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Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles

Chapitre 10

Vertiges de l'amour (charnel)

Orgie / Partouze
Quand l’eau atteint sa poitrine, elle se met à nager en lents mouvements de brasse. De temps à autre, plongeant délibérément, elle passe quelques secondes sous l’eau. Ce manège dure ainsi une dizaine de minutes avant qu’elle ne regagne la rive. Nous nous attendons à ce qu’elle rejoigne le restaurant, mais elle bifurque et vient dans notre direction, entamant l’escalade de la dune. La voici maintenant devant nous, nue et ruisselante d’eau :
— Eh bien… Me revoilà ! Ça c’est bien passé pour vous ?
Nous la sentons un brin fébrile, mais nous ne savons pas si c’est le fait de nous voir nus aussi, ou autre chose. Éva la questionne :
— Tu vas retourner au restaurant chercher tes affaires ? Je suppose que nous devons aussi leur rendre le parasol et la serviette…
Jana a un sourire plutôt coquin et son regard est pétillant :
— Bien sûr, c’est ce que nous allons faire, mais tout en nageant, j’ai imaginé un truc excitant et osé pour le retour.
Éva réagit :
— Ah ? Un truc excitant et osé ? Et de quel genre ?— Celui de rentrer à Dugi-Rat, en voiture, mais complètement nus, tous les trois !
Nous sommes dubitatifs. J’enchaîne, un brin ironique :
— En es-tu sûre ? Il me faut porter au minimum des sandales. Conduire pieds nus n’est pas recommandé.— Pas de problème. En plus, nous nous arrêterons pour changer de place !
Elle s’adresse à Éva :
— Par exemple, nous serions toutes les deux sur la banquette arrière, puis, à tour de rôle, nous passerions à l’avant, à côté de Bob, pour qu’il ne soit pas oublié.

Éva s’étonne de sa proposition :
— Toi alors ! Si tu te mets à imaginer des trucs comme ça. Dis donc, ton serveur, il ne t’aurait pas fait boire quelque chose, par hasard ? Tu me parais un peu… excitée.
Jana se mord les lèvres :
— Si… un cocktail de sa composition, comme il me l’a dit lui-même. Très agréable au goût, d’ailleurs. Tu crois qu’il y avait quelque chose dedans ?
Éva s’amuse de la réponse de sa sœur :
— À te voir ainsi, ça se pourrait bien ! Sinon, ton truc, je le trouve aussi original. Alors, je suis prête à jouer le jeu.
Puis Jana se tourne vers moi :
— Et toi, je suppose que tu es aussi d’accord : conduire nu avec juste des sandales aux pieds. En fait, tout cela pour dire que ça me trottait dans la tête depuis qu’Éva m’avait raconté s’être montrée nue en voiture, sur la route. Et que c’est toi qui le lui avais suggéré. Alors, je me suis dit que ce serait drôle d’essayer… maintenant.— Hé-hé ! C’est bien moi qui en avais eu l’idée. Et donc, bien sûr que je marche !
Sourire de satisfaction aux lèvres, Jana enchaîne :
— Parfait ! Alors, nous allons redescendre la dune et se présenter à l’entrée, côté plage. Et en restant comme nous sommes, bien sûr.
Cinq minutes plus tard, nous nous retrouvons tous les trois devant la petite porte. Entre temps, Éva et moi avons passé deux minutes à barboter dans la mer, histoire de nous délasser. Jana frappe. La porte est ouverte par la serveuse, toujours en micro-jupe. Elle ne semble pas étonnée de nous voir nus tous les trois. Quand nous entrons, l’horloge murale du restaurant indique presque 16 h. Ce qui fait réagir Éva :
— Mon Dieu, déjà ! Il faudra que cette balade ne finisse pas plus tard que 17 h.
Le garçon, toujours fringant, vient à notre rencontre, tout émoustillé devant la nudité des deux sœurs, n’ayant d’yeux que pour elles :
— Vous êtes venus chercher vos affaires, je suppose. Enfin, celles de mademoiselle Jana.
Et, tout en jetant un regard gourmand sur les seins de Jana, il poursuit :
— Nous nous sommes bien amusés, n’est-ce-pas ? J’espère vous revoir encore. Vous ne vous rhabillez pas ?
Il y a un petit moment de flottement parmi nous. Je chuchote à l’oreille d’Éva :
— Il serait plus sage de partir d’ici habillés. Sinon, ils vont imaginer des choses… et peut-être nous suivre !
Elle relaie mon message à Jana et nous finissons par nous rhabiller tous les trois. C’est-à-dire que les deux sœurs remettent leur maillot deux pièces et moi mon bermuda et mon débardeur. Et comme nous insistons pour régler les repas, le serveur y consent :
— Je vous compte deux repas. Celui de mademoiselle Jana est… offert.
Il nous adresse un sourire plein de sous-entendus. Nous lui rendons ce sourire, avant de nous diriger vers la sortie. Jana nous semble de plus en plus excitée; s’est-elle rendu compte que le serveur a glissé un objet dans son slip, entre ses fesses ?
— Alors, une fois arrivés à la voiture… À poil, d’accord ? Et pour éviter toute tentation, tous les vêtements dans le coffre.
Impossible, cependant, de nous défaire de l’habitude de regarder autour de nous. Le parking est maintenant désert. Le déshabillage est rapide et les vêtements prestement balancés dans le coffre. Nous nous engouffrons dans la voiture avec ce sentiment de franchir une limite de plus dans l’exhibition. Jana se trouve à côté de moi. Je ne vois que ses seins, ses cuisses, ce corps ensorcelant. Elle s’en rend vite compte, s’étale sur le fauteuil, écarte les jambes, avant de lancer :
— Hmm ! C’est bon d’être nue comme ça. Ah ! Vivre à poil, durant ces vacances. Et faire des économies de vêtements, en plus ! Tu serais d’accord, Éva ?
Je ne parviens pas à démarrer, tout occupé que je suis à détailler son corps et cette chatte sublime avec ses lèvres bien ourlées que Jana exhibe sans aucune pudeur. J’entends la voix d’Éva :
— Passer nos vacances à poil ? Ça serait un peu compliqué, là : ça veut dire se baigner, manger et se divertir, toutes nues. Et même sortir… tu imagines la tête des gens voyant deux filles à poil se balader dans la rue, entrant dans les magasins…— Oui, je sais. Mais n’empêche que ça me tente. Au moins de se retrouver nue chaque fois que c’est possible. Et puis nous avons la carte du club naturiste…
Jana soupire. Toujours étalée sur le fauteuil, les cuisses ouvertes, je la vois poser sa main droite sur son sexe. Et ses doigts qui s’activent sur son abricot bombé.
— Et puis… Hmmm ! Jouir sans entrave comme on dit à l’Ouest !
Je n’ai jamais vu Jana dans un tel état d’excitation. La question me brûle les lèvres :
— Dis donc, tu n’aurais pas fumé quelque chose de « spécial », en plus, toi ?
Elle a un sourire béat :
— Quand on a terminé la « séance », il m’a tendu une cigarette que j’ai trouvée délicieuse à fumer. Je n’aurais pas dû ?
Je me tourne vers Éva et croise son regard : cocktail ou cigarette, qui a pu mettre Jana dans cet état ? Puis, voilà qu’elle se redresse :
— Hep ! Ça me rappelle que le garçon m’en a donné une autre en disant : «Voilà,  celle-ci  pour votre sœur, si ça la tente. » Où l’ai-je mise ?
Elle réfléchit :
— Ah ! En fait il l’a gardé, sachant que j’allais me baigner. J’ai bien senti qu’il l’a glissé dans mon slip, juste avant que nous sortions. Et le slip est dans le coffre…
Elle a comme un pressentiment : elle ouvre la portière et examine le sol. Elle sourit, se penche et sa main ramène une cigarette sans filtre, quelque peu aplatie et déformée.
— Voilà la chose. Un peu abîmée mais encore fumable. En plus, elle a passé un moment entre mes fesses !
Elle se tourne vers Éva :
— Je ne vais pas la proposer à Bob : il conduit… Mais, comme cette cigarette est pour toi, tu veux essayer ? Si tu as envie de te sentir vraiment libérée et prête à tout. Et tu l’es déjà pas mal, non ? Moi, je me sens prête à tout…
Éva regarde la cigarette, un peu ratatinée, avec un mélange de méfiance et d’envie :
— Tu imagines si on arrive devant les parents dans cet état ? L’effet dure combien de temps ?— Pas si longtemps que ça. Je pense que j’ai fini de la fumer il y a une demi-heure et que j’en ai pour une demi-heure, encore. Le serveur m’a dit qu’avec cela le plaisir durait une bonne heure. Sur le coup je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire. Mais maintenant…
Éva soupire :
— Mouais, tu veux que j’essaie, hein ? Une heure, c’est juste de quoi arriver à la maison. Par prudence, on va se la partager.
Jana sourit. Elle saisit un briquet rangé dans la boîte à gants. Puis elle tend la cigarette allumée à Éva, qui en tire des bouffées mesurées. À l’odeur, on sent bien que ce n’est pas du vulgaire tabac. Quand elle en a fumé les deux tiers, elle tend le mégot à Jana :
— Tiens, finis-la. Je préfère la prudence.
En tirant une bouffée, Jana a un sourire béat :
— Le paradis ! Et maintenant, allons-y, Bob.
Au bout du chemin, voici la route. J’ai une brève hésitation, puis la voiture s’élance en direction de Dugi-Rat. Juste un œil sur Jana, qui s’est redressée sur son siège, mais a gardé les cuisses bien ouvertes, vu qu’elle se caresse la vulve avec ses doigts. Elle a un rire nerveux :
— Regarde la route, toi ! Si je me masturbe, c’est pour mon plaisir, non ? Hmm ! Mais c’est qu’il bande, le cochon ! Tu es insatiable, toi aussi, pas vrai ?
Elle termine la cigarette, qu’elle écrase dans le cendrier. Elle lance à Éva :
— Bob ne roule pas vite ; il veut nous faire remarquer. On commence à nous doubler.
Une camionnette nous dépasse. Son passager doit voir des choses très agréables, car il nous adresse un signe. Venant de face, un chauffeur de camion a le temps d’admirer le corps nu de Jana ainsi que sa belle poitrine. En plus, il n’a pas hésité à ralentir. La circulation semble plus dense depuis un moment. Je suggère :
— Je ne sais pas si c’est bien sage de continuer sur cette route. Nous allons finir par provoquer un accident ! Ce n’est pas le but recherché, n’est-ce-pas ?
Éva acquiesce :
— En effet… Je crois qu’à quelques kilomètres d’ici, il y a un carrefour : là, une route va sur la gauche. Nous sommes déjà passés par là avec mon père. La route est étroite, mais elle mène aussi à Dugi-Rat.
Cinq kilomètres plus loin, effectivement, une autre route se présente à notre gauche. Éva me prévient que c’est là. Avec précaution, nous nous y engageons. À mesure que nous nous éloignons de la route principale, nous abordons une zone presque désertique. Le sol nu la plupart du temps, sinon quelques champs ici et là. La circulation est quasi nulle. Juste après le franchissement d’un petit pont, s’offre à nous une sorte de parking orné de quelques arbustes et buissons. Une idée semble avoir jaillit du cerveau de Jana :
— On pourrait s’arrêter ici un moment. Avec ces arbres, ce devrait être agréable !
Comme Éva n’émet pas d’avis, j’en conclue que l’arrêt est programmé et je gare la voiture à proximité d’un petit arbre, de quoi avoir un peu d’ombre. Je m’amuse de la situation :
— On pourrait se dégourdir les jambes, n’est-ce-pas ?
Jana me regarde, puis ayant ouvert la portière, elle pivote sur son siège et se retrouve les jambes pendantes à l’extérieur.
— Moi, en tout cas, j’en ai bien l’intention !
Et elle se retrouve dehors, foulant la terre du parking, dans sa splendide nudité. Éva, sans doute gagnée par l’excitation, s’empresse de sortir, elle aussi.
— Hum… c’est super bon de sentir le soleil sur sa peau !
Elle s’étire, faisant dresser ses seins et voilà que Jana l’imite, écartant en plus ses jambes. Quant à moi, je me contente de rester assis au volant, portière ouverte. Éva vient me voir. Elle s’amuse de mon sexe dressé : je bande comme un âne.
— Allons viens ! J’ai envie de…
Sa phrase reste en suspens. C’est qu’un grondement se fait entendre de l’autre côté du pont. Nos regards se tournent vers celui-ci : nous voyons approcher des motards : de loin, on en compte quatre, chevauchant deux machines. Ils franchissent le pont et semblent poursuivre leur route, quand la première moto amorce un virage serré et s’engage sur le parking, suivie de l’autre. Puis stoppent tout près d’un bosquet, à une dizaine de mètres de nous. Éva se redresse :
— Eh bien, cette route n’est pas si déserte que ça. On dirait que ce sont des Allemands de l’Ouest, à voir leurs engins.
Ces derniers, une fois descendus de leurs machines, regardent dans notre direction. La vue de deux filles nues près d’une voiture n’est certainement pas étrangère à leur brusque envie de faire une pause, en ce lieu désolé. Tous les quatre, en fait deux couples, nous observent donc. L’un, proche de la quarantaine, l’autre, bien plus jeune, à peine plus de vingt ans, sans doute. La femme est plus svelte que la jeune fille, qui affiche des rondeurs, mais elles sont aussi peu habillées l’une que l’autre : un short presque mini et un débardeur court qui dévoile le nombril.
Durant un moment, ils restent à distance, tout en portant leur gourde à leurs lèvres. Et comme ils ne voient aucun mouvement de repli de notre côté (Éva est restée à côté de moi, debout, le dos contre la portière arrière, offrant son côté pile à leurs regards ; Jana s’est appuyée sur l’avant du capot, laissant admirer son profil), l’homme le plus âgé se détache du groupe et s’approche de nous. On le voit jeter un coup d’œil à la plaque d’immatriculation :
— Ah… Français ? Nous, Allemands.
Son regard va de Jana à Éva :
— Naturistes ? Coquines ?
Son français est un peu hésitant et comme aucun de nous ne parle allemand, Éva se lance :
— Lui Français, et nous… Tchèques.
Elle ne sait pas si elle a bien fait de préciser cela, car l’autre réplique :
— Hum ! Tchèques très coquines ! Voyager toutes nues… très jolies… et libérées…
Il les mate sans vergogne et les voyant rester naturelles, il fait un signe aux trois autres, qui s’approchent. Ils ont leurs gourdes en bandoulière ; leur « interprète » propose :
— Vous avez soif ? C’est de l’eau.
Elles acceptent et la fille et la femme leur tendent une gourde. Elles boivent plusieurs gorgées. Le jeune homme me tend la sienne et j’en fais autant. Les deux passagères n’ont visiblement pas de soutien-gorge, à voir la façon dont leurs seins s’agitent dès qu’elles se déplacent. J’ose :
— Allemandes aussi coquines… Dessous, rien ?
Il met un moment à comprendre, avant de s’esclaffer :
— Non ! Rien ! Que ça, c’est tout ! (il montre le short et le débardeur) Mais pas voyager toutes nues ?
Il rit. S’imagine-t-il que je fantasme sur sa compagne et l’autre fille ? Toujours est-il qu’il répond :
— Elles toutes nues maintenant ? Comme les Tchèques ? Jolie blonde sexy… (il montre Jana) J’aime gros seins. Elle avec moi un moment et ma femme pour vous. Échanger… Nous, pas de tabou.
Je regarde Éva, qui semble un peu indolente, mais qui me glisse :
— Alors, tu lui offres ma sœur comme ça ? Et moi, alors ? Je dois m’exciter toute seule ?
Elle se met à se masturber sans aucune retenue, toujours adossée à la portière, tandis que l’homme, tout en flattant la croupe de Jana, l’entraîne derrière le bosquet. L’entraîne est un bien grand mot, Jana le précédant presque, étant tout aussi excitée que lui. C’est alors que s’approche de nous l’épouse, complètement nue. Elle est assez mince avec des petits seins.
— Votre amie, jolie aussi ! Je suis la femme de lui, mais pour le sexe, la liberté. Un moment avec vous, pas de problème (elle regarde mon sexe).
Comme elle voit bien que je regarde l’autre fille, plus jeune, restée un peu en retrait avec son ami, j’ajoute :
— Et… elle, toute nue aussi ? J’aime les rondes (je mime avec mes mains).
À ce moment, on entend des cris et des gémissements venir du bosquet. Jana est en train de se faire ramoner et de connaître une nouvelle vague de jouissance. L’épouse sourit. Que son mari soit en train de baiser une inconnue, en pleine nature, la satisfait. Aussi, s’adresse- t-elle à la fille, qui s’exécute. Un corps, légèrement replet, des cuisses un peu fortes, mais sans plus et des seins généreux. Elle est brune avec des cheveux noirs qui tombent sur ses épaules. L’épouse essaie de faire les présentations :
— C’est… comme… ma nièce, vous comprendre ?— Oui… des gros seins aussi… j’aime… envie d’elle et de vous aussi.— Hum ! Français affamé ? Deux femmes pour vous. Excitant !
Le jeune homme s’approche aussi et je lui laisse Éva pour lui prouver que je suis libéré et qu’il peut la baiser s’il a envie d’elle. Ainsi, elle n’aura pas besoin de s’exciter toute seule! Il commence par lui téter les seins. Quant à moi, une fois la jeune fille devant moi, je lui masse et lui soupèse ses seins lourds, mais fermes :
— Hmm ! Jolis nichons… belles mamelles… Allemande coquine… cochonne…
Elle ne comprend pas grand-chose à mes paroles, mais mes mains traduisent bien. Je lui masse ses hanches rondes, puis la fait se retourner : deux melons fermes séparés par une raie profonde, s’offrent à moi :
— Hmm ! Joli derrière… beau cul… Miam ! Joli petit trou, hein ?
La simple vue de son cul me fait perdre toute retenue. Je veux qu’elle se penche en avant en lui appuyant sur la nuque. Elle s’exécute docilement et sans que je lui demande, elle écarte elle-même ses fesses avec ses mains.
— Ton petit trou, il est où ? Aide-moi, toi !
J’ai saisi la main de la tante et la pose sur la raie des fesses de la nièce :
— Le petit trou ! Vite, je suis pressé.
Elle me regarde, un peu étonnée de mon audace, peut-être, mais son index se faufile entre les fesses avant de s’enfoncer, tandis que la nièce gémit.
— Elle aime ça, la salope… Le doigt de sa tante dans le cul. Ces rondelettes, ça aime la baise sans tabou.
Puis, de mes deux mains, j’enserre les hanches de la fille. Et ma queue, toute raide, s’enfonce dans la raie, puis dans son petit trou humide. Elle couine comme une truie, quand ma bite s’empale toute entière dans son intestin. Et je la ramone avec entrain. À côté de moi, Éva gémit de plaisir : le garçon lui fouille la chatte avec trois doigts… et la tante ne trouve rien de mieux que de se placer devant le visage de sa nièce afin d’y frotter sa moule dessus. Un lupanar en pleine nature…
Quant à l’autre, il doit, littéralement, défoncer Jana, tant ses cris et ses gloussements nous parviennent nettement de derrière les broussailles. En prime, cette voix masculine qui éructe des mots incompréhensibles, où les insultes doivent se mêler aux encouragements, et ce plaisir fou de pouvoir se soulager dans les orifices d’une Tchèque blonde et potelée qui semble ne demander que ça.
Ça m’excite tant que je finis par jouir dans le cul de la fille, laquelle ne cesse pas de couiner. Quand je me retire d’elle, c’est pour voir la tante la repousser un peu pour prendre sa place, s’agenouiller devant moi et lécher avidement mon sexe. Ces Allemandes sont de vraies salopes.
Je regarde où en est Éva. Elle s’est carrément assise sur le visage du jeune homme qui lui lèche la chatte avec avidité… et l’anus par la même occasion. Suffisant pour la faire gémir de plaisir. Puis, je vois Jana et son « amant » revenir vers nous, gavés de sexe et de jouissance. Pas tout à fait cependant, à voir les claques que l’homme administre sur les fesses et le haut des cuisses de Jana, tout en marchant.
Une fois devant nous, il regarde avec envie Éva gémir sous les caresses labiales que procure le jeune homme à son clitoris et son anus. Il ne tarde pas à lui palper les seins, avant de ressortir sa queue pour la présenter à la bouche d’Éva qui se met à la sucer. « Puisque ma femme te suce, ton amie doit me sucer aussi » a-t-il l’air de penser. Échanges de bons procédés.
Quand nous avons finis de jouir plus ou moins, nos partenaires de sexe retournent vers leurs motos et nous les voyons se rhabiller. Mais l’homme revient vers nous, un sachet à la main. Il en sort un objet étrange : composé d’un disque en plastique à la base, orné d’une tige en caoutchouc plantée en son centre, à la verticale. Et l’aspect de cette tige est clairement celle d’un pénis. Une fabrication artisanale, de notre homme, certainement. S’adressant à Éva et Jana :
— Un petit cadeau pour vous ! Fait par moi… regardé dans un magazine porno et fait à la main. Pour vous faire plaisir.
Il doit en distribuer comme ça à chaque fille ou femme rencontrée dans ce cadre… à moins qu’il ne les réserve qu’à celles qui lui ont procuré le plaisir le plus intense. Et il a dû estimer que Jana était au- dessus du lot. Il regarde avec envie les deux sœurs restées nues, puis, à regret, regagne sa moto. Il nous lance une dernière fois :
— Nous, revoir vous… peut-être !
Ils démarrent, regagnent la route, et disparaissent à nos yeux. Il est 17 h 20.
— Eh bien, ça n’était pas prévu au programme. Tu as vu l’heure ?
Cependant Éva ne semble plus s’inquiéter outre mesure, du retard :
— De toute façon, les parents ont dit qu’ils ne sortaient pas aujourd’hui. Qu’on rentre même à 6 heures n’a pas d’importance.
Puis elle s’intéresse à nouveau au petit cadeau :
— Hum, cette forme de pénis un peu fin… à réserver à notre anus. Tiens, il y a un petit papier enroulé autour.
Elle le déroule : juste quelques croquis sommaires sur la manière de l’utiliser.
— Il semble que l’excitation maximum s’obtient en s’asseyant dessus ou en marchant avec. Tu vois ça, Jana, nous promener ce petit engin enfoncé dans notre petit trou ?
Ce jouet sexuel lui paraît extraordinaire :
— Jana, j’ai très envie d’essayer. Tu viens m’aider à le mettre en place ?
Sa sœur s’approche tandis qu’elle saisit l’objet et place le bout du pénis entre ses fesses.
— Hum… Voilà, je sens le petit trou… Jana, pousse doucement avec ta main, veux-tu ?
Avec sa paume, elle appuie sur le disque et la tige semi-rigide s’enfonce dans son fondement. L’engin, en forme de pénis, plutôt réaliste, à la dimension d’un index, est introduit facilement dans l’anus. Seul reste visible le disque d’un diamètre d’environ 5 cm, plaqué contre ses fesses. Elle fait quelques pas, ainsi équipée :
— Ooh ! C’est une curieuse sensation. Le truc bouge quand tu marches et j’ai l’impression que ça doit exciter pas mal au bout d’un moment ! Bon, on n’a pas trop de temps ; alors on va remonter en voiture et tu viens avec moi à l’arrière.
Jana s’assoit d’abord, puis Éva qui s’installe avec précaution, tandis que sa sœur tient en place l’engin avec la paume de sa main.
— Là, si je me trémousse, je sens les mouvements de la tige dans l’anus. Et même chose, ça m’excite beaucoup !
Et Jana glisse alors sa main entre les cuisses de sa sœur, pour lui titiller le clitoris. La vulve est encore poisseuse de mouille et de salive.
— Arrête, tu vas me rendre folle !
Mais la posture d’Éva, cuisses bien ouvertes pour accueillir les doigts de Jana, dément son propos.
Entre-temps, j’ai démarré et rejoint la route. Celle-ci étant déserte, je roule à petite allure. Derrière, les deux sœurs s’en donnent à cœur joie. Maintenant, elles se masturbent mutuellement et s’embrassent à pleine bouche, ce qu’elles n’avaient pas encore fait, depuis notre départ. Il est 17h 45, quand nous rejoignons la route principale, à 5 km de Dugi-Rat. Un arrêt bref sur le bord de la route pour nous rhabiller et cinq minutes plus tard, je gare la voiture à proximité de ma tente. Éva décide d’aller faire trempette un moment, ne serait-ce que pour se sentir plus « propre » et Jana et moi décidons d’en faire autant. 18 h est dépassé quand nous regagnons la résidence, et retrouvons les parents qui nous attendent pour le dîner. D’apprendre qu’ils ne sont pas sortis, nous rassure ; ainsi nous pouvons leur faire le récit d’une journée bien plus calme qu’elle ne l’a été. C’est là que les quelques talents de comédienne d’Éva s’avèrent utiles.
Ensuite, nous nous retrouvons dans la véranda où jeux de cartes et lectures alternent jusque vers 22 h. Puis les parents se retirent et nous en faisons autant. Tandis que Jana va dans la chambre qu’elle partage avec sa sœur, Éva m’accompagne jusqu’à ma tente. Là, elle se colle contre moi, et nous nous embrassons avec passion, tandis que mes mains se glissent sous sa mini-blouse pour rencontrer ses fesses nues… et le plug « artisanal » bien inséré dans son anus :
— Ça te plaît vraiment, on dirait.— Oh oui, chéri, c’est fou ce que ça m’excite. Quelle bonne idée tu as eue de t’arrêter à cet endroit ; ces Allemands étaient sans tabou !
Elle frétille de plaisir avant de me susurrer, comme un défi :
— Moi aussi, je suis sans tabou... comme Jana.
 Puis après un « Bonne nuit ! » sonore, elle s’en retourne à sa chambre tandis que je me retire dans ma tente.

À suivre...
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