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Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles

Chapitre 7

Tante Petra se dévoile

Orgie / Partouze
(Bob reprend le cours du récit : voir la fin du chapitre 5)                                                                                                                         &
Nous entrons dans le jardin. Tout semble silencieux. Jana passe devant moi et ouvre la porte de la maison. Une fois dans le hall d’entrée, nous entendons des bruits venant du salon, à l’étage. Jana pose un doigt sur ses lèvres, me faisant signe d’être silencieux. Nous montons jusqu’au premier palier. Elle sourit et je l’imite : ce sont bien des gémissements que nous entendons. Nous continuons notre montée, tâchant de faire le moins de bruit possible. La porte du séjour est ouverte. Jana entre, sans bruit. Puis, elle s’exclame :— Alors, vous vous amusez bien, toutes les deux ?
J’entre à mon tour. Le spectacle qui s’offre à nous est tout simplement torride : tante Petra assise sur le canapé, Éva sur ses genoux. Et nues, toutes les deux … Jana s’amuse de la situation. Les surprendre ainsi n’est pas pour lui déplaire.— En ouvrant la porte d’entrée, j’ai entendu de drôles de bruit. J’ai demandé à Bob de garder le silence. Pus nous avons gravi l’escalier . On se doutait de ce que vous faisiez …
Éva se lève aussitôt, tandis que tante Petra reste assise. Comme Jana la voit chercher des yeux sa mini blouse, elle la rassure :— Bah, restez comme vous êtes … Après tout …Elle m’adresse un coup d’œil complice, puis reprend :— Les parents ne sont toujours pas là ?— Ils sont allés voir l’oncle à M … et passeront au cimetière après. Ils reviendront vers 19 h 30, ou un peu plus tard. Et … vous vous êtes bien amusés, tous les deux ?Jana esquisse un sourire :— Pour ça, oui ! Nous avons fait une rencontre imprévue. Un monsieur qui nous a invité dans sa maison de campagne ; C’est pour ça que nous arrivons un peu tard.Éva semble intéressée :— Un monsieur, dis-tu ? Tu le connaissais ?— Pas du tout, mais lui, avait participé à la soirée chaude d’Olomouc. C’est ainsi qu’il m’a reconnu. Il nous a invités, Bob et moi. Une fois là-bas, qu’est-ce que j’ai pris ! C’est que Bob a participé aussi et, par moment, je les avais tous les deux sur moi.
-Mais c’est une vraie petite cochonne, cette Jana !Je vois la tante se lever et venir vers nous, superbe dans sa nudité. Puis elle embrasse Jana, avant de lui lancer :— Alors, toi aussi tu joues la dépravée ? Se faire prendre par deux hommes. Tu as pris ton pied, j’espère?Jana a l’air surprise du langage de sa tante Cependant, elle répond :
— Oh ça oui ! Même si ce monsieur était un beau … cochon. Il m’a fait faire de ces choses !— Hmm ! Tu m’en diras plus, n’est-ce-pas ? Mais plus tard, car …Et tout en regardant Éva, elle ajoute :— Ta sœur m’a dit que tu avais une belle poitrine et c’est visible avec ta petite robe. Toi, non plus, tu n’as rien dessous, hein ?
Jana a l’air étonnée de se voir ainsi apostrophée par sa tante. Cependant, elle répond sans détour :— Non, rien du tout … Et tu as envie de voir mes seins, c’est ça ?Elle n’a pas le temps d’en dire plus: Petra déboutonne sa robe, puis en écarte les pans. Elle est admirative :— En effet, elle a une sacrée paire de seins, ta sœur.Elle cherche à faire tomber la mini-robe, qui finit par glisser au sol. Jana, qui l’a laissée faire, se retrouve toute nue. Je suis juste derrière elle et je peux admirer ses belles fesses rondes et sa chute de reins. Bandante. Ma queue se retrouve vite à l’étroit. Je vois les mains de la tante se poser sur les seins de Jana.— Hum ! Splendides mamelles, ma nièce ! Bon, je ne devrais pas parler ainsi, mais c’est vraiment trop bon !J’entends Éva qui murmure quelque chose du genre :— Faudrait faire aussi attention à l’heure … les parents ne devraient pas trop tarder maintenant.La tante a un petit rire :— Et qu’ils découvrent une partouze dans leur salon … une partouze familiale, en plus ! Quel scandale  ! Raison de plus pour nous dépêcher. 
Cette tante est, décidément, très excentrique, côté sexe. Je ne l’imaginais pas à ce point. Puis, elle semble me découvrir :— Alors, jeune homme, de nous voir nues, ça doit vous exciter, non ? J’interprète cela comme une invite et, sans façon, je me déshabille aussi. La tante regarde mon sexe, à nouveau dressé, puis reprend les caresses sur les seins de Jana :— Éva, je vais m’occuper de ta sœur. Je te laisse ton ami ! Je vois la tante se courber légèrement pour pouvoir téter les généreux seins de Jana, passant ainsi d’un téton à l’autre. Puis elle se redresse, et serrant Jana dans ses bras, elle lui colle un baiser fougueux, tout en lui pelotant les fesses à pleines mains. Entre temps, j’ai entraîné Éva sur le canapé. Assis à sa gauche, je lui titille la vulve avec deux doigts, tout en commentant ce que font les deux autres :— Eh bien, elles y vont fort. Quel baiser sauvage ! Je n’imaginais pas ta tante aussi vicieuse. Et Jana la laisse faire. J’ai même l’impression qu’elle recherche ça. Et toi, ça t’excite, hein ? De voir ta sœur et ta tante se peloter comme ça … Mmmm !
Maintenant je titille le clitoris d’Éva qui a écarté les jambes. Puis, elle empoigne mon sexe avec sa main droite et me masturbe. Jana s’est un peu écartée de sa tante et je vois sa main se poser sur son sexe. Puis elle se met à la masturber. Petra l’encourage :— Oh oui ! Branle-moi, branle ta tante ! Toi aussi, ça t’excite de baiser avec une femme … et ça t’excite encore plus en sachant que c’est ta tante … Mes nièces sont des dépravées. Puis, je la vois qui pose ses mains sur les épaules de Jana, l’incitant à se mettre à genoux :— Allons, fais-moi jouir avec ta langue. Bouffe-moi la chatte !La voilà qui joue les dominantes. De là où nous sommes, nous voyons Petra de dos, cachant en partie Jana, agenouillée, en train de lui faire un cunnilingus d’enfer. Instinctivement j’accélère le mouvement de mon doigt sur le clitoris d’Éva, tandis qu’elle-même me masturbe avec plus d’entrain avec sa main. Petra commence à gémir :— Hmmm ! Vas-y ! Oh comme c’est bon ! Ma nièce me lèche la chatte … Quel délice … Toi aussi fais-moi jouir, comme ta sœur l’a fait !On peut voir Jana qui lui ramone le vagin avec ses doigts, tout en titillant le clitoris. Et les gémissements de la tante deviennent des cris de plaisir. Elle caresse les cheveux de Jana. La tante alterne maintenant cris et plaintes lancinantes jusqu’à ce qu’elle glousse de plaisir. On entend sa respiration haletante. En même temps, le clitoris d’Éva, a pris du volume et a durci sous mes doigts. Elle finit par jouir en émettant un couinement, tandis que, jouissant à mon tour je décharge un peu de sperme sur ses doigts.
Je vois Jana se relever et elles s’embrassent à nouveau, à pleine bouche, tout en se frottant sexe contre sexe. C’est si excitant que je me tourne et embrasse Éva fougueusement, nos langues se mélangeant. Un baiser interminable, jusqu’à ce qu’elle s’écarte de moi pour essayer de voir l’horloge :— Holà ! Il est 19 h 20. Il est temps de nous arrêter. Les parents vont arriver d’un moment à l’autre.Nous prenons nos vêtements et nous nous rendons à la salle de bain, au rez-de-chaussée. Le temps de se débarbouiller un peu, de se rhabiller décemment et nous nous rendons dans le jardin de la maison, histoire de prendre l’air. Il était temps : moins de dix minutes plus tard, nous entendons la voiture des parents entrer dans le garage.
Puis ils viennent à notre rencontre. Nous échangeons quelques banalités; la mère nous demande :— Vous avez mangé ?Sur notre réponse négative, elle regagne la maison en nous priant de la rejoindre dans un quart d’heure. Quand nous nous attablons tous les six, il est 20 heures sonné. Après avoir regardé la télé, nous allons nous coucher vers 23 heures. Les deux sœurs vont dormir l’une sur le canapé du salon et l’autre sur celui qui se trouve dans la salle à manger du rez-de-chaussée, puisque la tante et moi occupons leur chambre.
Le lendemain matin, nous nous retrouvons tous les quatre au petit-déjeuner, peu avant 8 heures. Au cours de celui-ci, la tante nous fait savoir qu’elle rentrera chez elle, en milieu d’après-midi. Une fois le petit-déjeuner terminé, nous pensons nous rendre au jardin de la maison, quand Éva est interpellée par sa mère :— Je viens de me rendre compte que j’ai oublié d’acheter quelque chose. Les amis qui nous reçoivent pour les vacances, en Yougoslavie, auraient voulu une bouteille de Becherovka. Je sais que nous sommes dimanche, mais si vous pouviez trouver ça … Éva fait la moue :— Pour trouver ça, un dimanche, le plus simple est de se rendre à Kromeriz. Comme c’est une ville touristique, on en trouvera plus facilement.Tante Petra saute sur l’occasion :— Pas de problème. On y va tous les quatre avec ma voiture ? En même temps, nous visiterons un peu. À quelle heure faut-il être de retour ?La mère nous signale que l’on déjeunera un peu plus tard et que, par conséquent, il suffit que nous soyons rentrés à 12 h 30. Et, quand nous démarrons, il est 8 h 40.
La tante est au volant, avec Éva à ses côtés, tandis que Jana et moi sommes à l’arrière. Une fois sur la route, Petra demande :— C’est à combien d’ici, Kromeriz ?Éva lui répond :— Environ vingt - cinq kilomètres … Une petite demi-heure. Nous avons largement le temps, n’est-ce-pas ? Il suffit d’aller dans un magasin de souvenirs et on trouvera facilement. Après, on peut visiter le parc … à moins que tu aies une autre idée ?— Pas de problème pour ça … Je pensais juste à hier après-midi …Comme la tante laisse la phrase en suspens, Jana, un brin ironique :— Ah, ça t’a plus, hein ? Tu veux recommencer ?— Je n’ai pas dit ça. Bon, on verra … D’abord les courses, hein ?
Vers 9 h 10, une fois garé sur le parking de la grand - place de Kromeriz, nous entrons dans un magasin de souvenirs et trouvons la bouteille de Becherovka. Puis, Petra avise un bar restaurant :— Je vous invite ! J’ai un peu soif, pas vous ?Elle nous entraîne à l’intérieur, où on nous installe à une table de quatre. Une serveuse vient prendre la commande et, en attendant d’être servis, Petra, petit sourire en coin, s’adresse à ses nièces :— J’ai une idée. Vous êtes déjà sorties sans rien dessous ?Elles se regardent toutes les deux, un peu surprises par la question.— Ben … Oui, c’est arrivé … plusieurs fois même. De notre initiative, ou proposé par d’autres. Pourquoi ?— Je vois que vous avez une jolie mini-robe chacune … alors vous pourriez faire cela pour moi. Une promenade, nues dessous … Il suffit d’aller aux toilettes et puis … hop ! Ensuite, vous me remettez vos sous -vêtements, que je rendrai à l’arrivée.Les deux sœurs balancent un bref instant, puis Éva s’adresse à sa tante :— Hum ! Ça te plairait qu’on le fasse ? Une de tes idées extravagantes.Petra affiche un sourire coquin :— Ça ne devrait pas gêner des dévergondées, comme vous. N’est-ce-pas, Bob ?Jana me regarde avec un air mutin :— Oh ça, c’est sûr qu’il ne dira pas non !Comme le service tarde, Petra lance :— Allez-y toutes les deux, maintenant et mettez vos affaires dans ce sac.
Elle leur tend un sac en plastique et elles se dirigent vers les toilettes. Quand elles en reviennent, dix minutes plus tard, on vient juste d’être servi. La tante jette un coup d’œil dans le sac qui contient maintenant deux culottes et deux soutiens- gorge. Elles sont assises côte-à-côte, tandis que je suis à côté de la tante. Elle porte la jupe qu’elle avait en arrivant, un peu au- dessus du genou, tandis que les deux sœurs portent une mini-robe : marron pour Jana, et bleue pour Éva. Celle de cette dernière étant nettement plus courte que l’autre.Tandis que nous achevons nos consommations, Éva toise sa tante :— Et toi, tu vas te contenter de nous … diriger ? Avec une jupe si sage ?— Maintenant que tu dis ça, sache que juste avant de venir chez vous, j’ai apporté une minijupe, à tout hasard. Elle se trouve dans un sac dans le coffre de ma voiture.— Eh bien, allons-y ! 
Une fois arrivée à la voiture, Petra ouvre le coffre et en sort un sac. En même temps, elle en profite pour y déposer celui contenant les sous-vêtements des deux sœurs. — Voilà … cette minijupe bleue. Je vais me changer dans la voiture.Elle s’installe à l’avant, côté passager. Nous la voyons se contorsionner un peu. Au bout de trois minutes elle en sort.— Comment me trouvez-vous ? Le spectacle est des plus agréables : la jupe n’arrive pas à mi-cuisses, avec une fente de chaque côté. Jana la complimente :— Hum ! Voilà qui te rajeunit, ma tante ! Tu vas faire des ravages. — N’exagérons rien. Bon, on y va ?Nous traversons le parking pour nous rendre à l’entrée du parc du château. À cette heure-là, dix heures, il y a peu de monde. Puis, nous nous engageons dans une allée.
Les deux sœurs marchent devant et la tante et moi suivons, à quelques pas derrière. Je vois bien que la tante regarde les jambes de ses nièces :— Dis donc, Jana, si ta robe était plus … courte, ce serait follement sexy.— Tu veux que j’en montre plus ? Comme ça ?Jana, qui porte une robe t-shirt qu’on enfile par la tête, saisit le bas de sa robe et la retrousse, jusqu’à la limite des fesses. La tante est ravie :— Hum ! Parfait … J’ai toujours quelques épingles dans mon sac … on va maintenir le tout avec ça. Nous nous arrêtons derrière un kiosque fermé à cette heure, et, en moins de deux minutes, Jana se retrouve en micro-robe, dévoilant ses jambes jusqu’à la limite des fesses. De plus, la robe étant un peu ajustée, les tétons saillent nettement à travers le tissu. Et pour couronner le tout, ses seins, assez gros, se balancent doucement au rythme de la marche. Les idées extravagantes de la tante prennent corps, grâce à ses nièces dévergondées.Nous reprenons la promenade. Toujours dans le même ordre, les sœurs devant, la tante et moi juste derrière. Comme on peut deviner qu’Éva fait quelque chose avec ses mains, Petra lui lance :— Éva, que fais-tu donc ?Elle se retourne. Elle a défait le bouton du haut et du bas de sa robe. Le creux des seins est bien visible et, en bas, en faisant jouer le pan de la robe, elle laisse apercevoir, de manière suggestive, sa chatte. Les deux sœurs sont entrées à fond dans le jeu sexy demandé par Petra. Je commence à être sérieusement à l’étroit dans mon slip.— Alors, Bob, ça vous plait ce qu’elles font ? 
Petra devine bien mon regard qui va de leurs croupes qui ondulent à chaque pas, à leurs belles cuisses rondes qu’elles dévoilent plus que généreusement. Puis je sens une main frôler ma braguette. Tout en marchant, Petra, l’air de rien, s’est mise à palper mon sexe à travers le pantalon !— Elles vous excitent, hein ? Et moi, je vous fais quel effet ?Elle me nargue gentiment, la tante ; maintenant que ses nièces se sont lâchées, elle s’intéresse à moi. Je la regarde. Sa minijupe, très suggestive, dévoile bien ses jambes. Alors, l’air de rien, je pose ma main sur sa cuisse, juste à la limite de la jupe. À cette heure-là, les promeneurs sont rares. On voit plutôt des sportifs, parcourir les allées à petites foulées. Ceux que nous croisons ont un regard plus qu’intéressé en voyant les deux sœurs.La tante se contente de me sourire. Alors ma main se faufile sous sa jupe, jusqu’à palper sa culotte. Je lui murmure :— Faites comme vos nièces : enlevez- moi ça ! Sans dire un mot, elle se dirige vers un arbre, en bordure d’allée, et, prestement retire sa culotte et la place dans son sac à main.— On va s’asseoir un moment, les filles ? Je vois un banc, là-bas.Il est à l’ombre, sous un arbre. Et quand Éva et Jana s’assoient, précautionneusement, il est clair que les voyeurs seront à leur affaire ! Toutes leurs jambes nues offertes aux regards, avec, en prime, pour ceux qui sont dans le bon angle, une vision fugace de leur chatte. Les cuisses de la tante sont tout aussi largement offertes aux regards. Et comme je suis assis à côté d’elle, elle laisse ma main explorer le dessous de sa jupe, jusqu’à sa vulve. Et quand je la retire, c’est aussi pour caresser la cuisse de Jana, assise à ma gauche. Nous nous amusons des regards, plus ou moins appuyés, de ces sportifs du dimanche, qui passent devant nous. Mais prêts, à tout moment, à filer en douce, si cela devait provoquer un attroupement. Courageux, mais pas téméraires.
Pendant un bon moment, ce petit jeu fait le régal des voyeurs. Puis, Petra se redresse :— Eh, les filles, vous voyez ce que je vois ? Côté gauche.Nous tournons la tête. À cent mètres environ, deux policiers en patrouille, viennent dans notre direction. Nous aurait-on signalés ? Peu probable, mais nous nous levons, pour nous diriger, lentement, vers une allée qui va vers la droite. Nous respirons en voyant les policiers poursuivre leur patrouille. Commentaire de Petra :— Peut-être que ça leur aurait plu … sait-on jamais. Au fait, quelle heure est-il ?Je consulte ma montre :— 10 h 25. Petra réfléchit :— Si on rentrait ? Ces flics ont saboté mon spectacle.Les deux sœurs s’amusent de la formule :— Ce n’est pas facile de jouer les exhibitionnistes dans un parc, n’est-ce-pas ?
Dix minutes plus tard, nous démarrons. À la sortie de la ville, alors que nous arrivons à la hauteur d’une station-service située en retrait de la route, Petra freine. Puis, elle repart en marche arrière et s’engage sur le chemin de la station. Éva s’en étonne :— Tu as besoin de prendre de l’essence ? — Non, mais je viens de remarquer une silhouette à côté d’une voiture. Et j’ai bien l’impression que je connais l’une et l’autre.Éva est intriguée par l’initiative de sa tante.— Ah, bon, tu arrives à voir à cette distance ?Petra passe la langue sur ses lèvres, puis débite d’un trait :— Disons que tout le monde n’a pas une voiture comme la sienne… Et donc ce pourrait être bien lui. Alors, autant vérifier, pas vrai ?Petra stoppe la voiture à proximité des pompes. Au même moment, un jeune homme sorti d’on ne sait où, se penche à la portière, et s’adresse à Petra :— Bonjour, c’est pour faire le plein ?Il s’interrompt, et son regard se pose sur les cuisses largement dénudées de la conductrice et de sa passagère. Petra lui sourit, tout en précisant :— Jeune homme, nous sommes plutôt venus pour voir quelqu’un. Je dois bien connaître le propriétaire de cette voiture …Elle désigne une Floride Renault de couleur blanche, immatriculée à Brno.— Ah … C’est celle de mon oncle. Je fais des remplacements l’été, comme pompiste, et comme il passait par là, il est venu me rendre visite. Vous voulez que je l’appelle ? Il vient juste de rentrer dans le bureau.
La tante acquiesce. Quelques secondes après, un élégant quinquagénaire en polo et jean, apparaît. Il est visiblement très surpris :— Petra, ce n’est pas possible ! Tu m’as repéré dans cet endroit perdu ? C’est vrai que tu as une bonne vue … et, en plus je n’ai pas la voiture de monsieur tout-le-monde.Et, apercevant les deux sœurs :— Hum, tu es en bonne compagnie, dis-moi …— Ce sont mes nièces, je suis en visite chez leurs parents, dans la région. — Et … ce jeune homme ?— C’est Bob, un ami français d’Éva. Puis Petra se tourne vers nous :— Je vous présente Ludvik. Nous nous sommes bien connus à une certaine époque.Le dénommé Ludvik sourit de toutes ses dents. Ce « bien connus » doit avoir pour lui une saveur particulière. Et comme nous sommes toujours assis dans la voiture, il en profite pour mater ces belles jambes si généreusement dévoilées. Puis, il se redresse et désigne sa voiture :— Bon, gare-toi devant la mienne, puis on ira s’installer à l’intérieur. Vous avez le temps, j’espère ? Mon neveu arrête son service à 12 h 30.Il est presque 11 heures quand nous nous retrouvons dans le bureau.
La pièce n’est pas très grande. Sur deux côtés, il y a des rayonnages contenant des produits divers. Sur les deux autres, on trouve un comptoir, et, lui faisant face, un vieux canapé en moleskine arrivé jusque- là, on ne sait comment. Ludvik nous désigne le canapé :— Asseyez-vous là. Rien d’autre à vous proposer … À première vue, il n’est pas bien grand. Pour trois personnes, quatre en se serrant un peu. Nous nous apprêtons à faire une place à Petra, quand Ludvik l’interpelle :— Viens donc ici ! Cela fait un bout de temps que l’on ne s’est pas vu, n’est-ce-pas ?Il lui désigne une chaise haute qu’il vient de sortir de derrière le comptoir. Elle s’y installe, tandis qu’il s’assied, nonchalamment, sur le comptoir même.Il est juste en face de nous, et un peu au- dessus. La vision doit être fascinante, d’autant plus que Jana a conservé sa robe retroussée maintenue par des épingles et Éva, qui a négligé de reboutonner le bas de sa robe. Quant à la tante, assise sur sa chaise haute, elle en dévoile pas mal non plus. Et moi, assis entre les deux sœurs, attendant la suite des événements. — Félicitation, Petra, tu as de bien jolies nièces, d’après ce que je vois.Je pense : « Le cochon ! Avec ce qu’elles dévoilent, ça doit le titiller. »
Il se tourne vers Petra :— Hum … Ne me dis pas que tu es juste venue me rendre visite, par hasard, n’est-ce-pas ? Il lui tend une perche et elle ne tarde pas à la saisir :— J’avais convaincu mes nièces de faire de l’exhibitionnisme discret dans le parc de Kromeriz. Et je m’y étais mise aussi. Ça se passait plutôt bien, mais à la vue de deux policiers qui patrouillaient dans le parc, nous avons préféré interrompre le spectacle. Comme nous ignorions leur réaction … Nous avons filé, sans changer de tenue.Ludvik sourit :— Je vois ça. Et comme tu te sentais frustrée, tu t’es dit que cette exhibition pouvait se faire en petit comité.En attendant, sur notre canapé, nous attendons le résultat de cette échange verbal.Petra répond, mollement :— C’est un peu ça … 
Ludvik, s’adressant à nous trois :— Votre tante, c’est une belle coquine, pour ne pas dire plus. La dernière fois qu’on était ensemble, je lui ai dit que mon fantasme était de lui faire l’amour devant d’autres personnes. Elle n’avait pas dit non. Elle avait même l’air d’accord. Et, maintenant que vous êtes là, pourquoi ne pas le faire devant vous ?Comme il regarde surtout Jana, cette dernière lui lance :— Hum, pourquoi pas ? Ça ne nous dérange pas. Et, notre tante, pour être coquine, elle l’est !Ludvik jubile :— Tu entends, Petra ? Tu as joué à la coquine avec tes nièces ? C’était chaud ?Je vois la tante gênée :— Cela devait rester secret. C’était hier après-midi.Jana enfonce le clou :— On l’a trouvée, Bob et moi, avec ma sœur Éva sur ses genoux. Elles étaient nues toutes les deux.Ludvik regarde les deux sœurs, l’air gourmand :— Eh bien ! Petra s’intéresse aux filles, maintenant ? Intéressant …Puis s’adressant directement à Petra :— Tu vas me montrer ça. Allons, toute nue !_ Et … ton neveu ?— Mon neveu s’occupe de la station. Mais, pour le reste, il est majeur, hein ? … Allons, à poil ! On n’a pas de temps à perdre.
La tante descend de sa chaise, retire son chemisier, dégrafe le soutien-gorge, puis fait glisser la minijupe jusqu’au sol. Ludvik s’exclame :— Mmm ! Et pas de culotte ? Tu t’es promenée la chatte à l’air ? Bon, va vers tes nièces.Nue comme un ver, Petra s’avance vers nous. Jana se lève alors et d’un geste, se débarrasse de sa robe en la faisant passer par la tête. Ébahissement de Ludvik :— La cochonne ! Elle était à poil sous sa robe … Et quelle paire de nichons … waouh !Il se repaît de la vue des belles mamelles laiteuses de Jana, qui, prenant les mains de sa tante, les pose sur ses seins. Après un bref instant d’hésitation, Petra se met à masser puis à pétrir les seins de sa nièce. Puis Jana avance sa main droite et se met à caresser la vulve de sa tante. On sent Ludvik tout remué :— Humm ! Deux belles cochonnes, ça oui ! Putain, ce que vous m’excitez ! Et le voilà qui se déshabille à son tour. Une fois nu, il exhibe un sexe de bonne taille. Je suis alors le mouvement et me tournant vers Éva, je dégrafe les boutons de sa robe et son corps nu apparaît. Ludvik est de plus en plus agité :— Les deux sœurs étaient prêtes pour la baise … Déjà presque à poil ! Des salopes, tes nièces, oui !Puis il entend les gémissements de Petra :— Alors, ma chère, c’est bon de se faire masturber par sa nièce ? Et elle sait y faire, hein ?
Puis tout bascule quand Jana, voyant que Ludvik mate le cul de Petra, pose sa main gauche sur la nuque de sa tante, et la fait se pencher en avant. Puis, tout en continuant à lui doigter le vagin, elle regarde Ludvik s’approcher, le sexe tendu. Petra sent un bâton de chair se plaque entre ses fesses.— Ludvik … Je …Elle n’a pas le temps d’en dire plus. Maintenant, elle sent le gland posé sur sa rosette. Puis la voix de Ludvik :— Ta nièce a envie que je t’encule, alors je vais t’enculer … Comme ça !Petra serre les dents. Il fait cela sans préliminaires. Elle sent ses mains cramponnées à ses hanches et ce vicieux qui pousse, qui pousse.Une fois Éva nue, je me déshabille. Puis elle saisit ma queue dressée et me masturbe, tandis que je joue avec ses seins. Puis, elle voit le visage crispé de sa tante, qui se plaint :— Vas plus doucement, tu me fais mal ! Tu as oublié que tu es assez gros ?Éva me sourit, puis se lève. Elle s’approche de Ludvik et caresse sa bite avec sa main, avant de l’inviter à interrompre la sodomie. Celui-ci accepte, sentant bien qu’elle est là pour l’aider. Aussitôt, Éva s’agenouille et commence à sucer sa bite. En même temps, elle enfonce son index dans l’anus de Petra et le ramone doucement. Puis elle abandonne la queue pour lécher la rondelle de sa tante. La voyant agir ainsi, Ludvik glisse sa main entre les cuisses d’Éva pour lui titiller la vulve. Je me lève alors et vient me placer dans le dos de Jana. Je lui souffle :— Tu as un beau cul, tu sais …Je glisse deux doigts dans la raie de ses fesses et je titille son cratère.— Tu aimes te faire fouiller le cul, hein ?Puis j’enfonce les deux doigts dans son trou. Elle frémit, tout en continuant à masturber sa tante qui en gémit de plaisir. La tante qui a aussi son anus sollicité par les doigts et la langue d’Éva. Puis cette dernière reprend en bouche le sexe de Ludvik et le suce avec application. L’homme est aux anges :— Hmmm ! Une sacrée salope, cette Éva ! Elle suce comme une reine.
Puis elle l’abandonne, lui désignant le cul de Petra. Il se précipite et plaque son gland sur la rosette. Bien humidifié par les soins d’Éva, l’anus s’ouvre sans trop de difficultés et engloutit, peu à peu le membre de Ludvik. — Tu sens la bite dans ton cul ? Tu aimes ça, hein ? Te faire défoncer le trou de balle … Salope !Il se met à la ramoner, lui arrachant des cris et des gémissements. Petra est toujours penchée en avant et maintenant Jana lui a collé sa chatte sur son visage. Elle attend du plaisir de sa tante. Je vois Éva, maintenant agenouillée à côté de sa tante en train de la masturber. Quant à moi, tout en doigtant le cul de Jana avec ma main droite, je lui tripote ses belles mamelles avec la gauche. De temps à autre, je jette un coup d’œil en direction de la porte du bureau, largement vitrée. Personne dehors ; même le neveu est invisible.
Petra est vraiment bruyante. Elle crie son plaisir sous les assauts de Ludvik qui lui ramone l’anus comme un forcené, accompagnant chacun de ses va-et-vient de propos salaces :— Salope ! Tu aimes ça, hein ? Ça te fait gueuler de te faire défoncer le cul … Pute en chaleur ! Je n’aurais jamais imaginé cette tante aussi gourmande de sexe. Se faire défoncer dans le bureau d’une station-service, en compagnie de ses nièces en plus. Puis, je vois Éva cesser de masturber sa tante et venir vers moi. S’étant agenouillée, elle s’empare de ma bite pour la sucer avec application, avant de se mettre à lécher l’anus de sa sœur.
Ma queue est raide à en faire mal. Je regarde Éva, le visage plaqué sur les fesses de Jana, en train de lui lécher la rondelle. Puis, elle s’en écarte, saisit ma bite, et pose le gland sur l’anus de Jana. Excité comme un fou, je pousse mon mandrin de chair entre ses fesses dodues. Elle sent ma queue dure se frayer un passage. Elle ondule du bassin et son anus est humidifié par les soins prodigués par la langue de sa sœur. Ma queue s’enfonce dans la raie de ses fesses, et je commence à ramoner Jana. Elle pousse ses fesses vers moi. Je me cramponne à ses hanches et me met à la limer comme un damné. La tante et la nièce se faisant enculer frénétiquement. Chaque coup de boutoir arrachant à l’une et à l’autre des cris et gémissements de plaisir.
Tout occupé à vouloir faire jouir du cul, Jana, je n’ai pas remarqué l’entrée du neveu dans le bureau. Les cris et les gémissements de la tante, surtout, ont dû l’alerter. Et comme Jana n’est pas, non plus, un modèle de discrétion … Éva, qui était encore à genoux à côté de moi, se lève. Le jeune homme est hypnotisé par le spectacle de la tante et de la nièce se faisant rudement ramoner. Et ces seins qui tressautent à chaque coup de boutoir …
Éva s’approche de lui, défait la braguette et sort une queue déjà bien durcie par le spectacle. Puis elle le branle avec sa main. Puis, entrant dans le jeu, il se met à tripoter le corps nu de cette fille qui le branle.
J’ai chaud, je transpire, mais je continue à ramoner comme un possédé ce cul qu’Éva m’a aidé à investir. Jana gémit, couine, râle, tout entière à son plaisir. Ludvik, de son côté, a dû atteindre le sommet, car il éructe, à l’adresse de Petra :— Salope ! Je vais remplir ton cul de pute ! Comme ça !Elle glousse tandis que sa semence emplit son anus.Ça me stimule et je sens, à mon tour, que je vais éjaculer :— Prends ça dans ton cul de salope !Et je gicle, tandis que Jana couine sans retenue. Le calme revient. Nous voyons maintenant Éva occupée à sucer la belle bite du neveu. Je suis toujours dans le dos de Jana, collé contre elle, ma bite encore entre ses fesses. Mes mains tripotent nerveusement ses beaux seins laiteux. Je ne sais pas pourquoi, mais je lance au jeune homme :— Encule-la aussi ! Elle adore se faire prendre par le derrière !Ludvik, tout excité, renchérit :— Oh ! Oui ! Encule Éva ! Chacun la sienne !Le jeune homme se retrouve presque nu, tandis qu’Éva, comme si elle n’attendait que ça, se place en levrette. Pressé de l’enculer, il ne prend pas trop de précautions et passe un peu en force, la faisant protester. Mais il est tellement excité qu’en moins de deux minutes, il largue son sperme dans les entrailles d’Éva qui crie de plaisir, à moins qu’elle ne le simule.
Maintenant, nous voici tous les six debout. Petra s’approche de Jana :— Elle a bien joui, ma jolie nièce ?Et devant Ludvik étonné, elle l’embrasse, avec, en prime, une belle langue fourrée.C’est Éva qui revient à la réalité :— Au fait, quelle heure est-il avec ça ? Il ne faudrait pas être en retard, tout de même !Un coup d’œil à ma montre :— 11 h 45. Juste de quoi rentrer à l’heure. Et il faudrait se débarbouiller un peu, aussi. On ne peut pas rentrer comme ça. Ludvik nous entraîne vers les toilettes. Dans un angle de la petite pièce, un bricoleur anonyme a installé un semblant de douche : un réservoir cylindrique avec une pomme munie d’un robinet au- dessous. Nous y allons deux par deux pour juste se mouiller le corps et s’essuyer avec des chiffons à peu près propres. Le temps de se rhabiller en vitesse et nous voilà dans la voiture, prêts à partir. Alors que le moteur tourne, Ludvik tend une carte de visite à Jana, qui est assise à l’avant. Sourire de cette dernière :— Eh bien, tout le monde veut nous revoir, on dirait.
Quand nous nous garons devant la maison, il est pile 12 h 30. Nous pensons être attendus impatiemment, mais quand nous entrons dans le séjour du rez-de-chaussée, la table, dressée, est encore inoccupée. Et ce n’est qu’une bonne dizaine de minutes plus tard, que nous débutons le repas.
Après le déjeuner, tout le monde se retrouve au jardin de la maison, dans un endroit ombragé. Nous y passons là près de deux heures, à discuter de tout et de rien et bien sûr du voyage de deux jours qui nous attend demain. Puis, vers 15 h 30, la tante nous annonce son départ. Sans surprise, l’ayant annoncé le matin même. Les deux sœurs et moi l’accompagnons jusqu’à la voiture, garée un peu en retrait de la maison, pour bénéficier de l’ombre. Les parents, eux, achèvent les préparatifs du voyage. La tante ne semble pas pressée de partir :— Hum ! En arrivant ici, je ne pensais pas que vous alliez m’offrir de tels moments.Jana la regarde par en dessous :— On doit comprendre que tu en veux encore ? Après hier ? Après ce matin ?Petra sourit :— Je dois dire que vous m’avez conquise, toutes les deux. J’étais venue avec quelques fantasmes et j’ai été servie. Mes nièces sont de sacrées coquines … pour ne pas dire plus !Elle les regarde, même si on dirait plutôt qu’elle les mate. Les deux sœurs portent chacune une petite mini-blouse, verte pour Éva et orange pour Jana. Elle se risque :— Vous avez … quelque chose, dessous ? Les deux sœurs se regardent puis, de concert :— Bien sûr qu’on a quelque chose. On est juste là pour te saluer, n’est-ce-pas ? On ne va pas s’éterniser ici. Nous avons des choses à préparer pour demain.Mais les sœurs ne sont pas dupes. Elles voient bien que leur tante en est arrivée à leur vouer une passion trouble et ambigüe à laquelle elles ne sont pas insensibles. Aussi, quand elle s’installe au volant, et qu’Éva se penche sur elle pour l’embrasser, cette dernière laisse la main gauche de sa tante s’aventurer entre ses cuisses, pour lui masser la vulve à travers la culotte. Et Jana y a droit aussi. Avant de démarrer, elle lance cette supplique :— Venez donc, tous les trois, passer un weekend chez moi, au retour de vos vacances ! Je vous recevrai bien.

À suivre …







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