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Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles

Chapitre 8

Des vacances qui s'annoncent torrides

Divers
Dès que la voiture disparaît à nos yeux, nous revenons à la maison. Le reste de l’après-midi se passe à achever les préparatifs du voyage. Une fois tout en ordre, le dîner est servi. La soirée ne se prolonge pas très longtemps et c’est vers 22 h 30 que nous allons nous coucher.
Lundi 16 juillet. Réveillé depuis une dizaine de minutes, je perçois les bruits feutrés d’une certaine agitation. Un coup d’œil à ma montre: 6 h 30. Le départ étant matinal, je m’apprête donc à me lever, quand la porte de ma chambre s’ouvre lentement. Une silhouette apparaît et s’approche de moi. Aux reflets blonds de ses cheveux, je reconnais Jana, vêtue d’un long t-shirt qui fait office de chemise de nuit, son seul vêtement. La lumière du jour qui perce à travers les rideaux de la fenêtre, me permet d’admirer les courbes de son corps. Elle se penche vers moi et chuchote presque :— Bob, c’est l’heure de se lever. C’est Éva qui m’a envoyé te le dire.Levant les yeux vers elle, je peux voir les tétons pointer à travers le tissu du t-shirt. Un tel spectacle au réveil ! Elle est si proche qu’en avançant ma main droite, je touche sa cuisse, juste au- dessus du genou. Et comme elle ne réagit pas, je remonte jusqu’à la lisière du t-shirt, avant de se glisser dessous … Je palpe ses fesses soyeuses. Mais quand mes doigts se glissent entre ses cuisses, à la recherche de son trésor, elle annonce sobrement :— Allons Bob, j’aimerais bien, mais ce n’est pas le moment.Elle me sourit, puis s’esquive.
Une fois la toilette faite, je m’habille, avant de prendre le petit déjeuner en compagnie d’Éva. Puis les bagages sont placés dans les voitures. Comme d’habitude, les parents ouvriront la route, tandis que je les suivrai. Jana sera avec eux, Éva montant avec moi. Il est à peine 8 h quand nous démarrons. Première étape, le poste-frontière de Rusovce, près de Bratislava, à un peu moins de deux cents kilomètres.
Je regarde Éva. Cette fois, elle porte une tenue sobre : un pantalon genre corsaire, qui s’arrête aux mollets et un t-shirt à manches courtes. Pas de quoi affoler les sens. Mais je l’ai vu déposer un sac en plastique sur la banquette arrière, en plus de sa valise dans le coffre. Sa sœur en en short, assez sage, avec un t-shirt bleu.
Il faut trois bonnes heures de route pour parvenir au poste-frontière. Jusque-là, Éva et moi n’avons échangé que des banalités, sur le temps et les aléas du trajet. Il est 11 h 15. Une fois entrés à la douane, nous voici séparés : les parents, sur la file réservée aux voitures de l’Est, et nous, sur celle de l’Ouest. Ce qui signifie que nous allons subir un contrôle plus tatillon et donc plus long.
Quand nous arrivons à hauteur du bureau, un agent de la douane réclame nos passeports. Quand il remarque le passeport tchécoslovaque d’Éva, il a un petit air soupçonneux, vite réprimé. Mais il est clair qu’on va examiner notre cas. Éva soupire ; l’année dernière, nous avons eu droit au même traitement. Je la vois consulter sa montre, puis elle se tourne vers moi :— Bon, ils vont être occupés un moment. Alors, en attendant, je vais aux toilettes.Elle désigne un panonceau situé une vingtaine de mètres après le bureau. Et comme je la vois se tourner pour se saisir du sac en plastique, elle a un petit sourire et me lance :— Je vais en avoir besoin. Puis elle s’éloigne, et entre dans les toilettes.
Il se passe près d’un quart d’heure et elle n’est toujours pas sortie. Mais comme le douanier tarde aussi à revenir … Je suis un peu perdu dans mes pensées, quand je vois une silhouette sortir des toilettes. Je n’y prête guère d’attention, jusqu’à ce que je reconnaisse Éva. Elle s’est changée ! Elle porte maintenant une robe bleu- ciel, sans manche et ultra courte. On dirait une robe de tennis. Je lui ouvre la porte et elle s’installe, visiblement satisfaite. — Voilà qui devrait faciliter les choses !Maintenant, assise, elle dévoile ses cuisses nues jusqu’à la lisière de la culotte. Je la regarde, tandis qu’elle remet le sac sur la banquette arrière :— Je n’ai jamais vu cette robe … tu as joué au tennis ?— Oh, c’est un peu ancien. Une prof de gymnastique m’avait initiée à ce sport, quand j’avais seize ans. Un peu tard pour faire une carrière, mais au bout d’un an, comme j’avais fait pas mal de progrès, ma tante –tu la connais, c’est Petra- pour m’encourager, m’a offert cette robe. Elle disait que ça en valait la peine. Mais quand je suis entrée à l’université, j’ai abandonné le tennis : manque de temps. Reste la robe ; déjà qu’elle était juste à ma taille à dix-sept ans, elle l’est un peu moins aujourd’hui. Mais elle reste « portable » … Cela ne te dérange pas au moins ?
Je regarde ses jolies cuisses maintenant offertes à mes yeux. Son regard pétille :— Hum ! J’espère que tu vas faire attention à la route … Mais j’ai gardé la culotte, c’est préférable, n’est-ce-pas ?
Deux minutes plus tard, le préposé réapparaît avec nos passeports. Comme il doit se pencher pour me les remettre, il a largement le temps de mater les jambes d’Éva. Puis il lance le traditionnel : «  Contrôle bagages ! » Comme j’ouvre le coffre, il me désigne un grand banc de bois où je dois déposer les valises. Il les fait ouvrir, tandis qu’Éva s’assoit sur un coin du banc et croise les jambes. Le douanier en a plein la vue. On voit même une partie de la culotte. Je m’amuse du regard de ce dernier qui va du contenu des valises aux cuisses un peu rondes d’Éva. Finalement, il stoppe le contrôle ; sans doute en a-t-il assez vu.
Une fois les valises dans le coffre, nous nous rendons sur un parking côté hongrois. Je dois obtenir des devises au bureau de change. Quand j’en ressors, quelques minutes plus tard, Éva a ouvert la portière et s’est assise de côté, les pieds reposant sur le sol. Juste ce qu’il faut pour savoir qu’elle porte une culotte, celle-ci étant très visible.Comme je redémarre et que nous devons rejoindre ses parents qui nous attendent, je l’interroge :— Tu crois que ton père va apprécier ce « changement » ?Elle a un sourire énigmatique :— Je m’habille comme je veux. Et ça m’étonnerait qu’il dise quelque chose.
En nous attendant, les parents ont garé la voiture sur un parking en terre, environ cinq cents mètres après le poste de douane. Je stoppe juste derrière eux et nous descendons. Impossible de ne pas remarquer la nouvelle tenue d’Éva. Si la mère et la sœur paraissent étonnées, le père, lui, reste impassible, même s’il me paraît troublé. J’en viens à soupçonner quelque chose, avant de chasser cette idée : mon imagination me joue des tours, voilà tout. Et cet arrêt est mis à profit pour nous restaurer. Vers 12 h 15, nous reprenons la route. Nous entrons dans la première grande ville de Hongrie : Györ. Comme je m’étonne de voir la voiture des parents se garer près d’un magasin, Éva me renseigne :— Ils vont acheter un cadeau pour la famille qui va nous loger à la mer. On trouve plus de choix en Hongrie.
Nous patientons ainsi durant une vingtaine de minutes, avant de repartir. Maintenant nous descendons vers le sud. Son père évite, autant que possible, les grandes agglomérations, la signalisation y étant parfois défaillante. Nous longeons la rive sud du lac Balaton, puis redescendons plein sud. Il est donc 19 h quand nous atteignons la frontière hungaro-yougoslave, à Barcs. L’objectif est de passer la douane et de s’arrêter, pour la nuit, à Virovitica, vingt kilomètres plus loin.Le passage en douane s’avère plus compliqué, car il y a deux postes distincts de part et d’autre de la frontière. Je ne sais pas si c’est dû à l’affriolante tenue d’Éva, mais les choses vont relativement vite, vers 19 h 45, nous arrivons à Virovitica. La voiture des parents s’arrête devant une maison signalant des chambres à louer. Éva soupire : comme elle se débrouille assez bien en serbo-croate, elle va devoir jouer les interprètes.
Une femme avenante s’est approchée du portail d’entrée. Après une brève conversation, il s’avère que des chambres sont bien disponibles : une dans la maison même, et une autre dans un bungalow en bois situé dans le jardin. Les tarifs étant raisonnables nous passerons la nuit ici. La chambre dans la maison comporte un lit à deux places. Celle située dans le bungalow s’avère petite mais comporte deux éléments de deux lits superposés d’une place, donc pour quatre personnes. Les parents prennent la chambre de la maison, tandis que les deux sœurs et moi, nous nous installons dans celle du bungalow.
Nous dînons avec les provisions que nous avons emportées, mais quand notre logeuse nous propose des infusions, nous acceptons. Le bungalow, en bois a emmagasiné la chaleur de la journée, et les deux sœurs ont tôt fait de se retrouver simplement vêtue d’un t-shirt, puis carrément nues, une fois qu’on nous a apporté les boissons chaudes. Comme elles occupent les lits du bas et moi, celui d’en haut, il suffit de me pencher pour admirer leur plastique.À un moment, Éva lève les yeux vers moi :— Alors, ça te plait de nous voir toutes nues ?
Elle affiche un sourire coquin. Elle est assise sur le lit du bas situé juste en face du mien. Jana est donc juste au- dessous de moi. Justement, la voilà qui se lève, comme pour se montrer. Je vois ses seins superbes. Puis je vois la main d’Éva caressant tendrement les fesses de Jana. Ça promet d’être chaud. Et le devient vite quand cette dernière, les mains posées à plat sur son lit, se penche en avant et écarte ses cuisses, offrant le passage à la main d’Éva. Elle lui caresse le sexe longuement et bientôt les gémissements de plaisir de Jana se font entendre. Cela dure un moment, puis elle se redresse et vient s’asseoir à côté d’Éva et se met à la masturber à son tour. Cette fois, ce sont les gémissements de cette dernière qui emplissent la pièce. Puis tout cesse. Une répétition, en quelque sorte. Demain une longue route nous attend et il faut se réserver.
Une bonne nuit réparatrice et debout le lendemain vers 7 heures. Les préparatifs sont vite expédiés et il est juste 8 heures quand nous reprenons la route. Un trajet sinueux nous attend, car nous allons descendre directement vers le sud, pour rejoindre la côte adriatique aux environs de Split, en passant par Banja Luka. Un itinéraire montagneux aussi. Heureusement, le beau temps est de la partie. Après quelques péripéties dues à une signalisation approximative, nous atteignons notre but, le petit bourg de Dugi-Rat à une trentaine de kilomètres au sud de Split. Il n’est pas loin de 18 heures.
Tandis que les parents et les deux sœurs rejoignent leurs chambres réservées, je monte ma tente, face à la mer, sur un petit terrain attenant la propriété. Puis nous nous retrouvons vers 19 heures pour un repas offert par la famille qui nous accueille. Éva m’a déjà soufflé qu’eux et ses parents se connaissent puisqu’ils en sont à leur sixième séjour ici.
Une fois le repas terminé, les parents se retirent pour se reposer, au grand soulagement d’Éva qui échappe ainsi à la corvée d’interprète. Comme il est près de 20 heures et qu’il fait encore jour, nous décidons, tous les trois, d’une balade sur la plage. Retour prévu à la nuit tombée. Éva porte toujours sa mini-robe de tennis, tandis que Jana est déjà en maillot deux pièces, recouvert d’une robe de plage. Moi-même, suis en bermuda et t-shirt. Une fois la route traversée, nous nous retrouvons sur la plage sablonneuse. La mer est calme et nous savourons le moment, étant pratiquement seuls en ce lieu. Tandis que nous marchons au bord, touchant parfois l’eau de nos pieds nus, nous devinons une silhouette au loin. En se rapprochant d’elle, nous voyons qu’il s’agit d’une jeune fille ou jeune femme vêtue d’un affriolant bikini qui dévoile ses charmes plus qu’il ne les cache. Éva me souffle :— Hum ! Je vais devoir affronter la concurrence. Elle est bien faite, n’est-ce-pas ?Pour être bien faite, elle l’est ! Une brunette, un peu enrobée, mais juste ce qu’il faut. Son soutien-gorge peine à contenir une poitrine opulente, dont la moitié supérieure est offerte aux regards. Quand nous arrivons à sa hauteur, c’est pour remarquer qu’elle est aussi grande que les deux sœurs. Comme si elle avait deviné notre désir de l’aborder, c’est elle-même qui nous lance :— Alors, vous êtes venus en vacances chez nous ?
Cette annonce nous surprend. Éva lui répond :— Vous nous connaissez donc ?Elle nous répond, avec le sourire :— Je vous ai déjà vus toutes les deux, il y a deux ans. J’habite le petit immeuble situé juste à côté de la propriété de monsieur Begovic. Du balcon du deuxième étage, j’ai vue sur la cour. Alors …Puis, se tournant vers moi :— Et cette fois, ce jeune homme est avec vous. Alors, bonnes vacances !Et elle nous quitte, se rendant sans doute chez elle. Jana lâche ce commentaire :— Il me semble que nous ne tarderons pas à la revoir.
Puis la promenade reprend. Mais cette rencontre imprévue nous a troublés et, après avoir parcouru quelques centaines de mètres, nous décidons de rentrer. C’est que nous nous sentons un peu fatigués. Une bonne nuit d’un sommeil réparateur et les vacances pourront vraiment commencer.
Le lendemain matin, debout vers 8 heures. Au cours du petit-déjeuner, les parents nous font savoir qu’ils ne sortiront pas de la journée, le père étant légèrement souffrant. Nous voilà libres de nous organiser à notre guise. Comme je fais savoir qu’il serait plus prudent de faire le plein d’essence, nous décidons de commencer par là. Ensuite, place à la baignade. La station la plus proche se trouve à Omis, à huit kilomètres. Les deux sœurs décident de m’accompagner, simplement vêtues d’un maillot de bain deux pièces, pressées qu’elles sont de faire un plongeon dans l’Adriatique. Il est près de 9 h 30 quand nous démarrons. Moins d’un kilomètre plus loin, nous repérons la silhouette d’une jeune femme brune en bikini qui fait du stop. Éva s’écrie presque :— Mais, c’est bien celle que nous avons croisé hier soir ! Arrête-toi ! Avec une telle tenue, elle ne va pas rester longtemps au bord de la route.
Je stoppe à sa hauteur. La jeune femme ne semble nullement surprise de nous retrouver ainsi. Comme si elle s’y attendait. Elle nous sourit, tandis qu’on lui ouvre la portière arrière. Puis, voyant les deux sœurs déjà en maillot :— Vous allez à la plage en voiture ?Comme nous lui disons que nous allons d’abord faire le plein d’essence, elle semble réfléchir :— Eh bien allons-y ! Ensuite, si ça ne vous dérange pas, vous me conduirez à la plage naturiste, juste à la sortie d’Omis, en direction de Split.Durant l’arrêt à la station- service, les deux sœurs font plus ample connaissance avec la jeune femme qui a vingt -cinq ans et dit s’appeler Sonja. Très vite, elle fait naître une certaine complicité entre nous, si bien qu’elle nous propose, tout de go :— Ça vous dirait de venir avec moi sur la plage naturiste ? Il faut être membre, mais c’est juste une formalité …Elle demeure silencieuse un instant, tandis qu’elle nous indique, de la main, un parking situé sur notre gauche. Les deux sœurs s’interrogent du regard, puis Éva décide :— Pourquoi pas ? Après tout nous avons la journée à nous.Et, sans réfléchir plus avant, je gare la voiture. — Prenez vos passeports et suivez-moi !Nous longeons la clôture qui ferme la plage naturiste jusqu’à une porte qui mène jusqu’à un petit bungalow qui porte la mention Biro (bureau). Sonja sourit à l’adresse de l’employé qui s’y trouve et lui tend nos passeports. Dix minutes plus tard, il nous remet une carte de membre à notre nom. Je règle les trente dinars demandés : nous voilà membres d’un club naturiste !
Sonja fait un petit commentaire :— Ces cartes sont valables jusqu’à la fin du mois, et uniquement sur cette plage. Un usage réservé aux touristes. Même si un droit d’entrée est demandé à chaque passage, sauf au premier. On y va ?Nous suivons Sonja dans un couloir bordé de vestiaires fermant à clé. Nous en choisissons un au hasard. Maintenant, il faut se dévêtir et y ranger toutes nos affaires. La seule chose que nous conservons est la clé du vestiaire que Sonja noue à son poignet. Puis nous foulons le sable de la plage. Sonja nous confie, malicieusement :— Les gens que l’on rencontre ici, ne sont pas tous de vrais naturistes, certains d’entre eux ne sont que de vulgaires voyeurs. Mais mon intuition me dit que ça ne doit pas vous gêner d’être matées, n’est-ce-pas ?
Pendant que nous marchons, je suis resté un peu en arrière. Sonja affiche un bronzage intégral. Et puis ses fesses rondes qui ondulent à chaque pas … sans compter que celles de Jana et d’Éva suivent le même rythme. Mon sexe a tôt fait de se redresser. S’étant opportunément retournée, Sonja le remarque :— Hum, votre ami a du mal à se contrôler, on dirait. On peut le comprendre, n’est-ce-pas ?
À l’heure où nous sommes entrés sur la plage, il n’y a pas beaucoup de monde. Sonja veut d’abord nous faire connaître son étendue, en la traversant dans toute sa longueur. Nous croisons des gens assis ou allongés. Si certains nous observent avec attention, les autres nous ignorent. Nous commençons à nous demander où nous allons nous installer, quand elle s’immobilise, sur le haut de la plage. Elle semble inquiète. À quelques mètres de là, un homme d’âge mur est allongé sur le sable. Éva lui demande :— On dirait que cet homme te gêne. Tu le connais ?
Visiblement embarrassée, Sonja ne peut que dire :— Oh, oui, je le connais … et je ne pensais pas le trouver ici, aujourd’hui, à cette heure. Cet homme, c’est … mon père. Il va nous voir et sûrement demander ce que je fais là, avec vous. Sonja semble tout aussi incapable de rebrousser chemin et, avant que son père ne remarque sa présence, elle nous fournit une explication laborieuse à cette situation :— Depuis ma majorité, mon père cherchait à m’initier au naturisme, qu’il pratiquait avec ma mère. Laquelle, par contre, voyant mon manque d’enthousiasme, lui disait qu’il fallait en tenir compte et patienter. Quand elle est partie, il y a deux ans, il est revenu à la charge et a insisté jusqu’à ce que j’accepte. Je suis donc devenue naturiste. Au départ, il me laissait une certaine liberté de compagnie, mais, très vite, il a désiré que je sois avec lui. Je crois qu’il aime me voir nue. Je lui ai bien dit que j’étais quand même sa fille et que cette relation devenait ambiguë. Il n’a pas voulu l’admettre et, avec le temps, j’ai fini par m’habituer à cette situation ...
Une voix un peu traînante interrompt son récit :— Sonja ! Je n’attendais pas à te voir ici à cette heure. À vrai dire, c’est moi qui ne devrais pas être là. Et qui sont ces gens ? Tu fais des cachotteries à ton papa ?L’homme s’est mis debout. Il est assez poilu et nanti d’un membre d’une taille plus que respectable. Il reluque les deux sœurs sans retenue, ce qui peut se comprendre, mais le regard quasi lubrique qu’il porte sur sa fille, nous met un peu mal à l’aise. Il le remarque :— Excusez-moi, mais ma fille est tellement mignonne, n’est-ce-pas ? Je ne peux pas m’en empêcher. Mais dis-le leur, toi !Ainsi interpellée, Sonja ne peut que dire :— C’est vrai, papa, que tu aimes me voir toute nue … et c’est vrai aussi que ça me plait que tu me regardes comme ça.Satisfait de cette réponse, il enchaîne :— Ce sont tes nouvelles amies ? Et ce jeune homme ?— Ce sont deux touristes tchèques, deux sœurs. Elles résident dans la maison juste en face de nous. Et le jeune homme est un Français. Il est avec elles.
Le père affiche son intérêt :— Des Tchèques ? On dit que ce sont des filles chaudes… En tout cas, elles sont bien mignonnes aussi. J’aime les beaux seins.Il lorgne ceux de Jana, ainsi que ceux de sa fille. Nous ne savons pas comment cela va évoluer. Il semble réfléchir, puis :— Je suppose que vous avez le temps. Sonja, si on invitait tes amis à la taverne de la plage ?Nous la sentons gênée, mais elle ne peut que répondre :— Bien sûr, papa, c’est une bonne idée, en effet.Nous retraversons la plage. Un peu plus haut que l’entrée, se trouve une bâtisse de planches et de toile, nantie d’une terrasse : c’est la fameuse taverne. À cette heure, elle semble fermée, si bien que cela nous intrigue. Cependant, le père frappe à une petite porte latérale. Une minute s’écoule avant qu’on ouvre. Une accorte jeune femme, entièrement nue apparaît, souriante, dès qu’elle aperçoit l’homme. — Ah, monsieur Stribec, entrez donc ! Vous avez de la compagnie, on dirait.
Elle nous conduit à une table située dans un angle de la salle avec des bancs pour sièges. L’homme s’arrange pour se retrouver entre Jana et sa fille, tandis qu’Éva et moi nous nous asseyons en face d’eux. À ce moment-là, la jeune femme, nantie d’une belle paire de seins, annonce, avec un sourire entendu :— Comme d’habitude, monsieur Stribec ?Il répond sur le même ton et la jeune femme s’éclipse. Déjà, nous le voyons reluquer, sans la moindre gêne, les cuisses et les seins de Jana, avant de lui lancer, en guise de compliment:— Mademoiselle, permettez-moi de vous dire que vous êtes vraiment sexy ! Autant que ma fille, pour tout dire. N’est-ce-pas, Sonja ?Il quémande l’approbation de sa fille et appuie sa demande en caressant, sans se cacher, la cuisse droite de cette dernière. Celle-ci surmonte sa gêne, comme elle peut :— Oh c’est vrai que Jana est aussi sexy que moi, et …
Le père l’interrompt :— Ainsi, elle s’appelle Jana ? Joli prénom pour une fille aussi sexy ! Et, sa main droite vient caresser la cuisse gauche de Jana. Et, comme il voit qu’elle n’est pas effarouchée par ce geste, il s’enhardit :— En plus, vous avez de beaux seins … J’adore ces poitrines pulpeuses, ses seins qui se balancent de manière affolante, ces si excitants nichons …En tenant ce dernier propos, il s’est tourné vers sa fille, qui baisse les yeux. Éva, tente d’en savoir plus :— On dirait que vous avez des relations particulières, si on peut dire ainsi, avec votre fille. Vous semblez dire qu’elle vous excite …Le mot est lâché. Mais le père ne s’en offusque guère. Il sourit même :— Dire que Sonja m’excite est une évidence. Ma femme a produit cette merveilleuse chose, aux seins opulents, juste ce qu’il faut, aux douces rondeurs à damner un saint, au fessier de rêve. Bon, j’exagère un peu, mais, pour moi, ma fille est tout simplement bandante.
C’est crûment dit, et par le père, en plus ! Et, comme il se tourne vers Jana :— Votre sœur, aussi, est bandante.Maintenant, il caresse l’intérieur des cuisses de ses deux voisines. Je suis fasciné par Sonja, qui laisse son père la tripoter ainsi. Il semble bien que sa gêne vient du fait que cela se passe en public.À ce moment, la jeune femme réapparaît, amenant sur un plateau, cinq bouteilles de bière. « Monsieur » Stribec se répand en excuses :— La taverne n’ouvre qu’à partir de midi. Nous devons donc nous contenter de bières. Mais nous avons pu en trouver une, sans alcool, pour monsieur. Désolé pour les verres : ils ne sont pas disponibles.Éva et moi, nous nous regardons : tout cela tient du scénario écrit à l’avance et Sonja doit, sans doute, servir de rabatteuse. Comme les deux sœurs sont titillées par la curiosité, d’un regard, elles se mettent d’accord pour jouer le jeu que « monsieur Stribec » a certainement en tête.
Pendant que la « serveuse » décapsule les bouteilles, le père a les deux mains occupées à tripoter la vulve de Sonja et celle de Jana. Cette dernière, tentatrice, écarte un peu plus ses cuisses ; ce qui lui attire cette réponse :— Hum ! Vous aimez qu’on vous chatouille la chatte, mademoiselle Jana !Du coup, il abandonne sa fille, pour se tourner vers elle :— Vous êtes vraiment excitante … Ces cuisses … Ces nichons …Sa main gauche s’enfonce entre les cuisses de Jana, puis deux doigts se glissent entre les lèvres de la vulve. Sa main droite glisse le long de son dos. Il ordonne presque :— Reculez-vous donc un peu !Jana ayant obéi, sa main atteint plus facilement son postérieur. Elle sent un doigt s’insinuer dans la raie de ses fesses. Il susurre :— Avec ces belles fesses rondes, vous devez avoir un joli petit trou.Jana pense : « Le cochon ! Il est pressé d’arriver au but. » Mais elle se contente de répondre, légèrement ironique :— Ainsi mon petit trou vous intéresse aussi ? Vous n’êtes pas le premier, vous savez !Ce qui a le don d’exciter « monsieur Stribec » :— Ces Tchèques ! De vraies cochonnes ! Tu veux mon doigt dans le cul ? Comme ça ?
Le tutoiement s’ajoute à la crudité du langage. Jana, se mord les lèvres : l’index de « monsieur Stribec » vient de s’enfoncer dans son anus. Elle réagit prudemment :— Eh bien, vous alors, vous ne vous gênez pas … Et cette façon de me tutoyer …La réaction est vive :— Et alors ? Ça te gêne que je te tutoie ? Tu te laisses mettre un doigt dans le cul et tu voudrais que je te vouvoie ?Jana se tortille. C’est qu’il est en train de lui doigter l’anus. La situation devient chaude et je me tourne vers Éva et glisse ma main droite entre ses cuisses qu’elle ouvre aussitôt. Je sens sa vulve humide sous mes doigts : ce qui se passe ne la laisse pas indifférente :— Hum, ça te fait mouiller de voir ta sœur se faire tripoter de cette façon ? Tu aimes ce genre de chose, hein ?
L’homme a maintenant enfoncé trois doigts dans la chatte de Jana et les utilise à la manière d’un piston. Elle doit beaucoup mouiller car cela provoque un clapotis audible, malgré ses gémissements de plaisir. En plus, elle a écarté ses cuisses de manière obscène. Éva ne peut que regarder ces doigts qui fouillent le vagin de sa sœur et ça lui fait envie. Alors, je lui fourre trois doigts dans son minou et commence à la ramoner.Le père jubile :— La salope ! Elle aime ça aussi ! Et elle doit avoir un joli petit trou aussi …Vite, ma main droite glisse le long de son dos jusqu’à ses fesses rondes. L’index a vite fait de repérer les bords de son cratère anal, mais pour y pénétrer, je lui demande aussi de se reculer un peu sur le banc. Elle se mord les lèvres en sentant mon index s’enfoncer dans son anus. En face d’elle, Jana se tord de plaisir en gémissant, les yeux mi-clos : trois doigts lui défoncent la chatte et un autre lui fore le cul. « Monsieur » Stribec commente :— Ah, ces Tchèques ! De vraies chiennes en chaleur, toujours prêtes à offrir leurs orifices ! Tu ne crois pas, Sonja ?
Sonja … On l’avait un peu oubliée. Mais elle ne reste pas inactive, occupant ses doigts à se masturber gentiment, tandis que son regard se tourne de plus en plus souvent vers la grosse queue paternelle, toujours dressée comme un mât, le gland décalotté laissant s’écouler du liquide séminal. Réaction du père :— Ma fille, si tu as envie de jouer avec ça, ne te gêne surtout pas !Nous guettons sa réaction : osera –t-elle le faire devant nous ? Le père, tentateur :— Alors ; qu’est-ce que tu attends ? Tu meurs d’envie de saisir ma grosse bite bien chaude dans ta main … ça se voit !Elle regarde, de l’autre côté de la table, Éva qui glousse de plaisir sous mes doigts. Alors, n’y tenant plus, sa main droite s’enroule autour du sexe paternel et l’enserre. Le père est aux anges :— Hummm ! Ouiii ! Comme ça !Elle semble se retenir un peu, avant de commencer un lent mouvement de masturbation. Ce qui a le don d’exciter son père qui se met à fouiller les orifices du bas de Jana comme un forcené, la faisant exploser de jouissance, lâchant un jet de cyprine sur ses doigts.— Quelle cochonne ! Se faire doigter la chatte et le cul en même temps, ça la rend folle !
Maintenant, tout entier à son plaisir, il se laisse masturber par sa fille, tout en matant Éva, prête à jouir à son tour. Et quand elle couine, mouillant mes doigts, il est si excité qu’il jouit à son tour, éclaboussant de sperme la cuisse droite de sa fille et le bord de la table. Satisfait, il ordonne à sa fille :— Branle donc ce jeune homme, pendant que je propose quelque chose à ces demoiselles. Elle se lève aussitôt, et vient s’asseoir à ma droite. Puis, saisissant ma bite très raide, elle commence à me masturber, tandis qu’il s’adresse aux deux sœurs :— Dites-moi, aimeriez-vous participer à un concours de beauté ? Un peu spécial, je l’admets. Mais, pour des filles comme vous, ça ne devrait poser aucun problème.
Il sourit et Éva, titillée par la curiosité, enchaîne aussitôt :— Un peu spécial ? Vraiment ? — Le concours de miss Topeless à Omis … Autrement dit, miss « seins nus » … Vous défilez dans une salle, uniquement vêtue d’un slip de bain. Mademoiselle Jana aurait ses chances !Cette dernière réplique :— Et votre fille aussi, n’est-ce-pas ?« Monsieur » Stribec en convient :— Bien sûr, mais j’ai la possibilité de peser sur le vote du jury …Il fixe Éva dans les yeux :— Je suis l’organisateur de ce concours, privé, et les prix peuvent être intéressants … et puis toutes les participantes sont des amatrices, comme vous. Alors …
Il sent les sœurs attentives, alors, il enchaîne sur une autre idée :— J’aimerais vous voir participer à deux autres concours, plus intimes et bien plus osés : celui de  Miss Sans Culotte. Vous défilez uniquement vêtue d’un débardeur court, qui couvre vos seins, mais dévoile intégralement votre sexe et vos fesses. Et celui de Miss Nue, où, évidemment, vous défilez à poil. C’est le genre qui convient à des délurées telles que vous.Jana, qui a quelques expériences dans ce domaine, renchérit :— Hum … J’imagine que c’est le genre de concours qui peut finir en orgie, ou quelque chose comme ça.« Monsieur » Stribec sourit :— Pas forcément, mais tout est possible. 
J’essaie de suivre la conversation, mais cette diablesse de Sonja a une belle pratique de la masturbation. Et d’avoir, en plus, sous les yeux, sa magnifique paire de mamelles dotées de tétons dressés par l’excitation… Je ne peux résister plus longtemps, mais, au moment d’éjaculer, je parviens à orienter ma queue vers Éva, qui reçoit ainsi une giclée de foutre sur ses cuisses. Commentaire du père :— Eh bien, votre ami vous honore de son sperme.Éva regarde le foutre odorant qui dégouline sur sa cuisse. Puis, en récupérant sur le bout de ses doigts, elle le porte à sa bouche. Monsieur Stribec jubile et, s’adressant à sa fille :— Tu m’as trouvé deux sacrées cochonnes, Sonja, et deux sœurs, en plus !Éva et moi nous nous regardons : en nous abordant et en nous amenant jusqu’ici, Sonja a donc accompli une mission : inviter de jeunes filles délurées, susceptibles de satisfaire les fantasmes paternels. Et comme elle voit Jana passer sa langue sur ses lèvres, Éva ose :— Ces concours, c’est pour quand ? Ça pourrait nous intéresser …
« Monsieur » Stribec tressaille d’aise :— Miss Topeless, c’est à Omis, le samedi 21 juillet, à 20 h 30. Quant aux deux autres, ils auront lieu à Split à une date que je vous communiquerai. Pour le premier, j’ai déjà une douzaine de candidates déclarées ; pour les deux autres, beaucoup moins.Il sourit, tout en reluquant la poitrine des deux sœurs. Puis, il lève sa bouteille de bière :— Alors, buvons à votre participation enthousiaste à ces concours !Il boit au goulot, à longues gorgées, vidant la bouteille. Nous l’imitons, mais plus lentement. Puis il se lève :— Dans dix minutes la taverne va ouvrir ! Nous allons donc sortir par la petite porte, et nous rendre au bureau d’entrée.

À suivre ...
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