qu’elle méprise depuis le début de l’année, et sucer la bite de celui qui a dépucelé ses deux sœurs la veille ! Et pourtant cette situation l’excite tellement...
D’un coup, sa bouche se remplit du sperme de son camarade, Amandine, surprise par le volume, cracha tout par terre. Pendant ce temps, Marc s’installa sur la chaise de jardin, le pénis dressé, et lui dit :
— Déshabille-toi, et viens t’empaler sur mon glaive !
Amandine se trouvait encore plus ridicule, mais elle avait envie de cette bite, et c’est vrai, elle ne voulait pas rester la seule vierge de la maison
Une fois en tenue d’Eve, Amandine se positionna sur la queue de Marc, celle-ci glissa comme dans du beurre, ça y est, elle n’était plus vierge. Quelques larmes coulèrent, pendant que Marc lui léchait les seins avec une douceur étonnante, qui fit frémir la jeune femme.Puis Marc lui empoignant fermement ses belles petites fesses.
— C’est parti blondinette !
Marc donna alors toute la force qu’il possédait, Amandine rebondissait littéralement sur cette queue qui lui laminait le vagin. Elle poussait des hurlements à ameuter tout le quartier, mais elle s’en moquait, ses fesses claquaient contre le pénis de Marc, il la dominait totalement, elle était sa chose désormais.
— Oui Marc, plus fort ! Fais de moi ta chienne, je veux que tu me défonces !
Marc la souleva et la baisa en levrette contre la table de la terrasse qui tremblait à chaque coup de reins du jeune homme. Au bout de longues minutes, il se vida les couilles au fond de l’utérus de sa partenaire qui s’écroula au sol.
— Grâce à toi blondinette, je crois que je vais adorer les devoirs de groupe, lui dit-il avec un clin d’œil.
Et depuis ce jour, Marc passe souvent à la maison des 3 sœurs, devenues son harem privé, et le suppliant de les prendre par tous les orifices, cela continua pendant longtemps, et Marc finit par épouser les 3 sœurs, toutes enceintes de Marc qui vivait désormais le rêve de tout homme !
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